n° 19324 | Fiche technique | 26233 caractères | 26233 4434 Temps de lecture estimé : 18 mn |
19/11/24 corrigé 19/11/24 |
Résumé: Cynthia se voit contrainte de se rendre au travail sans culotte... | ||||
Critères: fh hplusag extracon cocus collègues travail hsoumis fdomine vengeance voir exhib noculotte chaussures hmast fellation cunnilingu pénétratio fsodo -exhib | ||||
Auteur : L'artiste (Rêveur quadragénaire, je m'essaie à l'écriture.) Envoi mini-message |
Cette histoire fut inspirée d’un post créé par « Catherine » dans la rubrique « Idées de scénarios » du forum Rvbb il y a fort longtemps… Je l’ai prise à mon compte après avoir reçu son autorisation.
Mon mari sembla ravi et s’agenouilla devant moi. Me fixant du regard, il glissa ses pognes fouineuses sous ma jupe et, tout en me déposant de doux baisers sur les cuisses, fit riper l’objet du litige centimètre après centimètre vers le sol. Le pan de tissu enfin aux chevilles, il saisit un de mes pieds, en retira l’escarpin qui le chaussait et y attarda un instant ses lèvres. Il en fut de même pour le second, puis il brandit fièrement le bout de textile dentelé par-dessus sa tête comme s’il s’agissait d’un trophée. Me retournant avant de m’éclipser, j’embrassai la paume de ma main et d’un air coquin, lui soufflai ce baiser. Un sourire radieux illumina son visage.
C’est ainsi que je me rendis au bureau ce jour-là : privée de mon sous-vêtement et les fesses nues ! Bien sûr, cela me gênait bien plus que ça ne m’excitait… mais que ne ferais-je pas pour assouvir les désirs déviants de mon homme ? Bon, j’avais malgré tout échappé aux oreilles de rabbit !
J’exerçais alors mon métier dans une usine textile. Surveiller la production des chemises, des pantalons, des vestes en tous genres et gérer le personnel était mon quotidien. La trentaine, l’on me disait coquette, mignonne, gentille et sérieuse. Bien consciente du trouble que je provoquais sur la gent masculine, j’étais ravie de travailler dans un milieu essentiellement féminin et n’aspirais qu’à vivre paisiblement.
Mon mari me comblait et notre routine de couple me satisfaisait pleinement, hormis ses fantasmes parfois surprenants. Jacques, débordant d’imagination, me demandait toujours de nouveaux jeux plus osés, au point de pimenter un quotidien qui, pour lui, devenait un peu trop calme.
Après tout, pourquoi ne pas lui accorder quelques bonus à partir du moment où tout restait privé ? Comme il semblait vouer une adoration pour mes pieds, je n’hésitais pas à lui en confier un à embrasser dans l’intimité de notre chambre à coucher. J’acceptais aussi très souvent de porter des dessous que j’estimais vulgaires, et me déguiser fréquemment en soubrette, en policière ou même en infirmière pour lui plaire.
Ces pratiques m’avaient demandé un effort conséquent au début, mais, finissant par les tolérer, je ne trouvais plus cela si désagréable. Je me soumettais donc à ses désirs pour y prendre un plaisir somme toute très relatif. Malgré tous mes sacrifices, Jacques m’avait confiée un soir – en plein coït – qu’il m’adorerait infidèle ! Comme il m’était inconcevable de le tromper, je lui accordais cette faveur uniquement dans les mots qui accompagnaient les mises en scène fantasmées de nos ébats. Bref, je ne lui refusais rien et m’évertuais à satisfaire ses souhaits pour les moins bizarres ainsi que ses moindres caprices.
Me voilà donc au bureau sans culotte !
Une longue journée excessivement stressante se déroula. Me sentant épiée en permanence, j’essayais de me persuader que cela était dû au fruit de mon imagination, car je me montrai extrêmement prudente.
Les secondes s’égrainaient au ralenti tant il me tardait d’entendre dix-neuf heures sonner pour enfin rejoindre mon domicile. À défaut et à mon plus grand étonnement, mon patron me convoqua. Que pouvait-il bien me vouloir ? Je travaillais depuis cinq ans dans cette entreprise et cela ne m’était jamais arrivé.
Mon cœur s’emballait dans l’ascenseur me menant à l’étage de la direction. Serait-ce possible que ma hiérarchie eût vent de mon impudeur ? Non, je m’étais montrée vigilante… il s’agissait forcément d’autre chose. Employée modèle, peut-être me verrais-je simplement accorder une promotion !
Les battants de la cabine s’ouvrirent… et ma gorge se noua. Une fois devant la porte du « big-boss », il me fallut quelques secondes pour, en prenant une grande inspiration, oser enfin frapper.
Il était installé dans un fauteuil de cuir, à moitié caché derrière son écran d’ordinateur et tout un tas de dossiers, ses coudes reposant sur un immense bureau.
M’asseyant timidement face à lui, je pris soin de resserrer un maximum les genoux. Le regard de mon patron me transperça et un large sourire fleurit à son visage… Les quelques instants de silence qui précédèrent sa prise de parole me semblèrent interminables.
Un ange passa, plus pesant encore que le dernier, puis il ouvrit un tiroir de son bureau et en sortit une poche en carton à l’effigie d’une prestigieuse marque de lingerie fine. Mon sang se figea, mes pommettes me chauffèrent et il me sembla défaillir.
Et il retourna le sac. Des dessous féminins en tous genres en tombèrent, j’aperçus de la dentelle, de la soie et même du cuir. Ma gêne éteignit son paroxysme ; mon Boss, quant à lui, poursuivit sa représentation et en sélectionna quelques-unes au hasard :
Tétanisée par la surprise que provoqua chez moi cette situation surréaliste, je restai muette. Mon patron, quant à lui, s’enivra de la soie en collant outrageusement le bout de tissu sur son nez, puis poursuivit son monologue :
Nous y voilà ! L’augmentation espérée s’avérait finalement se matérialiser par une excroissance de son anatomie… et allait fatalement se conclure par « une promotion canapé ». J’allais à coup sûr devoir passer à la casserole et cette perspective ne m’enchantait guère.
Monsieur Marc Tapaje reprit son monologue avec une étincelle dans le regard qui me sembla désireuse.
Là, il me sembla défaillir, le ton courtois du début devint sec et sarcastique. Aphone, je ne savais plus vraiment trop quoi en penser ni répondre et restais pétrifiée, figée sur ma chaise !
Je rentrais chez moi, déprimée et en colère.
Me voilà sans emploi… ! Comment avais-je pu accepter d’agir ainsi ? En franchissant le seuil de mon domicile, je me retrouvai nez à nez avec Jacques qui, apparemment, m’attendait avec impatience. Lui avait l’air enchanté !
Décontenancée, je ne sus que répondre. Je venais par sa faute de me faire virer ; j’eus certainement honte de l’avouer et décidai par lâcheté de le taire… et à défaut, j’entrai dans son jeu.
Effectivement, il se métamorphosa. L’air enchanté laissa place à un visage rougissant de bonheur, ses pupilles se dilatèrent et quelque chose semblant vivant prit du volume sous sa ceinture. Sa joie manifeste m’ôta toute envie de le décevoir et je décidai d’en rajouter une couche.
Commençant mon histoire imaginée de toutes pièces, Jacques, lui, semblait de plus en plus sous tension. Me saisissant par le bras pour m’entraîner au salon, il m’invita à prendre place sur le canapé.
Tout en m’écoutant lui raconter mes frasques, mon mari s’accroupissait face à moi sur le tapis du salon. Ses mains se posèrent sur mes chevilles puis ripèrent doucement sur la soie me recouvrant les jambes pour atteindre ma peau et s’aventurer sous ma jupe. Empoignant ma croupe – nue, bien entendu – il investit passionnément mon sexe imberbe et impatient de sa bouche.
Jacques ne répondit rien, bien trop occupé à embrasser l’abricot mûr qui s’offrait à lui, et se contenta de hocher la tête en signe d’approbation.
Surprise de me sentir tant excitée par cette situation, j’agrippai ses tempes pour lui coller ses lèvres un peu plus franchement entre mes cuisses tout en soupirant de bonheur. Si j’avais émis quelques réserves concernant son fantasme et avais eu une légère appréhension à lui faire croire à mon infidélité… là, plus de doutes, l’intensité de la minette à laquelle j’avais droit me rassura.
Certes, ma vie professionnelle partait en lambeaux et ma réputation en prendrait à coup sûr un sacré coup, mais, pour l’heure, quitte à mentir, autant en tirer un minimum de satisfaction. Je décidai donc – pour le plus grand plaisir de mon Jules – d’enfoncer encore le clou…
Jacques marqua un temps d’arrêt pour me regarder d’un œil qui semblait différent, peut-être plus doux… reconnaissant… en tout cas heureux et comblé. Je poursuivis mon imposture :
N’était-ce pas habituellement les mœurs des hommes partageurs que de lécher les pieds de leurs femmes ? Jacques, lui, hésita. Me montrer si directive ne me ressemblait pas. D’ordinaire, il prenait les devants, demandait, et même implorait… pourtant, là, il subissait. Toutefois, l’intonation sèche que j’avais employée ne laissa pas de place à la discussion, il s’exécuta.
De l’entrecuisse, ses lèvres surfèrent sur mes jambes pour échouer sur mes escarpins. Il en retira un avec délicatesse pour en extraire un pied – doux et verni – sur lequel il déposa ses baisers avant de le débarrasser de la soie brillante qui l’habillait encore. Je ne me rappelle pas avoir vu Jacques atteindre l’exquise délivrance… et seul son poitrail souillé témoigna de son orgasme.
Le restant de la soirée se passa dans une atmosphère étrange… un peu froide, et Jacques ne se montra pas très bavard. Une fois tous deux dans la chambre à coucher, alors que j’étais sur le point de m’endormir, il me prit dans ses bras et me demanda timidement :
Stressée, je passai une nuit blanche, mon chéri, quant à lui, ronfla comme un bébé. Trop de problèmes me pesaient : les déviances de mon mari ; mon licenciement ainsi que mon silence à ce sujet… je devais trouver des solutions.
Ce matin-là, prenant mon petit-déjeuner et me préparant innocemment, Jacques m’interpella alors que je m’apprêtais à partir :
Et je filai comme une voleuse.
Autant la veille, cela lui avait plu, mais là, il semblait plutôt angoissé. Tant pis pour lui ! Par sa faute, j’avais perdu mon job… il n’avait qu’à y réfléchir à deux fois ! Je pris donc la route de l’immeuble abritant le PDG de la boîte qui m’employait. Son directeur m’avait virée, son président ne verrait peut-être pas les choses ainsi !
Une fois à l’accueil, je signalai ma présence. N’ayant pas de rendez-vous, je m’attendais à être refoulée dès ce premier barrage, mais à ma plus grande surprise, à l’annonce de mon nom, on me fit patienter… Certes, bien deux heures, mais monsieur Samuel Tirail me reçut finalement un peu avant midi.
J’entrai donc dans son bureau. Ce dernier ressemblait bien plus à une suite haut de gamme qu’à un lieu de travail… enfin, dans mon imaginaire, m’étant jusqu’alors contentée de fréquenter des chambres d’hôtel modestes.
Monsieur Tirail vint me saluer. Me prenant la main, tout grand sourire, il me guida vers le canapé d’un salon accueillant certainement ses rendez-vous pour les faire patienter. Il s’agissait d’un homme d’une cinquantaine d’années au charisme intimidant. Une calvitie déjà bien prononcée gagnait du terrain sur son front et, chaussés sur son nez, de gros binocles à doubles foyers recouvraient ses yeux, créant chez lui un regard troublant. Légèrement grassouillet, Sam Tirail n’avait rien d’un canon de beauté, mais, sans rime ni raison, ce dernier ne me laissait pourtant pas indifférente.
Il prit place sur le fauteuil me faisant face et me dit :
Cette révélation abrupte le surprit… Certes, il ne devait probablement jamais avoir entendu parler de moi, je me montrai donc plus précise :
J’entrouvris légèrement les cuisses. Sa gêne étant palpable, je l’interrompis pour poursuivre :
Tout en lui parlant, mes genoux semblèrent attirés sur les extérieurs par une force imperceptible, mais irrésistible. Mon interlocuteur, lui, ne déscotchait plus son regard de mon entrejambe… Le spectacle offert ne le laissait pas insensible et un large sourire ne quittait plus son visage. Il me répondit, un peu niaisement :
Sam Tirail parut conquis ! Des gouttelettes de transpiration perlèrent à son front et un « oh » admiratif s’échappa spontanément de sa bouche grande ouverte.
Sam Tirail ne répondit rien, et à défaut se leva. Il s’agenouilla face à moi et déposa ses mains sur chacune de mes cuisses que j’écartai un peu plus largement en avançant mon bassin dénudé à sa rencontre.
On ne pouvait pas dire que je trouvais cet homme beau… il devait bien être de vingt ans mon aîné et son physique ne s’assimilait pas vraiment à celui d’un apollon. Toutefois, cette situation ne me laissa pas insensible ; cela faisait bien longtemps que je n’avais pas senti quelqu’un, hormis mon mari, me désirer ainsi. Il ne s’agissait certes que d’une étape incontournable à la mise en place de ma vengeance, et j’avais imaginé ce moment pénible, mais, par chance, tout ne s’avérait pas si désagréable… !
Les mains de ma victime furent suivies de près par ses lèvres qui se posèrent sur ma peau… elles me semblèrent incandescentes. J’espérais voir ses baisers atteindre le saint des saints, mais à défaut, Sam Tirail m’abandonna, se leva et dégrafa son pantalon. Dans un état second, je ne me fis pas prier pour m’emparer du sexe bandé qui s’en expulsa, puis le cajola et l’embrassa passionnément.
Monsieur Tirail interrompit mon ouvrage pour me placer à genoux sur le sofa, la jupe retroussée jusqu’aux reins, cambrée et le cul offert à sa volonté. À mon grand désarroi, il ne fallut que quelques instants pour sentir l’heureux bénéficiaire de ma croupe tendue se répandre au plus profond de mes entrailles en un long gémissement de béatitude.
Un peu frustrée d’être mise sur la touche, j’étais malgré tout comblée, mon plan se déroulait à merveille. Mon précoce jouisseur s’exclama :
Mission accomplie ! Je posais mes affaires dans l’ex-bureau de Marc Tapaje qui, à regret, se retrouvait au chômage.
Je rendis compte de mon travail à mon président deux à trois fois par semaine. Il aimait tant mes visites qu’il se montra de plus en plus gourmand et, en parallèle, me laissa de plus en plus de pouvoir. De la confection de chemises bas de gamme, l’entreprise se spécialisa dans l’élaboration de sous-vêtements luxueux… Eh oui ! du non-port de petites culottes, j’en étais arrivée à devenir directrice d’une firme les fabriquant. Quant à Jacques, mon mari, il s’en mordait finalement les doigts et s’apercevait à ses dépens que tous les fantasmes n’étaient pas forcément voués à être réalisés.
Les jours et les semaines passèrent donc intensément auprès de mon nouvel employeur qui ne manquait jamais une occasion de profiter de mes charmes. Jacques, bien que jaloux, n’eut d’autres choix que d’accepter mes infidélités, pas si idylliques qu’il imaginait, mais se consola malgré tout de mes pieds qui lui restèrent réservés.
Un matin, je trouvai sur mon bureau un CV des plus surprenants ; Marc Tapaje, toujours désœuvré, tentait sa chance. Il devait être tombé bien bas pour oser ainsi solliciter mon aide ! Par curiosité, mais aussi un peu par jeu, je décidai de le recevoir.
Assise face à lui, je le regardai un instant intensément. Il baissa les yeux et sembla désemparé… il n’en menait pas large !
Par chance, pour une fois, un ravissant tanga habillait mes fesses. Certes, de dentelles, il s’avérait très suggestif. Je poursuivis :
Et j’écartai un peu plus encore mes jambes. Il afficha un air désemparé qui m’amusa.
Alliant le geste à la parole, je soulevai légèrement le bassin et commençai à la glisser doucement vers le bas. Mon ex-patron en resta sans voix ! Ne sachant pas trop à quoi s’en tenir, il me parut comme assommé, mais ne perdit rien de la scène pour autant.
Alors que la succincte étoffe textile ne se trouvait encore qu’à mi-fesses, je lui demandai :
Il se leva, s’approcha, déboutonna son pantalon et le laissa tomber au sol, permettant par la même occasion de se déployer un sexe déjà bien raide qui pointa en ma direction. Tout en me toisant du regard, il s’accroupit pour saisir mon string et le descendre aux chevilles.
Une fois possesseur du pan de tissu dentelé, il le mit dans sa poche et, d’un air conquérant, s’apprêta à venir embrasser la chair ainsi découverte. Posant un pied sur son épaule, je le repoussai prestement en lui disant :
Et voilà comment les lubies saugrenues de mon mari ont à ce point changé ma vie ! Qui aurait cru qu’un simple et si insignifiant bout de tissu pouvait ainsi bouleverser une existence si tranquille !
Sam Tirail a pris une retraite dorée quelque part au soleil et ne me donne plus aucune nouvelle. Je me retrouve désormais à la tête d’une multinationale spécialisée dans les dessous féminins et Marc Tapage a récupéré son poste de directeur d’une de mes filiales. Dès lors condamné à admirer des fesses nues toute la journée sans pour autant pouvoir en profiter, il ne trouve finalement pas sa sentence si terrible, car elle lui permet malgré tout d’assouvir sans limites ses pulsions voyeuristes. Mon époux, quant à lui, s’efforce maintenant de tout mettre en œuvre pour que je ne me lasse jamais de lui. Il y réussit à merveille, je lui reste donc fidèle et suis devenue son trésor exclusif, sa merveille aux pieds de reine !
Nous vivons heureux et avons beaucoup d’enfants…
Ah oui ! Un chien et deux chats aussi !