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La capitale et la lune

J’aime à organiser un week-end parisien en amoureux pour l’anniversaire de mon épouse et, mon plaisir est, à le pimenter d’une pointe canaille. Bel hôtel bien placé, bonnes tables branchées, un spectacle divertissant, une expo. Et, bien sûr, du shopping. Cette année, mon choix « spice » s’est porté sur la découverte d’un sauna libertin, aventure nouvelle pour nous deux.

De retour à l’hôtel pour déposer nos emplettes, c’est en sirotant un thé que je lui fais part de notre prochaine étape à laquelle elle souscrit, non sans réticence et un peu d’appréhension. Nous voilà donc, en route pour une célèbre adresse de Pigalle. Toc, toc, pattes blanches, je règle et nous voilà partis, aux vestiaires armés de nos serviettes.

Nous nous dévêtons, au milieu de deux autres couples, sans gêne, puisque, nous sommes là, pour les mêmes raisons. Casiers fermés, nous partons à la découverte du club qui commence par le bar où nous prenons un verre, histoire de nous acclimater et de mater un peu, alentour j’en profite pour informer ma femme de mes connaissances du lieu, préalablement découvert sur le Web. Je lui rappelle que rien n’est obligatoire, qu’un non est un NON et, que les femmes sont les reines de ces lieux coquins. Elle se détend et commence à s’intéresser à l’endroit.

Elle a horreur, du sauna, car trop chaud et du jacuzzi géant où tout le monde baigne, ce qui la rebute, mais en revanche, faire un tour au hammam lui plaît bien. Enfin, découvrir les coins câlins et les glory-hole l’amuse, histoire de voir et satisfaire sa curiosité. Nous partons donc, à la découverte, en bons voyeurs, la main dans la main. Le club n’est pas bondé, mais il y a du monde et la moyenne d’âge semble aller de trente à soixante ans. Beaucoup de couples et un nombre d’hommes seuls raisonnable et intéressant. Bref, tout concourt pour se détendre d’autant, que la décoration kitch est sympathique et le club, très propre.

Nous avançons dans les alcôves, des silhouettes se meuvent et soupirs et feulements se font entendre. Deux couples baisent ensemble sur un lit de cuir rouge, les femmes sont en 69 et se font prendre par les mecs. La scène est chaude et sexy et nous nous attardons, un homme seul s’approche, en érection et caresse les deux femmes. L’un des mecs se retire et propose au nouveau de prendre sa place et les voilà, baisant à cinq.

J’embrasse ma femme, la pelote et sens son excitation monter. Ses pointes de seins sont dures et sa chatte, bien humide. Nous continuons notre balade, une femme est attachée à une croix de Saint-André et se fait brouter le minou par un inconnu, devant son homme. Plus loin un couple baise en levrette devant deux types qui espèrent bien se faire sucer et ainsi, entrer dans la danse. Ailleurs, un éphèbe maghrébin se tape deux filles assez jolies et très motivées. Nous arrivons, finalement, au glory-hole, côté « femmes ». Notre candeur est douchée, d’emblée, puisqu’un homme administre une gâterie à une turgescente bite black. Derrière lui, deux femmes sont au labeur et l’une d’elles suce deux queues frénétiquement.

Ma femme m’embrasse et se frotte contre moi, manifestement émue par le spectacle, je lui propose de s’approcher du mur et de passer ses mains au travers des trous afin d’attirer une invitée et de s’en occuper. Elle minaude, hésite, je la prends par la main, la déleste de sa serviette et l’approche du mur, sans résistance. Une queue mate et épaisse, en semi-érection apparaît, elle s’agenouille, la touche timidement. Elle me regarde, je lui souris, elle décalotte le gland qui prend vie et le lèche. Tous ses sens en action, les narines dilatées et les mains moites, elle se met à sucer vraiment, titille le frein, soupèse les couilles, branle activement et passe sa main dans la raie pour caresser l’anus du mec qui ne tarde pas à soupirer d’aise, avant que de gicler sur elle. Chose étonnante, elle avale la chaude liqueur, manifestement avec délice, et nettoie le chibre avec application, puis se lève et me remercie de cette enivrante expérience et, enfin, me roule une pelle d’enfer afin de me faire partager la saveur du moment. Après un rafraîchissement au bar et une douche, nous voilà partis au hammam, elle est détendue et malicieuse et moi, bien excité.

Au départ, on ne voit rien, c’est le brouillard total, on s’assoit et, au fil du temps, on distingue progressivement, les personnes présentes. Un couple, plutôt bien foutu lutine gentiment et se caresse, mutuellement, et deux types esseulés se tripotent chacun dans leur coin, histoire de maintenir leur sexe en état, en attendant l’opportunité.

Je mate le couple sur lequel, je jette mon dévolu, ils sont mignons et l’idée d’un jeu à quatre, me titille. Cependant, ma tendre et douce est dans un tout autre état d’esprit, elle fixe l’un des deux mecs qui semble la fasciner. Curieusement, c’est le plus moche et le plus vieux des deux. Il est trapu, poilu avec de grosses pattes de rustre qui branlent une verge imposante. Je constate que leurs regards ne font qu’un aussi, je lui fais signe de s’approcher. Il rapplique illico et prend sans ménagement ses seins en main et les malaxe, lui roule une pelle et lui doigte la chatte. Celle-ci se soumet totalement et, quand il lui appuie sur la tête, elle le suce spontanément, avec ardeur. Rapidement, il se vide dans sa bouche et nous propose d’aller dans un coin, pour baiser. Ma femme accepte, sans mot dire, et nous voici partis, tous les trois.

Je cherche un coin peinard, un peu discret, mais le rustre opte pour un centre rond, à la vue de tous. D’emblée il la prend en levrette et lui demande de me sucer. Il la fesse et la baise, énergiquement, et interpelle les passants en leurs intimant de s’approcher. Deux quidams, assez âgés et bedonnants, profitent de l’aubaine et la pelotent tant et plus, l’un d’eux frottant même sa queue sur elle. Devant pareil spectacle et son plaisir manifeste, j’éjacule abondamment et lâche prise. Aussitôt, les deux autres investissent cette jolie bouche accueillante qui les satisfait, alternativement. Tout en reprenant mes esprits, je la regarde s’éclater ce qui comble mes envies candaulistes.

Le rustre décide de changer de position, il demande à celui des deux qui est le mieux monté et doté d’une verge massive et noueuse, de s’allonger sur le dos puis il intime à ma femme de s’empaler dessus avant de lui prendre le cul. Il la sodomise, assez facilement, celle-ci, comme hypnotisée, prend tout simplement son pied. Je m’approche d’elle, l’embrasse pendant qu’elle grimace, elle me dit que tout va bien et qu’elle a rarement autant joui. Rassuré, je lui mets ma queue en bouche, seul orifice disponible et nous finissons de la baiser, sauvagement. Le rustre qui s’est enfin vidé en elle s’éloigne en lui mettant une claque sur le cul et en la traitant de bonne salope.

Nous quittons rapidement les lieux, rentrons à l’hôtel où, après une bonne douche, nous faisons l’amour « slow-love » délicieusement, sans parler, mais avec, évidemment, des images, plein la tête.