n° 19372 | Fiche technique | 34140 caractères | 34140Temps de lecture estimé : 20 mn | 22/12/19 |
Résumé: Jennifer est amoureuse de Michaël depuis qu'elle est toute gamine. Ce n'est peut-être pas la moindre de ses erreurs. | ||||
Critères: f fh jeunes voir exhib photofilm fellation pénétratio | ||||
Auteur : Someone Else (Comme ça en passant) Envoi mini-message |
Il fait beau ce jour-là. La température est clémente, le ciel est bleu, les oiseaux chantent… Cela va même tellement bien que, pour une fois, Jennifer vient de réussir son créneau du premier coup. Plutôt contente, elle ouvre sa portière et ce début d’après-midi idyllique est subitement interrompu par une violente dispute.
Les deux amoureux qui se disputent, ce sont Clara et Michael. Et comme ce dernier essaie encore une fois d’insister, la fâcherie se termine par une magistrale paire de claques assénées avec une telle force que l’homme en manque de perdre l’équilibre. Visiblement plus que furieuse, la demoiselle s’éloigne, laissant sur place un gars totalement dévasté.
Non, cette dernière n’est pas du genre à rire du malheur des autres… La vérité, c’est que depuis toute gamine, elle a Michael dans la peau, même s’il ne s’est jamais vraiment intéressé à elle. Depuis des années, elle a tout fait pour attirer son attention, mais rien n’a fonctionné : sans qu’elle ne sache pourquoi, il ne l’a jamais considérée comme autre chose qu’une simple amie d’enfance… Et une amie parmi tant d’autres.
Pourtant et malgré le nombre invraisemblable de casseroles que Michael trimbale – ce ne sont par bonheur que des petits délits, ce qui lui a permis d’éviter jusque-là la case prison –, elle n’a jamais jeté l’éponge, persuadée que le jour où elle parviendrait à le faire craquer, il rentrerait enfin dans le rang. D’ailleurs, si elle a eu de nombreuses autres aventures avec des garçons, elle ne sait pas elle-même si son but ultime était plus de le rendre jaloux que d’essayer de le chasser de sa tête, avec pour conséquence des histoires qui se sont toutes finies en eau de boudin, et pour cause : quand on couche avec un type en pensant à un autre, cela finit toujours par se voir ! Pourtant, elle en a connu quelques-uns qui sortaient véritablement du lot, des gentils, des mignons, des sympas, des qui faisaient admirablement l’amour… et surtout, elle en a bien conscience, des bien plus fiables que Michael ne le sera jamais ! Seulement, le cœur ne se commande pas,
De son côté, Michael est tout bonnement effondré, mais, de façon assez inexplicable, il ne pleure pas. Cela ne lui ressemble pas, d’ailleurs : il n’a jamais rien eu d’un caïd capable d’encaisser les aléas de la vie sans sourciller… Oui, elle le sait, il trimbale une réputation de minable, mais de tout cela, Jennifer ne tient pas compte : une fois qu’il sera dans son lit, tout rentrera dans l’ordre, elle en mettrait sa main au feu ! Et là, alors que Michael est enfin à sa portée, elle ne va pas laisser passer sa chance.
Un coup d’œil dans le rétroviseur, histoire de ne pas être trop décoiffée, elle remet un peu d’ordre dans sa tenue qui, été oblige, est franchement légère : un débardeur gris qui moule sa petite poitrine et une petite jupe qui lui arrive à mi-cuisse. Rien d’intentionnellement sexy là-dedans, mais entre ses longues jambes, ses cheveux blonds et ses yeux verts, elle est ravissante… et elle le sait. Malgré cela, elle a besoin de prendre son courage à deux mains pour se diriger vers lui comme si de rien n’était et lui faire classiquement la bise, tout en faisant mine de ne pas être au courant de ce formidable clash qui vient de se produire.
Là, de façon assez inattendue, Michael devient subitement intarissable. Il aime Clara, mais celle-ci vient de le larguer. Pourquoi ? Parce qu’elle avait un fantasme et qu’il s’est débrouillé pour qu’elle le réalise et que, bien qu’elle ait été ravie la première fois, enchantée la deuxième, enthousiasmée à la troisième, elle ne veut subitement plus entendre parler de lui.
Intérieurement, Jennifer sourit. Si Clara n’est pas moche, on ne peut pas dire non plus que ce soit un canon… La faute notamment à une passion quelque peu dévorante pour les hamburgers.
Tous les joueurs de poker le savent : peu importe ou presque ce que tu as dans la main, c’est ce que tu en fais qui compte, cela a même fait l’objet d’une célèbre pub. Même avec un full, si l’adversaire te calcule un peu trop bien, t’as toutes les chances de te retrouver en slip sans compter que certains pros s’y entendent admirablement pour se faire passer pour des branques pour mieux te plumer par la suite.
Sacré Michael… S’il n’existait pas, il ne faudrait surtout pas l’inventer.
Naturellement et comme toujours avec ce loustic, tout cela sent le plan foireux et Jennifer en a parfaitement conscience ! Mais pour elle, l’occasion est décidément trop belle : accepter de poser nue pour lui, ce sera à la fois le moyen de lui montrer à quel point elle est ravissante, en espérant lui donner envie d’elle, tout en lui prouvant qu’elle est prête à tout pour lui plaire.
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Une petite heure plus tard, ils arrivent sur le lieu de rendez-vous : il s’agit d’un petit village abandonné au milieu de nulle part, comme ils sont nombreux dans l’arrière-pays. Une dizaine de types sont là, matériel en bandoulière. Un grand type vient vers eux.
Grand prince et bien qu’il jouisse, mini-jupe oblige, d’un point de vue imprenable sur l’entrejambe de Jennifer, l’homme tourne la tête au moment fatidique. Cependant, il ne peut retenir un petit sifflet admiratif lorsqu’elle lui apparaît en pied.
Autrefois, cet endroit était le parvis de l’église, aujourd’hui à moitié écroulée. Bien à l’abri des regards, l’homme s’adresse à elle.
Lorsqu’ils reviennent, telle n’est pas sa surprise de voir que Michael est attaché sur une chaise, ses poignets et chevilles solidement scotchés avec ruban adhésif professionnel.
Le cerveau de Jennifer va à cent à l’heure : et si, en plus de tout le reste, elle lui sauvait vraiment la mise ? Après un coup pareil, il lui serait vraiment redevable et il ne pourrait plus se défiler ! Non, décidément, l’occasion est trop belle !
Il sort alors une carte de visite de sa poche.
Ah bon ? C’est possible, ça ?
Trois des photographes, plus un grand black sortent alors un grand lit d’un fourgon, avant de soigneusement le recouvrir d’un drap de satin bleu.
Plutôt surprise, Jennifer s’assied… Et dès cet instant, les appareils crépitent, tandis que d’autres personnes s’activent derrière leurs caméras. Prenant garde de garder ses genoux serrés, elle replie les jambes, mais l’inévitable se produit : très vite, sa petite culotte rouge apparaît, pour le plus grand bonheur de l’assistance.
Ce jour-là, la belle porte un string minuscule, l’on appelle parfois cela un thong. Lorsqu’il est en place, le microscopique triangle de dentelle cache à grand-peine les lèvres de son sexe, laissant apparaître une bonne partie de sa toison blonde, pourtant réduite au strict minimum. Mais dès qu’elle fait un pas, tout cela a tendance à s’insinuer dans sa case trésor ! Alors, pourquoi fait-elle cela ? Parce que cela lui plaît, pardi ! Avantage non négligeable, si d’aventure sa jupe se soulevait pour une raison ou pour une autre et quand bien même son intimité serait-elle dévoilée, personne ne pourrait l’accuser de se balader sans culotte.
Et des pas, Jennifer en a fait pas mal, depuis ce matin… Du coup, en dehors du cordon de soie rouge qui lui file entre les fesses, seule une infime partie du tissu est encore visible, tout en haut de son sillon féminin. Sans hâte et en s’efforçant de garder une pose presque naturelle, elle écarte légèrement les genoux, puis un peu plus… jusqu’à se retrouver les compas quasiment à l’équerre et provoquer une certaine agitation auprès des photographes, probablement friands d’une série de gros plans assez suggestifs. À sa grande surprise, elle n’en a aucune honte, trouvant même ça plutôt plaisant.
Ce n’était pas vraiment prévu dans le contrat, mais cela peut leur faire plaisir… Alors, elle joue avec ses petits seins ronds, les cajole, les caresse, titille les pointes… Ces dernières se mettent alors à durcir, ce qui vaut à Jennifer une nouvelle série de gros plans.
Bien entendu, la jupe ne tarde pas à rejoindre son haut… À quatre pattes, les seins quasiment posés sur le drap de satin, elle offre cette fois son cul aux rayons du soleil pour le plus grand bonheur des apprentis reporters… Jusqu’à ce que le string suive le même chemin.
Désormais totalement nue, Jennifer est dans un état second. Est-ce pour cela qu’elle glisse le bout de son majeur à l’intérieur d’elle-même ? Du coin de l’œil, elle regarde furtivement la réaction de Michael, qui n’en perd pas une miette. Alors, elle se tourne un peu plus vers lui pour lui offrir une vue encore un peu plus directe sur son intimité et là, à la grande surprise des types tout autour, elle commence à se caresser. Un doigt qui coulisse en elle, puis deux, puis ceux de l’autre main qui s’agitent sur son bouton magique… Elle va jusqu’à se contorsionner pour passer sa main derrière elle pour pouvoir continuer de se combler tout en ne cachant qu’un minimum de son sexe, jusqu’à ce que l’improbable se produise : elle jouit… Son cri résonne dans les rues vides, à la plus grande stupéfaction de l’assistance. Elle tourne alors la tête vers Michael, mais celui-ci a la lèvre ouverte, le sang coule doucement le long de son menton.
Ce disant, un type s’approche vers elle. Présent depuis le début, elle ne sait pas ce qu’il fait là, puisqu’il n’a aucun appareil d’aucune sorte dans les mains… À l’exception d’un chibre de belle taille, déjà au garde-à-vous, et qu’il vient de sortir de sa braguette.
Houla ! On dirait bien qu’il y a un os dans le pâté !
La tête d’Adam parle pour lui : il est sincèrement surpris… Il se rapproche de Jennifer.
De là où elle est, elle n’entend pas la discussion… Tout ce qu’elle voit, c’est que l’intéressé vient de se prendre une patate en pleine tronche… Il en est tombé à la renverse.
Pour Jennifer, c’est de nouveau la tempête dans son crâne… Plusieurs idées s’entrechoquent : certes, Michael s’est manifestement payé sa tronche, mais d’un autre côté, le fait qu’il l’a traitée de salope sous-entend que ce qu’elle a fait ne l’a pas laissé indifférent. Et quand bien même ce ne serait pas le cas, elle ne se voit pas être responsable de ses déboires futurs.
Enfin, ça, c’est ce dont elle essaie de se persuader… Parce qu’en fait et même si elle n’ose se l’avouer, son ventre lui envoie un flot de signaux bien différents ! Il y a là, autour d’elle, une petite quinzaine de gars qui la flashent et la filment en long, en large et en travers, et il suffit de jeter un œil sur leurs braguettes pour savoir que tout ce petit monde bande comme des taureaux. Et qui est la responsable de ces formidables triques ? Elle ! Jamais elle ne s’est sentie désirée à ce point…
Sans oublier que, même s’il y est allé de façon quelque peu cavalière en lui collant sa bite sous le nez, le type auquel elle appartient est loin d’être moche et, en plus, ne ressemble pas à ces manches à couilles que l’on rencontre quelquefois sur les mauvaises vidéos de cul. Alors, dans un état second, elle s’entend répondre :
Adam éclate de rire.
Alors, et à la grande surprise de toute l’équipe, c’est elle qui se dirige vers le gars en question, qui s’est simplement mis en retrait et attend patiemment, la bite toujours au garde-à-vous. Elle sourit : pour tenir une érection pareille et surtout aussi longtemps, elle se doute bien qu’il n’y a pas trente-six solutions ! Elle se rappelle alors qu’au tout début de la séance photo, elle l’a vu avaler quelque chose qu’elle avait pris pour un simple bonbon auquel, bien entendu, elle n’avait attaché aucune importance… Mais là, maintenant, elle comprend comment le type s’y est pris pour ressembler à ce point à un portemanteau.
Sans se départir de son sourire tout en exagérant sa chute de reins, c’est au sens propre qu’elle attrape l’homme par la queue puis, faisant fi du gravier par terre, elle s’agenouille, et la voilà qui embouche ce dard qui lui semble encore un peu plus raide que tout à l’heure.
Elle suce, elle gobe, elle lèche, elle branle, elle lui caresse les baloches et, pendant ce temps et comme de bien entendu, les appareils crépitent. De là où elle est et même si elle ne peut pas le voir, elle s’imagine Michael, toujours attaché et fou de jalousie, en train de péter un câble : cela lui donne encore un peu plus de cœur à l’ouvrage, et pourtant elle n’en manquait déjà pas.
Bon, c’est bien gentil tout ça, mais on ne va pas y passer la journée… C’est ce sans doute ce que se dit également l’homme puisqu’il la décolle délicatement de sa teube avant de la prendre dans ses bras et de la poser délicatement sur le lit. Elle se régale déjà de sentir ce pieu dressé tout au fond d’elle, mais il semble que l’homme en a décidé autrement : il s’incline alors vers elle et, après lui avoir fermement ouvert les jambes, plonge vers son sexe qui brille sous le soleil.
Là, le contact de cette langue agile sur ses parties sensibles l’électrise, d’autant que le gars semble très exactement comment mener sa barque ! Que ce soit aux alentours de son bouton magique ou à l’orée de sa grotte, il sait exactement comment s’y prendre pour obtenir l’effet escompté ! Le meilleur étant qu’il parvient tout de même à toujours faire en sorte que les autres puissent en parallèle tout voir de ce cirque pour mieux l’immortaliser.
Ce qu’elle ressent, là, tout de suite, c’est quelque chose qu’elle connaît… Même si, en vérité, en dehors de ses face-à-face avec elle-même, elle ne l’a que très rarement rencontré. Tout au fond de son ventre, une barrière vient de céder… Elle sent alors le plaisir monter en elle, et tout cela n’échappe à personne et certainement pas aux flasheurs dont les appareils crépitent plus que jamais, mais peut-être encore une peu moins à son partenaire dont la langue diabolique est en train de la conduire vers l’extase… Son corps se cambre et, les yeux à moitié révulsés, elle part dans une longue jouissance dont elle peine finalement à s’extirper.
Lorsqu’elle parvient enfin à reprendre son souffle, c’est pour découvrir que le sexe de l’homme tient toujours plus du piquet de bois que d’autre chose ! Un coup d’œil amusé à l’assistance et, sans la moindre hésitation, elle embouche ce gros dard avec une telle force que son propriétaire qui, bien que n’en étant sûrement pas à son coup d’essai, ne peut retenir un petit cri de surprise et, elle en jurerait, de ravissement.
Public ou pas public, après le tour que son partenaire vient de lui jouer, elle a la ferme intention de lui rendre la pareille. Alors, elle pompe, suce, aspire, lèche, branle, décalotte le sexe offert jusqu’à la l’extrême limite pour mieux jouer avec le frein de l’homme qui, manifestement, ne s’attendait pas à cela. Plus professionnel que Jennifer, et pour cause, il passe son temps à remettre ses cheveux blonds en place pour qu’ils ne s’interposent pas entre les photographes et que ces derniers puissent jouir au maximum du point de vue.
Il résiste, le gaillard, refusant encore et encore d’expédier la purée ? Il est temps pour elle d’utiliser son arme secrète : le sexe de l’homme est imposant, mais il doit quand même lui être possible de le prendre tout entier dans sa bouche ! Une tentative, puis deux, pas mal de haut-le-cœur, mais elle parvient tout de même à l’engloutir jusqu’à la garde tout en ne cessant de vriller son regard dans celui du type qui n’en revient visiblement pas… À tel point qu’il la décolle précipitamment de sa queue avant de l’inviter à se relever. Il se penche à son oreille.
Sans un mot, sans poser de question et surtout sans un regard pour Michael, la voilà à quatre pattes sur le lit, cambrée à l’extrême et les seins carrément posés sur le satin du drap. Nouvelle série de photos sur son magnifique cul offert, sur ce ravissant bouton de rose qui palpite et sur cette chatte qui s’expose à la vue de tous. Nouveau léchouillage du type, assorti d’une petite visite de quelques doigts fureteurs et voilà l’instant tant attendu par l’assistance, celui où le gars présente sa queue à l’orée de sa grotte.
En général, dans une situation pareille, les hommes n’ont de cesse que d’embrocher leur partenaire d’un seul trait, surtout lorsque l’objet de leur désir ruisselle à ce point… Mais elle a affaire à quelqu’un qui connaît parfaitement les règles du jeu ! Au lieu de s’enfoncer en elle en une fois, il la pénètre lentement, centimètre par centimètre. Dans d’autres circonstances, Jennifer aurait été ravie : elle n’a malheureusement jamais eu d’amant qui sache véritablement prendre soin d’elle avec calme et raffinement pour la conduire au septième ciel. Mais là, tout ce qu’elle aimerait, c’est qu’il la fourre, qu’il la tringle, bref qu’il la prenne sauvagement et une bonne fois pour toutes ! Elle a envie de sentir l’intégralité de ce gros chibre en elle, est-ce trop demander ? Pour une fois qu’elle aimerait avoir affaire à un fou furieux qui la pilonnerait comme un dément, il faut qu’elle tombe sur un artiste !
Par bonheur, enfin, pour le sien, si l’entrée en matière était plutôt du genre piano, elle est en train de virer fortissimo ! L’homme l’a prise par les hanches et, désormais, l’artiste est en train de se muter en bûcheron, et ses allers et retours sont d’une telle violence que Jennifer manque à la fois d’en dégringoler du lit et d’en défaillir de plaisir. Soudain, la tempête se calme, son partenaire se glisse derrière elle dans la position de la cuillère, et c’est reparti pour un tour ! Au fond d’elle-même, notre blonde sait que le spectacle qu’elle en train d’offrir à ses flasheurs doit être bien au-delà de l’impudeur, elle s’imagine voir ce gros dard coulisser dans sa petite chatte à la fourrure si claire…
Encore une fois, la honte de s’exhiber comme une catin se dispute à la fierté de faire bander tous ces hommes. Il bourre, il bourre, elle sent de nouveau son plaisir grimper, mais cette fois, elle a une petite idée de ce qui va se passer : lorsqu’elle sera sur le point de larguer les amarres, son partenaire s’interrompra pour changer de position. Alors, tout en profitant de l’instant, elle patiente tranquillement en s’efforçant de ne pas trop se laisser aller. Elle sait très bien que lorsque le train de la jouissance est en route, il ne faut surtout pas le manquer, la frustration est telle qu’elle pourrait bien la rendre folle.
Pas manqué, son partenaire se calme… Et elle se retrouve de nouveau empalée sur le gros chibre, mais, cette fois, dans le sens inverse de la marche, face aux flasheurs, les jambes écartées et la chatte distendue par cette queue qui coulisse en elle. Mais bon sang, combien peut-on prendre de photos avec un appareil avant de tomber en panne de batterie ? De temps à autre, elle se retourne, histoire de voir le visage de son amant d’un jour, mais il semble être ailleurs, tout à sa performance.
Un coup d’œil à gauche à la recherche de Michael, mais sa chaise est désormais vide… Et sa bagnole a également disparu. Cependant, Adam est toujours là, ce qui signifie au moins que le second n’est pas train de tabasser le premier !
C’est sympa d’avoir l’esprit ailleurs… Sauf quand l’excitation en profite pour s’inviter sans crier gare. Alors, tant pis, il arrivera ce qu’il arrivera, Jennifer plonge alors la main entre ses jambes à la recherche de son petit bouton qu’elle se met à branler furieusement. Est-ce une relation de cause à effet ou une simple coïncidence ? Elle n’en sait rien, mais la queue de son partenaire vient de grossir encore en elle, et cela ne peut vouloir dire qu’une chose : sa libération est proche ! Pendant quelques instants qui lui paraissent des heures, elle sent l’orgasme monter, monter et monter encore… Jusqu’à ce qu’elle explose comme jamais.
Est-ce sa jouissance à elle qui a déclenché la sienne ou est-ce l’inverse ? Peu importe… Lorsqu’elle rouvre les yeux, tous les objectifs sont braqués sur sa chatte : pas la peine d’avoir fait Sciences Po pour comprendre ce qu’ils attendent ! Alors, tout en prenant la pose, elle contracte ses muscles internes et le résultat ne tarde pas à arriver, un long filet de foutre blanchâtre s’écoule doucement de son sexe et dégouline le long de ses fesses avant de tomber sur le sol.
La fête est finie… Et si elle en avait encore le moindre doute, Adam lui tend un paquet de mouchoirs en papier.
Dix minutes plus tard, rhabillée, elle retrouve son partenaire qui sirote tranquillement une bière. Il s’excuse.
Sur ces entrefaites, revoilà Adam, une épaisse enveloppe à la main.
Il sourit.
Soudain, tout s’éclaire dans son esprit… Il n’a jamais été question de portefeuille perdu et soi-disant récupéré par l’autre zouave. Michael s’est sûrement encore embarqué dans l’un de ces habituels plans foireux, poker ou pas poker, peu importe, et il comptait simplement sur ce fric pour se renflouer. Est-ce la même embrouille qu’il a servie à Clara avant qu’elle n’ouvre enfin les yeux ? Cela expliquerait la violence de l’altercation à laquelle Jennifer a involontairement assisté… À l’occasion, elle passera chez elle, histoire de lui poser quelques questions.
En vérité et dès le départ, Jennifer a été intriguée par cette armoire à glace noire comme du charbon et qui ne filmait pas. De plus, alors qu’elle regardait les braguettes des hommes alors qu’elle était en pleine action, elle n’a pas pu ne pas remarquer que la bosse qui ornait son froc était absolument monstrueuse.
Adam éclate de rire, Jennifer poursuit.
Puis, avec un sourire.