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n° 19282Fiche technique89888 caractères89888
Temps de lecture estimé : 52 mn
02/11/19
corrigé 05/06/21
Résumé:  Jean est fasciné par sa belle-sœur. Une occasion va le faire craquer. Mais cette faiblesse va le mettre face à une réalité qu'il n'imaginait pas.
Critères:  fh fhh alliance vacances piscine vengeance fellation pénétratio fsodo jouet sm attache yeuxbandés confession
Auteur : Faustine      
Le jour et la nuit !

Remarques :


Je (Faustine : Lui) propose deux récits sur le site avec les titres suivants : « Le jour et la nuit » et « Petite culotte ». Récits que je vous encourage à lire, peut-être pas l’un derrière l’autre, mais avec un temps entre eux afin d’éviter le risque de trouver des répétitions. Répétitions bien naturelles, car ils parlent de situations assez proches. J’ai glissé dans ces récits beaucoup de mes souvenirs de jeunesse et évidemment des plus récents. Mais j’imagine qu’un lecteur s’en fout de ma jeunesse, sauf qu’elle est ce qui m’a construit et donc m’amène à vous parler aujourd’hui.


Le sujet est que, beaucoup d’hommes de ma génération, ont gardé une image archaïque du couple, de la femme, alors que le monde change et que ces femmes, nos mères, nos épouses se sont battues et se battent encore pour l’égalité. Et il en est une que nous leur refusons, la preuve :

Un mari, cocufie sa femme, c’est un coup de canif dans le contrat.

Une femme cocufie son mari, c’est une honte. À la rigueur si c’est par amour qu’elle cède à un amant, de petites circonstances atténuantes peuvent lui être attribuées. Mais si c’est pour le sexe, la baise, le cul, alors on change de dimensions. C’est une traînée, une garce, une salope, une pute. Bien entendu, chers lecteurs vous êtes comme moi, cela ne peut pas vous arriver. Vous et moi apportons au lit tout ce dont notre femme a besoin… C’est bien connu… Mais parfois elle ne le sait pas… L’ingrate !


Un des deux récits est proche, très proche de ma réalité. Lequel d’après vous ? Les gagnants auront droit à… à… ma considération.


Excusez aussi la longueur inhabituelle de ce récit, mais il le fallait pour être compréhensible.




***********




« Le jour et la nuit « . Ne prenez pas cette expression comme « La lumière et les ténèbres » ou bien « La beauté et la laideur » ou je ne sais quoi d’autre de désobligeant. Non, moi je veux dire que ma femme, Sophie et sa sœur, Lyse, sont très différentes au point qu’on pourrait douter du géniteur, mais des ressemblances attestent de leur vrai lien de sang.


Sophie est une belle femme, brune, 1,65 m, des rondeurs aux bons endroits et lorsque je l’ai connue un visage qui ne reflétait pas son âge réel au point que souvent on lui demandait une pièce d’identité pour certains films et boîtes de nuit. C’est certainement cela qui lui a fait prendre au fil des années une attitude assez « sèche » et un maintien qui chasse la contestation. Mais aussi un peu le reflet de l’éducation familiale, surtout côté « mère ». Elle s’est plongée dans son travail après avoir brillamment réussi ses études et est maintenant en responsabilité dans une grande administration.


Lyse, c’est différent. Blonde, 1,75 m, de belles rondeurs aussi, mais avec une beauté assumée et non pas dissimulée comme sa sœur. Manifestement, reconnue comme la chouchoute de son père, ce que sa sœur lui rappelle parfois, elle a été préservée de l’éducation rigoriste de sa mère. Lyse s’est plus investie dans la vie que dans les études, mais elle s’est découvert un vrai don pour le métier d’esthéticienne. Elle est la preuve vivante de son art. Elle aussi est mariée. Ils vivent dans le midi ! Nous vivons à Paris.

Les sœurs se rencontrent lors de réunions familiales. Parfois nous nous voyons lorsqu’elle monte à Paris pour un salon ou avec Louis, son mari. Nous sommes passés les voir dans leur nouvelle maison, maison du sud avec piscine.


Dire que Lyse exerce une fascination sur moi serait exagéré, mais il est vrai que lorsqu’elle est dans la même pièce que moi, je me surprends à la regarder. Toujours bien maquillée, toujours bien habillée, toujours beaucoup de bijoux et cela avec une élégance innée. Son décolleté est profond… Ce n’est pas de la provocation ou un manque de retenue, non, juste montrer ce qui est beau ! Sa jupe est courte et on peut voir sa petite culotte lorsqu’elle est assise dans un fauteuil ! Oui, mais les jambes sont lisses, bronzées et les cuisses ne s’entrouvrent que l’espace d’un changement de position.

Mais jamais je n’ai eu le moindre geste équivoque. D’ailleurs je me demande si elle l’aurait pris pour une tentative d’approche. Je sais, car je l’ai entendu dire une fois à ma femme, que je la protégeais, que j’étais un homme droit, que j’étais un rempart contre ce qui pourrait perturber ma famille. Un Saint, donc… pas un beau-frère paillard ou peloteur !


Mais récemment Lyse s’est séparée de son mari et ma femme m’a demandé si cela ne me dérangeait pas qu’elle vienne avec son fils passer quelque temps à la maison, le temps de se retourner. J’ai bien entendu accepté. Les deux cousins s’entendent bien, Lyse fait sa part de travail pour aider. Elle a aussi trouvé très vite un CDD pour s’occuper. On a vécu plusieurs semaines ensemble. Elle était moins en « représentation », mais cependant toujours pimpante avec une habitude que je ne trouvais pas désagréable de se promener légèrement vêtue, au point que Sophie devait lui rappeler qu’il y avait des enfants. Enfin j’imagine que c’était aussi pour me préserver, moi le Saint homme. Lyse lui répondait que son fils était habitué, que souvent ils étaient nus chez eux et que comme ils fréquentaient les endroits naturistes la nudité était naturelle.


Mais, après avoir insisté, j’ai aussi appris pourquoi Lyse était partie de chez elle. Sophie était réticente à me l’avouer, car elle devait être « choquée » de cette situation. Louis le mari de Lyse s’est révélé très vite un adepte du candaulisme, c’est-à-dire aimant regarder sa femme avec un autre homme. Manifestement cela n’a pas déplu à Lyse, car cela dure depuis des années et même, si j’ai bien compris entre les lignes, le couple s’échange parfois. Bref Lyse et Louis sont des libertins. Pourtant il semblerait que Louis ait voulu « monter en puissance » et proposer des choses plus fortes à Lyse, choses qu’elle a refusées et qui lui auraient fait prendre conscience que son mari ne la voyait plus comme une épouse qu’il aimait, mais uniquement comme une partenaire complice de ses jeux.


Dire que cette révélation m’a étonné ? Pas vraiment. Pourtant jamais rien n’avait pu le faire penser par leur comportement. Juste une complicité évidente. Mais aussi une fois lors d’une rencontre familiale chez les parents alors que tous nous faisions une longue promenade en forêt, Louis et Lyse avaient prétexté, je ne sais quoi, pour très vite rentrer. Moi j’ai dû aussi revenir avant les autres, car je devais téléphoner et cela ne passait pas en campagne. Ils étaient dans leur chambre et faisaient l’amour. Baise bruyante avec Louis qui lui parlait du genre « T’aimes ça, salope. T’aimes bien quand il te ramone. T’inquiète, il t’attend à la maison. Tu vas en voir de toutes les couleurs » . Et Lyse n’était pas en reste. Les salauds m’avaient fait bander et dans cette maison aux murs de papiers il n’était pas question, si ce n’était dans un silence complet de faire l’amour à sa femme. Même le lit qui grinçait aurait prévenu toute la maison que papa jouait avec maman. Sur le coup j’ai pris le « » IL » comme le sexe de Louis, mais à la lumière de ce que je sais maintenant le « » IL » devait être un amant qu’elle allait retrouver chez eux.


Bref, si mon regard avait changé, je n’en restais pas moins le beau-frère et ne cherchais pas à lui offrir un « IL » de rechange le temps de son séjour.

Mais le couple semblait vouloir se reformer. Il était monté à Paris, avait dû savoir la convaincre de revenir, mais même des libertins font au mieux pour leur enfant et ils décident d’attendre les vacances d’été pour ne pas perturber encore la scolarité de leur fils. Heureusement, c’est une question de semaines. Par contre Louis a prévu de faire le tour de ses clients en Europe et ne sera pas chez eux pour accueillir son épouse.

Du coup, on est invités. Exceptionnellement, Sophie arrive à se libérer et moi, enseignant en primaire, je suis libre.


Une semaine délicieuse. Chaleur, soleil, piscine, repas bien arrosé de rosé. Je le souhaite à tout le monde. On passe son temps à se baigner. Il fait trop chaud pour aller se balader. J’ai tout le loisir de profiter de ma belle-sœur dont les maillots deux-pièces sont de minuscules morceaux de tissu. Mais Sophie ayant refusé de se baigner nue, de ne pas mettre de haut, a de fait imposé à sa sœur de faire comme elle. Alors elle ne pouvait pas « en plus » faire des remarques sur le mini de ses maillots. J’ai appris, au détour d’une conversation que la belle Lyse s’était fait refaire la poitrine pour redresser tout ça et gagner une taille, un bonnet comme elles ont dit.


Demain on a prévu de partir pour remonter à Paris, mais par le chemin des écoliers, Lubéron puis Bourgogne. Soleil et terroir. Sophie et moi on a besoin de nous retrouver un peu. La présence de sa sœur et de son fils a perturbé notre quotidien. Je me fais une joie de baiser ma femme. J’espère que les aveux de sa sœur vont lui avoir montré qu’on peut envisager autre chose. Oh, je ne pense pas au partage, inviter un autre homme, mais juste un peu plus de fantaisie. Des baises dans la nature. Je rêve de posséder ma femme contre un arbre, un peu comme on rencontre une prostituée. Je rêve aussi qu’on nous regarde, que des voyeurs, assez discrets pour que Sophie ne les remarque pas trop tôt, puissent profiter de cette excitation qui ne pourrait que me sublimer et j’espère ma femme aussi.

Sophie est partie avec les deux cousins pour leur faire prendre un train qui va les conduire chez les grands-parents. Ainsi les deux couples vont se retrouver sans progéniture. Je bande rien que de penser ce que Louis envisage comme retrouvailles avec sa femme. Moi, comme je l’ai dit mes souhaits sont plus raisonnables, dans l’ordre du possible si les confidences de la sœur ont « titillé » les sens de ma femme.



C’est la voix de Lyse. Alors que je glandais sur le transat, elle continuait de nager. J’avais espéré un instant que le départ de ma femme lui donnerait envie de se baigner nue, mais non.

Pourtant elle aurait dû, car lorsque j’arrive, elle est debout, à moitié sortie de l’eau sur les marches, et dans une position étrange. Je ne sais pas comment elle a fait, mais elle a réussi à s’accrocher collier et bracelet, le tout tirant sur une bretelle de son haut de maillot.



Je fais de mon mieux. J’arrive à dénouer ce joyeux méli-mélo et libérer la captive. Les bracelets se replacent d’un mouvement du poignet… La bretelle reprend sa place de soutien de cette poitrine que je vois par-dessus les épaules. J’aide à replacer le collier en soulevant la longue chevelure qui ruisselle.

Mais je ne sais pas ce qui me prend. Je me penche vers la nuque et le cou libre de toute protection. Mes lèvres goûtent à la peau humide, glissent sous l’oreille.



Pas de la colère, mais une vraie interrogation. Son visage est encore mouillé, mais son regard perçant. Elle est plus basse que moi et c’est probablement la raison qui fait qu’elle remarque ce dont je n’avais pas conscience.



C’est de mon maillot qu’elle parle. Un maillot déformé par une trique d’enfer. En suivant son regard, je constate mon érection. Mon sexe, coincé dans le tissu ajusté, j’ai horreur de ces maillots-short, n’a pas réussi a forcé la puissance de l’élastique et a « poussé » de côté.



Que dire d’autre ? Impossible de me cacher, mon maillot est littéralement en face de son visage. Je ne vais tout de même pas me tourner en ridicule en plaçant mes mains devant l’objet du délit. J’entame une remontée pour m’éloigner.



Que répondre ? Je ne vais tout de même chercher une excuse ridicule. Merde, mec, assume !



Elle semble hésiter. Et puis :



Elle rit. Et puis :



Elle monte la marche qui la rapproche. Ses mains viennent vers moi, se posent sur mes hanches, attrapent l’élastique et en vrai « pro » soulève largement le slip afin qu’il ne frotte pas ma bite et puisse descendre. Le slip enlevé, ma queue s’est un peu relâchée, mais elle s’en saisit. La réponse est automatique, le sang se précipite et la tige regonfle.



Le « oui » est encore plus puissant que sa caresse. Je l’imagine…



Elle m’entraîne. Elle me montre un transat. Je m’allonge sans un mot. En quelques secondes, elle défait son maillot. Sa poitrine est superbe, presque uniformément bronzée, preuve que dès que nous ne la voyons pas elle se met seins nus. Pareil pour une trace légère du slip qui sert de faire valoir aux délicieuses bosses qui marquent une fente rose.


Elle s’installe vers moi. Ses lèvres me trouvent. Mon gland puis ma tige, puis mes bourses. Lèvres, langue, mains sont des outils parfaitement au point pour sucer un homme. Combien de fois, combien de bites, cette gorge a-t-elle déjà goûté. Elle sait y faire. Même le regard qu’elle m’adresse est chargé de sensualité.

C’est bon. Putain que c’est bon. Sophie malgré mes demandes et bien qu’elle ait fait des progrès ces derniers temps est loin de savoir pomper et me gober ainsi. Même le bruit de la salive est plus fort.

Mais Lyse se redresse. Elle vient sur moi.



Ne vous dispersez pas ! Traduisez : ne baisez pas ailleurs !

Elle n’attend même pas ma réponse qu’elle se place sur ma queue et que mon gland repousse des chairs qu’il trouve bien humides et déjà gagnées à sa cause. Elle se pose doucement.



Voilà, elle est assise sur mes cuisses.



Merde, je suis si transparent que même Sophie a remarqué mon trouble… Au point de penser que… Il faut que je fasse attention… De toute façon on part demain et je lancerai quelques remarques bien senties sur sa sœur pour la rassurer. En attendant…

En attendant ! Oui en attendant ma cavalière se baise sur ma bite. C’est vrai que je suis dur la plupart du temps. Sophie, en effet, ne doit pas se rendre compte de ma virilité et de ce qui la matérialise. Elle était vierge lorsque je l’ai connue et je ne la vois pas avec un autre. Faut-il le regretter ? Dois-je regretter qu’elle n’ait pas de comparaison ?

La poitrine est d’une fermeté à toute épreuve. Elle se balance au rythme de la cavalière. Les tétons sont sensibles à mes caresses. Lyse me guide : « Oui, tords-les… Plus fort… J’aime ça ».


Elle me guide et parle, commente. Sa voix est différente, plus rauque, un peu comme… non, oublions cette comparaison. Ses mouvements me chauffent les reins. J’ai envie de plus, de différent, de…

Je renverse ma cavalière et la fais allonger à ma place. Maintenant c’est moi qui la possède. Ses jambes m’emprisonnent, mais j’ai encore assez de liberté de mouvement pour bien la bourrer. Elle apprécie que ma queue sorte totalement pour mieux replonger jusqu’à ce que mon gland heurte le fond de sa chatte alors que mon ventre claque sur son ventre.

Elle jouit. Son feulement est une vraie satisfaction. Inconsciemment je devais redouter de ne pas être à la hauteur de cette femelle si expérimentée et que tant d’hommes ont dû faire jouir avant moi grâce à un mari généreux. Mais ses petits cris ne sont pas feints et son jus vient annoncer à mon mandrin qu’il est efficace.

Bon prince, histoire de montrer que sa sœur n’est pas à plaindre, je la bourre encore un bon moment avant de me libérer bien au fond du vagin, maintenant gras de nos liqueurs.

J’ai réalisé mon fantasme. Inutile de me cacher derrière mon petit doigt, le trouble que déclenchait Lyse sur moi, autant que d’une femme c’est la sœur de ma femme. L’impression d’avoir fait « le tour » de la famille.



Je me fais le plus léger possible, mais je n’ai pas envie de quitter la chaleur et l’humidité de son nid douillet. J’y suis si bien que si j’ai faibli un instant je sens que ma vigueur revient. Cela ne m’est plus arrivé depuis des années, du moins avec Sophie. D’ailleurs je pense qu’elle ne serait pas « preneuse » pour une deuxième fois. Souvent alors que je l’ai longuement léchée et que les vibrations du gode l’ont fait jouir au point que son clito en devient trop sensible, elle sauterait bien la partie où je la baise et que je la secoue avec vigueur avant de cracher mon foutre. Mais, il m’est arrivé, trois fois depuis mon mariage, d’aller voir ailleurs et ma partenaire, à chaque fois avait apprécié de déclencher autant d’envie.

Ma belle-sœur, maîtresse d’un instant remarque mon nouvel hommage.



Monsieur Archimède avait-il testé son principe dans l’eau avec une femme ? À moins qu’il l’ait fait avec un homme, ce qui n’était pas un péché à l’époque. En tout cas, tout corps en particulier celui de Lyse, plongé dans l’eau déplace un volume… si bien qu’elle est si légère que de venir s’enchâsser sur mon vit avec juste ses jambes autour de mes hanches ne demande pas beaucoup d’effort. Elle est si légère que d’une pichenette de mes mains sous ses fesses, elle monte pour mieux redescendre sur ma bite devenue bitte d’amarrage.

Qu’elle est belle ainsi, sans pudeur, affichant son plaisir comme certaines montrent de la retenue…

Qu’elle est souple, se laissant partir en arrière pour se caler dans l’angle de la piscine, se retenant à la margelle et me laissant l’initiative de la posséder. Je déclenche des vaguelettes qui sont autant de vagues de plaisir !

Elle offre son visage au soleil.

Elle s’offre à moi.


La téléréalité et même le film célèbre de « La piscine » avec ses deux acteurs sublimes ne sont rien comparés à ce que je vis. Et probablement qui si des gens nous regardaient, ils sentiraient la puissance de cet instant.

Je pourrais durer des heures. Je veux que ma belle-sœur garde le souvenir de cet instant, baisée par son beau-frère, cet homme si réservé, si gardien du temple de sa famille. Ma famille est loin, plongé que je suis dans le stupre de l’adultère. Et quel adultère !

Mais Lyse bouge. Elle me quitte. Elle avance vers moi.



Je ne comprends pas ce qu’elle dit, mais elle s’éloigne pour pouvoir se pencher tout en ayant pied. Pas le temps de réfléchir, je dois agir… D’autant qu’elle accompagne sa cambrure par un :



J’encule ma belle-sœur. Bien sûr, je pourrais écrire « J’encule la femme », mais « ma belle-sœur » donne une touche de perversité à celle déjà présente par la sodomie. Son anus a peut-être perdu l’habitude de recevoir des visites, mais il a de beaux restes. J’entre facilement. Elle ne proteste pas, et on peut traduire ses gémissements qui accompagnent ma progression pour des encouragements.

Ma tige est au plus profond. Dans un geste qui me surprend moi-même, j’attrape sa longue chevelure et m’en sers comme d’un point d’ancrage.

Et je la bourre !

Et je la ramone !

Et je la pistonne !

Cela dure des minutes, suivies d’autres. Lyse faiblit. Je sens ses jambes fléchir. Je suis un homme heureux. J’abandonne sa chevelure pour agripper ses hanches et la maintenir à flot. Elle coule dans un océan de plaisir. Mon Dieu, que c’est bon de pouvoir conduire une femme à tant de bonheur.



**********




Nous reprenons des forces sur nos transats respectifs et cette question me brûlait les lèvres depuis que nous étions sortis de la piscine. Comment Lyse a-t-elle pu imaginer ça ? Je suis bien placé pour savoir que ma femme n’aime pas ça. Malgré mes tentatives, elle n’a jamais voulu aller plus loin qu’un doigt et encore uniquement pour me faire plaisir.



Je ris de notre conversation. J’ai l’impression de passer un examen devant une reine du porno.



Je n’ai aucune idée de ce dont elle parle. Nous avons en tout et pour tout, deux jouets, ceux dans ma table de nuit. Je voulais acheter d’autres accessoires, mais Sophie n’a pas voulu : « Pas la peine de ces trucs. Le vibro nous suffit », a-t-elle dit et ajoutant tout en se faisant câline : « mon Chérin tu es un si bon amant ! »



Que dire d’autre sans paraître ridicule et totalement dépassé par les évènements.




**********



Sophie est revenue toute guillerette. Elle avait fait des achats et se réjouissait de notre départ en amoureux demain. Lyse et moi avons été de parfaits hypocrites. Surtout moi qui avais deux secrets sur la conscience.

Sophie est si contente que dès que nous nous retrouvons seuls dans la chambre, elle se fait mutine. Je ne suis pas très motivé, mais elle insiste et sa fellation est une des plus belles qu’elle ne m’ait jamais faite.



Cela ne manque pas de sel ! Le nombre de fois où c’est moi qui ai pensé la même chose d’elle, mais sans en faire la remarque.



Un long silence. La chambre est dans une demi-pénombre, la clarté de la lune franchissant la large baie vitrée.



Elle hésite. Je sens sa respiration qui s’accélère. Et puis avec une voix chargée de repentir :



La garce, elle trouve le moyen d’utiliser ce qu’elle a vu pour minimiser ses parties de jambes en l’air. Mais, Chère Garce de Sophie, ma coucherie avec ta sœur a été bien plus qu’une baise. Eh oui, c’est par elle que je sais que…



Manifestement son soulagement est évident. Elle pense s’en sortir ainsi, mais j’en sais bien plus que je n’ai dit.



Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire…



Elle en bégaie. La terre se dérobe sous ses pieds. Mais dans un bond elle se lève pour s’emparer du téléphone qu’elle a laissé en charge, passe sur le balcon et va pour le jeter dans la piscine qui est à quelques mètres.



Je prends mon smartphone et en quelques pressions et glissements je lance une vidéo.

La chambre se remplit de la voix d’un homme. Une voix brutale, ignoble de celui qui baise une femme à genoux, les mains attachées dans le dos. Il lui claque les fesses en lui lançant des « T’aimes ça hein, petite cochonne. Tiens prends ça… Et ça… » On entend aussi les cris de la femme qui résonnent dans une pièce qui semble être un bureau. Manifestement c’est l’homme qui filme en même temps, car l’image bouge.



Mais Sophie ne bouge pas. Elle est tétanisée, le bras toujours en l’air, le téléphone dans sa main prêt à être jeté.



« Tu veux que je te prenne par le cul ? Hein ! Dis-moi, je veux t’entendre. »


La demande est toujours accompagnée par des claques et de grands coups de reins qui propulsent la bite du mec dans la fente.


« Oui, encule-moi… Ahhh… J’ai envie… »


L’homme ne se le fait pas dire deux fois. Il filme sa bite qui ressort gluante de la grotte pour la placer contre l’œillet et pousse dans la foulée. Il pousse et le soupir de la femelle accompagne la progression de l’engin qui disparaît bien vite. Commence alors l’enculade…

J’arrête la lecture de la vidéo.



La garce. Prise le doigt dans le pot de confiture, elle continue de nier.



Celle-ci, elle ne peut nier. Son amant la filme alors qu’elle le suce et qu’il lui enfile son mandrin si profond qu’elle tousse et pleure.



J’ai élevé la voix. C’est si rare qu’elle comprend que ma patience est à bout.



Elle obéit.



Sa voix prend un ton pleurnichard.



Encore une fois j’ai élevé le ton.



Je sens une colère monter en moi.



Je me lève totalement emporté par la colère. Je m’approche d’elle, la fais lever en tirant sans ménagement sur un bras. Elle est debout devant moi, toute penaude, ne sachant quoi faire. Elle paraît sans défense, presque nue avec juste cette nuisette.



J’arrache la nuisette. Elle est si fine que je me retrouve avec un haillon dans la main. Je pousse Sophie, je la fais tourner :



J’enveloppe ses poignets dans le dos avec le tissu et le referme sans ménagement par un nœud qui l’entrave.



Je fais allusion à une vidéo où il l’a attachée sur le bureau et se fait sucer avant de la posséder. Je la pousse. Elle bascule sans ménagement sur le dossier, la tête contre le siège.



Je tape ses fesses. Je m’attendais à des cris, mais elle se mord les lèvres.



Elle ne dit rien. Il me faut un moment de branlette pour que je devienne dur. J’approche mon sexe de sa raie. Je place mon gland contre son œillet. Elle frémit.



C’est comme un cri qui me réveille. En une seconde, je réalise ce que je suis sur le point de faire. Un viol. Oui, un viol, même s’il est familial, mais un viol tout de même. Personne ne peut croire que Sophie est consentante. C’est juste moi qui cherche… Non, je ne suis pas comme ça…

Je l’aide à se relever. Sans un mot je la libère de ses liens. Je veux m’excuser, mais les mots ne sortent pas de mes lèvres. Elle part dans la salle de bain. Revient quelques minutes plus tard et alors que moi je me suis assis dans le fauteuil, va se glisser sous les draps s’en servant comme d’une protection.



Ma question la surprend, mais elle répond tout de même.



Le mot est lancé. Cet homme a fait de ma femme une chienne qui se soumet à tous ses désirs.



Elle ne répond pas. D’ailleurs que pourrait-elle dire pour s’excuser ? C’est inexcusable.

Et puis une idée me vient :



Elle prend l’appareil et le parcourt.



Elle me tend l’appareil. Le numéro est affiché. Je me fais aussitôt un SMS pour le copier et puis je l’utilise pour contacter la femme.



**********



« Madame, vous ne me connaissez pas, mais j’ai découvert que votre mari est l’amant de ma femme. Je ne connais pas vos relations, mais je vais vous envoyer une série de fichiers qui apporteront la preuve de ce que j’avance. »


Et puis dans les minutes qui suivent, je balance un à un les fichiers de photos et de vidéos.


J’explique à Sophie ce que je fais.



De longues minutes passent.

Déjà, on ne se refait pas, je commence à organiser notre séparation. J’ai toujours été comme cela, planificateur, organisant tout dans les moindres détails, mais là c’est ma vie que je transforme. Garde d’enfant, partage d’appartement, pension alimentaire. Le plus drôle, c’est que Sophie gagne plus que moi et je vais me faire un plaisir de me faire entretenir.


Un SMS s’annonce. Numéro inconnu dans mes contacts, mais le libellé me le fait identifier comme venant de l’amant :


« Salaud. Cocu répugnant qui se venge en balançant à ma femme. Tu es content de ce que tu as fait ? »


Ni une ni deux je réponds :


« Cocu, sûrement, mais il ne fallait pas t’en prendre à une femme mariée et encore moins à la mienne. »


Mais l’enfoiré me balance :


« Ce n’est pas de ma faute si tu n’arrives pas à satisfaire ta pute de femme. Avec moi, elle jouissait. Tu as dû voir qu’elle en redemandait. Une chaudasse qui se cachait sous des airs de bourgeoise guindée. De toute façon si ce n’est pas moi cela aurait été un autre à la façon dont elle allumait tous les mecs du cours. Demande-lui de te raconter notre dernière séance où elle m’avait demandé d’inviter d’autres mecs. Elle avait envie de se faire remplir par tous les trous. Il faut que tu la surveilles mieux si tu veux pouvoir passer sous les portes. Petite bite. Impuissant ! »


Cet enfoiré me met le doute. Je vérifie. Aucune vidéo avec d’autres que lui. Je vérifie les dates. Il y a bien une vidéo datée de fin juin, date qui correspond à la fin des cours de Tai-chi, mais ils sont seuls. Donc il raconte des craques pour foutre encore plus la merde. Le fumier. Mais il va voir.


Je lance un nouveau message, mais cette fois-ci adressé à sa femme :


« Chère Madame. Nous sommes les dindons de cette farce que nos conjoints nous ont jouée. Je ne sais pas pour vous, mais moi j’ai une envie de vengeance à la mesure de mon cocufiage et surtout de la façon dont cela s’est passé. Peut-être que vous aussi. Si c’est le cas, que pensez-vous si nous rendions la monnaie en nous retrouvant ? Je sais que c’est une invitation bien étrange, mais pourquoi ne pas leur montrer que leurs conjoints savent aussi passer un bon moment… à leurs dépens. Je vous laisse le soin de me contacter si mon idée vous séduit. »


Il suffit de seulement deux minutes pour que je reçoive la réponse :


« Excellente idée. Je suis d’accord avec vous, l’offense mérite réparation et quoi de mieux que de leur montrer que vous et moi pouvons aussi inventer des jeux qui méritent d’être filmés. Je suis en vacances et je vous contacte dès mon retour. »


« Alors je suis impatient de vous lire et surtout de vous rencontrer. Jean. »


Je fais lire les échanges à Sophie. Elle blêmit de ce qu’écrit son amant, cherche à se défendre. Je la laisse mariner. Mais à la lecture des messages avec la femme, elle fait une remarque qui me surprend et qui, ma foi, est assez juste.



Elle se cale dans son lit. Je l’entends pleurer. De gros sanglots.



Non, je ne peux pas. Je ne veux pas. Je risque de me faire attendrir.



**********




Lyse me surprend à demi ensommeillé.



Alors je lui raconte. Elle est tellement sidérée qu’elle n’y croit pas. Il faut que je lui montre ce que j’ai transféré sur mon téléphone.



D’autres photos et extraits de vidéos lui apportent la preuve. Les échanges avec l’amant lui confirment.



Je la rassure autant que je me rassure en évoquant les dates qui ne concordent pas. Manifestement l’homme a voulu semer le trouble en parlant de ce scénario. Mais sûrement qu’il était déjà dans ce projet et… Oh mon Dieu… Sophie n’aurait pas été jusque-là…



Étrangement Lyse défend sa sœur. Non pas pour ce qu’elle a fait, mais pour tout le reste. Notre vie commune, notre fils.



Nous n’avons pas entendu Sophie arriver. C’est Lyse qui répond.



Sophie me regarde.



Des larmes coulent sur ses joues. Alors Lyse prend sa sœur dans ses bras.



Voilà maintenant que j’obéis à ma belle-sœur.


La matinée et le début d’après-midi sont tranquilles. Je veux dire que les femmes sont en ville, mais que si je suis avachi sur un transat, mon cerveau est en ébullition. En plus je me découvre des érections lorsque je revois les photos et les vidéos que je n’ai pas vraiment eu le temps de « déguster » .

La salope. Elle aurait pu tourner dans un film de cul. Je la vois, bien habillée class comme lorsqu’elle va bosser, petit tailleur ou ensemble pantalon, et se faire draguer par un homme, un collègue de travail. Alors, après quelques réticences et minauderies que je lui connais bien et si l’homme se révèle un peu brutal, la voir se transformer en chienne lubrique.


Ou mieux, plutôt je dois dire, ou pire, car c’est une réalité, l’imaginer dans sa chambre se préparer pour aller retrouver son amant. Se glisser le plug dans le cul après l’avoir longuement sucé, puis l’œuf vibrant dont l’homme doit avoir la commande par téléphone, continuer par un slip fendu et un soutien-gorge comme celui que j’aurais aimé lui offrir, mais que je n’ai jamais osé, de ces soutiens qui laissent le téton et le lobe supérieur bien visibles. Puis la voir se couvrir avec une tenue de sportive pour donner le change et partir après un « » Chéri, je pars. Je te SMS pour te dire quand je sors » . Mais le mari, c’est moi. En fermant la porte de notre maison, elle quitte déjà sa carapace d’épouse modèle. En montant dans la voiture de son amant, elle se change en femme infidèle. En refermant la porte du bureau où il l’emmène elle est devenue la garce vicieuse, la chienne lubrique, la soumise que pendant deux heures un homme va baiser et d’une façon que le spectateur découvrirait.


Heureusement lorsqu’elles reviennent j’ai retrouvé un peu de dignité d’autant que j’avais décidé de me baigner et de bronzer à poil.

On s’accorde les plaisirs que l’on peut !



Elle ne répond pas, mais enlève son maillot et s’allonge timidement à côté. Je ne peux m’empêcher de la regarder discrètement. Ses seins et son intimité sont d’une blancheur qui tranche sur le reste dont le « caramel » est du plus bel effet. Cela lui donne un air de femme sage, prude même, ce qu’elle est normalement sauf dans ces moments que la caméra a conservés pour toujours. Conservé et imprimé dans mon cerveau de façon indélébile.



C’est elle qui me parle. Devant mon air interrogateur, elle me montre des yeux que je bande. Merde encore. Décidément !



Je ne termine pas ma phrase qu’elle semble la compléter.



Je ne réponds pas.



Dire oui est reconnaître qu’elle a raison. Pourtant c’est vrai, je n’ai pu m’empêcher de faire la comparaison entre celle qui est allongée à côté de moi et celle que j’ai vue. Elle continue :



Tout en parlant, elle se lève pour se pencher sur moi. Mon sexe est en phase descendante, mais dès que Sophie s’en empare il se redresse. Elle s’agenouille.

Je dois la repousser. Elle n’est plus mon épouse. Elle s’est donnée à un autre.

Mais le corps est plus fort que l’esprit. Mon gland est un traître qui cède à ces lèvres et cette langue qui le titille. Ma hampe une honte de se laisser manipuler et durcir par une main que je dois reconnaître douce et enveloppante. Et vous mes bourses, n’avez-vous pas de mémoire au point d’accepter que… Oh… une bouche se charge de vous gober.

Je suis trahi. Mon corps s’oublie. J’ai des frissons. Je crois même m’entendre laisser échapper un soupir… mais oui, plusieurs même…


En plus, on est témoin de ma faiblesse. Lyse qui est sortie de l’eau ne peut que voir le spectacle désolant que je montre. Je me laisse sucer par celle que j’ai condamnée et répudiée. Elle assiste à ma défaite. Elle approche sans bruit, la suceuse lui tournant le dos. Elle sourit. Le pouce levé veut me montrer qu’elle approuve et, pire, que je montre du plaisir.

Mais comment résister. Hier, c’est justement elle qui me pompait, aujourd’hui remplacée par ma femme.

Millimètre par millimètre les lèvres avancent. Elles rampent vicieusement le long de ma hampe avant de repartir pour revenir, pour revenir encore un peu plus, un peu plus à chaque fois. Le regard que je croise, levé vers moi n’est pas celui d’une femme suppliante, mais celui d’une femelle qui apprécie.


Oui, ma femme apprécie de me pomper. Rien à voir avec ses yeux baissés comme avant, quoique depuis quelque temps, et je sais maintenant pourquoi, elle paraissait plus gourmande.

Gourmande et cochonne. La salive qu’elle laisse échapper déclenche un bruissement que je ne connaissais pas ou plus exactement que j’avais entendu dans les films de cul et que je croyais amplifié pour l’auditeur. Mais non, c’est bien comme ça !

Elle s’active. C’est excitant. Elle me pompe et sa sœur nous regarde. Je rêvais d’un voyeur, j’ai une voyeuse et quelle voyeuse ! Elle sent que ma sève monte. Sa main me branle avec vigueur, mais elle devine que mon foutre va jaillir et elle couvre mon gland du chapeau de ses lèvres et guide ce que j’évacue avec des jets puissants dans sa gorge.

J’ai dû crier.


Lyse me fait un « chut » de la main, mais c’est pour retourner dans l’eau afin d’éviter de mettre sa sœur dans l’embarras. Belle attention !

Sophie se redresse. D’un doigt elle fait le tour de ses lèvres pour repousser discrètement ce qui a pu s’en échapper. Sur une vidéo je l’ai vue sucer un doigt recouvert du foutre de son amant avec une gourmandise affichée et une obscénité que je ne lui connaissais évidemment pas. Elle ne va pas jusqu’à le faire devant moi. Probablement que le mari doit encore être « épargné » de cette luxure.



Elle ne va pas jusqu’à demander si j’ai aimé. Je ne suis pas un cobaye sur lequel une femme teste sa dextérité. Je suis un mari. Un mari pour encore quelque temps. Un mari qui a bien le droit de profiter de… Mais c’est Sophie qui réagit la première.



C’est comme si elle disait qu’elle avait encore envie. Et moi donc, pourquoi ma bite refuse-t-elle de redevenir raisonnable. On la dirait branchée sur une chaîne porno…

Je me lève. Sophie me suit. La porte de la chambre refermée, elle veut se pendre à mon cou pour m’enlacer. Oh que non, je pense. Pas de familiarité. Pas de tendresse entre nous. C’est maintenant terminé. Tu as brisé le lien qui nous unissait. Il ne reste que le sexe et j’en veux ma part.


Je la pousse sans ménagement sur le lit. Je vais pour l’embrocher, mais je me retiens. Elle a déjà les cuisses ouvertes de femelle en chaleur. Je m’y plonge et je la lutine. Bien vite elle gémit. Bien vite elle vibre, pousse ma tête contre son intimité. « Oui, c’est bon… Mon Chéri, continue ». Elle va jouir, mais j’arrête pour venir placer ma bite et la posséder sans retenue. J’entre facilement, le chemin est gluant et sa grotte ouverte. Je l’attaque bien à fond. Ses jambes sont écartées et me laissent libre de m’activer sans frein. Elle gémit. Nos chairs se claquent. Je vois son visage. Il montre du plaisir, mais c’est loin de cette lueur dans le regard, les traits tirés, la bouche pincée, les cris que les vidéos montraient. Je veux l’entendre comme avec son amant. Merde, il ne sera pas dit que je ne peux pas faire pareil. Ses tétons m’attirent. J’en saisis un, le caresse, le tourne alors que je prends l’autre dans ma bouche. Sa respiration s’accélère et sans réfléchir je tords le téton en mordant l’autre. Elle crie. Elle crie, mais ne proteste pas. Alors je réalise vraiment ce qu’elle attend, ce dont elle a besoin. Je me redresse et commence à maltraiter sa poitrine, allant jusqu’à donner des claques sur les lobes qui se balancent. Son ventre vient à ma rencontre, elle ondule, elle gémit, expulse des « oui, oui » qui ont une tonalité que je ne connaissais pas.


Alors d’un coup de rein je me soulève. Sophie comprend aussitôt mon envie. Elle aussi se lève, se tourne et s’installe en levrette. La chienne se tortille. Elle mérite et… l’obtient. Ma première claque n’est qu’une caresse, mais dès la seconde je trouve le rythme. Il me semble entendre la voix de son amant alors qu’il la claquait. Moi aussi je peux le faire :



Ma queue est un mandrin qui la remplit. Petite bite, il avait écrit son amant dans l’espoir de me vexer. Il est mal tombé. À la mesure de la mienne, c’est lui qui en a une petite. Et moi aussi je sais m’en servir… Et ce petit trou qui m’attire le regard. Que mon pouce que je donne à sucer à la femelle qui ne peut que se douter de mon intention.

C’est fou, elle se tortille du cul à chaque fois que ma main tape sa fesse. Il m’en faudrait plusieurs, en tout cas plus de deux, car mon pouce ne veut plus quitter ce petit trou qui bouge pour lui. J’aimerais lui tirer les cheveux pour la faire cambrer un peu plus, lui tordre les seins, et…



Voilà, je l’encule. J’ai craché sur son œillet et mon gland a forcé le passage. L’anus a cédé après une résistance de principe. Deux fois en deux jours, il va prendre des habitudes, mon gland !

Finalement c’est assez facile de se glisser dans la peau de l’amant brutal. En tout cas les cris de ma salope de femme sont assez expressifs pour me donner l’envie de la claquer et de l’enfiler sans précautions. Sa musique est un encouragement. Je ne l’avais jamais entendue ainsi, expressive et vulgaire, laissant remonter à la surface ce qu’une éducation trop rigoureuse avait caché.


Je préfère partir après avoir craché mon foutre dans son cul. Surtout pas d’attendrissement. Ce n’est pas parce que je l’ai baisée que je lui pardonne. Du cul, maintenant que du cul. Au moins, en retirer du plaisir en me vengeant. En sortant, je croise Lyse qui devait écouter aux portes.



Elle me prend par la main et m’entraîne. On descend au sous-sol et avant d’ouvrir la porte devant laquelle elle s’est arrêtée, elle me dit :



Elle ouvre.



La pièce est grande et pourtant bien remplie. Pas de ces sous-sols aux murs en béton, et au plafond en parpaings, mais une vraie pièce, habillée, décorée. Un grand lit au centre. Un autre plus contre un mur, de ces vieux lits métalliques revenus à la mode. Un canapé, des fauteuils, une chose suspendue au plafond.



Elle me montre le lit barreau : il ne te rappelle rien ?



Elle se dirige vers une armoire.



Elle ouvre les deux portes. Un côté penderie avec de la lingerie et des choses en matière brillante, plastique ou cuir. L’autre côté avec des étagères et bien rangés des tas d’objets, du sex-toy au plug et autres avec aussi des cordes, je vois des menottes, des bandes de tissus et plein d’autres objets.



Les arguments de Lyse me touchent, car elle ne nous pas habitué à de telles analyses.



Je réfléchis.




**********



Encore une fois, nous avons profité de cette pièce qui est devenue le lieu de tous nos désirs. Des désirs inavoués et inavouables qui sont venus au fil des punitions que je m’efforce d’infliger à ma petite pute de femme. Je me suis même inspiré de ce que le net met à disposition. Nous les hommes avons manifestement une imagination fertile dès qu’il nous faut satisfaire nos femmes dans les envies qu’elles peuvent avoir ou qu’il faut provoquer. Rapidement je me suis pris au jeu et j’ai oublié les bonnes résolutions du début.


J’allais lui faire payer. J’allais lui faire oublier cet homme qui a su déclencher chez elle de tels désirs. Ce sera le regret de ma vie, ne pas avoir su détecter et laisser à un autre la joie de la première jouissance provoquée par des caresses si particulières.

Mais j’ai corrigé. Corrigé oui, ma façon de traiter le sujet. Corrigé oui, dans le sens punir, la femelle qui se révèle de plus en plus impudique, chienne, garce, enfin le rêve de tout amant. Mais il faut du temps pour admettre que cette salope est votre femme et non pas une inconnue.


Louis et Lyse avaient raison. J’ai abandonné l’idée de divorcer. Mais en gardant tout de même la menace sur la tête de mon épouse pour me garantir une parfaite obéissance. Mais ai-je vraiment besoin de ce moyen de pression ? N’est-elle pas déjà à ma main ? J’ai deux Sophie avec moi. La première presque normale lorsque nous sortons en ville même si maintenant elle est souvent équipée. Et l’autre la chienne, l’esclave, la soumise qui accepte tout dès que je quitte l’habit de mari aimant pour me transformer en tourmenteur.



**********



J’ai trouvé comment remercier mon beau-frère et ma belle-sœur de leurs conseils. Sophie devrait leur en être reconnaissante. D’ailleurs d’une certaine façon elle va payer sa dette.

J’aime l’attacher avec des liens aux anneaux du plafond. Je n’ai même pas besoin de lui demander d’écarter les jambes et de se cambrer, tellement c’est évident pour elle.



Le cri est au niveau du choc des lanières sur ses reins et ses fesses. Pourtant les lanières ne sont pas en cuir, mais en soie.



Cela paraît ridicule, mais une des raisons qui m’ont poussé à « pardonner » ce sont ses petits mots comme « Mon Chéri. Mon Amour. Jean punis-moi. Je suis ta femme. Fais de moi ce que tu veux. Je t’aime. Et bien d’autres, alors que dans les vidéos avec son amant il n’y a pas ces mots de tendresse. Non, que des « Oui, c’est bon. Encore » , marques de plaisir, mais purement techniques sans ce raffinement et ce petit plus que l’amour apporte.


Pourtant si c’est moi qui questionne, ce n’est pas moi qui manie le fouet ni d’ailleurs qui l’a choisi. C’est Louis. Eh oui, je me suis dit que pour le remercier et en même temps punir ma femme je pouvais l’inviter.

C’est moi qui ai installé Sophie, lui bandant les yeux, lui glissant plug et œufs vibrants, lui attachant les poignets aux cordes que depuis quelques jours je laisse en permanence pendre du plafond et ajoutant avec une perversité nouvelle ses bijoux à tétons, si lourds que la pauvre gémit lorsque je les fixe.


Mais c’est Louis, entrant discrètement avec Lyse, qui choisit le martinet et qui frappe le premier coup. Le premier coup qui m’inquiète, mais, et c’est un comble, est supporté par Sophie qui me rassure. Le premier et les suivants qui laissent des traces sur le corps qui ondule. Elle cherche à se protéger ? Elle cherche à mieux les sentir ? Comment ne pas choisir la seconde option lorsque j’entends les gémissements aussitôt accompagnés par un « Oui. Encore. Punis-moi ! »


Ce n’est pas moi qui punis, mais c’est comme si… non, encore mieux, car moi je n’ai jamais osé frapper si fort alors que Louis dans cet exercice montre comment il traite sa propre femme. Ainsi Lyse subit le même traitement de son mari. Quelle famille ! Parfait exemple qu’une éducation trop stricte et rigoureuse produit des effets contraires. Parfait exemple du principe de « Action/Réaction » que leur mère n’avait certainement pas prévu.


On voit que Louis a beaucoup plus d’expérience que moi. Entre chaque coup et en réalité, c’est plus la surprise que la force qui fait réagir Sophie, il la caresse. Une façon pour lui de faire connaissance avec le corps de sa belle-sœur. Je peux comprendre son envie. Avoir en face de lui, pendant des années, une belle-sœur toute en retenue, parfois donneuse de leçon, à la limite de la condescendance, apprendre qu’elle se roule dans le stupre et par un concours de circonstances dont sa femme n’est pas la moindre, la retrouver ainsi, devant lui nue, aveuglée, équipée, à sa merci.


Il la caresse. Sa main l’explore sans gêne. Il joue avec le plug en le tapant avec le manche du martinet déclenchant des ondes qui la perturbent. Il joue aussi avec les poids qui tirent les tétons déformant les seins dont elle est si fière, toujours fermes et en forme de poire. Le doigt qu’il glisse dans sa bouche est d’une sexualité criante. Le manche du martinet se glisse dans la chatte pour perturber l’agencement de l’œuf vibrant. Une vibration que le manche amplifie et que nous entendons. Que de soupirs et de balancements obscènes pour venir chercher une caresse !

Je bande. Oui, je bande de ce spectacle. Pourtant il cumule toutes les transgressions.

Femme attachée.

Femme frappée.


Mari qui se venge ainsi d’une infidélité qui l’a rendu plus que cocu, bafoué, humilié.

Beau-frère invité, qui sous le regard de sa propre épouse se transforme en tourmenteur dans le plus grand anonymat. Et ma femme qui ne se doute de rien. Elle croit que je continue notre jeu et que mon initiation progresse, car je procède différemment. Manifestement elle apprécie.


Mais Chérie, ta punition est ailleurs, plus subtile, car pour l’instant je suis le seul de nous deux à en connaître l’ampleur. Mais tout à l’heure, car à un moment ou à un autre, nous allons te retirer le bandeau, tu vas découvrir la supercherie. Tu seras humiliée d’avoir été la proie de ton beau-frère et cela sous les yeux de ta sœur. Ce sera un juste retour de bâton et devrait calmer tes habitudes de donneuse de leçon.

Encore quelques coups, mais qui semblent fermer cette parenthèse. Louis baisse son short. Sa verge apparaît. Elle est le marqueur de son excitation. Quelle revanche pour lui !

Il le frotte contre la femelle. Il le glisse entre les fesses pour toucher le plug puis faisant le tour le pousse aussi juste pour entrouvrir la chatte.



Je m’approche. C’est ma voix qu’elle doit entendre et c’est elle que je veux faire parler.



Je claque sa fesse.



Elle hésite, mais c’est Louis avec son martinet qui la persuade d’obéir.



Elle répète :



Pendant un long moment je l’humilie par ces mots qui n’auraient jamais franchi ses lèvres en temps normal, mais je vais encore plus loin, je lui demande de me répondre « oui » à tout ce que je demande.



Elle répond oui, mais est persuadée que ce ne sont que des paroles. Son humiliation n’en sera que plus grande.

Un instant j’hésite cependant de continuer. Cela va peut-être trop loin… Mais il me suffit de revoir par la pensée cette chienne que son amant baisait, enculait, inondait de foutre et qu’elle en redemandait.

Non, j’ai ce droit.


Je la détache. Je la guide vers la balançoire érotique. Elle l’apprécie, moi aussi et je me suis demandé comment je pourrais installer ce truc chez nous sans que notre fils puisse le voir.

Elle se laisse guider. Ses bras, ses poignets, ses cuisses, ses chevilles trouvent naturellement leur place dans cet assemblage de tissu qui la laisse allongée, bras et jambes maintenus et fixés, donnant à son corps une accessibilité parfaite.

Combien d’hommes, dans cette pièce, ont profité du cadeau que leur offrait Louis en leur présentant sa femme ?


C’est un peu comme si les rôles avaient changé. J’ai préparé ma femme pour un autre.

C’est à ses lèvres qu’il propose son sexe. La balançoire a l’avantage de laisser libre la tête de la femme et c’est tout naturellement qu’une bite peut se glisser dans la gorge.

Son amant l’a fait, alors qu’elle était allongée sur le bureau la tête dans le vide.

Je l’ai fait dans notre chambre et ici. Mais la balançoire est l’outil idéal.

Louis utilise le balancier pour que ce soit la gorge qui vienne au-devant de son mandrin. Le silence de la pièce est bien vite comblé par le gargouillis infâme et quelques toussotements d’une gorge explorée profond. Quand je pense qu’il y a moins de huit jours ma femme me faisait juste des léchouilles et que seul mon gland avait la faveur d’entrer au chaud !


Pendant un long moment, je suis le spectateur comme mon beau-frère l’est avec Lyse.

Et puis il la libère pour laisser son visage humide, gras de salive et de larmes, des coulures infâmes qui partent du coin de ses lèvres pour tirer des fils vers le sol.

Il fait le tour. Tirant sur la petite ficelle, il extrait l’œuf qui vibre toujours. Un panier le recueille et aussitôt l’homme pousse son engin entre les lèvres brillantes de mouille. Il glisse comme dans une grotte inondée. Sophie ne remarque rien. Pourtant son sexe est plus petit que le mien, elle aurait dû le sentir dans sa gorge. Mais Louis ne lui laisse pas le temps de réfléchir, encore eût-il fallu qu’elle s’interrogeât !

Il la baise. Toujours le mouvement si excitant du balancier qui fait claquer les chairs alors que, de la bouche de Sophie un soupir est expulsé à chaque possession, comme si le vagin comprimé se libérait plus haut…


Louis me fait un signe de vainqueur et de satisfaction. Je ne doute pas qu’après ça, je n’ai « table ouverte » chez ma belle-sœur, enfin je veux dire « sexualité offerte » .

Et puis c’est au tour du plug de rejoindre l’œuf dans la corbeille. La bite humide se fraye un chemin en forçant un œillet encore bien étroit malgré cet amant initiateur et un mari cocufié, mais désormais familier du chemin. Il la pénètre plus doucement. Le râle se termine par un « Oh » qui en dit long.

Il l’encule, toujours avec l’aide du « Foucauld » enfin je veux dire du pendule…


Les dix premières secondes, elle ne réagit pas si ce n’est d’ouvrir ses lèvres lorsque moi je lui présente ma bite. Le sursaut est évident, mais c’est trop tard, la salope est comme le missionnaire embroché par les cannibales. Elle doit se demander ce qui se passe. Comment c’est possible que deux bites, une dans son cul, l’autre dans sa gorge… ? Son mari, même cocufié, n’a pas le don de se dédoubler… Alors… ?

Je ne vais tout de même pas l’étouffer. Je me vois mal finir en prison pour avoir étouffé ma femme avec ma queue.

Mais je suis trop excité et je sens cette montée de foutre inattendue, en tout cas pas si tôt. Mais je gicle déjà, si vite, si vite…




Il fait grand soleil. Je suis à l’ombre d’un parasol. Je vois Sophie qui se relève, manifestement la bouche encore ruisselante de mon foutre. J’ai dû m’endormir et… mais oui, j’ai rêvé de Louis et du reste… Pas étonnant que je bandais comme un turc. Sophie s’est chargée de me vider. Décidément plus rien ne la retient !

Je me lève encore ensommeillé avec des images comme si cela s’était vraiment passé.

Quelle idée étonnante de vengeance…

Et si…



Je m’éloigne. Compose le numéro…