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Temps de lecture estimé : 39 mn
02/12/19
Résumé:  C'est en vainqueur que mes pas résonnent dans la grande salle du château royal de Loutrivne.
Critères:  fh couple fellation cunnilingu pénétratio historique -historiqu
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Une reine en butin

Faisons une petite excursion dans les contrées slaves, un peu après Charlemagne…

Bonne lecture :)



C’est en vainqueur que mes pas résonnent dans la grande salle du château royal de Loutrivne. Je n’ai pas eu beaucoup de difficultés à parvenir jusqu’à cette petite capitale. Mon armée était nettement plus aguerrie, et j’ai l’habitude des combats ainsi que de la stratégie militaire.


Ce fut un beau massacre chez mes adversaires et une promenade de santé pour mes soldats. Je reste étonné qu’il n’y ait pas grand monde qui ait étudié la stratégie militaire de mes ancêtres romains et aussi celles des Grecs du temps d’Alexandre le Grand. La plupart de mes opposants se prennent pour César ou pour Trajan, sans avoir toutefois lu la moindre ligne sur leurs campagnes. Mais je ne vais pas me plaindre, ça me facilite drôlement la tâche.


Comme un bon soldat ennemi est un soldat mort, avant de venir ici dans ce château, nous avons joyeusement occis tous ceux qui n’ont pas eu la bonne idée de se rendre ou de fuir, c’est-à-dire une bonne partie des adversaires. Ce qui explique la couleur rouge foncé qui nous macule, surtout en bas, des pieds à la ceinture. Après ce premier choc des armées, la route fut nettement facilitée…


D’un pas ferme, je m’avance dans l’allée centrale bordée de nobles tremblants et de notables affolés, contenus par mes soldats qui forment une haie d’honneur. Comme je suis de haute stature, un héritage de mes lointains ancêtres francs du côté gauche, j’ai en général une tête de plus que les Slaves de la contrée, ce qui fait que j’en impose facilement, y compris aux Romains du Sud.


Je m’arrête à quelques pas du double trône, face à la belle veuve du roi. Je dois reconnaître que ce souverain n’a pas démérité, mais sa vie de patachon ne lui a pas permis de peser bien lourd face à mon épée, quand je me suis personnellement occupé de son cas. À ce propos, sa tête est dans un coffret porté par l’un de mes suivants.


Je m’incline légèrement :



Face à moi, assez menue, debout, la Reine tente tant bien que mal de faire bonne figure. Un peu tremblante, elle m’apostrophe d’une voix assez ferme :



À cette allusion, elle frémit. Je fais un signe. Mon suivant dépose le coffret au pied du double trône. Je désigne celui de la main :



Quelques rires fusent derrière moi. En voyant le coffret, la Reine comprend et pâlit, ce qui ne l’empêche pas de rétorquer vaillamment :



Divers éclats de rire résonnent dans la vaste salle. Assez surprise par ma réplique, elle demande :



Elle accuse le coup, restant debout, droite, fière :



Elle fait la grimace :



Un sourire désabusé se dessine sur ses lèvres :



Je saisis son petit menton délicat entre mon pouce et mon index pour ajouter :



Elle rougit :



Je lâche son menton. Vue d’encore plus près, cette femme m’attire encore plus. La reine ne répond rien, mais n’en pense pas moins. Je lui explique :



Stupéfaite, elle bafouille :



Je pose mes poings sur mes hanches :



Puis, lui tournant le dos, je m’éloigne :



Je sors de la grande salle, suivi par Sviatognev, mon bras droit, puis accompagné de mes aides. Oui, j’ai plein de points de détail à résoudre en attendant qu’arrive l’heure du repos du guerrier.




Dans le bain



La Reine s’apprête à entrer dans la pièce tandis que je me dévêts pour prendre un bain bien mérité. J’ai conservé quelques habitudes de ma jeunesse à Constantinople comme l’usage des thermes. Ici, je me contenterai pour l’instant d’un grand baquet muni de draps et que remplissent d’eau chaude les servantes affairées.


Je suis déjà torse nu quand ma future femme entre. Elle s’exclame aussitôt, mettant ses mains devant ses yeux :



Du coin de l’œil, je remarque que certaines servantes sourient, tandis que d’autres me regardent qu’une façon que je qualifierai d’intéressée. Il est vrai que j’ai facilement une tête de plus que la plupart des hommes, et que je suis bâti en proportion, ma musculature évidente. D’après ma mère, je dois mon prénom et cette carrure à certains de mes lointains ancêtres francs, même si beaucoup de nobles sangs romains coulent dans mes veines. D’après elle, je peux m’enorgueillir d’être lointain parent de quelques empereurs romains et non des moindres. J’ignore si tout ceci est vrai, mais ça pourrait expliquer divers petits détails de mon enfance à Constantinople.



Cette réponse un peu ironique la rend muette, mais accentue certains sourires chez les servantes. Sans complexe, j’enlève ce qu’il me reste comme vêtements, et voici totalement nu, face à six femmes, dont une reine qui vient d’ôter ses mains de ses yeux. Leurs regards se focalisent sur mon entrejambe, car si je possède une belle carrure, ce qui existe sous mon bas-ventre n’est pas triste non plus, même au repos.


Ma future femme soupire :



Smiréna hésite entre un sourire navré et un sourire amusé. Durant ce temps, je m’approche de mon grand baquet rempli d’eau chaude que je teste de la main. Elle change de sujet :



Je constate avec amusement que certaines servantes me contemplent d’un air toujours intéressé. Il faut dire que mon service trois-pièces ballotte allégrement à chacun de mes mouvements. Si jamais j’ai des soucis avec ma future femme, je pense savoir où trouver ses remplaçantes.


Toujours debout, les bras le long du corps, Smiréna soupire :



À cette évocation, elle frissonne :



Je m’installe dans la grande cuve en bois, l’eau est à température idéale. Je pousse un long soupir de contentement :



Je ris franchement :



Ma mignonne reine sait être vaillante à sa façon. Je réponds doucement :



Elle ne répond rien. Je désigne alors l’eau du bain dans lequel je suis :



Elle s’exclame aussitôt :



Je soupire :



Je force un peu plus le ton, comme si je m’adressais à un groupe de soldats récalcitrants :



Elle ouvre de grands yeux, mais elle obéit. Les servantes se précipitent sur elle pour l’aider. C’est ainsi que, petit à petit, j’ai le plaisir de voir la reine perdre peu à peu ses vêtements. Fière, elle se laisse faire, figée telle une statue antique, me regardant droit dans les yeux. Je parie qu’elle pense quelque chose comme "vous aurez peut-être mon corps, mais vous ne m’aurez pas, moi".


Une fois que Smiréna est nue, ses servantes nous laissent seuls, elle et moi. Elle reste immobile, telle une belle statue d’Aphrodite avec un peu plus de courbes, de celles que j’ai pu contempler durant mes voyages en Grèce, en particulier celle de Cnide, œuvre de Praxitèle qui divinisa ainsi sa compagne Phryné. Quand je pense que certains bien-pensants voulaient détruire ce chef-d’œuvre au nom de la morale publique ! Bandes de sombres ignares et de crétins absolus !



Elle ne répond rien, elle oscille, elle hésite, puis elle s’exécute. Gracilement, elle enjambe le rebord, puis s’assied dans l’eau, une lueur de défi dans le regard. Durant ce temps, je n’ai rien perdu du spectacle qu’elle m’a offert. Oui, cette femme valait largement que je vienne envahir son pays, même si elle avait été l’impératrice byzantine en personne.


De la main, je désigne la surface fumante :



Ses délicats seins blancs flottant un peu à la surface, elle ironise :



Je deviens plus sérieux et sombre :



Elle me regarde avec une expression étrange, presque compatissante :



Devant l’air circonspect de ma baigneuse, je réponds un peu froidement :



Elle se fend d’un faible sourire :



Je deviens songeur :



Elle rougit un peu, sans me répondre. Je décide d’orienter la conversation autrement :



Smiréna s’étonne franchement :



Je m’esclaffe :



Elle sourit :



Elle se trouble :



Pour accompagner sa courte réponse, elle frappe violemment la surface du bain pour projeter de l’eau sur moi. Je riposte aussitôt, l’éclaboussant copieusement.


À son tour, elle riposte, puis nous nous bagarrons comme des enfants dans de grandes gerbes d’eau. Telle la fillette qu’elle n’est plus, elle se met à rire de bon cœur, sans doute pour évacuer son stress. Elle a alors un visage rayonnant auquel je ne peux résister. Je la prends dans mes bras, je la presse contre moi, ses seins mouillés contre mon torse, son ventre rond contre le mien. Son sourire est suspendu, ses yeux luisent d’une étrange façon, mélange de peur et de désir.


Alors je l’embrasse délicatement, mes larges mains caressant son dos. Elle se laisse faire. Quand nos bouches se séparent, elle ne dit toujours rien. Sa bouche reste ouverte, ses yeux sont toujours remplis de ce mélange. D’une voix un peu rauque, je murmure :



Sa réponse sonne comme une promesse. Cette femme a déjà eu affaire au plaisir masculin, à moi de lui faire comprendre que ça va nettement plus loin qu’une bestiale entrée-sortie avec délestage de sperme au passage.


Elle est actuellement assise sur moi, la barre de mon sexe contre le sien. Je saisis Smiréna par les hanches afin de mieux l’installer, afin que ses lèvres intimes enrobent mon gourdin de chair. Elle se laisse faire, la bouche ouverte, les yeux lumineux. Puis, lentement, je la fais coulisser sur ma tige pour qu’elle se frotte lascivement dessus. Ses doigts sur mes épaules se crispent un peu plus. Peu après, elle ferme les yeux, son plaisir montant doucement.


La guidant fermement, je la fais toujours coulisser, ses lèvres qui enveloppent plus encore mon mandrin massif, frottant son clitoris, faisant monter plus encore la température. Moi, je me retiens, même si ça fait des années que je désire cette femme. Je veux l’entendre gémir, je veux l’entendre jouir, je veux contempler le plaisir sur son visage extasié.


Smiréna pourrait facilement s’échapper de mon étreinte, mais elle se laisse faire. C’est sans doute une reine, indéniablement, mais elle reste une femme qui n’a pas eu vraiment de chance avec les hommes, réduite à un simple accessoire de pouvoir. Peut-être a-t-elle senti confusément que ce serait différent avec moi. Je tiens à effacer toutes les années grises qu’elle a subies.



Elle laisse échapper une faible plainte. Je murmure doucement :



Puis j’accentue le frottement de nos sexes, afin qu’elle accède aux différents cieux, jusqu’au septième. Elle proteste faiblement :



Je l’embrasse fougueusement, elle fond un peu plus, se frottant toujours contre moi. Ses ongles s’enfoncent dans ma peau qui en a vu bien d’autres. Notre baiser est long, sensuel. Soudain, elle pousse des petits cris étouffés, je libère ses lèvres, elle agite la tête d’avant en arrière, gémissant, geignant, visiblement en proie à sa jouissance. Je constate qu’elle essaye de se contrôler, mais son plaisir est fort, très fort.


Alors prenant mon amante posément par les fesses, je le soulève, puis mon sexe vient cogner à son entrée intime, tandis que Smiréna gémit délicatement, perdu dans son plaisir. J’entre en elle, elle pousse un petit cri, ma colonne de chair s’enfonce dans ses profondeurs, bien chaudes et douces. Mon amante vibre, ses ongles plantés dans ma chair, se cabrant fortement en arrière, comme pour mieux s’empaler, puis soudain elle vient cogner son front contre mon torse. Ceci plusieurs de fois.



J’ai déjà eu le plaisir de faire l’amour à des femmes, mais c’est bien la première fois que j’en vois eu réagir de la sorte. Comme si elle avait des années à rattraper, ce qui est finalement le cas.


Tandis que je suis définitivement planté au plus profond, elle sautille sur mon pieu de chair, je l’accompagne dans ce mouvement, serrant les dents pour ne pas exploser tout de suite, car je veux que la nuit soit longue ! Et croyez-moi ce n’est pas facile dans pareille circonstance ! Je ne suis pas une mauviette, mon physique est plutôt proche de celui d’Héraclès, mais je ne suis pas non plus un demi-dieu, ce que je regrette parfois. Mais aussi puissant que fut ce fils de Zeus, je n’envie sa vie, je lui préfère la mienne.


Alternant de plus en plus violemment les poses cambrées en arrière et son front contre mon torse, Smiréna se perd dans mille gémissements, son gracile corps parcouru de frissons. Parfois ses seins oscillants aux tétons pointus viennent se plaquer contre ma peau, ajoutant une complication à ma retenue déjà bien mise à mal. Je serre les dents, mais je crains devoir céder d’ici peu de temps !


Soudain, elle se soulève, sortant à moitié, puis dans un grand cri étrange, elle se laisse retomber violemment sur ma verge malmenée. Je cède, je me transforme en un barrage qui explose sous la pression des eaux. Faisant écho à son cri, je mugis de plaisir tandis que je la pistonne, inondant son antre en folie, me libérant de toute cette tension accumulée depuis bien des années.


Cela étant, je ne sais plus bien… Mais ce que je sais de façon certaine est que ce fut un fantastique plaisir flottant, perdu par-delà les nuages, bien loin par-dessus les terres, à côtoyer les anges. Puis il a fallu revenir en bas monde… Un peu hébétée, mais visiblement comblée, échevelée, épuisée, déboussolée, Smiréna lâche un laconique :



Puis joignant le geste à la parole, sans égard pour son petit cri de surprise, je la soulève sans effort dans mes bras afin de sortir du bain. Puis je me dirige vers le lit afin de lui démontrer à quel point j’ai toujours envie d’elle…




Nuit de pré-noces



À peine est-elle allongée toute mouillée sur le lit que je la couvre aussitôt de mille baisers sur tout le corps, mes mains baladeuses caressant ses reliefs, ses plaines et ses monts. Elle gémit faiblement, partagée entre deux sentiments contradictoires :



Mais elle ne tente pas de m’échapper. Je constate avec plaisir que son corps réagit de façon très positive à mes baisers et à mes caresses. Ses tétons sont érigés, bien durs, sa peau frissonne, ses mains me cherchent maladroitement, et je parie que son antre intime est déjà bien humide. Alors très encouragé, je poursuis mes préliminaires, même si, tout à l’heure dans le bain, nous avons mis la charrue avant les bœufs !


Entre deux gémissements, Smiréna murmure :



Puis je continue mes baisers et mes caresses, mes doigts agaçant son clitoris déjà bien en feu. Elle se cambre, retentant de repousser ma main. Peine perdue, Smiréna explose dans une succession de petits cris.


Je déploie toute ma science, elle jouit, elle jouit encore, elle jouit inlassablement durant la nuit, tandis que je la caresse, que je l’embrasse, que je l’embrase, que je m’enfonce en elle, que j’explose en elle, que je la remplis.


Le lit est dévasté, et j’ai besoin un peu de repos. Nos corps alanguis, elle repose contre moi, telle une poupée fragile. Se relevant un peu, s’approchant plus de moi, ses mignons maintenant écrasés sur mon torse, elle demande ingénument :



Un sourire moqueur se dessine sur ses lèvres :



Elle me regarde intensément, ses seins toujours aplatis contre ma peau :



C’est une excellente conclusion, en effet ; en attendant que je lui en fasse découvrir encore plus jusqu’au petit matin, si le Destin m’accorde de tenir jusque-là !




Jours paisibles



Tout le monde a bien remarqué que notre nuit commune semble avoir été profitable pour les deux parties. Bien que, dans la journée, la Reine se montre souvent distante et réservée, elle le devient nettement moins quand arrive le soir. Bien que parfois, elle ne sait plus très bien sur quel pied danser, il est évident qu’elle cherche à découvrir ce à quoi qu’elle aurait dû avoir droit, il y a bien des années. Et comme je peux être parfois une âme charitable, je me fais un plaisir de l’aider à rattraper le temps.


Finalement, au lit, une reine peut se comporter comme une simple servante d’auberge, habituée à partager sa paillasse. J’ai des doutes sur le fait que Smiréna accepte d’autres hommes dans sa royale couche, mais elle prend nettement la direction de devenir une bonne amante, même si elle me répète qu’elle n’éprouve aucun sentiment à mon égard, sauf peut-être de la reconnaissance que cette invasion se soit si bien passée, sans massacre, ni pillage, ni dévastation dans la population, à condition d’oublier ce qui est arrivé à la première armée rencontrée.


En tout cas, pour une femme qui n’éprouve rien pour moi, je trouve qu’elle ne déteste pas se blottir contre moi pour des longs câlins. Et elle sait me faire comprendre ce qu’elle attend de moi sans me le dire, quitte à jouer ensuite les pucelles effarouchées.


J’invite systématiquement Smiréna ainsi que certains ministres et conseillers à nos délibérations, histoire de bien faire comprendre qu’il y a de la continuité dans le changement. D’ailleurs, au bout d’une demi-lune, la vie quotidienne semble avoir repris ses droits, l’épisode de l’invasion semblant indolore ou presque. Pour faire bonne figure, j’ai baissé les impôts et autres taxes, ce qui a contribué un peu plus à ma popularité. Et je fais attention à ce que la cohabitation entre mes troupes et la population se passe bien, car je sens que ce sera la clé de mon succès si mon cher souverain change d’avis à mon sujet.


Je le crois parfaitement capable de jouer à la même chose que Valentinien quand il a poignardé de sa propre main Aetius, le général qui l’avait pourtant sauvé des Huns. On raconte que quand l’Empereur Valentinien avait demandé à son entourage s’il avait bien fait d’occire son général, il aurait reçu cette réponse : Je ne sais si vous avez bien ou mal fait, mais je sais que de la main gauche, vous vous êtes coupé la droite.


Six mois plus tard, Valentinien était assassiné par deux membres de la garde personnelle d’Aetius, puis l’Empire d’Occident sombrait quelques années plus tard…




Alea jacta est



Tandis que je suis en réunion avec mes subordonnés, un messager muni d’un pli cacheté se présente afin de me le remettre en main propre. Je devine tout de suite d’où il provient, et je suppose que ce ne sont pas d’agréables nouvelles. Je demande au nouvel arrivant d’attendre ma réponse. Celui-ci s’exécute en se retirant dans un coin lointain de la salle.


En soupirant, je brise le cachet, je lis attentivement la missive. Je fais la grimace, puis j’explique :



Sviatognev intervient :



Le silence se fait autour de la table. J’appelle le scribe dévolu aux missives, puis je dicte :



Je me tourne vers mes collaborateurs :



C’est à nouveau Sviatognev qui prend la parole :



Je m’éloigne de la grande table pour aller regarder le paysage de ma nouvelle contrée :



Il y a des moments où il faut se décider à prendre un chemin plutôt qu’un autre.




Couronnement et vie familiale



Pour bien démontrer que je n’ai pas l’intention de fléchir, j’organise mon mariage et en même temps mon couronnement. Je décide de faire simple et sobre, sans dépense extravagante, je pense que j’aurais prochainement besoin d’argent et d’or pour divers projets.


Ce fut une belle cérémonie, je ne vais pas m’appesantir dessus. Néanmoins, j’ai veillé à ce que ce ne soit pas dispendieux et qu’on ne puisse pas plus tard m’accuser de dépenser les sous des autres. J’ai su par la suite, grâce à mes espions, que cet aspect des choses avait beaucoup plu dans la population, toujours prompte à vilipender le faste des autres, mais jamais les siens.


Puis la vie a repris son cours normal. Aidé par ma nouvelle femme, j’édicte en nos deux noms des lois qui vont visiblement dans le bon sens. Tels les Romains des siècles passés avec leurs légions, j’utilise mes soldats à des tâches utiles pour tous, tout en n’oubliant surtout pas de verser les soldes en temps et en heure.


D’un point de vue plus familial, je m’entends bien avec les garçons, surtout depuis que je leur apprends à se servir d’une épée et d’un bouclier. Ils en auront besoin plus tard. Pour l’instant, c’est un jeu pour eux, ils sont si jeunots. Ils sont aussi ravis quand je les balade sur mes épaules, ce qui leur permet de regarder les choses d’en haut. Idem pour la plus jeune des filles de ma femme.


Cependant, Maliana, l’aînée, est nettement plus réservée et distante, d’autant qu’elle est née d’un premier lit, et que son ex-beau-père la négligeait totalement, même si théoriquement elle restait l’héritière en cas de décès de ses parents. Car ici, les garçons comme les filles peuvent prétendre au trône. Dans la réalité, s’il s’agit d’une héritière, on la marie bien vite pour offrir la couronne à son époux. C’est ce qui est arrivé auparavant par deux fois à ma reine de femme.


Je suis justement en train de parler à ma première belle-fille. Je me penche sur Maliana, l’aînée des enfants de ma femme :



Elle s’étonne :



Je rigole franchement :



Je regarde ce petit bout de femme qui me brave à sa façon :



Maliana affiche un rictus :



Elle me regarde d’un air étrange :



Je n’avais pas vu arriver cette question, mais j’en connais la réponse :



Elle ne répond rien, elle se contente de hocher la tête quelques instants, puis faisant demi-tour, elle s’éloigne en me disant :



Puis elle disparaît de ma vue.




Un double triangle



Ce matin, avec à mon bras la Reine, je remonte la longue allée qui relie l’église au château. Pour faire plaisir à ma femme, et aussi pour me montrer, j’ai assisté à une petite messe. Tandis que je fends la foule qui s’amasse autour de nous, je constate que la popularité de la Reine reste au beau fixe, j’espère néanmoins que ce ne soit pas guidé. J’évite ce genre de manipulation et j’ai demandé à mes subordonnés d’éviter ce genre d’initiative qui peut très vite se retourner contre soi.


Soudain, j’ai un pressentiment. Du coin de l’œil, je crois voir briller du métal. Je me jette sur ma femme, elle pousse un petit cri de surprise, nous chutons sur le sol. Smiréna murmure :



Me relevant à moitié, je constate que mes gardes viennent de maîtriser un jeune homme qui hurle des insanités. Il s’en prend surtout à la Reine qu’il traite de pute qui ouvre largement ses cuisses à l’envahisseur. Je passe un bras protecteur autour de ma femme :



J’aime ma Reine à se relever. Ce n’est pas la première fois qu’il se passe des choses étranges dans mon proche entourage. Déjà par deux fois, j’ai dû déjouer des tentatives à mon encontre, mais cette fois-ci, c’est ma femme qui semble visée, et ça, j’apprécie encore moins. Je m’approche du meurtrier en puissance qui gît sur le sol, solidement maîtrisé par quatre soldats, mais toujours en train de crier comme un porc des insanités. Qu’on puisse penser que ma femme soit une putain vendue à l’envahisseur ne fait pas mes affaires. D’ailleurs, j’entends la foule qui murmure. Il va falloir que j’éteigne rapidement ce début d’incendie.


Plaquant sa tête sur le sol, je fouille rapidement le jeune homme et je découvre sur lui un étrange médaillon rond sur lequel sont gravés deux triangles emboîtés, un petit dans un grand. Je ne connais pas ce symbole, mais je sens que je vais me servir de celui-ci.

Impérieux, je me redresse, je pivote sur moi-même montrant à tous cette étrange figure. Puis je lance à la cantonade :



Personne ne répond, les personnes qui m’entourent sont visiblement dubitatives, et ça ne me semble pas feint. Alors j’annonce d’une voix forte :



Toujours à terre, le jeune homme hurle :



Je fais un petit geste en direction des soldats qui maîtrisent toujours l’homme à terre :



S’approchant de moi, un lourd notable habillé de zibeline me demande :



Le nom de mon ex-souverain flotte sur toutes les lèvres. Je souris intérieurement, je pense avoir réussi mon petit tour de passe-passe. En attendant, il faudra interroger ce jeune crétin, mais sans l’abîmer, car je veux qu’il soit ensuite jugé par les gens du pays. Je donne des ordres :



Un peu incrédule, le même homme me questionne :



Un vaste murmure approbateur accueille ma réponse. Soutenant ma femme, je me dirige vers le château, entouré de centaines de "Vive la Reine" et de quelques "Vive le roi". Ite missa est, comme l’a dit auparavant l’évêque.


Arrivés dans notre chambre, ma femme s’effondre :



Je m’empare de son visage :



Ouvrant de grands yeux, elle s’exclame :



À ces mots, Smiréna me regarde d’un air étonné, puis lâche en soupirant :



Elle rougit un peu :



Goguenard, j’hoche la tête :



J’approche mon visage du sien, elle s’alarme :



Puis je l’embrasse. Une fois de plus, je ne peux pas dire qu’elle m’oppose une résistance farouche. Je sais bien que d’après sa religion qui fut aussi la mienne, la femme doit obéissance à son époux, donc profitons-en !

Après quelques agaceries sucrées, je déclare péremptoirement à ma femme :



Elle ne répond pas, mais son sourire parle pour elle. À peine est-elle à quatre pattes sur le lit que je relève ses jupes et jupons pour découvrir un mignon popotin fessu comme je les adore ! En un clin d’œil, j’extirpe ma verge déjà bien raide, avec la ferme intention de m’en servir tout de suite. Je donne une petite claque sur chacune des fesses, elle s’offusque pour la forme. Puis sans préambule, mes mains agrippées à ses hanches, je m’enfonce directement en elle, sans effort, la voie étant déjà bien humide !

Tandis que je suis bien fiché en elle, ma femme proteste :



Ne se dégageant néanmoins pas de mon vit rivé en elle, elle demande :



J’entame un long pistonnage pour bien lui faire sentir ma longueur. Lentement, se prêtant au jeu, Smiréna fléchit des avant-bras pour mieux me présenter sa croupe. Je suppose que c’est son instinct qui parle. Je ne déteste pas quand la femme fait preuve d’un peu de soumission, surtout quand c’est une dame de haute qualité ! Entre une reine et une ribaude, il n’y a pas tant de différence. Idem pour certains empereurs qui ne valaient pas mieux que les innombrables crapules qu’ils ont fait exécuter sans sourciller. Certaines personnes étaient bien nées, mais pas d’autres.


Finalement, votre place dans la société dépend des cuisses d’une femme. Mais que c’est voluptueux ! Je m’enfonce avec délectation dans ces douces et chaudes profondeurs. Les yeux clos, ma femme a la joue plaquée contre le drap, son cul bien offert, sa vulve bien remplie. Je décide de franchir une nouvelle étape :



Elle proteste :



Je sens ses doigts qui s’agitent entre ses lèvres intimes. Elle commence à gémir doucement tandis que je continue de perforer son antre détrempé. Si on m’avait prédit qu’un jour je baiserais une reine comme on baise une fille à soldat, je crois que j’aurais eu une bonne crise de fou rire ! Mais c’est ce que je suis en train de vivre. J’ai un peu abusé de l’était de trouble de ma femme, mais il est bon de varier un peu les plaisirs.

Très vite, Smiréna se met à jouir, à la fois de ses doigts, de mon mandrin planté en elle, et aussi sous l’effet de cette situation inconnue pour elle. Alors, à mon tour, je me laisse aller, et je me vide dans cette belle croupe offerte.

Peu après, alanguie, ma femme se repose, tandis que je reste agenouillé, le sexe flasque. Elle me lance :



Un large sourire aux lèvres, je lui fais la leçon :



Je crois comprendre où elle souhaite en venir :



Elle s’approche timidement de mon sexe flasque et souillé, puis après une once d’hésitation, elle le dépose sur ses lèvres puis dans sa bouche. Bien que maladroite, la fellation qu’elle m’offre remet en forme mon vit qui reprend vigueur. En matière de sexe, il existe bien des jeux possibles. Du moment qu’on sache qu’il s’agit d’un jeu, presque tout est permis, y compris de traiter une reine en fille à soldat. En tout cas, se faire sucer de la sorte est très plaisant ! C’est un petit jeu qu’il faudra que je renouvelle ces prochains jours !


Laissant la reine se reposer dans notre chambre, je réunis mes proches collaborateurs dans la salle du Conseil pour parler de ce qui vient de se passer. Après un rapide tour de table où je laisse s’exprimer librement chacun des participants, je fais une rapide synthèse, puis je demande au scribe de noter ce que je vais dire :



Hébété, le scribe lève la tête :



Trois jours plus tard, un de mes espions m’informe que mon ex-souverain met en place une armée afin de venir m’expliquer du bout de l’épée la notion de fidélité absolue à son égard. Pourtant, il sait fort bien que je suis un mercenaire. Je lui avais patiemment expliqué mon plan qui était de devenir roi afin d’ancrer ce nouveau pays conquis dans une fédération, d’un nouvel Empire Slavon ayant de nombreuses connexions avec l’Empire Byzantin au sud.


Hélas pour eux, les autres chefs de guerre envoyés sur les différentes frontières ont eu moins de chance que moi. Trop impétueux, Domorad a subi une raclée durant laquelle il a perdu la vie. Bien que moins chien fou que Domorad, Blagovid a été vite défait mais a pu sauver sa tête et ses fesses, on raconte qu’il est parti vers le sud, vers Constantinople. Quant à Lubomir, il a été capturé intact puis a été découpé vivant en petits morceaux durant trois jours en place publique, et j’en passe…


J’aurais dû m’occuper de toute cette campagne militaire, mais je ne peux pas être à la fois au four et au moulin. De plus, mon petit royaume de Loutrivne me suffit. Mais si on me cherche des poux sur la tête, ça ne me dérange absolument pas d’étendre mes possessions en grignotant Tchernytski, mon ancien pays d’accueil.


Quant au procès, tout s’est déroulé à merveille. Après une rapide enquête, six personnes ont été traduites devant un tribunal dont les trois séances se sont déroulées en public. Les cinq juges choisis étaient hautement réputés et respectés dans la population. Par leurs outrances verbales et leurs comportements excessifs, la plupart des accusés se sont mis à dos les Loutrivniens. Il a été très facile de prouver que ces exaltés avaient été pilotés en sous-main, les regards se tournant tous vers le royaume voisin de Tchernytski. Demain, j’aurai à mener une armée soudée vers la frontière, et je pense que la victoire sera assez facile. En attendant, j’ai une reine à contenter et à consoler de mon proche départ…




Attaque en plaine



Comme je m’y attendais, mon ex-employeur a foncé droit devant, au plus court, sans prendre la route classique qui relie habituellement les deux royaumes. Je lui ai réservé une petite surprise en aménageant la plaine qui s’étend juste après la petite rivière qui marque la frontière. J’ai fait creuser plein de tranchées garnies de pics, ainsi que divers talus, afin de ramifier petit à petit l’armée adverse. Ces pièges peu sophistiqués ont surtout pour but de ralentir l’armée adverse et de l’entraver.

Mon bras droit est dubitatif :



Je pose ma main sur son épaule :



Predslav pourrait contourner par la droite ou la gauche cette plaine, mais traverser des bois n’est pas évident, sans compter les raids intempestifs qui peuvent survenir. Depuis la fameuse bataille de Teutobourg qui vit trois légions romaines aguerries être totalement anéanties, la plupart des chefs de guerre évitent ce genre de traversée, même presque un millénaire plus tard. Surtout ceux qui sont à cheval !


Comme je m’y attendais aussi, me croyant face à lui, Predslav a foncé droit dans mon piège, éparpillant ses forces. De mon côté, j’ai fait traverser les forêts à un peu plus de la moitié de mes troupes et je l’ai attaqué par revers. Il est facile, de loin, de faire croire à toute une armée présente par divers leurres. Coincés de toutes parts, enfermés dans une nasse, mes adversaires étaient terriblement gênés par les pièges mis en place. Il n’a pas fallu longtemps pour que la plupart des soldats adverses déposent les armes quand je leur ai promis la vie sauve s’ils le faisaient. Je suis connu pour tenir parole. D’autant que certains avaient déjà combattu sous mes ordres.


Seuls quelques irréductibles résistent encore, entourant tant bien que mal leur roi mal avisé afin de le défendre. À eux aussi, j’ai proposé la vie sauve, mais la plupart ont rejeté mon offre. Le temps de dire la moitié d’une messe, la bataille était finie, j’ai tout simplement appliqué la technique des phalanges macédoniennes. À prime vue, mes adversaires ne s’y attendaient pas. Ils ont eu le choix entre mes lames par-devant ou mes pièges par derrière. J’ai ainsi pu mettre la main sur mon ex-employeur intact, car celui-ci n’a même pas eu le courage de vraiment se battre, et encore moins celui de se suicider.


Couvert de chaînes, il est debout, face à moi. Tel un chiot apeuré mais qui essaye de ne pas le montrer, il aboie :



D’une voix toujours pas très assurée, il répète :



Je ricane :



Il baisse la tête, ne répondant pas. Je continue :



Mon prisonnier ouvre la bouche, je lui assène aussitôt :



Il blêmit plus encore :



Je lui tourne le dos :



Aurait-il eu pitié de ma femme et de ses enfants ? Aucunement. Dois-je avoir pitié de lui ? Non. Je connais assez l’âme slave pour savoir que si je le gracie, je vais passer pour un faible. Idem si je me contente de simplement le décapiter. Mais il ne faut pas que je verse dans l’excès inverse.


Je me demande si je ne vais pas accrocher sa cage, et lui dedans, à une potence bien en vue de tous et de le laisser mourir et pourrir lentement ainsi, tout en lui donnant eau et pain chaque jour. Je vais cogiter à la chose. Pour l’instant, ce qui me préoccupe le plus est de retourner chez moi et de fêter ma victoire, d’abord avec mon armée, puis ensuite avec ma femme ! Je sens que je vais être très inventif !




Reine et roi



Quelques mois plus tard, nous fêtons comme il se doit la fusion des deux royaumes, Loutrivne et Tchernytski. Il ne me reste plus qu’à convaincre les contrées avoisinantes de se joindre à nous pour commencer à constituer un Empire Slavon, qui sera bien modeste par rapport à son grand voisin du sud. Mais avec un peu de chance, peut-être borderons-nous un jour le Pont Euxin ou le golfe méotide. Qui sait…


En attendant ce jour, j’ai envoyé à Constantinople une délégation conduite par Sviatognev, en qui j’ai toute confiance, afin de négocier des liens politiques et commerciaux. Ici, sur place, il y a plein de choses à mettre en place, et ce n’est pas une sinécure. Être roi n’est pas uniquement limité à se vautrer dans les plaisirs débridés, ce que je fais quasiment chaque soir avec Smiréna.


Parfois je me dis que si Smiréna avait été une simple fagotière, ma vie aurait été bien différente, mais je ne vais pas blâmer le destin de m’avoir accordé à la fois une Reine et un royaume. Non, deux royaumes…


Le soir est à nouveau tombé, et il est l’heure d’aller honorer ma reine à ma façon… Après quelques cajoleries et autres gentilles turpitudes, je suis nu contre elle, les draps déjà défaits, plaqué contre son magnifique corps si sensuel, mon sexe dur contre son mignon ventre. Puis délaissant sa bouche, je glisse entre ses seins, sur son ventre, pour venir nicher ma tête entre ses jambes largement ouvertes. Je lui fais alors subir la douce torture de ma langue dans sa fente liquide, de mes doigts qui parcourent son corps, ses seins, son ventre. J’exige tous les moindres recoins de son corps, devant, derrière, s’attardant sur le creux de ses reins avant de partir de plus belle vers ses fesses.


Ma femme soupire d’aise sous mes caresses. Je lui impose de rester sur le ventre, jambes et bras en croix tandis que je remonte à coup de baisers appuyés, brûlants. Ma langue longe sa cuisse et plonge dans sa chatte brûlante. Puis je remonte lentement. Smiréna a un petit frisson quand je s’attarde un court instant à l’orée de son petit trou. Puis je remonte le long de son dos, me frottant impudiquement sur elle, sans lui imposer le poids de mon corps.


J’arrive dans son cou, tandis que plus bas, mon sexe impatient cherche à entrer en elle, cognant à l’orée de ses lèvres intimes. Avide, je capture ses seins, je joue délicatement avec ses tétons tandis qu’elle m’accueille en elle. Tout est doux en elle, et je sens nettement chaque centimètre de mon sexe s’enfouir en elle, mon corps puissant recouvrant le sien, tandis que je continue les tortures exquises que j’inflige à ses seins et les morsures délicates dans son cou.



Maintenant, je suis complétement entré en elle, je la remplis. Je commence un lent va-et-vient. Je lâche un sein pour fourrager mes doigts dans son bosquet. L’instant d’après, nos deux corps sont agités de soubresauts, ses fesses cherchent mon vit afin qu’il se plante plus loin en elle, je la pistonne tout en imprimant à mon engin un mouvement circulaire, me frottant à son magnifique cul, épousant sa rondeur.



Mes doigts excitent directement son clitoris en fusion, son téton entre mes doigts rapaces, son sein en pleine main, sa bouche humide rivée à la mienne, n’en pouvant plus, j’explose. Elle m’accompagne dans la jouissance. Des tas d’étoiles fusent à mes yeux, une onde, une vague puissante m’envahit et je me laisse porter, heureux, comblé, tandis que je la remplis inlassablement, prenant totalement possession d’elle.


Toute la nuit, je continue à l’aimer, à plonger en elle, à se caler entre mes cuisses, entre ses seins, dans sa bouche. Toute la nuit, je goûte chaque parcelle de son corps, le goût sucré de sa peau, comme celui de sa cyprine, faisant mille folies sur et dans ce pauvre petit corps en folie trempé de sueur et de désir.


C’est elle qui exige, une dernière fois, que je replonge en elle pour la combler, pour que je la force de mon vaillant engin, que je l’explore encore et encore, que je me vide à nouveau en elle, qu’elle déborde, tandis qu’elle jouit pleinement. Puis elle goûte à nouveau de mon sexe trempé de nos sécrétions jusqu’à ce qu’il mollisse dans sa bouche…


Puis nous nous endormons enchevêtrés, fatigués, épuisés mais rassasiés. L’Empire attendra demain matin…