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n° 19302Fiche technique18879 caractères18879
Temps de lecture estimé : 12 mn
09/11/19
corrigé 21/04/21
Résumé:  Ma femme se rend à une soirée sextoys chez sa sœur et tombe sur une de mes ex. Elle décide alors de se venger sans vergogne.
Critères:  h fh fplusag extracon cocus grosseins hsoumis fdomine humilié(e) jalousie voir hmast fellation pénétratio -vengeance
Auteur : Efarlet      Envoi mini-message
Cocufié vingt ans après

Cela fait vingt ans que Federica et moi nous connaissons, et quatorze ans que nous sommes mariés ; elle a quarante et un ans et moi quarante-cinq.


Il y a de cela quelques semaines, Federica a été invitée à une soirée sex-toy en Belgique, chez sa sœur Tiziana, une brune aux yeux revolvers, aux seins énormes et aimant plaire aux autres hommes, bien que son mari sicilien, un des plus jaloux et intransigeants au monde ne lui laisse jamais rien passer.

C’est sans doute, cette rigueur qui animait Tiziana pour tenter l’interdit, sans jamais aller au-delà (à ma grande déception, car qu’est-ce que j’aurais aimé goûter sa chatte et éjaculer sur ses seins !).


À cette soirée donc, il y avait Aurélien, un beau mec blond, musclé et plus jeune que Tiziana et Federica, qui s’occupait de présenter les sex-toys pendant que sa partenaire Ambre, dans la quarantaine, en faisait la promotion commerciale.

Ambre avait un charme énorme qui du même coup avait un impact certain sur l’assemblée féminine ; chacune, ce soir-là, aurait aimé se rapprocher d’Ambre, hypnotisée par cette blonde aux pouvoirs de séduction énorme.

Elles étaient une petite dizaine à avoir accepté l’invitation de Tiziana.


Au fur et à mesure que les objets défilaient, les filles s’extasiaient puis s’excitaient de plus en plus. Les coupes de champagne émoustillaient tout le monde.

Tiziana, sentant que la tension montait dans la soirée, et dans l’envie d’aller à la limite, en offrit d’autres et le niveau d’alcool progressait ; les strings sexy se vendaient alors comme des petits pains, tout comme les lubrifiants et autres crèmes qui pouvaient s’étaler sur le corps, se faire lécher, introduire, etc.


La démo terminée, l’audience continua à palabrer.

Federica, passablement éméchée, fit alors plus ample connaissance avec Aurélien et Ambre, mais c’est Ambre qui attira son attention.

La discussion progressant au rythme des coupes, les deux filles en vinrent à parler de leurs conquêtes respectives et c’est là, durant cette discussion, que Federica se rendit compte qu’Ambre et moi avions eu une aventure d’un soir, alors même que ma relation avec Federica venait de débuter.


Ambre était une blonde explosive, bien plus jeune que moi, qui m’avait fait bander, jouir, éjaculer maintes fois, et lorsque j’avais rencontré Federica, une brune volcanique, aux seins monstrueux, à vous faire éjaculer dans votre caleçon, ma queue ne savait plus qui choisir. J’avais donc profité de ces deux bombasses en même temps, sans savoir que cela allait avoir des conséquences vingt ans plus tard.


Cette découverte eut forcément le don d’énerver Federica et elle ne savourait plus la soirée comme avant, mais l’alcool aidant, elle décida de sa vengeance en un instant.

Ses yeux se mirent à braquer le jeune blond, Aurélien, et elle fit tout pour lui plaire.

Elle avait aimé quand il avait revêtu les caleçons pour mecs, la bosse qui en ressortit augurait d’un certain membre.

Ce soir-là, rien ne se passa vraiment, mais la vengeance était en marche.


Le lendemain matin, Federica m’avoua, sans doute encore sous les effets de l’alcool et de la nouvelle qu’elle avait appris la veille, qu’elle avait mouillé comme une folle, en voyant le corps musclé d’un jeune blond et la bosse dans son maillot. Elle me dit qu’il l’avait fait frémir et qu’elle avait même eu envie de lui.

Ceci me surprit, car ce n’était pas du tout le genre de Federica de vouloir faire l’amour avec un autre homme, ni de parler comme cela, ou de mater les autres mecs.

Elle ne me dit plus rien du genre les jours suivants.


Mais cependant depuis cette soirée sex-toys, Federica avait changé.

Elle s’était braquée et ne voulait plus que nous fassions l’amour. Évidemment, je me demandais ce à quoi cela était dû.


Les semaines qui suivirent furent difficiles.


Puis un soir, je rentrai du travail et je vis Federica maquillée parfaitement, ses cheveux lissés, perchée sur de hauts talons, une mini-jupe bleu marine et un top blanc bien trop échancré.

Je lui demandai ce qu’était cette tenue et si nous sortions, mais elle me coupa la parole ; elle se regarda dans le miroir de l’entrée et me lâcha :



Je restai interloqué.



Toi, ta queue frétille toujours quand tu vois des bombasses dans la rue, alors moi je vais aller voir ailleurs et me faire mettre.

J’ai appelé le collègue de ta pute ce matin, un mec que tu ne connais pas, mais que Tiziana m’a fait rencontrer et je lui ai avoué que j’avais envie de sa grosse queue.

Il n’a pas tergiversé très longtemps, d’ailleurs il doit être bien chaud en ce moment après les SMS salaces que je lui ai envoyés toute la journée. J’espère vraiment qu’il a les couilles bien chargées à fond, pour m’en mettre partout. Voilà petit salaud, prépare-toi mentalement, cogite, fais-toi mal et demain on en rediscutera au calme.

Prends ton mal en patience, je vais revenir…


Elle partit, me laissant là, la queue littéralement entre les jambes.


Deux heures plus tard, un appel Facetime de Federica. J’ouvre la session :



Federica posa son téléphone de manière à ce que je voie la pièce où ils se trouvaient.


Elle déboutonna son chemisier, ses seins pointaient, elle laissa tomber sa jupe et je la vis à travers l’écran en tenue de lingerie trop sexy, elle était vraiment trop bandante avec cet ensemble et soudain je me rendis compte qu’elle portait celui que je lui avais offert pour la Saint-Valentin il y a deux ans, et qu’elle n’avait jamais voulu porter pour moi. L’ensemble m’avait coûté une blinde, le string portait un nœud en dentelle et le soutien-gorge avait un mini cadenas entre les seins, qu’il fallait ouvrir pour libérer ses gros seins.


Elle passa devant l’écran ainsi avec un vrai regard de salope. Elle s’arrêta, me regarda droit dans les yeux, et avança sa bouche devant l’écran, elle se mit à jouer avec son doigt, le passant tout d’abord sur ses lèvres, puis le suçant un peu pour l’humecter et mouiller ses lèvres gonflées. Elle faisait des va-et-vient avec son doigt, puis elle recula et elle ouvrit le cadenas. Ses seins exultèrent. Ma femme était en chaleur ! Elle voulait du sexe maintenant.


Elle s’en alla de l’écran et je la vis revenir avec une bouteille de champagne de notre cave ; oh putain, non seulement elle allait se faire baiser par Aurélien, mais en plus c’était moi qui payais leur enivrement. Elle avait pris une bouteille de notre cave.


Aurélien avait une grosse queue, qui faisait sans doute jouir toutes les femmes. Il était de ceux qui rendaient sans doute les femmes chiennes, et plus il les défoncerait fort, plus elles aimeraient ça.

Je n’avais aucun doute qu’il adorait les vraies salopes et les traitait comme telles. Je craignis à ce moment-là que Federica en devienne une bien belle !


Ils entamèrent la bouteille de champ, et le liquide gazeux coula à flots.

Je vis Federica, ses seins à l’air, sirotant ses coupes de champ en déambulant sur ses hauts talons dans le salon pendant qu’Aurélien devait avoir la queue en feu dans son caleçon ; voir ma femme ainsi presque offerte à Aurélien me retourna la tête.


Elle se rapprocha du téléphone et me dit :



Aurélien matait les seins de Federica avec des yeux qui sentaient le cul.

Federica lâcha :



Federica, debout sur ses hauts talons, s’approcha alors d’Aurélien et l’embrassa à pleine bouche, et tout en posant sa main sur la bosse de son calbut, je l’entendis lui dire :



Puis les yeux dans les yeux, elle lui dit :



Aurélien, comme un animal en rut, souleva Federica et l’emmena près du canapé du salon. Federica se pencha pour lui offrir sa chatte.

Federica avait des atouts que je n’avais pas, et Aurélien des muscles que je n’avais pas non plus. À quarante-cinq ans, j’avais un certain embonpoint.


Aurélien enleva le nœud en dentelle du string et Federica se retrouva à poil sur ses hauts talons.

Elle savait bien que la voir en talons aiguilles m’excitait toujours follement, mais jamais elle n’avait voulu les garder pendant que nous baisions. Je me dis qu’elle allait donc les enlever aussi, mais non, elle les garda, les seins à l’air et la chatte toute mouillée, elle s’agenouilla devant le canapé ; Aurélien, nu, était assis avec les jambes écartées.

À distance, je pus sentir combien l’envie de Federica de se faire baiser était immense.

Elle commença par lui caresser les couilles avec sa main, qu’elle sentit bien douces et bien pleines ; puis elle s’autorisa à les lui lécher. Cela fit durcir la queue d’Aurélien comme une barre, et là je sentis un moment d’hésitation : elle ne sut pas si la morale allait lui laisser lécher sa grosse bite.


Elle hésita plusieurs fois, se mordit la lèvre, se tourna vers le téléphone, comme pour me dire qu’elle s’en voulait, et puis elle se lâcha totalement et se mit à lui sucer la queue goulûment.

Elle faisait des allers-retours entre sa queue et sa bouche pour prendre sa salive et venir l’enduire sur son chibre.

Je vis sa langue passer en dessous de sa queue quand il lui enfouissait dans la bouche, je vis sa langue lui lécher son gland.

Ses lèvres gonflées de plaisir lui offrirent un orifice chaud et plein de salive.

Elle lui bouffait littéralement sa grosse queue et je me demandais même comment elle y parvenait.

Cette vision de ma femme suçant Aurélien perchée sur ses talons aiguilles me faisait mal, c’est sûr. Mais au fur et à mesure, je me détachai et vis une salope suçant un mec.

Ma queue commença à durcir.


Sentir cette grosse queue inconnue dans sa bouche, fit jouir Federica une première fois. Je vis ses yeux ressentir cet orgasme. Moi je subissais l’évènement à distance, ou commençait à en profiter.

Lui en attendait plus et lui demanda d’ouvrir plus grand sa bouche pour pouvoir y enfouir toute sa bite et ses couilles pleines.


Federica s’efforça de satisfaire Aurélien et lui offrit ses lèvres grandes ouvertes. Ma femme faisait la vraie salope avec ce jeune enculé de chanceux, alors que jamais je n’avais eu droit à rien de tel. Aurélien branla vigoureusement sa queue devant la bouche de Federica, elle tendait la langue pour la lui lécher ; il jouait avec elle et sa langue devant moi. Federica laissa couler sa salive sur sa queue, lui cracha ce qu’il lui restait, cela eut le don de m’exciter. Il lui enfourna sa queue aussi profond qu’il le pouvait. Federica subissait, mais lorsqu’il la retirait, elle souriait de plaisir ou par nervosité je ne sais pas.


Ma femme suçait en fait comme une vraie salope, une vraie chiennasse, et elle voulait vraiment exciter Aurélien comme un âne, ce qui m’énerva.

Je sortis ma queue de son enclos et commençai à me masturber, car la scène était trop bandante ; cette scène de pipe était vraiment trop bandante et cette femme qui me rendait fou avec un jeune, sapée comme une salope, n’était autre que la mienne !


Aurélien mit Federica sur le canapé et lui souleva les jambes ; il approcha sa queue et il caressa la chatte de Federica avec, histoire d’exciter un peu son clitoris. Le ventre de Federica faisait des mouvements de grande respiration, cela l’excitait à fond. Puis l’inévitable arriva, il enfouit sa grosse queue dans sa chatte.

Federica eut un « haut-le-ventre », je vis son désir décupler.

Je l’entendis dire :



Sentir cette queue en elle lui avait l’air de lui procurer un bonheur immense, quelque chose que je ne lui offrais plus. À ce moment même, elle tourna son visage vers moi et je vis la vengeance dans ses yeux, je vis combien elle aimait prendre son pied devant mon air ahuri. La baise s’arrêta un court instant, Federica devait se remettre de ses émotions, des orgasmes dévastateurs qu’Aurélien lui avait procurés.


Elle se rapprocha de son I-phone, et me dit :



Je lui montrai ma queue bien raide.



Aurélien s’était rapproché le chibre en rut :



Aurélien re-baisa ma femme devant moi, mais cette fois je le vis sur le point de non-retour plus rapidement que prévu, car il avait pris Federica par les jambes face à lui et pour la baiser il devait la soulever pour qu’elle retombe sur sa queue. Cet effort de plus au niveau des biceps l’avait privé plus rapidement de sa fougue.


Federica avait toutefois joui une fois de plus sous ses coups de semonce.

Lorsqu’elle retoucha le sol, comme elle sentait qu’Aurélien allait tout lâcher, elle lui dit :



Aurélien se mit à lui décharger son sperme sur son visage et ses seins. Elle en était couverte et ne savait plus où donner de la tête. Voir ma femme avec ce sperme sur elle m’excita au plus haut point. Elle récupéra ce qu’elle put et se l’enfourna dans sa bouche de salope. Puis elle s’approcha de nouveau du téléphone et me montra ostensiblement le sperme qui coulait de sa bouche. Elle me demanda de lui montrer ma queue :



Je m’exécutai et éjaculai une grosse quantité de sperme (tout ce que je n’avais pas déchargé durant des semaines). Federica ajouta :



Je pris le sperme avec deux doigts et me le mis dans la bouche.



C’est trop sexe tout ça. Je me vis avaler mon propre sperme jusqu’à la dernière goutte…



En tout cas, c’est vrai ils ont super excité Aurélien et t’ont sans doute aidé à te faire avaler ton propre sperme ! Je vais réitérer ces soirées plus tôt que prévu.


Elle coupa la connexion Facetime.