n° 19342 | Fiche technique | 8430 caractères | 8430Temps de lecture estimé : 6 mn | 04/12/19 |
Résumé: Lorsque j'ai rencontré Claire, je n'imaginais pas qu'elle m'offrirait une journée aussi... étrange. | ||||
Critères: f fh fdomine noculotte odeurs fmast init -hsoumisaf | ||||
Auteur : Unperson Envoi mini-message |
J’avais rencontré Claire lors d’une soirée entre amis. Nous partagions en effet un cercle de connaissances communes. D’apparence banale, elle n’avait soulevé chez moi qu’un intérêt limité. Je n’étais d’ailleurs pas célibataire à l’époque. En fait, j’aurais totalement oublié Claire si je ne l’avais pas revue quelques mois plus tard. J’étais à la terrasse d’un café, lorsqu’elle m’aborda :
Elle confirma et nous nous mîmes à discuter tranquillement. J’appris alors qu’elle était architecte, qu’elle avait récemment rompu d’avec « un vrai connard » et qu’elle s’intéressait beaucoup aux langues étrangères. Cela aurait d’ailleurs dû me donner un indice pour la suite, mais nous y reviendrons. La discussion était très intéressante et d’ailleurs, je commençais à remarquer qu’elle ne manquait pas de charme. Nous avons échangé nos numéros respectifs à l’issue nos échanges et nous étions promis de passer des moments ensemble. Quelques jours plus tard, alors que je ne pensais plus à cette rencontre, absorbé par une longue semaine de travail, je reçus ce message :
J’avoue être resté pantois. Nos échanges avaient été fort courtois, et je ne m’attendais pas à un message si cru de sa part. Était-ce un jeu ? Cherchait-elle à me provoquer, à me jauger ? Quoiqu’il en soit, je ne me démontai pas :
Mon portable se mit à alors à vibrer :
Abasourdi par cette nouvelle saillie forte, je mis plusieurs secondes avant de répondre. Avant que j’aie repris mes esprits, de nouveau un message :
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Arrivé en bas de son appartement, je commençais à me poser des questions sur cette fille. J’avoue que mes précédentes copines n’avaient pas du tout ce genre de comportement. Sans être ennuyeux, mes rapports sexuels n’étaient pas pour autant particulièrement débridés. C’est tout juste si nous pratiquions le sexe anal et c’était là une limite en termes de « délires » sexuels que j’avais expérimentés. Je sentis qu’avec Claire, cela serait différent. Et j’avais bien raison… Arrivé en face de sa porte, j’hésitai une dernière fois avant de sonner. Mon sexe était déjà tendu, et j’avais l’impression que la situation pourrait devenir hors de contrôle rapidement. Mais il fallait bien essayer, pour la science me dis-je. Je sonnais. Claire m’ouvrit la porte et s’adressa à moi directement :
Un peu chancelant, j’obéis. Il fallut moins d’une minute à Claire pour réapparaître, tout juste vêtue d’un string. Alors que je m’apprêtais à ouvrir la bouche, elle me fit signe du doigt de me taire. Son doigt près de sa bouche s’enfonça alors dans celle-ci et dans un geste provocateur elle le suça et le mouilla. Puis elle l’approcha de ma bouche et me demanda de la sucer, ce que je fis. Elle continua alors à le mettre dans sa bouche et à me le donner, faisant ainsi plusieurs allers-retours. Ce geste d’apparence anodin fait par cette fille quasiment nue, accompagné d’un regard provocateur m’excitait intensément. Je me demandais ce que serait la suite.
Puis elle m’assena une gifle. Elle rit, puis se retourna et agita ses fesses devant mes yeux. Elle prit quelque chose de sous la table pendant qu’elle se déhanchait et avant que je ne réalise ce qu’il se passait, elle m’attacha à l’arrière du canapé. J’avais mes deux bras par-dessus la tête, retenus par la structure du canapé et j’étais à sa merci. Bien sûr, je m’étais laissé faire. En fait, j’étais déjà attaché par l’esprit. Scotché plus exactement par la puissance érotique infinie de cette créature. Les manœuvres terminées, elle me parla encore :
Et immédiatement, je la vis enfoncer deux doigts dans sa chatte, abondamment mouillée. Elle se masturbait carrément devant moi et prenait manifestement du plaisir à me voir ainsi impuissant. Mon jean me serrait comme jamais auparavant. Après une bonne demi-minute de masturbation intensive, elle ressortit délicatement ses doigts et me regarda :
Je respirais alors, comme elle me l’avait demandé et son odeur ne fit qu’ajouter à mon excitation. C’était magique, épicé, jamais je n’aurais pensé qu’une simple senteur pût provoquer autant de sensations. J’aurais pu rester longtemps encore à sentir ses doigts, mais elle avait déjà pris une autre initiative. Doucement, elle commença à passer ses doigts partout sur mon visage. Elle me couvrait de son jus, littéralement. Lorsqu’elle eut terminé sa petite manœuvre, elle procéda de nouveau à une rapide masturbation. Elle enfonça cette fois trois doigts dans sa chatte, toujours plus mouillée. Puis lorsqu’elle les eut extraits de sa caverne, elle me fit ouvrir la bouche et sucer ses doigts. Une fois dans ma bouche, je découvris ce goût salé et fruité caractéristique. Elle ne se contenta pas de me laisser sucer ses doigts, elle les balada dans toute ma bouche, sur les joues, sur la langue, elle me les enfonça profondément et les ressortit. Elle se mit alors à les sucer elle-même, consciente de l’effet fou que cela provoquait chez moi.
Elle se mit de nouveau à rire puis elle agrippa son string et le frotta contre sa chatte tout en l’approchant de mon visage. J’essayais de sortir ma langue pour goûter de nouveau ce fruit divin mais la diabolique ne m’en laissa pas l’opportunité. Après ce petit manège, Claire recula et monta sur sa table basse. Elle fit tomber son string tout en se déhanchant. Elle s’assit ensuite sur la table et écarta les jambes pour m’offrir une vue magnifique sur sa vulve. Elle ramassa son string avec son pied et l’approcha de moi. « Lèche ! » me dit-elle sur un ton autoritaire. Je m’exécutai. Ma langue parcourut alors ce délicieux pied, tenant sa culotte. C’était bon. Pendant que je m’attelais à la tâche, son autre pied caressait mon sexe à travers mon jean. J’étais au bord de l’explosion. J’avais même la sensation que j’allais éjaculer sans même avoir touché mon sexe.
Pour compléter le tableau, Claire se masturbait frénétiquement. J’aurais voulu que cela dure éternellement. Après quelques minutes de ce jeu, elle me délaissa complètement, s’allongea sur la table et continua à se masturber jusqu’à la jouissance. Impuissant, j’assistais à la scène sans pouvoir m’y joindre. Un orgasme la ravagea, la force de ces cris était proportionnelle à celle de ma frustration. Elle remit son string, me libéra et avant que j’aie pu dire la moindre chose, elle m’indiqua la porte. Une fois sorti de l’appartement je repérai ce qui semblait être un local de ménage et après m’être assuré que personne ne m’ait vu, j’y allais pour me masturber. Je jouis en quelques secondes.
Ce n’est qu’une fois rentré chez moi que je pensai à consulter mon téléphone. Parmi la pléthore de notifications inutiles, un message attira mon attention :
PS : Ceci est mon premier texte.
PS 2 : À suivre éventuellement, si cela vous plaît.