Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/

Week-end en amoureux

Une petite présentation pour ce premier récit qui est réel. Nous sommes un couple ensemble depuis quinze ans et marié depuis trois ans. Madame a trente-cinq ans, et moi-même trente-huit ans, nous avons trois enfants. Une vie, disons routinière au quotidien, boulot, enfants, maison, dodo, etc. nous essayons tout de même de briser cela de temps à autre. Cette histoire s’est déroulée en janvier 2018.

Pour notre mariage, mes collègues de travail nous avaient offert une box pour un week-end en amoureux. Nous avons mis du temps avant de valider ce cadeau pour en profiter pleinement. Nous nous sommes mis d’accord pour caler une date et partir sans enfants. Au fur et à mesure de l’approche du jour J des idées me venaient pour lui proposer des jeux coquins afin d’agrémenter ce moment de détente. Quelques gages chacun à faire que nous devrons découvrir au fur et à mesure.

La date fatidique arrive ! Nous sommes tous les deux en week-end le vendredi à midi, nous en profitons donc pour nous préparer et partir au plus vite. Chacun fait sa valise dans son coin en respectant au mieux les demandes faites pour les jeux. Pour ma part, je n’ai pas grand-chose à prendre, à part un lot de surprises prévues pour ma dulcinée et l’appareil photo pour immortaliser tout ça, mais madame a un peu plus à préparer. J’avais décidé de la tenue qu’elle devait porter : lingerie blanche, petite robe courte avec des bas et chaussures à talons. L’heure du départ sonne, je charge la voiture, ferme la maison et en roule pour ce week-end détente sans enfants.

Nous roulons tranquillement dans la bonne humeur et une ambiance très détendue sous la pluie battante pour rejoindre la chambre d’hôte réservée qui se trouve à environ 3 h de chez nous. Une pause-café s’impose pour se dégourdir les jambes. En descendant de voiture, je la regarde et lui dis :

• — N’oublie pas ton premier gage.
• — Ne t’inquiète pas, mon chéri, j’y pense depuis un bon moment.

Je me réjouis de cette réponse. Nous allons nous chercher un café, fumons notre cigarette sur une aire de repos bondée de monde. Elle part au toilette et revient avec un grand sourire en me montrant discrètement son string en le sortant de sa poche ! Premier défi relevé ! Je lui souris de façon à la féliciter. Nous remontons en voiture pour reprendre la route et en montant, elle me dit :

• — Je pense que l’homme qui fume s’est rendu compte de notre manège, il me regarde avec insistance et je pense même qu’il a tout vu.

Elle était toute rouge, mais cela m’a procuré un certain plaisir. Je rejoins l’autoroute pour reprendre le trajet prévu. Toujours cette bonne humeur en voiture jusqu’au moment où elle met son string dans son sac à main et moi de lui dire :

• — Au fait, je n’ai pas vu si tu l’as vraiment quitté ou si c’est un string que tu avais déjà dans ta poche !

Cette phrase est plutôt faite pour déclencher le gage suivant…

Elle lève un peu ses fesses du siège pour relever sa robe et me montrer sa jolie minette toute lisse à l’air libre. Des frissons d’excitation m’envahissent tout en conduisant. En réponse à cette vue :

• — Ma chérie, il me semble que tu as un autre gage à faire…

Elle ne s’est pas fait prier pour le commencer. Elle laisse sa tenue relevée avec les cuisses bien écartées. À la vue de sa minette, l’excitation était bien présente aussi chez elle. Elle se penche pour attraper son jouet préféré dans son sac ! Le Satisfyer pro 2 (stimulateur clitoridien). Je lui dis :

• — Tu vas bien te faire plaisir, mon amour.
• — Oui, oui, mais ce plaisir sera pour nous deux.

Elle approche le jouet de sa minette en l’allumant sur la deuxième vitesse, se le pose sur le clito en écartant encore plus ses belles jambes. Je jette un œil furtif pour ne pas perdre ma trajectoire et je vois le plaisir monter en elle, ce qui a pour effet de me faire frissonner et durcir l’entrejambe. Elle accélère la vitesse, ses gémissements sont de plus en plus forts. Mes coups d’œil sont toujours très rapides, mais précis sur ce que je veux voir. Elle sent que ce moment va être torride, elle me dit :

• — J’ai chaud, je te veux mon amour.
• — Je conduis et on ne peut pas s’arrêter. Continue et tu vas bien jouir.

Son doigt clique à nouveau pour monter d’un cran la cadence d’aspiration. Je regarde tout aussi rapidement, mais vois bien son sexe trempé et elle, à se mordre les lèvres, ce qui a pour effet d’étouffer ses petits cris. À moi de dire :

• — Lâche-toi, mon amour, personne ne t’entend ici

Elle s’exécute au moment même. Sa jouissance est proche, au son de sa voix. Elle accélère encore, ce qui lui fait pousser des cris plus forts. L’orgasme est là, elle jouit fort, même très fort. Mes yeux ne savent plus où donner… Sa minette est complètement trempée de plaisir, elle a coulé partout sur le siège de la voiture, sa respiration est forte et haletante. Elle reprend pied et me dit :

• — Je suis épuisée de ce puissant orgasme.
• — Tu es si belle quand tu jouis, mon amour, que cela m’excite encore plus !
• — Regarde, je suis tellement ouverte que je sens l’air à l’intérieur de moi-même

Nous explosons de rire ensemble, mais mes yeux ne manquent pas ce spectacle fabuleux de ce sexe littéralement ouvert et suintant de cyprine. Le siège est lui aussi ruisselant…

Une fois nos esprits repris nous discutons de nos sorties à faire le soir même pour profiter au plus tôt. Le peu de temps qu’il nous reste pour arriver à destination se fait dans une atmosphère légère et coquine. Sa main gauche se glisse sur mon pantalon pour aller vérifier mon état d’excitation.

• — Dis donc, tu es encore bien durci, mon chéri.
• — Désolé, mais le spectacle a été tellement bon que j’ai du mal à me concentrer sur autre chose.
• — Défais ta ceinture et tes boutons que je puisse soulager cette tension.

Je m’exécute aussitôt ! Sa main prend mon sexe déjà très dur pour lui prodiguer des caresses très agréables. Je sais que cela va être de courte durée, vu que le point d’arrivée est à quelques minutes. Elle ne veut pas lâcher et me mettre dans l’embarras pour descendre de la voiture pour être accueillis par nos hôtes.

Il est 16 h 30, nous arrivons enfin dans cette belle et grande demeure dans un cadre somptueux. Elle me dit :

• — Bon courage, mon amour, je t’aime fort, tout cela avec un grand sourire

Je me remets comme je peux, nous descendons de la voiture pour rejoindre la dame qui est à la porte à nous attendre. Nous discutons et prenons lieu dans notre suite. Je file chercher les valises à la voiture pendant que ma femme écoute les dernières consignes. Je reviens et la trouve allongée sur le lit.

• — Chéri, on va bien s’amuser ici ! Le lit est très confortable, le canapé et les fauteuils aussi.

Je teste ses dires en m’asseyant dans un fauteuil qui est très moelleux et donne envie d’y rester.

Vu que madame est assez frileuse, je monte le chauffage à 24°. Je lui propose de prendre une douche et sortir à la ville la plus proche pour commencer nos visites. J’ouvre la porte de la salle de bain et vois une grande douche et une belle baignoire d’angle. Mon choix est assez rapide, me faisant couler un bon bain. Je me déshabille pendant que l’eau coule et prépare mes habits du soir. Elle me rejoint au bain qui laisse passer quelques caresses d’amour. Nous nous préparons pour partir au plus vite.

Nous passons devant un petit restaurant où ils annonçaient un chanteur portugais le soir même. Nous décidons donc de réserver une table au passage au vu de ses mêmes origines. Nous nous baladons, l’heure de la réservation approche, elle de me dire :

• — On va retourner à la chambre, il me semble avoir oublié quelque chose.
• — Je ne suis pas sûr qu’on ait le temps, ma chérie
• — Il va falloir, sinon tu n’auras pas ta surprise.

Ses arguments sont tels que nous repartons à la chambre d’hôte. Je vais pour descendre de la voiture, mais elle refuse. Je dois l’attendre.

• — J’en ai pas pour longtemps, je reviens vite.

Effectivement son retour a été rapide, disons un petit quart d’heure.

Elle a changé de manteau à première vue, mais rien d’autre. Nous allons au restaurant qui se trouve à 2 km environ. Nous sommes accueillis avec un grand sourire par une jolie serveuse. Nous nous asseyons à notre table, mais elle ne retire pas son manteau épais, pourtant il fait chaud dans la pièce pour le moment assez vide de monde. Tout en discutant, elle écarte son manteau et me laisse entrevoir qu’elle n’a plus de robe sur elle, mais uniquement une jolie guêpière offerte peu de temps avant. Elle s’approche de mon oreille pour me souffler :

• — Je n’ai rien mis, pour ton plus grand plaisir, mon amour

Les frissons d’excitations reviennent à grands pas. Elle écarte un peu plus pour me laisser voir ses bas. Elle fait attention de ne pas être vue. Sa bouche vient m’embrasser, elle referme son manteau, se lève et se dirige vers les toilettes. Je reçois un SMS d’elle où elle écrit :

Je jette un œil pour voir si du monde peut voir, mais à première vue tout devrait bien se passer. Les secondes d’attente sont longues, mais mon téléphone vibre à nouveau :

Elle fait durer le suspense… ! Un nouveau message arrive ! Une photo d’elle sans son manteau devant le miroir des toilettes, vêtue uniquement de sa guêpière, ses bas et ses chaussures à talons. Elle est très sexy, mon corps en frissonne. À moi de lui écrire :

Elle revient, retire son manteau et s’assoit sur la banquette à mes côtés. Elle est vêtue d’une robe courte assez échancrée au niveau du décolleté. En position assise, on aperçoit le haut de ses bas ce qui a pour effet de la faire rougir dans un premier temps, mais vite elle en joue quand elle se sent regardée par les voisins de tables et les serveurs. Le repas se passe, nous regardons le chanteur portugais qui avait un certain talent jusqu’à décider de partir pour continuer notre soirée à la chambre pour les dernières surprises et gages.

Peut-être la suite dans un autre récit…