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Temps de lecture estimé : 7 mn
05/01/20
Résumé:  Un après-midi dans un club échangiste d'outre-Quiévrain.
Critères:  fhhh couplus échange partouze -groupes
Auteur : Lazizanie      Envoi mini-message
Minou, Minoï

Nous voilà dans l’entrée. Diable, le lieu est sécurisé. Une femme blonde sans âge nous accueille. Accueillir est un doux euphémisme. On pourrait l’imaginer dans bien des lieux différents, mais toujours près de la porte. Sœur tourière ou surgé pour les plus anciens. Cerbère en tout cas. Même si nous ne sommes pas aux enfers.


Nous sommes dans un club libertin. Comment sommes-nous arrivés là ? Nous avons convenu avec un couple de nous retrouver là. Ils connaissent. En disent du bien, trouvent le lieu sympa.


Bon j’avais proposé un lieu plus intime, où nous aurions pu nous retrouver à quatre. Une raison obscure les fait décliner la proposition.

Faut être sûr que Sylvie sera libre ! Et son emploi du temps est parfois bien chargé. Vous le savez peut-être déjà, Sylvie est ma maîtresse, ou je suis son amant, si vous préférez. Une fille éblouissante. Fine, douce et torride, tendre et exigeante. Je suis sous le charme.

Allez une fois c’est d’accord. Allons chez nos voisins belges.


Rendez-vous comme d’hab’. Une petite demi-heure de route. On bavarde gentiment de nos vies. Se raconte les anecdotes amusantes du quotidien. Les enfants et les petits enfants. Le petit-fils de Sylvie, pas encore ado, mais déjà préoccupé par ce qui provoque les émois chez les garçons, qui se débrouille pour la voir nue dans sa salle de bains. Et la belle se prête au jeu avec délectation !


Faut dire qu’elle est belle Sylvie ! Ado, moi aussi je matais ma grand-mère qui se déshabillait pour se mettre au lit. J’aimais voir ses seins lourds et blancs par la fenêtre de la chambre. Je bandais et me branlais.


Donc, Cerbère procède aux formalités d’admission. Diable, ma phrase peut faire penser à l’hôpital ou à la prison, non ?

Explications des lieux et des usages. Chouette, tout est compris, bouffe et boissons. Un vaste jacuzzi. Sylvie aime le jacuzzi. Bel endroit. Un hammam.


Mangeons. C’est un buffet avec du chaud et du froid, des boissons, bière, vin, eau à volonté. Sympa. Pas mauvais. Pas de quoi sauter au plafond, mais correct. Vous allez me dire mes bons amis, qu’on ne va pas dans ces lieux pour une expérience gastronomique, et vous aurez raison. Et ça restaure. Sylvie a faim. Profitons donc. Le rosé est frais.


Bon, il est temps de se mettre en condition. Le dress code impose tenue sexy à partir de deux heures. Nous filons au vestiaire, façon piscine. Faut loger ses fringues et ses chaussures dans un endroit étroit.


Finalement, l’étroit endroit se révèle suffisant. Sylvie a tout prévu. Sa tenue sexy est un léger paréo jaune. Sous lequel elle est nue. Sylvie aime être nue. Sylvie aime se montrer nue, exciter les hommes et certainement aussi les femmes. Elle s’excite en excitant. Elle n’est pas belle la vie ? Je vous l’ai déjà décrite, mes bons amis. Éblouissante, ai-je dit, et je pourrais aussi ajouter divine. Il y a des gens sur lesquels les fées se sont penchées avec bienveillance et y ont déposé leurs plus beaux cadeaux.



Sylvie a très envie de faire le tour du propriétaire. Un nombre impressionnant de pièces toutes dédiées aux plaisirs.

Un glory-hole ou chambre fellatoire. On comprend au premier coup d’œil la manière de l’utiliser. Sylvie aimerait-elle ? Sucer la queue d’un inconnu sans l’avoir vu ? Pas sûr. Elle a des exigences. Bien que, parfois, emportée par le tourbillon de la situation…


Une salle dédiée aux pratiques SM. Avec une croix à laquelle on peut attacher les chevilles et les poignets. J’y attacherais Sylvie et lui passerais un masque de repos. Vous imaginez ? Oui, bien sûr ! Je connais bien votre imagination fertile et salace. Des mains qui touchent, caressent, des bouches qui tètent, sucent, lèchent. Des bites qui se frottent, s’enfoncent. Putain, ça doit être génial ! On essaye, Sylvie ? Allez, laisse-toi faire.


Plus classiques, des chambres avec un matelas qui occupe toute la surface. Parfois un miroir.

Une petite pièce étroite avec un regard sur la chambre voisine où s’ébat un couple. Bien pour se masturber seul ou à plusieurs ou s’entremasturber. Tiens, je viens d’inventer un nouveau mot, pourtant très évocateur.


Nous optons pour une petite pièce avec des portes façon western. Sylvie est très excitée par l’ambiance des lieux, enlève son paréo et murmure dans un souffle :



Je connais bien son regard évocateur, lubrique. Elle est excitée, très excitée.

Ses cuisses largement écartées m’offrent une vue incroyable sur sa chatte épilée. Elle a envie de sentir une queue qui l’enfile. Ce que j’aime y plonger, lécher, aspirer ses petites lèvres, son clito, le pincer, introduire un doigt, puis deux, les faire tourner, sentir, boire son jus. Car, oui, elle mouille de plus en plus. Je voudrais tant la sentir fontaine, qu’elle gicle sans retenue, à la fois honteuse et ravie. Un soupir, puis la respiration s’accélère. Un feulement rauque. Elle manifeste son plaisir de plus en plus bruyamment. Se retourne, se met à genoux et veut que je la prenne. J’aimerais qu’elle me dise « saute-moi ». Elle n’est pas une adepte des mots pendant la copulation. Dommage. Si, une fois, au début de notre relation, elle m’a dit « fais-moi l’amour, là, maintenant, tout de suite ».


Je sens des regards derrière moi. Un garçon se glisse dans la pièce et présente sa queue à la bouche de Sylvie. Punaise, gâté par la nature, le garçon ! Faudra que je demande à mon amie si c’est agréable de sucer une grosse bite. J’espère qu’il aura la délicatesse de se retirer avant de juter. Je ne sais pas si Sylvie apprécie le sperme. Faudra que je le lui demande aussi. Tant de choses à demander, un questionnaire à la Prévert !


Parce que Sylvie est une lionne très délicate. Lionne dans le plaisir, lionne dans les envies. Et qui aime la douceur, la tendresse. Alors, montrons-nous délicat avec elle. Un autre garçon me demande du regard s’il peut pénétrer la croupe offerte de Sylvie. Il s’enfonce doucement. Sylvie accueille avec bonheur cette jolie bite. Elle est bien raide. Le garçon alterne les mouvements lents et rapides.


Déjà fini ? J’ai trouvé la séquence courte. Le garçon enlève le préservatif. Le réservoir est plein du liquide blanc.

Sylvie veut s’en aller. Elle s’accroche à la protection que je peux lui apporter. Je lui souris. Ça la rassure. Quittons les « coins câlins ».



Descendons et nous restaurons un peu. Un rosé frais fera du bien. À défaut de champagne. On ne le vend pas à la coupe.



Re-jacuzzi. Ah, il est un peu moins chaud que la première fois. Deux messieurs d’âge mûr occupent la place. Nous bavardons. Ils connaissent bien les lieux comme ce club. Nous font part de leur expérience, de leurs expériences. Apprenons les ficelles et les trucs, les particularités. Bavardage bien agréable. L’un est sans âge, poivre et sel, l’autre rappelle le couturier Gautier. Chauve, les oreilles largement décollées, une boucle d’oreille, tatoué.


Bon, il n’est de bonne compagnie qui ne se quitte.

Sylvie veut encore profiter de l’endroit.

Bonne idée ! J’ai repéré une alcôve accessible par un petit passage façon tunnel en haut d’un petit escalier.


Sylvie s’y glisse avec souplesse. Je la suis. Elle est déjà nue. À peine ai-je commencé à l’embrasser et à la lutiner, que nos compagnons de jacuzzi réapparaissent. Poivre et Sel l’embrasse pendant que je m’occupe de l’entrejambe de Sylvie. Gautier est tout à côté de moi et la caresse aussi. Ça en fait des mains sur sa jolie croupe !


Punaise, il y a du monde dans l’escalier ! Un couple. La femme ne perd pas une miette. A-t-elle envie ? Est-elle bi, lesbienne ? J’incite son compagnon à la faire se joindre à la fête. Il décline et devant mon étonnement explique qu’elle est surtout à la recherche d’hommes jeunes.


Gautier enfile un préservatif et pénètre Sylvie qui est à genoux. Elle suce la bite de Poivre et Sel. Je touche aussi la bite. Pas au paroxysme érectile le garçon. Comme moi d’ailleurs, à mon grand désappointement. Va falloir songer à la petite pilule bleue.


Gautier besogne vigoureusement Sylvie. Ah j’entends ses petits cris rauques, ses feulements de lionne. Putain, qu’elle est belle quand elle jouit ! Car là, oui, elle jouit. Ne se contrôle plus, se laisse aller à son plaisir, hurle. Elle est la reine de la fête. Les femmes la regardent avec envie. Notre amatrice de jeunes hommes semble tentée. Mais non, elle ne viendra pas. Dommage, vraiment dommage. J’eus aimé voir Sylvie dans les bras d’une femme. Fantasme de mec ? Oui, bien sûr. Et de femme aussi, bien sûr. Comme je crois qu’elle est curieuse de me voir m’emparer d’une bite, de la branler, de la sucer.


Les protagonistes s’en vont, à regret, et ravis. Ils remercient ! Mazette, je ne m’attendais pas à ça !

Oh, ma belle amie, j’ai tant envie de t’appeler chérie. Dès que tu me quittes, tu me manques. D’ailleurs, tiens, tu me manques avant d’être partie. Rien que l’idée que tu vas partir. Alors, je te regarde. Ouf, tu es encore là !


Voilà, cet après-midi se termine. Rhabillage. Retour et séparation. Un bisou furtif. Alors que je voudrais l’embrasser longtemps, avec douceur et passion.


J’apprendrai dans la soirée que Sylvie a voulu en savoir plus sur le « lapin» du couple de Lillois.

Et les a fermement éconduits.

J’ai tenté d’apaiser l’incident. Mais c’est une vaine tentative. Pire, une erreur. Sylvie m’incite à passer un après-midi avec eux. Mais je ne le ferai pas.