n° 19376 | Fiche technique | 9008 caractères | 9008Temps de lecture estimé : 6 mn | 01/01/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Comment une épouse, BCBG, au demeurant très croyante, Christine, va se soumettre aux fantasmes débridés de son mari. | ||||
Critères: fhhh fplusag cocus inconnu grossexe fépilée parking ascenseur exhib strip fellation init confession -totalsexe | ||||
Auteur : Christofoly (Agriculteur, qui aime bien écrire pour se détendre!) |
Bonjour, je m’appelle Christine. J’ai la cinquantaine, BCBG, au demeurant très croyante. Cet été, ma meilleure amie est partie en vacances pour plusieurs semaines et j’ai accepté de venir tous les jours arroser ses plantes et relever son courrier.
Ce matin-là, où tout a basculé, trois jeunes hommes sont assis sur les premières marches de la montée d’escalier. Je suis un peu gênée, car je suis obligée de quasiment les enjamber pour monter. Bien que ma robe reste décente, il fait très, très chaud et je suis tout de même court vêtue !
D’ailleurs, je sens trois paires d’yeux, qui me suivent jusqu’à l’entrée de l’appartement. J’entre et ferme prestement la porte à clef. Ensuite, j’appelle mon mari, Christophe, pour lui expliquer la situation et qu’il vienne me tirer de cette situation quelque peu épicée.
Mon époux arrive un quart d’heure plus tard et me tend une feuille de papier qu’il a trouvée sur mon pare-brise, il y est écrit :
On a bien kiffé ton joli cul de bourge et on est à ta disposition
signé : Julien, Karim et Hamidou, trois jeunes hommes bien montés, qui vous veulent du bien !
Rassurée par sa présence, j’ouvre la porte et redescends l’escalier. Les trois jeunes sont toujours là et surtout, ils m’observent ! Mon mari est en retrait. L’un des jeunes me demande s’ils peuvent en voir plus, puis, lorsqu’il voit mon époux, se tait.
Et alors là, contre toute attente, Christophe me dit tout d’un coup :
Je m’exécute comme dans un rêve, j’enlève mes bretelles et abaisse un peu ma robe. Mes deux obus apparaissent brusquement avec leurs pointes tout érigées. IL faut croire que cette situation doit un peu m’exciter !
Un autre s’enhardit et me demande de montrer mon cul. Je regarde mon mari qui acquiesce et alors je perds tout contrôle. Je plane complètement et j’enlève complètement ma robe !
Ensuite, je ne me souviens plus de rien. Jusqu’à ce que je me retrouve dans une cage aménagée en appartement avec les trois individus complètement nus, eux aussi. Ils sont totalement en rut et moi aussi, je suis très excitée. Je les ai sucés à tour de rôle et pendant que j’avais la queue de l’un d’eux dans la bouche, les autres me broutaient le minou, me caressaient et me doigtaient partout.
J’ai eu un peu de mal au départ, car j’ai commencé par Julien, qui est vraiment monté comme un âne ou un poney, comme vous préférez ! Mais, en fait, que ce soit Karim ou Hamidou, ils ont tous de sacrés braquemarts. Comme quoi le hasard fait bien les choses. Mais, je n’étais pas la plus excitée. Mon mari me regardait en se masturbant, je crois qu’il a éjaculé et rebandé au moins trois fois.
Avant de rentrer à la maison, je me suis arrêtée à l’église du village, pour confesser mes péchés tout frais au père Emilio, qui m’a écouté attentivement et m’a pardonné, parce que c’était la première fois ! Mais que j’exagérais et qu’il lui fallait imaginer une pénitence à la mesure de ces actes dictés par le diable.
Et depuis une semaine, je suis retournée voir le prêtre, à de multiples reprises et il m’a toujours consacré un moment de son temps précieux, afin de m’écouter, dans la quiétude et la discrétion de sa sacristie. En me demandant même, souvent, de préciser mes propos, afin de pouvoir mieux qualifier mes actes et y adapter la punition adéquate ! Il ne m’a toujours pas donné ma pénitence. Je crains le pire !
En effet, le scénario du premier jour s’est répété quotidiennement depuis une semaine, en allant crescendo ! Je suis désormais épilée en ticket de métro par les soins de mon mari. Et mes trois jeunes étalons veulent plus que ma fellation quotidienne. Ils voudraient bien mettre leurs gros et longs phallus dans tous mes orifices, où pour l’instant seuls leurs doigts et leurs langues se sont aventurés. À l’exception, bien sûr de ma bouche qui, d’après Christophe, s’est un peu élargie, sous l’effet de ces exercices de succion répétés. Et, il dit aussi que ça me donne un air coquin, qui me va bien ! Ces nouvelles demandes excitent beaucoup mon mari et moi aussi, je dois dire que ça me fait pas mal mouiller !
Mais aller plus loin demande une certaine préparation. J’ai déjà les sensations d’une chatte proprement épilée. Je suis maintenant attirée par des tenues, que je n’aurais pas regardées, il y a de ça, deux semaines. Même mon mari me dit que bien qu’il fasse très chaud, certaines robes que je porte désormais sont tout de même, un peu osées !
J’ai découvert aussi Body House à Avignon, un sex-shop nouvelle génération, où vous êtes chaleureusement accueillie et conseillée, avec des hôtesses majoritairement de la gent féminine. J’ai acheté dernièrement un rosebud de taille moyenne et un autre un peu plus gros, que je m’enfonce régulièrement dès le matin dans le petit trou. Il commence à être bien dilaté et je ne sens presque plus leur présence, sauf peut-être encore un peu pour le gros modèle.
Après une semaine d’abstinence, nous décidâmes d’inviter l’un des garçons à la mer pour le week-end et de notre commun accord ce serait Julien. C’est mon préféré ! Mon mari l’appelle en ma présence, en lui parlant du Grau du roi. Julien lui dit que c’est OK pour lui et qu’il a fait un test VIH. Je suis aux anges : sentir son gros pieu au plus profond de moi sans préservatif, je mouille déjà comme une fontaine, rien que d’y penser !
Le vendredi soir, en fin d’après-midi, Julien sonne. Je lui ouvre, je porte une robe rouge très moulante et décolletée à la fois. Le genre que l’on voit dans les clubs échangistes, ce qui ne manque pas de lui faire un certain effet. Nous prenons un petit apéro avant le départ : champagne et petits fours au gingembre et autres aphrodisiaques.
Je suis un peu pompette lorsque je monte en voiture. Mon époux, qui est resté sobre me fait signe de monter à l’arrière avec Julien. Je ne sais pas si c’est l’apéro, mais il est en forme et me le montre, en m’exhibant son magnifique dard ! J’embouche sa grosse queue sans problème, je maîtrise bien l’exercice désormais.
Je lui suce aussi les couilles, qu’il a fort grosses, il a dû se réserver pour moi toute la semaine ! Je sens que ça va être la fête à Christine ! D’autant plus que mon mari ne m’a pas touchée de toute la semaine.
Julien éjacule une première fois, j’avale tout. J’adore son sperme, mais il a des réserves et rebande presque aussitôt. Je mouille, j’ai envie de cette grosse verge dans mon ventre. Mais a priori, mes hommes se sont donné le mot et pour l’instant, je n’ai le droit que de sucer, encore et encore ! Lorsque nous arrivons à destination, j’ai déjà eu trois doses de sperme. Et lorsque, nous prenons place au restaurant, je n’ai plus guère faim !
Nous nous installons à une table au bord du canal. Tous les hommes n’ont d’yeux que pour moi. Il faut dire que ma robe rouge ne peut laisser personne indifférent. Je fais un peu femme facile, mais peu me « chaut » et c’est mon mari qui est le plus gêné ! Je me dis : Peu importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse.
Après trois coupes de champagne, trois rasades de foutre de vingt-cinq ans d’âge (très bon millésime) et les frasques à venir, que je vois dans les yeux de mes deux compagnons, je pense que la tête va me tourner avant la fin de la soirée !
Nous commandons un picpoul de pinet et un plateau de fruits de mer, le repas suit son cours, mais sous la nappe qui va jusqu’au sol ! Sous la nappe donc, Christophe qui est à côté de moi, me titille le clitoris depuis que nous sommes arrivés et Julien en face, m’introduit carrément l’extrémité de son pied, qu’il a fort propre et parfaitement manucuré, au sein même de ma fente toute mouillée. Oups ! J’ai encore oublié de mettre une petite culotte ! N’y tenant plus, je me lève et fais signe à mon mari de me suivre :