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n° 19390Fiche technique38816 caractères38816
Temps de lecture estimé : 23 mn
07/01/20
Résumé:  Après des études en Europe, Joseph est accueilli par Liriam qui a des présomptions de mort et veut que Joseph s'occupe de sa femme.
Critères:  fh extracon grossexe pénétratio init conte -couplea3
Auteur : Dalibor            Envoi mini-message
Joseph et Liriam



J’ai vu le jour quelque part en Afrique subsaharienne. Je ne sais pas où exactement, mes parents étant en quelque sorte assez nomades.

Quand j’ai eu cinq ans, mon père fut tué par une bande de voyous et mère se mit en ménage avec un missionnaire belge, Louis.

Louis fut plus qu’un père pour moi. C’était un personnage curieux – contrairement à père – toujours armé d’un pistolet et d’une machette, même dans sa chambre. Mais il avait un cœur d’or, c’était probablement ce qui a attiré mère.


Vis-à-vis des autres enfants, j’étais plutôt désavantagé, étant plutôt malingre, surtout par rapport à Liriam, mais lui, c’était mon ami.


Louis était très strict pour mon éducation. Rapidement, je devins le premier de classe et plus le temps passait, plus l’écart avec les suivants se creusait. J’aidais souvent mon ami Liriam avec ses devoirs scolaires et lui me protégeait.

Louis m’apprit aussi la musique, principalement dans le but de me faire devenir organiste.


À quatorze ans, je dus prendre le jeu d’orgue, le titulaire précédent, sous la force, s’était converti à l’Islam et était parti avec une escouade de terroristes musulmans.

À seize ans, Louis m’envoya chez Lisette, sa sœur, à Louvain, pour préparer mon baccalauréat et peut-être me mettre à l’abri.


Je passai mon bac sans trop de problèmes, Lisette, m’entourait d’un très grand amour, j’étais l’enfant qu’elle n’a pas eu et qu’elle n’aurait probablement jamais⁽¹⁾. Sous la recommandation de Louis, on me confia les grandes orgues de l’église et une copine qui en pinçait pour moi, m’avait déjà surnommé l’araignée en référence à mes mains qui parcouraient avec élégance, le clavier, de longs doigts secs et nerveux.


L’ancien organiste ayant de l’arthrite dans les mains, il me guida pour améliorer mon jeu et surtout m’encouragea à poursuivre dans les œuvres profanes, m’enseigna la composition. À part le répertoire de Bach, incontournable pour l’orgue, il me fit connaître un peu tout le répertoire possible. À part l’école, je passais le plus clair de mon temps avec lui.

Lisette m’encouragea à continuer mes études, alors que je lui demandais si je ne devrais pas retourner vers ma mère.



C’est ainsi que quatre ans après, fort d’un nouveau diplôme, je quittai Lisette, les larmes aux yeux, je voyais bien qu’elle brûlait de m’accompagner, ayant le sentiment que mon départ était comme si on lui enlevait un membre. Étant très naïf, je ne m’étais pas rendu compte qu’elle était, en fait, amoureuse de moi.





Le retour



En arrivant par avion à la capitale, je fus accueilli par Liriam. On s’est tombé dans les bras, contents de se revoir. Il était revêtu d’un uniforme militaire et, à ce que je voyais, d’un certain grade.



Il m’amène au dispensaire et je vois mère dans un état plus que triste. Je sens la haine monter en moi vis-à-vis de ces barbares. Mes tripes crient vengeance. Mais Liriam me dit calmement  :



À ce moment-là, le médecin passe faire sa tournée et s’arrête vers nous  :



La rééducation de mère dura un temps certain, mais après deux mois, j’ai commencé à aménager mon domicile pour qu’elle puisse loger avec moi. Elle avait sa chambre, avec un lit médicalisé, mais rapidement, elle a progressé et très vite elle a réussi à être autonome. On a pu rendre le lit médicalisé qui prenait beaucoup de place. Régulièrement elle partait toute seule au dispensaire pour faire les contrôles, mais tout se passait bien. Restaient quelques cicatrices sur son ventre et ses avant-bras. Elle s’est même remise à faire la cuisine et à tenir mon intérieur.


En fin d’année, Liriam s’invita avec toute sa tribu, c’est-à-dire sa femme et ses deux enfants, trop mignons (tout comme son épouse)

Entre Noël et Nouvel An, alors qu’on discutait à bâtons rompus, il me fit part d’un souci lancinant.  :



La belle Alicia se déplace avec son nouveau-né. (J’ai oublié de préciser qu’elle avait accouché d’une fille depuis mon arrivée.)



C’est alors que Joseph, sortant d’une sorte de rêve éveillé, secoue la tête comme un chat qui vient de tomber dans une mare d’eau.





L’apprentissage de Joseph ou le trio sans corde.



Le soir venu, après avoir mis les enfants dormir, ils se retrouvent tous les trois dans la chambre, Liriam, sans trop de manières, peu complexé est rapidement à poil et Alicia semble moins rapide et demande à Joseph de l’aider à se mettre en tenue légère.


De ses longs doigts très agiles, c’est fait en moins de temps qu’il m’en faut pour l’écrire, doucement, il pose ses mains ou plutôt ses doigts légèrement sur les épaules et lui caresse le dos, créant une chair de gallinacé⁽³⁾ et un long frisson.



Liriam commence à être oppressé, il n’avait pas compté que sa femme se laisse séduire d’elle-même par Joseph, mais en ruminant, il convient que malgré tout, c’est bien ce qu’il voulait.

Alicia à son tour est curieuse de voir de quoi est constitué Joseph. Elle ouvre sa chemise et laisse à son tour, traîner ses doigts sur sa poitrine un peu rachitique.



Joseph à son tour pique un fard et plaque ses mains sur son pantalon pour cacher sa honte.



Timidement, il enlève sa chemise, il n’a vraiment que la peau et les os. Liriam remarque  :



Le reste des habits d’Alicia va rejoindre ceux de Liriam, pliés soigneusement par Joseph.



La ceinture est décrochée, le futal abaissé.



Et, délicatement, il enlève les chaussettes et plie soigneusement ses habits, ne reste que le slip, qui semble cacher quelque chose d’important.


D’un geste décidé, Alicia abaisse (pas les frontières), mais le slip, révèle un objet qui ferait rêver plus d’un.



Prenant les choses en main, Alicia s’exprime  :



Sans attendre, Joseph commence à une caresse de la main gauche et sa main droite il la place sur le sexe d’Alicia.



Obéissant à un tel ordre, Joseph pose ses lèvres sur le bourgeon du sein que n’occupe pas sa main et commence à faire comme un bébé, à aspirer avec de temps en temps un coup de langue, il déguste en même temps les excédents laitiers d’Alicia.

Alicia commence à se tordre de plaisir et tout d’un coup, une onde de plaisir asperge la main qui était posée sur son pubis.



Mettant sa paume sous son nez, effectivement, ce n’est pas l’odeur d’urine, mais un parfum puissant qui décuple⁽⁴⁾ la forme de son engin.



Se plaçant entre les cuisses grandes ouvertes, faisant front à un buisson ardent, précautionneusement, il avance son nez, puis sa bouche et enfin tire sa langue en mettant de l’ordre dans le friselis des poils du pubis.


Elle a son premier orgasme. Pris par le jeu, il continue et s’abreuve à cette source. En route pour une deuxième montée au ciel, la passagère est priée de s’accrocher. Du reste, sans le demander, elle s’accroche à ce gourdin qu’elle tient fermement.



Il remonte le long du corps avec son sexe qui à force d’attouchement de la part d’Alicia ressemble presque à une barre d’acier trempé et revenu paille. Là, pas besoin de lui expliquer, il introduit son engin dans l’engine. Doucement, il se rend bien compte qu’il doit y aller avec précaution, vu qu’il ne l’a jamais fait. Enfin au fond, mais du coup, il sent un besoin irrépressible de faire des allers-retours pour le paradis. Il se sent astronome au bord de la navette spatiale, chargé de faire les voyages.


Au comble d’aise, Alicia le ceinture de ses cuisses puissantes et va au-devant de ses mouvements, son dos arc-bouté ne repose plus, son souffle se fait de plus en plus court. Les muscles de son périnée massent l’intrus pour le faire rendre gorge. Mais à ce petit jeu, contrairement à ce que l’on pourrait penser, elle perd et un nouvel orgasme la prend, ce qui ne désoriente pas Joseph qui trouve le jeu très plaisant. D’un coup, il sent venir du tréfonds de son être un raz-de-marée qu’il avait vaguement connu avec la prostituée, mais là, c’est différent, totalement différent, il ne peut se retenir et avec ce qui jaillit de sa lance de pompier, tel un geyser, il éteint l’incendie qui s’était déclaré à l’étage inférieur.


Liriam, tendu comme un arc gallois, ne peut s’empêcher d’apprécier ce coït surprenant, il n’avait jamais pensé que son copain Joseph était équipé pour faire carrière dans le porno.



Une fois son affaire faite, les trois sont fatigués, car cela avait été très intense, ils se sont un peu endormis, avec le sentiment d’avoir bien fait.


Joseph part dans un rêve où il s’installe avec son copain et sa femme et que tous les jours, il y a le même scénario, du coup, il sent la pression monter. Il se réveille, juste à ce moment-là, à deux doigts de polluer son pyjama, quelque chose est en train de s’occuper de son outil reproducteur. C’est délicieux. Dans la pénombre, il voit son copain qui dort paisiblement, mais pas Alicia. Il met les mains sous l’édredon et sent une tête qui monte et qui descend les lèvres collées à son membre.

C’est Alicia qui chuchote  :



Elle monte et s’enfile ce super sex-toy humain, c’est dantesque. Le pauvre Joseph doit s’agripper au drap pour ne pas décoller à son tour. Enfin, d’un dernier coup de reins, Alicia rend les armes, satisfaite de ce réveil et Joseph, sentant la fin venir, se décrispe et inonde cette grotte avec des grognements presque inhumains, tellement cette crampe matinale le satisfait. Alors que le couple se désunit, Liriam se réveille  :



Joseph après la douche va voir sa mère, si tout va bien et éventuellement lui donner un petit coup de main.



En rentrant, la table est mise, mère trône au milieu de la cuisine, Joseph déballe le pain et un croissant pour chacun, l’odeur du café frais embaume, tout le monde a l’air content, même Liriam sachant qu’il doit partir.




Le récit d’Alicia



Je vois que Joseph et Liriam complotent quelque chose à mon sujet, Joseph a l’air assez réticent, mais Liriam, j’en sais quelque chose, ce qu’il a dans la tête, on ne peut le lui enlever facilement. Tiens, ils m’appellent, je vais enfin savoir à quelle sauce, je vais être rôtie.


Liriam, l’air grave, annonce qu’il n’a pas l’esprit tranquille quand il est en mission, de me savoir seule à la maison et qu’il aimerait que je vienne avec la famille, habiter ici et au cas où il lui arrive malheur, que j’épouse Joseph. Les enfants ont autant besoin d’un père qu’une femme un bon mari.



Je suis un peu sous le choc, vraiment, c’est pas trop mon genre, il a l’air vraiment d’un gringalet et je parie qu’au lit, c’est pas une affaire, même s’il a l’air super gentil. Du genre  : Hop  ! Hop  ! Merci chérie et bonne nuit.



En bon militaire qui n’aime pas qu’on lui résiste, il est pour l’épreuve tout de suite. C’est vrai qu’il repart demain et je comprends qu’il a envie d’être tranquille pour mener à bien ses tâches.



Tout d’un coup, Joseph a l’air de se réveiller, il était dans les nuages probablement en train de rêver de la situation.



Sans nous laisser le temps d’objecter, il nous entraîne vers la chambre d’ex Louis que Joseph occupe et sans se gêner, il se met à poil. Il est beau mon homme, comment peut-il penser que je puisse le tromper  ? Bon, c’est vrai que s’il lui arrive malheur, je n’ai pas envie de finir en veuve éplorée d’un martyr de la patrie.


Très directif, il demande à Joseph d’alléger ma tenue, me voilà à torse nu, les seins à l’air, j’espère qu’ils ne vont pas commencer à couler. Joseph s’enhardit à me faire une caresse dans le dos, ses doigts doivent être magiques, je sens un frison m’envahir, c’est pas vrai, j’adore ses caresses, ô pourtant combien anodines.


En plus il me complimente sur la douceur de ma peau d’une manière très gentille.

Je ne peux que faire remarquer à mon homme que Joseph est un séducteur qui s’ignore. C’est bien le discours qu’une femme aime entendre avant de passer aux choses sérieuses.


Un peu impatient, Liriam lui propose de continuer l’effeuillage en me mettant nue, puis de s’occuper de mes seins, les caresser, les lécher les sucer. Attention, il y a le lait qui risque bien de couler si on insiste trop, prévenant, il lui dit même de mettre la main sur mon intimité, que je sens déjà bien trempée, déjà rien que de penser de baiser avec un autre homme devant mon mari et avec non pas sa bénédiction, mais son commandement.


Il met sa longue main aux doigts si fins entre mes jambes et je ne peux rien faire pour lui dissimuler que cela fait déjà un moment que je suis follement excitée.


Le grand naïf, en retirant sa main, croit que je lui ai uriné sur les doigts, heureusement que mon homme l’affranchit sur l’origine de cette humidité plus qu’humide. Il lui propose de sentir pour constater que ce n’est pas de la pisse et là, surprise, il trouve ma mouille délicieuse et veut bien goûter à la source.


Mais je ne suis pas d’accord, je veux d’abord voir à quoi j’ai affaire et je lui arrache presque son slip qui m’avait l’air de cacher des trésors importants.


J’ai les yeux qui sortent presque des orbites quand je vois comment il est équipé, moi qui avais peur qu’il ait un minuscule spaghetti, on pourrait presque dire que tous ses muscles sont concentrés là. Des si belles queues, je n’en avais jamais vu et du reste quand Liriam remarque mon opinion sur la chose, il s’étonne d’où viennent mes connaissances. Il faut bien lui avouer que quand je nettoie les vestiaires, après le football, la plupart des joueurs ne sont pas très pudiques et c’est pas mon genre de ne pas m’instruire en baissant les yeux. Non, mais  ! il n’y a pas que les mecs qui ont le droit de se rincer l’œil.


Cramponnée à son gouvernail, je pars dans un délire sexuel pas triste, c’est le départ pour Sirius, voire Bételgeuse. Sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, Liriam commande :



Là, je sens toute la douceur de Joseph, bien conscient qu’avec sa matraque, il puisse me blesser, il avance précautionneusement, mes chairs s’écartent pour lui laisser le passage, il avance lentement, à mi-parcours j’ai déjà l’impression d’être complètement prise. Inquiet, il demande s’il peut continuer, n’ayant jamais été aussi bien remplie, je ne peux que l’encourager à continuer.



Là, voilà qu’il est enfin arrivé au fond du puits. Je suis littéralement écartelée, mais c’est trop bon, surtout qu’il a mis en route son piston et lentement et avec douceur, il le fait fonctionner.


Je sens que l’orgasme frappe à la porte, je place mes pieds sur ses reins et ne peux m’empêcher de coller à mort mon pubis contre le sien, tendue comme cela, je ne me souviens pas de l’avoir été.


Les étoiles défilent devant mes yeux, je ne peux m’empêcher de partir dans un orgasme profond, de ceux qu’on met du temps à revenir. Je me démène dans tous les sens comme une folle puis, épuisée, je retombe, mais lui finit juste après moi et je sens le déluge arroser mon utérus. C’est les grandes eaux, voire l’inondation quinquennale.


Vidé qu’il est, mon amant, il a tout donné ce qu’il a pu, mais je vois que mon homme, lui, trique comme pas un et je ne peux vraiment pas le laisser comme ça, même si j’ai vraiment envie de me reposer. Joseph, lui, est déjà parti dans le monde des rêves et je l’observe pendant que Liriam me lime. Je ne sais si je vais avoir encore un orgasme, c’est un peu tôt après le deuxième.


Voilà, il a déchargé et fait comme Joseph, tombe dans de beaux rêves, alors je fais de même.




La visite de Lisette

Suite du récit par Joseph



Une fois la routine de ménage installée, avec moi comme mari de substitution, je me suis permis avec l’accord de tous d’inviter Lisette pour rendre un dernier hommage à Louis et surtout rester un peu avec nous. Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas vue.


Un soir, un taxi s’arrête devant la maison et en sort ma chère Lisette. Ce sont des retrouvailles touchantes. Mais rapidement, l’attitude d’Alicia, un peu amoureuse, l’interpelle.



S’ensuit un Thieboudienne, pris en guise de bienvenue avec un bissap pour la soif.



Alicia confirme que c’est bien comme cela  :



Les jours passent, Lisette a regarni la tombe de Louis, elle s’intéresse au village, visite tout un chacun, souvent en compagnie d’Alicia. Mais je ne sais si c’est le fait d’avoir perdu son frère, elle semble un peu déprimée. Je m’en ouvre à Alicia et lui demande de lui tirer les vers du nez de ce qui la met toute triste.



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Remarques


⁽¹⁾ Vieille fille. Bien que non exclu cela reste du domaine de l’improbable.

⁽²⁾ Boko haram, groupe de terroristes salafistes centré autour du lac Tchad.

⁽³⁾ Gallinacé, c’est le nom scientifique pour la volaille, pour faire un peu pédant, à la place de la chair de poules.

⁽⁴⁾ Enfin, il ne faut pas exagérer, pas par 10 tout de même