n° 19278 | Fiche technique | 79466 caractères | 79466Temps de lecture estimé : 46 mn | 31/10/19 |
Résumé: Jean est fatigué de son épouse et il a trouvé ailleurs de quoi satisfaire ses sens, tous ses sens. Mais comment le faire comprendre à sa femme qui est une épouse quasi parfaite ? Il ne veut pas la quitter, juste avoir plus de liberté. | ||||
Critères: fh ff cocus miroir fellation cunnilingu pénétratio confession -extraconj | ||||
Auteur : Faustine |
Remarque :
Je (Faustine : Lui) propose deux récits sur le site avec les titres suivants : « Petite culotte » et « Le jour et la nuit ». Récits que je vous encourage à lire, peut-être pas l’un derrière l’autre, mais avec un temps entre eux afin d’éviter le risque de trouver des répétitions. Répétitions bien naturelles, car ils parlent de situations assez proches. J’ai glissé dans ces récits beaucoup de mes souvenirs de jeunesse et évidemment des plus récents. Mais j’imagine qu’un lecteur s’en fout de ma jeunesse, sauf qu’elle est ce qui m’a construit et donc m’amène à vous parler aujourd’hui.
Le sujet est que, beaucoup d’hommes de ma génération, ont gardé une image archaïque du couple, de la femme, alors que le monde change et que ces femmes, nos mères, nos épouses se sont battues et se battent encore pour l’égalité. Et il en est une que nous leur refusons, la preuve :
Un mari, cocufie sa femme, c’est un coup de canif dans le contrat.
Une femme cocufie son mari, c’est une honte. À la rigueur si c’est par amour qu’elle cède à un amant, de petites circonstances atténuantes peuvent lui être attribuées. Mais si c’est pour le sexe, la baise, le cul, alors on change de dimensions. C’est une traînée, une garce, une salope, une pute. Bien entendu, chers lecteurs vous êtes comme moi, cela ne peut pas vous arriver. Vous et moi apportons au lit tout ce dont notre femme a besoin… C’est bien connu… Mais parfois elle ne le sait pas… L’ingrate !
Un des deux récits est proche, très proche de ma réalité. Lequel d’après vous ? Les gagnants auront droit à… à… ma considération.
Désolé pour la longueur, mais c’est comme la vie, plein de détours pour atteindre un but qu’on ne comprend qu’en l’atteignant.
***********
Pourquoi petite culotte ? Difficile d’imaginer qu’une petite culotte puisse être, d’une certaine façon, l’héroïne d’une histoire sur Rêvebébé, bien que cette partie de lingerie féminine soit des plus érotiques.
Mais c’est pour une autre raison : un ami m’a raconté un jour que pour voir la réaction des gens, il lui arrivait de glisser discrètement une petite culotte dans la poche d’un homme ou de laisser tomber une capote dans la voiture d’une connaissance. Pratiques que j’ai trouvées idiotes, sources de problèmes dans un couple alors qu’il y a bien d’autres raisons pour qu’un couple puisse se déchirer.
Je suis fils unique et j’ai passé toute mon enfance avec un cousin, fils unique aussi, qui habitait à une rue de chez moi. Petite ville de province où les distractions, à part la pêche, les balades en forêts et les cueillettes de champignons, étaient rares.
Nous avons découvert ensemble les premiers émois de la sexualité et je me souviens très bien le moment où Pierre m’a montré qu’en manipulant son sexe, il arrivait à obtenir du plaisir. À partir de ce jour, cette occupation devint primordiale. Chaque fois que nous pouvions nous isoler, nous nous branlions pour faire gicler ce que notre corps produisait. On s’amusait aussi à s’échanger ce plaisir en nous branlant l’un l’autre dans une complicité qui excluait toute culpabilité ou vice.
En fouillant chez ses parents, Pierre avait découvert un sexe en bois, reproduction colorée d’une verge autrement plus grosse que la nôtre, encore que mon cousin était mieux équipé que moi. Moi de mon côté j’avais trouvé chez les miens, des livres dont la couverture anodine cachait des œuvres et des écrits qui faisaient notre joie et qui nous faisaient bander dur.
Mais les grandes vacances sont très longues lorsqu’on reste chez soi. Heureusement cette même année nous avons fait la connaissance d’une Parisienne qui s’ennuyait ferme chez des grands-parents qui vivaient au coin de la rue.
Elle a été, Martine, une parfaite initiatrice à d’autres plaisirs. Avec le recul, j’ai pensé que, bien que de notre âge, elle avait déjà connu le loup. Paris était autrement en avance sur nos villes de province. La découverte de son corps qu’elle nous offrait sans pudeur a été autrement plus excitante que les photos floutées des « Paris Hollywood» . Elle a dû nous juger bien « arriérés », car au début on a refusé de la posséder. Il faut dire que dans la famille nous avions l’exemple d’une parente à peine plus âgée que nous qui avait « fauté » et s’était laissé mettre « un polichinelle dans le tiroir » et que ses parents élevaient avec elle. En attendant de recevoir les capotes qu’elle avait demandées à une « copine » à Paris, nous avons attendu. Attente bien agréable, car Martine ne rechignait pas à nous branler et nous sucer. Et puis les capotes sont arrivées. Très vite pas assez nombreuses, qu’il nous a fallu les réutiliser après un bon rinçage. Je reconnais que maintenant cela fait « vieux monde », mais c’était le nôtre.
Chère Martine, tu as été la plus belle rencontre et la plus belle des initiatrices. Combien de fois nous t’avons possédée, l’un après l’autre et avons découvert le plaisir féminin ? Combien de fois tu nous as guidés pour te caresser ? Combien de fois avons-nous léché ta chatte velue, aspiré ton clitoris dont nous n’imaginions même pas l’existence ? Et tout le reste !
Mais tu es retournée à Paris et tu as laissé deux garçons en chaleur. Alors, sans honte ni culpabilité Pierre et moi avons utilisé ce que la nature mettait à notre disposition. Se branler était devenu bien fade. La première fois qu’il a glissé son mandrin dans mes fesses a été douloureuse. Il était vraiment gros et lui m’avait reçu beaucoup plus facilement. Mais avec l’habitude… Avec l’âge, j’ai un peu honte de ce que nous avons fait, mais sur le moment nous avions tant de gourme à jeter que le cul du cousin était le réceptacle idéal.
Et puis la rentrée est arrivée.
Et puis notre « dépucelage » par la Parisienne nous rendait plus sûrs de nous et chacun s’est lancé dans des conquêtes et des aventures qui nous ont séparés.
Et puis j’ai passé le bac.
Et puis je suis allé à la Fac.
Et puis j’ai rencontré Sophie.
Et puis on s’est installé à Paris.
Parallèlement Pierre vivait sa vie. Se mariait. Divorçait, car il est d’une infidélité pathologique.
Nous nous rencontrions assez rarement, mais depuis quelque temps un peu plus. Il vient régulièrement à Paris pour son travail et nous l’hébergeons.
Les relations entre mon cousin et ma femme ont toujours été assez « basiques » . Elle trouvait Pierre un peu rustre. Il trouvait Sophie un peu « pimbêche » . Pour tout vous dire, mon épouse vient d’une famille dont la mère avait des idées très rigoureuses sur la façon d’élever les enfants, en particulier les filles qui sont la source de dangers particuliers.
Sophie s’est littéralement imprégnée de ces idées d’un autre âge, même pour la province de l’époque. Sophie a une sœur qui a échappé à cet endoctrinement, car plus jeune et protégée par son père. Le mal était fait chez ma femme et il m’a fallu la plus grande persuasion pour la « décoincer » un peu. J’ai un souvenir atroce de son dépucelage. Sec comme un coup de trique, son vagin refusait mon engin. Mais au fil des mois et des années, j’ai entraîné Sophie vers des plaisirs qu’elle a enfin su apprécier et même demander. Mais malgré mon insistance, à part un peu de lingerie élégante, un rabbit et un vibro de voyage rien de bien extraordinaire. Fellation limitée aux léchouilles du gland, sodomie limitée et encore exceptionnellement un soir où elle est pompette, à un doigt. On ne peut pas dire qu’elle n’aime pas le sexe, non, mais avec une retenue que je n’ai jamais réussi à briser.
Alors avec mon cousin, toujours une blague salace aux lèvres, elle n’était pas à l’aise. Mais au fil du temps, chacun a trouvé ses marques. Plus d’une fois Pierre m’a dit que ma femme, « si elle n’était pas si coincée » , serait bien agréable. Comprenez « à séduire » ou mettre dans son lit car Pierre est devenu un séducteur. Il faut dire qu’il présente bien. Beau gosse, toujours sans un poil de graisse ce qui dans son milieu est surprenant. Et probablement auréolé de sa réputation avec un sexe intéressant à tous égards. J’en ai encore le souvenir dans mon petit cul. Je n’ose lui demander s’il, a de son côté tenté l’expérience avec un autre, ou un gode, ou un mari ou… Alors, je sais, car depuis quelque temps il me parle de ses conquêtes, qu’il est bien apprécié par ses connaissances. Comprenez, connaissances femmes, en particulier femmes mariées, car comme il le dit « Elles sont chaudes, prêtes à tout, expérimentées et elles recherchent des sensations que leur mari ne leur procure pas ou ne leur procure plus » .
Je sais que Sophie le trouve aussi beau garçon.
Et c’est à ce moment que la petite culotte arrive. Petite culotte, mais en réalité bien plus.
De mon côté, j’ai trouvé une maîtresse qui me satisfait enfin. Je ne sais si c’est parce qu’elle est plus jeune de dix années ou si c’est sa nature profonde, mais avec elle le sexe est une joie. Pas de ces choses que l’on fait dans la discrétion d’une chambre le soir, mais n’importe quand, n’importe où, dans n’importe qu’elle position et tout cela dans une jouissance joyeuse aussi bien pour elle que pour moi. Mais aussi, elle et son mari sont libertins et après une période « de probation discrète », il est venu nous regarder et se joindre à nous. Notre trio est un exemple de ce que peuvent être les plaisirs du sexe lorsque les convenances sont oubliées. Je retrouve même avec eux des émois de mon adolescence, de ces moments ou après le départ de Martine mon cousin et moi, on avait passé un cap.
On appelle cela le démon de midi ou de la cinquantaine, mais, peu importe, moi aussi j’ai envie, maintenant que les enfants sont élevés, de vivre autrement. Mais il me reste une morale, même si certains diront qu’il est temps. Je suis tiraillé entre deux envies. Étrangement cette liaison m’a fait prendre conscience que j’étais toujours amoureux de Sophie. Mais je veux aussi pouvoir vivre avec Gêna et son mari, des nuits et des week-ends torrides. Le beurre et l’argent du beurre, penserait-on ! Mais comment faire accepter à mon épouse cette dualité ? Lui dire que je l’aime, mais que j’ai besoin de l’autre pour vraiment me réaliser ? Elle mérite pourtant la vérité. Même si cette vérité ne sera que partielle. Sophie n’est pas prête pour entendre que je couche avec un couple ! Je ne peux pas et je ne veux pas inventer des excuses abracadabrantesques pour m’échapper une nuit ou plusieurs jours.
Comment convaincre une femme qui n’a jamais prêté le flanc au moindre reproche ? Comment Sophie pourrait-elle comprendre cette envie qui me prend ? Pour envisager d’accepter, il faut l’avoir vécu soi-même. Et si… et si…
Aussi je décide de me transformer en tentateur. Mais comment puis-je pousser ma femme vers un autre homme si je ne le connais pas ? Mission impossible. J’ai bien parlé de son cours de Tai-chi qu’elle suit religieusement pour la questionner, essayer de soutirer la moindre information qui me donnerait une ouverture, mais rien.
Alors je décide de faire avec ce que j’ai sous la main.
Coucher avec un beau-frère, voilà qui serait condamnable. En plus cela m’éviterait de chercher ailleurs pour qu’enfin Sophie fasse un faux pas que je puisse utiliser. Cela tombe bien, Pierre vient régulièrement à Paris.
Je lui distille des informations :
Inutile de dire que cet aveu est un coup de tonnerre dans le monde de mon cousin où ma femme est quasiment l’épouse parfaite. Mais j’insiste :
Pierre ne se mouille pas, juste un : « Tu te fais peut être de fausses idées. Ce n’est pas son genre ! »
Sophie dément bien entendu. Non, elle n’a rien vu ! Non il n’a pas changé et jamais il n’a fait la moindre allusion.
Je pense avoir semé le doute. Faire plus serait dangereux, car si cela marche, l’un ou l’autre pourrait se rappeler que j’ai « forcé le trait » et que c’est moi qui ai tout prévu.
Prévoir ce genre de situation est quasi impossible. Poser quelques jalons doit suffire.
Mais j’ai une botte secrète. Petite culotte es-tu là ?
Alors que je bricole un truc, je demande à Pierre d’aller me chercher un outil au sous-sol. En descendant les escaliers, tourner à gauche mène à l’établi, mais aller tout droit donne accès à la buanderie, là où nous faisons sécher le linge. Lorsqu’il descend, la buanderie est éclairée alors que le reste est dans le noir. Que ferait une personne normale ? Elle avancerait assez pour atteindre l’interrupteur. Et avec un peu de chance découvrirait ce que j’ai laissé en évidence. Le fil supporte de la lingerie de femme. Séchage bien classique sauf que cette lingerie est plus que suggestive avec des échancrures et fentes si nombreuses que c’est de l’air qui sèche. Mais aussi, bien étalé sur une grande serviette deux sex-toys et un plug. Des accessoires qui sèchent. Sauf que la lingerie que j’avais achetée a été refusée par Sophie avec un « on dirait des trucs de pute » et que je n’ai jamais osé lui montrer le plug. Seuls les deux sex-toys sont à nous.
Pierre revient du sous-sol sans un mot. A-t-il vu ce que j’ai installé pour lui, pour qu’il se fasse une autre idée de Sophie, qu’il pense qu’elle est bien plus coquine qu’il pensait ? Que malgré tous nos accessoires elle aille tout de même chercher ailleurs ! Peut-être que sous ses airs de bourgeoise se cache un tempérament de feu ! Une femme mariée comme celles qu’il a l’habitude de conquérir…
S’il me donne l’outil sans un mot, je remarque en jetant un œil vers l’escalier qu’il redescend au sous-sol. Ainsi il a vu ou juste entrevu mon exposition et il veut se persuader qu’il n’a pas rêvé.
Va, mon cousin, fais-toi une idée de ta cousine Sophie. Imagine-la avec cette lingerie, le cul rempli avec ce gros plug et le gode vibrant sur sa fente avant de se l’enfiler bien profond. Cela devrait te donner l’audace de tenter ta chance. Mais ce ne sera pas du tout cuit. Ta cousine n’est pas de la même pâte que tes conquêtes !
Dernière touche, alors que nous trinquons en attendant Sophie qui doit rentrer du boulot.
Menteur, pensai-je. Maintenant tu as changé d’opinion sur elle après avoir vu ce que nous sommes censés utiliser dans notre intimité. Intimité et ailleurs, sinon pourquoi cette lingerie dont l’usage n’est pas uniquement dans une chambre.
C’est lui qui la défend. Mais je ne mens pas tout à fait. L’alcool libère un peu ma femme et plus d’une fois j’ai constaté que deux ou trois verres avaient un effet évident sur sa libido.
L’exposition des accessoires et ma remarque sur l’alcool se passent un vendredi. Je me suis arrangé pour prévenir Sophie que le samedi, je devrais m’absenter pour un contrôle qui devrait me prendre la journée.
Si quelque chose doit se passer, ce sera ce jour-là ou jamais. J’ai fait ce qu’il fallait. J’ai profité de la présence de Pierre. Je me suis organisé pour les laisser tous les deux. Mais la probabilité est très faible. Malgré mes suggestions Sophie ne m’a pas paru changer d’attitude avec Pierre. Par contre, j’ai bien vu que vendredi soir, lui, la regardait avec un œil différent. De toute façon, le sort en est jeté et je n’ai rien à perdre.
Je compte sur mes trois caméras IP pour suivre ce qui peut se passer pendant mon absence. Mes caméras ne sont pas contrôlées par la centrale de surveillance et donc j’en suis le seul destinataire.
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Chacun vaque à ses occupations. Pierre s’absente un moment. Lorsqu’il revient, il porte un sac qui contient manifestement une bouteille.
Coquin de Pierre. Tu as bien intégré mes confidences. Je vois que tu as bien une idée derrière la tête.
Oui, tu penses que tu as largement le temps d’essayer. Au moins toi, je vois que mes sous-entendus ont bien fonctionné. Mais si c’était facile avec toi, par contre avec Sophie je n’ai pas pu avancer beaucoup de pions. On verra.
Pendant qu’ils déjeunent, je mange un sandwich. Notre cuisine étant américaine les deux caméras me fournissent une vision sous deux angles. Mais pour l’instant que du bavardage.
Café. Et ratafia. Ils sont tous les deux sur le canapé.
C’est la troisième fois. Les verres à liqueur ont beau être petits, il s’est chargé de bien les remplir.
Et il raconte. C’est presque gênant de l’entendre parler de nos premiers émois, de nos branlettes et d’ailleurs il en profite pour poser une question.
Pierre continue. Il se souvient de tout. J’avais oublié l’épisode ou en attendant les capotes il avait apporté le gode de ses parents et que Martine se possédait avec devant nous.
Pierre reprend son récit. Il parle en détail de ce que nous avons fait. Heureusement, il ne dit pas qu’après le départ de Martine, on s’était copieusement enfilés l’un l’autre.
Sophie écoute. Sans avoir l’air de rien, Pierre remplit le verre et Sophie qui ne semble pas le remarquer boit à petites gorgées.
Un long silence. Et puis Sophie qui hésite à peine :
La voix de ma femme est comme « empâtée » . On la devine chercher ses mots, les prononcer en articulant bien comme si tout se mélangeait dans ses lèvres. Il est évident qu’elle est saoule. Le cousin l’a largement servie, mais surtout au déjeuner, il me semble qu’elle s’est contentée de juste une salade. « Régime inclus » .
Merde. J’avais juste dit cela à mon cousin pour qu’il pense que ma femme n’était pas aussi fidèle qu’il pouvait l’imaginer. Pas pour qu’il lui en parle. Elle va évidemment démentir.
Malgré son ivresse, Sophie semble émerger, comme si un choc la réveillait.
Merde Pierre ne peut pas dire grand-chose étant donné que moi, pour être crédible, j’ai parlé des séances de Tai-chi que Sophie suit depuis longtemps. Séances qui se passent le soir. Elle y va à pied, mais me demande de venir la chercher, car cela se termine vers les 22 h et ne veut pas rentrer seule cette heure.
Quoi ? Mais qu’est-ce qu’elle dit ? Je n’ai pas dû comprendre. Elle a dit que : Oui, elle avait un amant ? Mais non, j’ai mal compris. Pourtant.
Un silence où je vois bien que, comme moi, Pierre cherche à comprendre. Une fois elle dit oui, une fois elle dit non.
D’un seul coup, il se tape sur le front, geste que je connais bien chez lui et qui signifie « Que je suis con, mais j’ai compris » et il ajoute :
Un silence. Sophie se saisit de la bouteille pour s’en servir une large portion qu’elle boit comme du petit lait, mais lait sucré titrant 18 degrés au moins et qui, verre après verre, la rend plus que pompette, comme jamais je ne l’ai vue.
Un silence où Pierre réalise l’aveu de ma femme. Moi je suis sur le cul. Une question me brûle les lèvres, mais c’est mon cousin qui la pose :
Et voilà. C’est aussi si simple que cela. Je suis cocu. Avec une femme ! Merde, qui aurait pensé que Sophie se lance dans ce genre de relation ? Sophie gouine ? Incroyable.
Nouveau silence. Et Sophie se tourne vers le cousin, manifestement inquiète :
Pierre semble hésiter.
Mais alors qu’il parle, son sourire dit autre chose. Il continue :
Sophie comprend.
Il s’exécute sans rechigner. Il est juste en face, sur le fauteuil, elle, toujours assise sur le canapé.
Et elle le fait. Oui, ma femme commence à détacher son chemisier. Ma femme, enfin celle que je croyais encore innocente, fidèle et prude, le fait. Mais pour celle qui vient de se confier à mon cousin et qui a reconnu avoir une amante, cela doit être différent. En plus elle est manifestement bien partie. L’alcool fait son effet. Peut-être trop même. Pierre pourrait bien se retrouver avec une femme saoule sur les bras et dans ce cas une partenaire bien peu réactive. Où est l’équilibre ?
Un, puis deux, puis trois boutons. On voit le soutien-gorge.
Elle rit, mais continue. Le chemisier est sur le canapé.
Et l’effort elle le fait. À ce moment, il est évident qu’elle n’est pas dans son état normal. Mélange d’alcool, de confidences et des incitations de mon cousin ? Putain, il est parfait dans son rôle. Je le sentais bien pour cela. Mais par contre pour les autres confidences, je reste sur le cul. Sur le cul, mais tout de même encore sceptique. Tant que je ne verrai pas de mes yeux ma femme avec un autre, même si c’est une autre, je ne croirai pas ce qu’elle lui a dit. Elle l’a manipulé…
Manipulé ! Mais qui manipule l’autre, alors que Sophie dégrafe son soutien-gorge et que je vois Pierre ouvrir sa braguette pour laisser apparaître un dard tout en majesté.
Je vois son regard déjà brillant regarder vers l’engin dès qu’il se fait visible. Elle se redresse avec fierté. Combien de fois je l’ai complimentée sur sa poitrine et peut-être, si cela se révèle vrai, que son amante l’a fait aussi. Ce sont de belles poires que tout partenaire aimerait caresser et sucer. Pour Pierre, ces fruits sont hors de portée, mais sa bite qui se dresse fièrement, telle que je l’ai connue quand nous étions ados, affiche le plus beau des compliments.
Il ne termine pas sa phrase. Sa main qui flatte sa bite et son regard qui va de Sophie à son engin en dit assez sur le si…
Et je la vois. Seins nus, elle passe la barrière de la table basse. C’est plus qu’une table, c’est la frontière entre une femme que je croyais insensible à la tentation et une femme adultère. Pire, une femme adultère qui pour cacher son infidélité se prépare à en commettre une autre.
Combien de fois, en lisant des récits d’hommes qui décrivent leur surprise de découvrir non seulement leur femme infidèle, mais dépravée et plongée dans la luxure, oui combien de fois, ai-je pensé et même critiqué que ce n’était qu’inventions, exagérations, qu’une femme ne passe pas de l’épouse fidèle et aimante à la pire des « coquines » pour ne penser qu’au plaisir des sens !
Alors dans ce cas, je suis qui moi ? Un cocu ? Oui cocu, quoique pas encore, mais c’est sur une bonne voie, cocu souhaité pour pouvoir me servir de cette infidélité pour une séparation à l’amiable ou tout le moins le droit d’aller baiser ailleurs tout en gardant la sécurité du foyer. Mais il y a un pas, que dis-je un gouffre, entre l’idée et la réalité.
Sans parler qu’en chemin, j’ai découvert encore pire…
Au moins mes caméras enregistrent ce qui se passe dans mon salon. Pour le reste je verrai en rentrant.
Elle est devant lui. Il a gagné.
Mon piège a marché. Encore plus que je ne pensais. Je vais me retrouver avec l’embarras du choix pour exiger de mon épouse la liberté d’aller voir ailleurs. Une sorte de couple libertin contraint et forcé.
C’est Sophie qui semble sortir d’un rêve.
Elle repasse de l’autre côté. Son chemisier cache sa nudité. Pierre insiste :
Un silence et elle reprend :
Elle s’éloigne, disparaît du champ de la caméra. Celle de la chambre la retrouve. Elle disparaît dans la salle de bain.
C’est Pierre qui annonce avec une voix forte. Sophie lui répond, de loin.
Pierre a échoué à la séduire, mais a cependant créé un climat favorable aux confidences. Et ma femme s’est confiée. Ai-je bien entendu ? Ai-je bien compris ? Le prénom de sa maîtresse est-il bien ce que j’ai entendu ? Cela paraît impossible.
Mais le replay de la scène me le confirme. Elle a bien parlé de Gêna ! Un prénom peu répandu et pourtant ma maîtresse s’appelle aussi Gêna !
La maîtresse de Sophie s’appelle Gêna. Elle suit des cours de Tai-chi.
Ma maîtresse s’appelle Gêna et son mari Luidgi. Elle aussi suit des cours de Tai-chi et ils ne sont pas si nombreux que cela.
Alors ? Une coïncidence ? Impossible ou improbable. Mais alors Gêna serait notre maîtresse commune ? Si c’est le cas, quel jeu joue-t-elle ? Elle et son mari, car je les sais complices.
Que faire ?
En parler à Sophie. Mais parler de sa confidence à Pierre serait reconnaître que je les surveillais. Et si je faisais ça, pour quelle raison ? Non ce serait avouer mon stratagème.
Ne pas en parler ! C’est la bonne solution ! À personne ! Ni à Pierre qui de toute façon nous quitte demain. Ni à Sophie qu’il me suffira de surveiller. Ni à Gêna qui si c’est vrai, se révélerait une sacrée perverse. Et son mari dans tout cela ?
***********
Mardi ! Ces quatre journées m’ont paru interminables. Je suis prêt. Dès que Sophie part en me lançant un :
Oui, d’accord. Tiens, voilà un début de confirmation. Il y a quelques semaines, elle finissait plus tôt… Trente minutes de plus… On en fait des choses en trente minutes.
J’ai sorti le scooter. C’est plus discret. Il fait déjà nuit et la circulation m’assure l’anonymat. Dès que Sophie tourne au coin de la rue, je me lance.
J’ai bien failli m’encastrer dans la voiture. C’est celle de Gêna. Elle est facilement reconnaissable, Mini blanche avec le toit noir. Deux silhouettes dedans. Probablement ma femme avec elle, mais je ne la vois plus.
Il est facile de suivre discrètement, car manifestement elles prennent le chemin de la maison du couple.
La voiture pénètre dans le sous-sol de la villa. Je ne peux pas vérifier, mais est-ce vraiment nécessaire, que c’est bien Sophie comme passagère, car je sais qu’on peut monter directement au rez-de-chaussée.
La lumière s’allume puis s’éteint. À l’étage, maintenant. La chambre que des volets protègent des regards directs. Les amantes se retrouvent. Seules…
Ainsi c’est vrai. Sophie et Gêna ! Et cela dure depuis deux mois. Et Luidgi ? Est-il dans sa tanière. Lieu dont il peut regarder dans la chambre comme il le faisait pour moi, avant de venir nous rejoindre après quelques semaines.
Quelques semaines. Disons deux mois. Deux mois comme a parlé Sophie. La surprise… Soudain je réalise que le couple va répéter ce qu’il a fait pour moi.
La surprise c’est…
Je me souviens très bien de la première fois. C’est une expérience qui ne s’oublie pas.
***********
Je me suis fait draguer comme un gamin. Gêna m’est rentré dedans au marché. Caddy contre caddy. Deux samedis de suite. J’ai cru à une coïncidence, mais elle m’a avoué plus tard au lit que c’était prémédité. Elle fait du Tai-chi avec ma femme et soi-disant intriguée par je ne sais quelle confidence de Sophie. Je sais maintenant que nous étions tombés dans le viseur de ce couple. Pourquoi ? Je ne sais pas.
Maîtresse comme beaucoup d’hommes en rêve. Belle ! Volontaire ! Sans préjugés ! Aimant autant donner que recevoir. Avec elle pendant des semaines je vivais une expérience proche du fantasme réalisé.
Mariée, mais m’avouant que son mari et elle avaient un accord de liberté. Couple moderne ! Bref la belle vie. On se retrouvait chez elle, c’était plus facile et comme son mari était au courant pas de risque du « Ciel mon mari» .
Sauf qu’un jour elle me dit… en résumé :
J’apprends que le mari aime regarder sa femme avec un autre et que ce subterfuge lui permet de réaliser son fantasme confortablement. J’apprends aussi qu’il aimerait bien nous rejoindre, pour regarder, mais aussi pour participer… Si je le veux bien…
J’hésite à peine. Ma seule inquiétude étant de savoir si je réussirais à bander avec le mari à côté.
Il a su y faire. Sa femme aussi. Et bientôt c’est un couple que je retrouvais régulièrement. Je pensais avoir atteint le paradis avec la femme. Ce n’était qu’une étape avec Luidgi comme partenaire invité. Je n’avais jamais fait, ni même imaginé, de trio. C’est quelque chose ! Dire qu’il y a un peu d’émulation entre les hommes est une vérité. Mais une bonne émulation. Putain la première fois où on a pris Gêna en sandwich, je m’en souviendrai toute ma vie. Je n’arrive toujours pas à comprendre comment une femme peut accepter deux mandrins, côte à côte, se parlant à travers une paroi fine afin de lui apporter des jouissances multiples. Surtout que son mari est bien équipé. La première fois où je l’ai vu en « développé » et même avant, j’ai cru voir celle de mon cousin… Il y a des années.
Mon cousin est revenu sur le tapis un jour où par jeu, ma maîtresse m’a poussée vers la bite de son mari pour m’associer à sa pipe. Et de fil en aiguille, je me suis retrouvé un destinataire accueillant de ce mandrin, autant entre mes lèvres que profondément enfoncé dans mon petit trou.
Chacun à la Madeleine de Proust qu’il peut.
Avec Pierre, j’étais en pleine jeunesse avec le sang qui bouillonnait et sans sentiment de culpabilité pour nos plaisirs partagés.
Avec l’âge, la société, l’éducation « de ce qui se fait ou ne se fait pas », c’est autre chose. Mais il y a des jouissances que l’on regrette après et pourtant qu’on attend avec impatience. Bref pour parler cru, dans un sandwich j’ai souvent joué le « jambon » coincé entre la femme que je baisais par-devant ou par derrière et le mari qui m’enculait avec entrain.
Alors on peut imaginer le trouble qui me saisit alors que Sophie disparaît avec Gêna, dans la maison, pire encore dans la chambre où le couple me reçoit…
***********
Ce sont des manipulateurs. Après le mari ils vont s’en prendre à l’épouse. Leur scénario est bien rodé et maintenant je comprends que nous ne sommes pas les premiers. Des prédateurs qui jouent à séduire les conjoints…
J’ai la clé. Pour nous retrouver chez eux plus facilement et ne pas me faire remarquer par les voisins, ils m’avaient donné une clé.
J’ouvre la porte. Je monte à l’étage. Une seconde, je reconstitue la topographie de la chambre, du mur qui porte le miroir et donc là où on a accès de l’autre côté.
C’est silencieux. J’ouvre la porte sans bruit. La pièce, presque un placard n’est pas dans l’obscurité, car le miroir laisse passer de la lumière de la chambre à côté.
Aussitôt il ajoute :
Je m’exécute, mais attaque aussitôt :
Instinctivement je baisse le ton, mais continue cependant :
Il me montre les femmes qui s’embrassent. Manifestement elles avaient envie de se retrouver, car elles sont déjà nues et l’une contre l’autre. Le baiser est torride. Les corps se cherchent. Les seins se frottent, les ventres se trouvent et les mains sont parties à la découverte de l’autre. Ce sont elles qui se fraient un chemin pour caresser un sein, plaquer une chatte, arrondir une hanche et des fesses.
Gêna a poussé Sophie sur le lit et a plongé son visage entre des cuisses qui s’ouvrent en totale impudeur. J’aperçois sur le lit des jouets sexuels que j’imagine qu’elles utilisent. Surtout ce gode-ceinture que probablement Gêna… Comme avec moi… C’est le même…
Mais malgré l’obscurité je devine son sourire lorsqu’il ajoute :
Mais une idée m’obsède.
Un moment où comme Luidgi mon regard est attiré par le spectacle des deux femmes. Spectacle avec son, car manifestement un micro est chargé de nous faire entendre ce qui se dit.
Il me montre une boîte au-dessus de nous, très près du miroir et je comprends que c’est une caméra.
Et se tournant vers moi il annonce :
Un silence. Il n’attend pas ma réponse. Je comprends qu’à demi-mot il me menace de tout montrer à ma femme si… Il comprend que je comprends.
Je gamberge, mais ce qui se passe dans la pièce à côté me distrait.
J’entends et surtout je vois ma femme qui se fait lécher par sa maîtresse. Elle gémit, les yeux fermés, perdue dans un plaisir que tout son corps exprime. Les cuisses largement ouvertes, les jambes repliées avec les pieds sur le lit qui lui font pousser son bassin vers sa maîtresse, quémandant encore plus. Et Gêna, la tête perdue entre les cuisses. On devine que sa langue et ses lèvres sont les artisans de ce plaisir. Mais aussi une main qui montre qu’un ou deux doigts se sont glissés dans la chatte et probablement que de l’intérieur ils s’activent. Et aussi l’autre main qui caresse un sein, le malaxe, l’écrase pour en faire pointer encore plus le téton déjà bien excité. Un téton qu’elle roule entre ses doigts et qui ajoute des gémissements aux gémissements.
Et Sophie qui appuie si fort sur la tête de sa lécheuse qu’elle doit avoir du mal à respirer. Et Sophie qui se cambre dans un dernier effort pour que la jouissance explose.
Des « ohhh » se succèdent, expulsés de sa gorge avec un « Ahhhhhhhh » qui semble sans fin lorsque son corps se cambre une dernière fois avant de retomber anéanti par une jouissance soudain trop forte.
Je vais répondre, mais il m’interrompt.
Sur le moment, je ne comprends pas de quoi il parle. Mais je regarde et petit à petit je comprends.
Je vois Gêna quitter la chaleur des cuisses et de leur trésor pour ramper et venir embrasser ma femme. Je ne doute pas que ses lèvres soient des messagères et proposent un contact direct de tout ce qu’elles ont déclenché. Sophie, avec moi du moins, mais peut être que c’est différent avec sa maîtresse, ne libère que peu de jus d’amour. Le baiser est délicat et puis plus profond.
Mais je vois aussi Gêna parler au creux de l’oreille de ma femme. C’est comme un secret qu’elle lui divulgue, mais il n’est pas besoin d’être devin pour en comprendre le contenu d’autant que moi aussi j’ai eu droit à ce moment. Quelque chose du genre :
« J’ai quelque chose à te dire. Tu vois le miroir à ta droite ? »
Je vois nettement le visage de ma femme se tourner vers nous.
« C’est une glace sans tain. Tu sais ces miroirs comme au cinéma où d’un côté on peut voir à travers alors que l’autre est normal. »
Sophie fait oui de la tête. Gêna s’est assise sur le lit. Elle s’est éloignée de ma femme aussi lorsqu’elle lui parle maintenant on l’entend :
Sophie met quelques secondes à comprendre :
Sophie tourne son visage vers le miroir. Son regard est différent, il sonde les profondeurs, mais la glace ne lui renvoie que son reflet. Reflet parlant, d’une femme nue allongée avec sa maîtresse qui vient de lui donner du plaisir et qui lui annonce que le mari regarde. Elle le savait au courant, que le couple était libre, mais de là à réaliser que depuis le début il était le voyeur et sa femme sa complice, change la donne. Elle a un geste de pudeur qui lui fait resserrer les jambes, mais comprend aussitôt que c’est ridicule.
Et Gêna ne lui laisse pas le temps d’approfondir.
Gêna, d’un geste, a montré le gode-ceinture. Il faudrait qu’elle soit « idiote » pour ne pas comprendre tout ce que cette phrase sous-entend !
Je sens la main de Luidgi sur mon épaule.
Je le sens tendu. Ainsi malgré son assurance il n’est pas certain de gagner. Depuis le début manifestement il a pu constater que Sophie n’est pas une femme délurée, même si elle a cédé aux avances de Gêna. D’ailleurs sa femme l’a dit en parlant de son « innocence » . Je ne doute pas que pour ce couple manifestement « prédateur » ma femme soit une proie qui demande bien des talents de persuasions et de tentations. Mais quel défi ! Mais le haut-parleur nous transmet :
Le regard de Sophie va du miroir au visage de sa maîtresse. On la sent hésitante. Moi qui m’attendais à un :
« Mais tu es folle ! Jamais ! Pas avec un homme ! Encore moins à trois » .
Je suis surpris qu’elle hésite, qu’elle réfléchisse comme si la situation méritait réflexion.
De nouveau ce va-et-vient des yeux et puis, regardant sa maîtresse, mon épouse, le regard fuyant, hoche de la tête.
Le sourire de satisfaction de Gêna est un signe de victoire. Elle aussi regarde le miroir. Elle revient vers ma femme :
Sophie hésite. Si on réfléchit, la situation est surréaliste. Elle vient d’apprendre que l’homme les matait depuis le début. Elle vient encore de jouir sous ses yeux. Elle est nue. Sa maîtresse lui propose son mari et elle a accepté de la tête et maintenant elle hésite à prononcer une simple phrase. Il est vrai que Sophie a toujours été prude, sauf… comme quand elle a bu avec Pierre et qu’elle s’est littéralement confiée et même montrer partiellement nue avec lui.
C’est bien sa voix même s’il faut tendre l’oreille, car c’est comme un souffle qui franchit ses lèvres.
C’est vrai. Moi j’ai tout faux. En quelques jours, j’ai découvert une autre Sophie. Mais je ne veux pas reconnaître ma défaite. Luidgi me pose la main sur l’épaule et dit :
Je vais parler, mais il insiste :
Waouh, j’en prends plein la gueule. Je sais qu’il a raison, mais la raison n’est pas tout. J’avais tendu un piège à ma femme avec mon cousin, mais je savais que c’était pour une fois et pour la bonne cause. Ici, c’est différent. D’abord je suis dépassé par les évènements et ne contrôle rien. Ensuite Pierre est parti, mais ce couple de prédateurs est toujours là et j’aurai du mal à empêcher qu’ils continuent.
Oui je peux m’y opposer, mais je perds tout ce que Gêna et Luidgi m’apportent. Mais en échange ils vont…
Non, je vais dire non.
Je ne sais si c’est une vraie menace, mais je le prends comme tel. Il me tient par les couilles et ce n’est pas qu’une image. Deux femmes entre elles sont moins choquantes que deux hommes… Je n’assume pas vraiment…
Et il quitte la pièce manifestement pressé d’aller les rejoindre.
Lorsqu’il entre dans la chambre, le temps se fige. Il reste immobile près de la porte. Les femmes le regardent. Ma femme surtout qui semble presque apeurée comme si elle s’était laissé emporter et qu’elle regrettait son choix.
Eh oui, il est bien là. Tu as dû l’avoir croisé et probablement plus d’une fois. Tu sais qu’ils forment un couple libertin, mais tu n’imaginais pas vraiment ce que cela signifie.
Gêna sent ton trouble.
Elle se lève, fait les quelques pas qui la séparent de son mari et l’embrasse. Pas un baiser fougueux, mais une marque de complicité. Et puis, Luidgi lui parle à son oreille. Je vois à sa surprise et le regard qu’elle jette vers le miroir qu’il lui signale ma présence. Et puis par la main, elle l’attire vers le lit tout en souriant, un sourire manifestement adressé à celui qui est dans l’autre pièce. Elle doit penser que je suis venu pour voir, que je suis consentant et que j’apprécie ce qu’ils s’apprêtent à faire…
Sophie ne bouge pas, comme figée.
Alors sa maîtresse se charge de déshabiller son mari. Luidgi est plutôt bel homme. Il est comme sa femme plus jeune d’une dizaine d’années. Un monde à l’envers, ce sont les jeunes qui dévergondent les plus vieux. Mais ces dix ans font la différence. Ils ont été « biberonnés » au net porno, ils ont grandi avec une liberté des mœurs de plus en plus affichée, avant qu’une censure vienne servir d’étouffoir sous le prétexte qu’on ne doit pas « utiliser» l’image de la femme, que la morale… que la fidélité… que le couple…
Oui, bel homme avec un métier, prof de gym et coach sportif qui lui demande de s’entretenir. De beaux muscles, pas de petit bedon, un léger duvet sur le torse.
Elle s’attaque au pantalon. En descendant, il laisse voir les cuisses musclées. Le slip est moulant. Il enveloppe ce qu’il cache encore.
Gêna recule entraînant son mari. Elle s’assied sur le bord du lit. Un regard vers mon épouse qui ne bouge toujours pas. Alors la femme tire sur le slip et le sexe apparaît. Sophie ne peut pas ne pas le voir. Je sais par expérience qu’il est beau, bien équilibré, dégagé de toute broussaille, reposant sur le coussin bien formé des deux bourses. Sophie n’a pas assez d’expérience pour en apprécier son élégance. Elle a entrevu la bite du cousin, mais il bandait. Dans son état a-t-elle remarqué qu’elle formait un bâton plus imposant que le mien ? Sûrement pas. Pourtant elle a sous les yeux la sœur jumelle, mais au repos et, là elle n’est pas saoule, avec mon sexe en référence dans sa mémoire.
Elle ne bouge toujours pas. Alors je comprends que Gêna décide de continuer pour que Sophie se retrouve plongée, au moins visuellement dans ce qu’elle a envisagé en faisant « oui » et en invitant le mari, mais qui au contact de la réalité doit lui paraître moins évident. Je vois au regard que me lance Luidgi qu’il paraît moins assuré. Et si, réflexion faite, ma femme disait non ?
Gêna se penche et se saisit de la verge de son mari. Elle commence une pipe dont elle a le secret et qui m’enchante à chaque fois. Combien de queues a-t-elle pompées ? Probablement qu’elle ne le sait pas, mais son expérience la dénonce. Son expérience, mais aussi son envie. Cette femme vous suce comme si le c’était la dernière fois. Comme s’il fallait qu’elle en profite. Pas seulement pour le mâle qui « subit», mais pour elle.
Le mandrin de Luidgi, maintenant en grande forme, est trop gros pour qu’elle le gobe totalement. Avec moi elle est à juste un ou deux centimètres des couilles. Avec lui, seulement les trois quarts.
Je vois bien que cela n’échappe pas à ma femme. Je ne sais si elle a eu un jour la curiosité d’aller regarder des vidéos de cul sur internet ! En tout cas, plusieurs fois, déçu par son peu de « technicité » j’ai laissé sur mon ordi, une page « oubliée » en particulier un cours de fellation, vidéos et son, d’une certaine Eva Maz… et par d’autres, cours qui avaient l’avantage d’être assurés par des femmes. Je n’ai jamais su si elle avait été regarder, mais en tout cas le résultat n’a pas été au niveau de mes espérances.
L’intérêt de Sophie n’échappe pas à sa maîtresse qui se déplace un peu afin que la voyeuse ait la meilleure vue. Pendant de longues secondes, Gêna fait une démonstration de son art. La bite longuement gobée et enduite de salive. Sa langue qui va lécher les bourses alors que de deux doigts elle maintient le mandrin vertical. Les lèvres qui sucent le gland comme une boule de glace. Le va-et-vient avec ce bruit de salive si excitant.
Alors ma femme semble se réveiller et approche. Sa maîtresse se retire pour lui laisser la place. Sophie hésite et puis, fermant les yeux comme si elle ne voulait pas voir ce qu’elle allait faire, se saisit du mandrin et pose ses lèvres sur le gland.
Mari et femme échangent un regard avant de regarder dans ma direction.
D’accord, je ne peux que constater. Mais vous n’avez pas encore gagné. Regardez comme elle est hésitante.
Mais Gêna l’aide. Elle lui montre. Maintenant Sophie regarde et essaye de reproduire. Rien de comparable, mais on sent qu’elle cherche à faire de son mieux. Sa maîtresse essaye de l’aider en posant sa main sur sa tête et la « forcer » à en gober plus long. Mais Luidgi lui fait le signe de ne pas continuer. L’homme comprend qu’il ne faut pas sauter les étapes. Le plus important est ailleurs.
Surtout ne pas effrayer leur proie. La posséder. Lui glisser son mandrin au plus profond de sa chatte pour la « marquer » comme sa maîtresse. Le plus dur sera fait. Le reste est du détail. Sophie doit se sentir engagée par cette possession dans une liaison où le couple aura tout le loisir d’en faire leur chose…
Gêna s’allonge, entraînant avec elle sa maîtresse. Elle s’installe confortablement, tête sur un oreiller, jambes écartées avec une demande exprimée avec tant de désir que ma femme s’exécute.
Sophie oublie la bite dressée et ruisselante de salive pour se plonger dans « l’origine du monde » , mais un monde domestiqué, lisse, sans cette forêt propice à dissimuler le but ultime. Manifestement ma femme sait comment y faire, car sa maîtresse gémit aussitôt. Est-ce inné chez toute femme ou bien est-ce que sa maîtresse lui a enseigné ce qui est bon et comment le faire… Sorte de début d’initiation…
Ce qui arrive est de ma faute. C’est vrai que souvent en présence du couple je me suis plaint de ce que mon épouse n’était pas très exubérante et audacieuse en amour, se contentant du strict minimum alors que pourtant elle ne crachait pas sur la chose. Évidemment je ne savais pas que je m’adressais à un couple prédateur dont le plaisir est de séduire pour entraîner leur conquête dans des jeux qu’elle n’envisageait pas avant. Avec moi, évidemment ils étaient tombés sur un candidat très coopératif. Mais à la lumière de ce que j’ai compris, je me demande si, dès le début, la proie ultime n’était pas Sophie. Sophie que Gêna côtoyait au Tai-chi. Sophie qui s’était peut être confiée à elle, parlant de son couple, laissant transparaître je ne sais quel désir inassouvi ou que tout simplement l’attitude « bourgeoise un peu coincée » l’avait séduite. Le mari avait été une conquête facile. Pour l’épouse, ils avaient choisi de louvoyer en lui proposant un amour saphique. En plus j’avais certainement parlé de la « libération » de mon épouse lorsqu’elle buvait un peu. C’est moi qui, d’une certaine façon, avais poussé ma propre femme dans leurs bras.
Le résultat était là. Sophie qui gouine sa maîtresse, agenouillée la tête entre les cuisses ouvertes, les fesses qui bougent doucement en accompagnement des douces caresses qu’elle procure. Mais elle ne peut ignorer qu’elles viennent de laisser un mâle en rut et excité par leur fellation. Un mâle dont les mains se posent avec douceur sur ses hanches. Est-ce qu’elle s’en rend compte ? Ou bien est-elle entièrement concentrée sur son doux labeur. Et si elle s’en rend compte, remarque-t-elle que la symétrie est parfaire, que cette symétrie indique que l’homme est derrière elle, dans un prolongement parfait.
Moi, je le vois. Luidgi dont le bâton est horizontal, tendu et luisant, les deux mains caressant les hanches pour descendre lentement sur les fesses… se glisser dessous dans un geste enveloppant… soulever ces lobes sans effort, le geste manifestement compris par la femelle… venir se rejoindre entre les cuisses… et… oui… le sursaut montre que Sophie est consciente, mais quelle femme ne le serait pas alors qu’une main vient se plaquer sur sa fente… plus que se plaquer si j’en juge par sa réaction qui se dégage des cuisses le temps de pousser un soupir qui ne peut être que de plaisir… une main dont je vois maintenant qu’elle s’active pour… probablement pousser un ou deux doigts dans la fente… ou chercher le clitoris… en tout cas pour apporter assez de plaisir pour que maintenant, régulièrement la femelle caressée se soulève et soupire son plaisir… soupirer et replonger… gronder et gémir… bouger ses fesses dans un mouvement obscène.
Luidgi fait un signe à sa femme et en même temps regarde ostensiblement vers le miroir. Gêna sourit, complice parfaite et soulevant la tête de mon épouse, la regarde dans les yeux en lui disant :
La garce n’hésite même pas. Le « oui » semble malheureusement la réponse à une envie que je peux comprendre, excitée, caressée, il faudrait que la femelle soit de bois pour ne pas avoir envie de plus, même si la possession n’est pas toujours le moment que ma femme préfère. Mais oui, je comprends… Le couple l’a doucement échauffée… d’abord la femme qui pendant deux mois a eu tout le loisir de lui prouver qu’il n’y a pas de règle, que les interdits peuvent, pire, doivent être oubliés, lorsqu’il s’agit de jouissance sexuelle. Ensuite l’arrivée de Luidgi. Probablement sous le sceau des confidences sa femme en a vanté les avantages et sa connaissance du corps des femmes et de la façon de leur apporter du plaisir…
Le sourire de ce salaud de Luidgi est sa victoire.
C’est le moment. Si je dois intervenir, c’est le moment. Après il sera trop tard.
Mais il est déjà trop tard. Même si j’entre en force dans leur chambre et que j’arrive avant qu’il la pénètre, dans mon inconscient et dans celui de Sophie c’est comme si c’était fait.
Et puis j’ai aussi en mémoire le « sermon » de cet enfoiré de Luidgi, avec son : « … tu te réduirais au niveau de ceux que tu condamnes… égotiste… malhonnêteté intellectuelle… »
Même si elle avait voulu revenir sur son accord, l’homme ne lui en laisse pas le temps. Il présente son engin, écarte les chairs roses qui doivent être humides, si ce n’est de l’envie, au moins de ce que sa maîtresse a déclenché tout à l’heure. Il présente et avance. Avance lentement. Il a conscience, je suis bien placé pour le savoir, qu’il est bien « monté » et qu’il doit faire attention laissant le temps aux chairs de se relâcher, de se détendre pour le laisser passer.
Il est passé ! Déjà son ventre est contre les fesses. La femelle est prise. Possédée. Envahie. Pour l’instant, elle semble figée dans une posture attentive, mais je vois bien que sans avoir l’air d’y toucher, la croupe bouge un peu. J’imagine que petit à petit elle prend conscience de ce qui est en elle. Oui, c’est évident maintenant, elle teste, compare, apprécie peut-être. Je suis un peu jaloux. Certains ont plus de chances que d’autres. Mieux équipé ! Épouse délurée !
Salaud. L’enfoiré lève le pouce dans ma direction. Mais s’il me provoque, il pense aussi à son plaisir.
Il la baise. Impossible de le nier. Mouvements amples. Rythme changeant. Alternant les va-et-vient presque brutaux avec des moments plus doux et des caresses sur la croupe. Gêna n’est pas en reste. Je ne sais si ma femme continue de la lécher ou est entièrement « prise » dans cette baise d’enfer, mais sa maîtresse, pas rancunière, s’est emparée de ses seins.
Mari et femme jouent avec la mienne. Sophie s’est redressée dans une levrette plus classique si ce n’est qu’elle est le centre de ce couple, pervers peut-être, mais en tout cas pas avare de plaisir procuré.
Elle gémit. J’entends des « Oui ! Oui ! » qui sont pour elle le comble de ce qu’elle est capable de dire dans ces moments-là. J’ai encore en mémoire les mots de son « désormais amant » : Sophie n’est pas très expressive, mais cela viendra, Gêna va lui apprendre…
Apprendre. Enseigner. Éduquer. Former. Pourquoi pas ?
La salope. Non seulement elle se laisse posséder et caresser, mais en plus elle se caresse elle-même le clito.
Combien de temps dure ce moment ? Je ne sais pas. Il ne faut pas compter en « temps », mais en nombre de fois où ma femme jouit. Difficile de compter. Les jouissances de femmes ne sont pas toujours soulignées par des cris, encore moins pour Sophie. Mais il y a des jouissances plus discrètes… Je ne suis pas aussi expert que le couple, mais tout de même.
Luidgi aussi est emporté par ses sens. On voit bien qu’il n’est pas loin de se libérer. Chérie, as-tu conscience que c’est la première fois qu’un autre que moi va se vider en toi, qu’il va t’offrir sa semence, son foutre gras et généreux ?
Gêna comprend. Complice attentive des deux autres, mari et maîtresse :
C’est elle qui entraîne Sophie manifestement dépassée par les évènements. Les deux femmes se retrouvent comme tout à l’heure en face d’un dard qui scintille de mille feux. Salive et jus de femelle font un mélange détonnant.
Gêna s’empare du mandrin :
La suite est des plus « sexe » . Une main branle le bâton gluant tout en le guidant vers une gorge hésitante. Sophie ne peut ignorer ce qui va se passer. Placée ainsi, sa gorge est destinée à recueillir la liqueur d’amour. Juste une fois et quasiment par surprise j’ai craché dans sa gorge et ses protestations me restent encore aux oreilles au point que je n’ai jamais osé recommencer. C’était il y a… une éternité…
Si elle voulait refuser, probablement que son amour-propre l’emporte. Elle aurait paru bien idiote après ce qui venait de se passer. De toute façon la main de Luidgi qui appuie sur sa tête ne lui laisse pas le choix. Le couple a perdu de sa délicatesse ! Autant faire d’une pierre deux coups ! Ils savent que c’est un des reproches que je fais à ma femme de ne pas accepter ma semence.
Il jouit. Sa crispation en est la démonstration. Quelques secondes où j’imagine les jets gluants inonder la bouche de Sophie. Pourtant lèvres serrées, elle les accueille. J’en vois la preuve dans son regard étonné et au pincement de ses narines.
Gêna continue encore de branler son homme, comme pour en extraire la dernière goutte.
Plus rien ne retient Sophie. Il lui faut encore quelques secondes pour réaliser qu’elle est libre. Je ne dois pas me mentir, elle n’a pas été vraiment forcée. Il lui suffisait d’un geste pour que le couple la libère. C’est plus par orgueil de ne pas faiblir, à moins qu’elle veuille vraiment essayer… Qui pourrait le dire ? Elle ? Même elle ne sait pas vraiment.
La tige glisse de ses lèvres. Sa bouche se referme sur ce que je sais une belle dose de crème. Elle semble hésiter. Et puis, fermant les yeux, elle déglutit.
Le sourire des deux prédateurs m’est destiné. Il est chargé de perversité :
« Tu vois ça été facile. Ce n’est que le début. On va te la rendre bien coquine ta petite sainte-nitouche de Sophie ».
Mais le pire arrive. Je vois Gêna sortir un mouchoir d’une boîte et le donner à ma femme.
Inutile de préciser quoi. Et elle continue :
Sophie se lève. Elle se place face au miroir. J’ai l’impression que ses yeux vrillent les miens. Mais ce sont ses lèvres qu’elle regarde. Ce sont ses lèvres qu’elle essuie, recueillant le foutre de son amant qui s’est échappé, coulures infâmes d’une fellation menée à son terme…
Infâme !
Infâme toi-même ! Cela ne te dérange pas de te vider dans la gorge de ta maîtresse et de la regarder avec délectation avaler ton foutre qu’elle brasse avec sa langue avec perversité pour bien t’exciter afin que tu rebandes et qu’elle puisse monter sur ton gourdin ragaillardi. Et que dire lorsque c’est à toi que Luidgi propose sa liqueur. Tu en connais le goût. Tu en apprécies la quantité, de la même façon que lorsque c’est dans ton cul qu’il se répand.
Alors pas de morale, s’il te plaît !
Souviens-toi il y a deux jours, tu poussais ta femme dans les bras de ton cousin pour qu’il la baise et que cela te serve d’excuse pour aller voir ailleurs.
Alors pas de leçon à donner…
Qui a dit que la conscience est une petite voix qui se rappelle votre bon souvenir ? Moi, elle hurle sous mon crâne…
Et pendant ce temps, ma femme essaye de remettre un peu d’ordre dans sa chevelure après avoir avalé pour la première fois… Elle sourit. Elle se sourit.
Elle est belle. Ses yeux brillent. Son visage est brillant. Reste de transpiration. Preuve de plaisir.
Je vois ses seins. Je vois son ventre, son pubis et… elle me tourne le dos… je vois ses fesses, sa chute de rein.
Qu’elle est belle !
Je t’aime ma chérie. Je t’aime tant. Je t’ai trompée. J’ai essayé de te manipuler. J’ai honte.
Mais je te vois rejoindre tes amis, tes amants, ce couple de prédateurs.
Tu es tombée dans leur piège, dans leurs griffes. Un peu comme moi… Savais-tu que j’aime ? Non, tu ne le sais pas… Pas encore… Mais d’ici quelque temps, ils auront fait de toi une initiée et tu comprendras…
Le temps me tarde déjà.
Je te vois enlacée par des bras qui t’enveloppent…
Merde. Il va falloir que j’attende une semaine pour voir la suite.