n° 19430 | Fiche technique | 54756 caractères | 54756Temps de lecture estimé : 32 mn | 28/01/20 |
Résumé: Une panne ! Il suffit d'une panne et même si les probabilités sont contre eux, le destin s'en moque. | ||||
Critères: fh extraoffre hotel cunnilingu préservati pénétratio sandwich fsodo échange confession -extraconj | ||||
Auteur : Margrite |
Je sens leurs regards. Je les sens, mais aussi lorsque je tourne un peu la tête en reprenant mon souffle, je croise celui de Ginette qui me regarde, un petit sourire aux lèvres. Un sourire d’encouragement. Mais si je ne croise pas celui du mari, je peux voir que lui balaye le corps de sa femme, du bas où je suis justement en train de m’activer entre les cuisses, en haut où il doit suivre la montée du plaisir sur celle qui est son épouse.
Il ne fait pas que regarder, il lui parle. Je ne comprends pas ce qu’il dit, si je parle un peu anglais, je ne suis pas assez expert pour comprendre l’américain d’un Texan, mais je peux en deviner la signification, car les réponses de sa femme sont accompagnées de soupirs et gémissements. La façon dont elle me dirige aussi. Ses mains sont des traductrices autrement plus performantes que n’importe quel logiciel. Elles me guident même si je n’ai pas vraiment besoin d’être guidé. À la rigueur, elle me confirme que, comme toutes les femmes, elle aime que l’on joue avec son clitoris et que des doigts la pénètrent. Elle n’a pas protesté lorsque ma langue est partie en exploration vers sa corolle et que j’ai joué avec, sans vraiment pousser mon avantage jusqu’à la pénétrer un peu.
Ils me regardent. Ils nous regardent. Il n’y a pas bien longtemps, c’est Nous qui les regardions. Quand je dis, Nous, je parle de l’épouse et de moi, moi, Marcel.
Ginette est très forte pour mettre l’ambiance. Après les saluts d’usage et les quelques minutes pour que chacun trouve ses marques, généralement en buvant une coupe de champagne que nous amenons, elle se charge de prendre la direction de la rencontre.
Un baiser à peine appuyé sur les lèvres de l’homme, puis de la femme qui pour l’instant est au côté de son mari, elle commence son effeuillage. Sa robe-tailleur est un modèle du genre. À la fois habillée avec élégance, tout en étant sexy, mais sans ostentation. Cela lui va très bien, car Ginette, malgré ses trente ans, a un visage de quasi adolescente. Le décolleté est raisonnable. La robe s’arrête après le genou, mais comme elle porte des bas, la transition est toute en nuance.
Trois boutons. Trois boutons seulement, qu’elle dégrafe avec négligence évitant toute provocation inutile. Pas question de trop en faire. Elle n’est pas une strip-teaseuse. Juste une femme élégante qui se déshabille. Mais sous la robe elle apparaît toute en majesté.
Tout en noir ! Soutien-gorge, porte-jarretelles, string, bas. Une couleur qui tranche avec sa peau blanche, qui magnifie sa beauté, qui donne un côté « Femme de Paris », qui plaît aux étrangers, mais pas que !
Le mari est hypnotisé par les gestes de Ginette et lorsqu’elle passe ses mains dans son dos pour défaire l’agrafe du soutien-gorge, ce sont les deux magnifiques globes qui concentrent son regard. Et puis l’homme assiste à ce qu’on peut penser comme un rêve, car quel homme ne fantasmerait pas sur ce qui se passe ? Chaque bas est lentement repoussé, passant le genou, puis le mollet, la cheville, le pied, laissant à nu une jambe, puis l’autre. Le porte-jarretelles est comme toute cette lingerie, arachnéen, dentelle du Nord dont le tissage semble longuement étudié pour maintenir, mais pas cacher. Pourtant le string transparent laisse voir plus que la nudité de ce qu’il libère.
Je m’approche de l’épouse et, lui prenant la main, l’éloigne de deux pas de son mari. Lui voit approcher cette beauté qu’il a vue, certainement avec son épouse sur le site de Ginette. Mais la réalité est encore mieux. Elle lui prend une main qu’elle guide vers son visage, en sélectionnant un doigt qu’elle glisse entre ses lèvres. La belle se révèle un peu coquine, provocatrice, sortant de cette apparence de sagesse qu’elle se donnait avant. Elle suce longuement le doigt, tout en fixant l’homme dans les yeux. L’évocation est évidente. Même l’épouse regarde. Elle est comme toute personne qui regarde ce geste, simulant sans s’en rendre compte un mouvement des lèvres pour les entrouvrir comme si…
Mais Ginette redirige la main pour la plaquer sur son épaule, la faire lentement glisser pour atteindre un sein, un sein qu’elle fait envelopper et aussi effleurer son téton. Elle soupire sous la caresse qu’elle se donne par personne interposée. Et puis la main, toujours guidée, passe le ventre plat, bifurque vers une hanche, tangente la fesse pour revenir sur la cuisse et se plaquer sur son intimité. Encore un soupir. On pourrait croire qu’elle feint, mais je sais que c’est rarement le cas. Elle aime ça. Elle aime se faire désirer.
Et puis elle pousse la main, tout en se penchant un peu, afin qu’elle passe un peu plus loin entre les cuisses. C’est à ce moment que l’homme découvre que le petit trou de Ginette est occupé, qu’un disque en cache l’entrée, disque qui n’est que la partie visible de cet iceberg de métal au trois quarts immergé.
L’homme est surpris. Il regarde sa femme. Il sourit, attirant l’attention de son épouse. C’est moi qui fais faire à la femme un autre pas qui lui permet de voir ce que la main du mari a découvert. Elle se penche. Le plug est visible. La belle Ginette a le cul pris. Son visage de gamine cache bien son jeu.
Mais ce sont ses mains qui maintenant s’attaquent aux vêtements de l’homme. La chemisette libère un torse velu. L’homme doit avoir la cinquantaine, sa femme probablement aussi. Ce sont des Américains éduqués, qui font attention à eux, loin des clichés de ces obèses maladifs.
Le ventre est à peine enveloppé. Elle s’y attarde avant d’attaquer la ceinture, le pantalon et ce qui suit. Il bande déjà. La toison, qui descendait de son torse, tirant une route poilue semble s’arrêter net au pubis. Déjà elle prend le sexe dans une main et de l’autre fait reculer l’homme jusqu’à un fauteuil. Il s’y installe.
Moi, je me déplace pour me coller contre le dos de sa femme. Pour l’instant, elle semble vouloir regarder. J’en profite pour la câliner un peu en l’embrassant dans le cou, glissant sous l’oreille et jouant avec son lobe. Elle frémit et se laisse aller tout contre moi.
Elle regarde. Elle regarde Ginette s’agenouiller devant son homme et commencer une fellation. D’abord une fellation douce, policée, de jeune fille qui découvre pour la première fois un mandrin bien tendu. Elle joue avec, le caresse des lèvres, le branle de la main, tirant sur la peau pour bien en dégager le gland.
Moi j’explore. Mes mains se promènent sur le corps de la femme. Elle ne se refuse pas. Lorsque j’enveloppe chacun de ses seins pour bien la plaquer contre moi, elle souffle, presque un gémissement.
Elle regarde et moi je la vois entrouvrir les lèvres pour accompagner Ginette qui avance vers le gland, y dépose un baiser et doucement le fait disparaître dans sa bouche.
Moi, je tire sur la fermeture éclair de la robe, défais les boutons du chemisier pour me coller à nouveau contre une épouse en lingerie.
Son mari la regarde. Il sourit de la voir ainsi, mais bien vite est rattrapé par le plaisir alors que Ginette passer à la vitesse supérieure. De la découverte par une jeune femme à demi experte, elle est passée à la bouche gourmande qui arrive à gober presque tout le mandrin et qui l’astique en le pompant dans un mouvement ample, accompagné du bruit caractéristique de la salive abondamment libérée.
Je me colle contre la femme, mais continue de la déshabiller. Son mari ne la regarde que d’un regard vague, les yeux plus souvent clos qu’ouverts.
Elle est nue. Je la caresse. Sa poitrine est bien ferme, trop ferme pour être naturelle, mais toujours sensible, alors que je la caresse et joue avec ses tétons, elle gémit. Je l’embrasse dans le cou apportant une touche de tendresse dans ce qui pourrait lui paraître trop cru ou artificiel. Je ne sais pas si ce couple est un couple libéré qui dans son pays pratique l’échangisme, le candaulisme ou toute pratique sexuelle qui demande la présence d’autres partenaires. Ou bien est-ce un couple qui profite de sa visite en France pour s’essayer à une aventure avec des Français, se disant que pour une fois ils pourraient, sans risque d’être découverts par leurs amis ou parents, goûter à des plaisirs plus audacieux. Si c’est le cas et si c’est leur première fois, alors ils sont très complices et ni l’un ni l’autre ne semble « fâché » de ce que fait l’autre. Pas fâché, curieux et manifestement heureux que son conjoint soit en de si bonnes mains.
À propos de main, je descends vers son pubis. Ma main se plaque et découvre une chatte bombée.
Ginette a défait l’emballage du préservatif. En quelques secondes elle enveloppe la bite bien tendue, utilisant sa bouche pour le dérouler.
Elle se relève et, enjambant l’homme, vient se placer pour que sa fente descende lentement sur la bite. Aussitôt elle commence à se baiser sur le mandrin, entourant de ses bras le cou de l’homme. Lui caresse sa poitrine alors que Ginette lève la tête dans un mouvement accompagné de soupirs qui montrent son plaisir.
Je profite de ce moment pour rapidement me déshabiller. Personne ne s’en aperçoit, le couple dans sa bulle, l’épouse fascinée par ce qu’elle voit. Mais lorsque je me colle à nouveau contre elle, elle sent aussitôt que ma peau est contre la sienne, mais aussi que je bande et que ma bite trouve naturellement sa place contre ses fesses. Je reprends mes caresses sans oublier ces petites marques de tendresse, de baisers avec un lobe d’oreille dont je vérifie, comme souvent, que les femmes sont très sensibles à cet endroit.
Mais l’homme semble avoir envie d’autre chose. Il soulève Ginette et, en se levant du fauteuil, la pousse pour qu’elle s’y installe à genoux, nous offrant ainsi une vue magnifique sur sa croupe et mettant d’ailleurs en lumière le disque métallique du plug. Dans un même mouvement, l’homme se place derrière elle pour l’envahir d’une poussée, avancée au niveau de son excitation. La baise tranquille de la femme qui chevauchait son amant se transforme en une baise plus puissante, permettant ainsi à l’homme de libérer toute son énergie et son excitation que la mise en place de Ginette a provoquée.
Ginette gémit. Elle n’oublie cependant pas que la bite qui la bourre est « une Transatlantique » et ses « Yes » en sont la preuve.
Moi, je constate que tout cela a bien excité l’épouse, ce qui était aussi le but recherché, et que sa fente est plus qu’humide. Il est temps qu’elle aussi ait ce qu’elle est venue chercher. Elle ne résiste pas lorsque je la pousse vers le lit. Mais alors que je veux la faire allonger, elle résiste et m’attire vers elle afin que mon sexe se retrouve au niveau de son visage. J’apprécie ce geste. Il est la preuve qu’elle se sent vraiment impliquée et que le but n’est pas que son plaisir à elle. Rien ne peut faire plus plaisir au, semi-professionnel, que je suis.
Elle me suce. Manifestement elle sait y faire. J’avais lu que les Américaines, avant toute véritable relation sexuelle, soulageaient leur copain de cette façon. Je ne sais pas si cette femme a été formée à cette école, mais en tout cas ce n’est pas la première bite qu’elle prend dans sa gorge.
Elle me pompe et c’est bon. En regardant de côté, je peux voir l’autre couple, mais ce n’est pas vraiment nécessaire. La musique d’une bonne baise est toujours agréable à entendre. Le claquement sonore du ventre de l’homme qui heurte les fesses de Ginette. La respiration forte de celui qui envahit. Les gémissements et les encouragements de celle qui reçoit et qui a travaillé son vocabulaire en Anglais. Et puis, alors que je me retire de la gorge de l’épouse, les cris de plaisir de Ginette. Des cris et mots en Français apportant la preuve que l’homme l’a satisfaite au point de retrouver sa langue natale, celle qui revient toujours dans les moments forts.
Ils nous regardent. Ginette tendrement assise sur les genoux de l’homme, un bras autour de son cou, l’autre guidant la main vers le sexe qu’elle caresse.
La femme se crispe. Elle jouit et ses mains me plaquent contre son intimité.
Quelques secondes et puis je me redresse pour attraper une capote dans ma poche de pantalon. Je déchire l’enveloppe et couvre ma bite bien raide, encore humide de la gâterie de Madame. Elle suit du regard ce que je fais. Spontanément elle ouvre encore plus les cuisses pour mieux m’accueillir. J’entre en elle avec délice, un plaisir non feint. Elle aussi apprécie. Je suis dans une bonne moyenne, pas trop gros, pas trop long, juste ce qu’il faut, car on pense à tort que les femmes aiment les grosses queues. Certaines peut-être, mais pas la majorité. Moi, mon truc c’est que je bande très dur. C’est très valorisant pour celle que je possède. Elle pense et à raison que je l’inspire.
Je la baise. Elle a entouré mes reins avec ses jambes pour bien me garder. Doucement, pas trop vite. Il faut prendre son temps. Le moment de la fougue doit attendre. Il faut que je la ramone bien, sortant et rentrant à chaque fois pour aller au plus profond d’elle.
Elle apprécie. Son mari lui parle. Je n’ai pas besoin de parler anglais pour comprendre ce que sa femme lui répond, mots à moitié mangés par la respiration et ses soupirs.
Ginette semble parler à l’oreille de l’homme. Il répond par un « oui » de la tête et lui sourit. Manifestement la question et la réponse de l’homme le mettent en joie. Je vois ma complice me faire un signe que je comprends aussitôt.
La femme est surprise que je me retire, mais comme je m’allonge à côté d’elle et que je lui fais le signe de venir sur moi, elle s’exécute avec un plaisir évident. C’est elle qui guide mon mandrin sur lequel elle vient s’empaler d’un coup. Elle commence alors à me chevaucher comme elle doit monter son cheval dans les plaines du Texas. Elle ne voit pas son mari se lever. C’est lorsque Ginette apparaît juste à côté de nous qu’elle réalise et encore, pas vraiment. Lorsqu’elle sent qu’une langue lui caresse l’anus, elle comprend.
Je ne sais si le couple a déjà pratiqué le sandwich, mais il s’adapte très vite. Je sens la queue de l’homme venir se frotter à la mienne. Petit à petit il fait son chemin. Il s’est installé à califourchon sur sa femme et nous domine.
Ginette joue avec nous. Elle caresse nos bourses, flatte la poitrine de la femme, va jusqu’à lui proposer un baiser alors que d’un coup de reins final, le mari l’encule profond.
Je pense, alors que nous nous activons, que ce couple va garder un excellent souvenir de cette soirée, de cette rencontre avec Ginette et moi. Décidément nous formons un couple qui mérite à être connu. Comme quoi le destin est capricieux et le hasard se joue des probabilités…
----------------------------------
Chaque jour et souvent la nuit lorsque je finis très tard, j’emprunte la ligne du métro qu’on caractérise par « Métro aérien ». Tout parisien et même banlieusard connaît cette ligne si particulière où une bonne partie du trajet et des stations sont à l’air libre, suspendus très au-dessus du sol, trottoir ou chaussée. Au début ce trajet me faisait penser au vieux film « Douze hommes en colère » dans lequel un juré s’attache à innocenter un homme accusé d’avoir tué son père. Dans mon souvenir, la scène du meurtre se passait dans un immeuble devant lequel passait un métro aérien. Et des immeubles, il y en a beaucoup le long de mon trajet. Immeubles de bureau, immeubles d’habitations, immeubles de résidence ou d’hôtel.
Au bout d’un moment on ne fait plus attention à ce décor si particulier et aucune des pensées que l’on a les premières fois ne persistent. Des pensées comme :
Qui habite là. ? Est-ce bruyant ? Gardent-ils toujours les fenêtres closes?
Maintenant je lis et c’est la routine.
Ce soir, c’est très tard, un des derniers métros. Il n’y a pas foule. Un couple de Chinois ou Japonais, de l’autre côté de la travée, d’autres étrangers, plus loin. La rame roule, puis ralentit, s’arrête et la lumière s’éteint ne gardant que des fluos de sécurité. Le silence est juste couvert par le jacassement de mes voisins. Moi, cet incident ne m’empêche pas de continuer de lire sur ma liseuse. Cela dure quelques secondes, une minute, mais le bavardage de mes voisins est si fort que je lève la tête vers eux. Ils regardent dehors et l’un d’eux filme manifestement. Ces étrangers filmeraient n’importe quoi. Entre ces deux stations, il n’y a que des immeubles et peu de vue sur Paris.
Et puis la lumière revient. Deux secondes et la rame redémarre lentement. Mes deux voisins sont surexcités. Maintenant ils regardent leur écran, et commentent. Sans vraiment réaliser, je les fixe. On parle du comportement des Français à l’étranger, mais certains n’ont rien à leur envier. Ils remarquent que je les fixe. Voient-ils de la désapprobation ? Ils semblent gênés. L’un deux me parle. Tout en me parlant, il me montre son smartphone. Comme je ne réagis pas, il glisse sur son siège pour se rapprocher et me tend son écran pour que je regarde. Je comprends leur excitation, manifestement ils ont surpris un couple dans l’immeuble en face, un couple qui faisait l’amour. Je souris en pensant que les gens sont négligents. Ils auraient pu tirer les rideaux ou les volets. Il est vrai qu’en temps normal, le métro passe vite et qu’on n’a pas le temps de vraiment voir.
L’autre asiatique tape sur l’épaule de celui qui partage sa vidéo avec moi. Il lui montre la liste des stations. Je comprends qu’ils vont descendre à la prochaine. Alors, d’un geste il me fait comprendre que je dois lui donner mon numéro de téléphone. Il me tend son appareil pour que je le tape et déjà ils disparaissent avec un grand sourire et des gestes d’adieu comme si nous avions sympathisé.
C’est le lendemain que je reçois un SMS avec un lien. Les quelques lettres du texte me font rappeler mes touristes. Le lien me donne accès à un fichier que je peux rapatrier. J’hésite un instant, envisageant un nouveau type d’arnaque, mais chasse cette idée. De toute façon j’ai un antivirus actif.
Le fichier est une vidéo, la vidéo d’hier. C’est fou comme les appareils récents avec leurs optiques et les logiciels adaptés peuvent filmer et zoomer. Après quelques mouvements désordonnés, on sent que le voyeur a trouvé un bon point d’appui et l’image se fige. Quand je dis « fige », je veux dire que ce qui bouge maintenant, c’est le couple filmé. Une femme est agenouillée devant un homme. Manifestement elle lui fait une fellation. Bien que de profil, on ne voit pas son visage, car ses cheveux font un paravent. Par contre les mains de la suceuse tranchent parfaitement sur la peau des fesses de l’homme. C’est un noir et sa maîtresse est blanche. Blanche et blonde. La main de l’homme elle aussi tranche sur la chevelure alors que manifestement il invite la femme à le prendre bien en bouche. Pendant quelques secondes, la tête bouge signe qu’elle le pompe bien. Et puis la femme s’éloigne du mandrin qui apparaît maintenant dans une belle posture pour le recouvrir d’une capote. Manifestement le mec est bien monté. Aussitôt la bite protégée, la femme se lève tout en se tournant et se penche pour s’appuyer contre le lit. Sa position est sans équivoque et l’homme la suit. Bientôt on devine qu’il possède la femme. Ses mouvements montrent son envie. Il se tient bien droit et on voit bien sa queue entrer et sortir. Bel outil que la femelle doit bien sentir. !
Mais manifestement la lumière vient de revenir et la rame bouge. Pourtant pendant une seconde je vois la femme tourner la tête vers l’homme. Sa chevelure la protège encore un peu, mais il me semble bien que…
Plusieurs fois, je revisionne cet instant et la vision fugitive du visage de celle qui se fait baiser. Je transfère même la vidéo sur mon PC pour avoir une image plus grande avec le mode pause et avance image par image.
Il n’y a pas de doute. C’est elle. La chevelure bien sûr, mais ce visage si caractéristique bien que je ne l’aie jamais vue dans ce genre de situation.
J’ai oublié depuis longtemps mes cours de statistique et de probabilité. Mais j’imagine combien de zéros il faudrait mettre dans le résultat en : une chance sur 100 000 000, etc. pour montrer que c’était quasiment impossible.
Pensez : l’heure, le lieu, la panne, auquel il faut ajouter ma présence, celle des touristes et, cerise sur le gâteau, le fait que je connaisse celle surprise dans cette situation.
Car je la connais. C’est la femme d’un copain. Un couple que nous voyons régulièrement, que nous apprécions, qui semble amoureux bien que je connaisse mon copain et son infidélité maladive. Elle, à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession du fait de paraître encore une gamine, visage d’adolescente dans un corps de femme bien dans sa peau. Elle travaille dans l’événementiel. Lui, dans une petite entreprise. Qui aurait cru ? Je n’en parle pas à mon épouse.
Mais le hasard fait que nous les avons invités pour le samedi soir. On envisage de partir ensemble cet été.
Pendant tout le repas, je suis mal à l’aise. Un comble ! Et puis je décide de raconter mon aventure :
Ma femme en rajoute une couche :
Je minimise… La vidéo n’était visible qu’une fois… J’avais oublié… J’ajoute juste que le lendemain j’ai vu que le métro s’était arrêté en face d’un hôtel et que donc ce couple n’était que de passage.
Je vois bien que Léa me fixe. Lorsque j’ai parlé de l’amant noir, elle a tiqué, c’est évident. Au nom de l’hôtel, elle a blêmi ! Et lorsqu’on m’a demandé si j’avais vu le visage de la femme, j’ai regardé vers elle, en répondant :
Elle a bien compris que je mentais et que mon mensonge la protégeait. Aussi, lorsque je suis parti à la cuisine pour aller chercher le dessert et changer les assiettes, elle a dit à ma femme :
Dans la cuisine, aussitôt elle m’a demandé :
C’est ma femme qui apparaît et coupe donc notre conversation.
La soirée continue. Léa et moi essayons de paraîtres naturels. Je crois que nos conjoints ne se sont doutés de rien.
Mais le lendemain, Léa m’appelle.
Elle est belle. Putain, ce visage de gamine ! Habillée chic et sexy, mais pas trop. Rien que sa présence fait que les hommes se retournent vers elle.
J’ai décidé de ne pas trop m’impliquer dans leurs affaires de couple. Je ne suis ici que par le « Ton opinion compte beaucoup pour moi », qui m’a attendri.
Elle hésite.
Il me faut un moment pour comprendre.
On s’est quitté sur ces bonnes paroles.
Mais ce rendez-vous a été une erreur. Je serais resté sur l’idée de la femme adultère, mais qui, au regard des cornes que lui fait porter mon copain, avait des excuses. Par contre l’idée de l’escort, même si l’intention était louable de pallier les insuffisances de son mari, me perturbe. Comme me perturbe le « Pas si terrible que cela » que je tourne à toutes les sauces et aussi le « Bref, j’ai des envies, des besoins » comme si elle me disait que ces rencontres n’étaient pas que vénales! Et puis je regarde en boucle la vidéo et cet étrange visage lorsque la femme se retourne, même si c’est fugitif.
Il m’a fallu un temps fou. Vous n’imaginez pas le nombre d’escort qui évoluent sur Paris. Même en éliminant les salons de massages, les femmes chez elles et recherchant plus spécialement avec des mots clés pour mieux la cerner, il m’a fallu trois jours. Évidemment pas des journées entières, mais de temps libre. Surtout j’ai fait l’erreur de rechercher une « Léa » alors que j’ai découvert après qu’elle utilise un prénom d’emprunt. J’aurais pu y penser plus tôt. Ginette !
Sa page est en Anglais. Évidemment il a des photos, mais plutôt sages si on compare aux autres. Elle joue sur sa jeunesse apparente, mais les pratiques acceptées ou refusées sont bien celles d’une femme disponible pour plus qu’un repas. Elle propose différentes « atmosphères » basées sur la tenue sélectionnée, les sous-vêtements, les accessoires. Elle n’accepte que des rendez-vous en hôtel.
Je commets alors l’irréparable. Je me crée un personnage. Un Français, car je ne peux pas tenir le rôle d’un étranger, même en numérique. Pour crédibiliser, j’utilise la photo d’un collègue comme avatar de mon numéro « carte prépayée ».
21 heures au bar de l’hôtel. J’ai loué une chambre sous mon nom d’emprunt, car elle avait précisé que pour éviter les canulars, elle vérifiait avant de venir. Une belle somme qui va être perdue. Même si je gamberge j’ai conscience que cette chambre ne servira pas. Pourtant c’est comme s’il fallait que je sache.
Elle arrive. Je suis caché. Elle cherche son client du regard et puis s’installe au bar sur le haut tabouret. Les hommes ne peuvent s’empêcher de la regarder. Pourtant elle est habillée très classique, bourgeoise, comme une épouse qui attend son mari.
J’arrive derrière elle.
Elle sursaute en me voyant.
Et puis la fureur dans son regard.
Elle a parlé plus fort. On nous regarde.
Elle regarde autour d’elle, comprends et me suis alors que je l’entraîne dans un coin reculé.
Elle refuse de s’asseoir.
Et puis avec un regard embué, elle ajoute:
Le serveur arrive. Elle se calme, mais commande avec défi :
À la façon dont elle commande, je sens déjà des dizaines d’euros quitter mes poches. J’aurais pu tout simplement lui donner rendez-vous pour bavarder. Elle serait venue. Pourquoi avais-je ce besoin de cette mise en scène ?
Nous restons en silence. Il revient. Ouvre la bouteille, remplit nos verres. Il nous laisse.
Elle lève son verre.
Je comprends qu’elle veut me réduire au rôle d’un client comme un autre.
Elle boit.
Elle vide son verre, s’en ressert un nouveau, le vide.
Elle n’attend pas la réponse, se lève et…
Elle part. Je me retrouve comme un con. Je n’ai d’autre choix que d’aller payer. Waouh !
Elle attend.
Je décide de rendre les armes au moins en public. Je verrai une fois dans la chambre pour m’expliquer et tenter de la calmer.
Elle se penche vers moi, alors que l’ascenseur se referme avec d’autres passagers.
Un instant je pense qu’elle est revenue de sa colère froide, mais non, encore en provocation.
J’ouvre la porte. Je la laisse passer devant. Elle se dirige vers le lit.
Elle continue dans son rôle.
C’est vrai qu’à aucun moment je n’ai pensé à vraiment payer, car je voulais… oui, je voulais parler… comprendre… qu’elle m’explique… savoir… Je me rends compte que je me suis caché la réalité. Que Léa ne pouvait que mal prendre ce rendez-vous, me faire passer pour un client, alors que moi je…
Moi, je suis un con. Comme crétin on ne fait pas mieux. Comment ai-je pu penser qu’elle comprendrait ? Pendant tout ce temps j’ai imaginé… Mais quel con !
Suprême injure. Échanger son silence contre des faveurs sexuelles. Coucher avec la femme de son meilleur ami en la faisant chanter.
Le temps de comprendre qu’elle tire sur le zip de sa robe et qu’elle la repousse, elle est nue.
Mes instructions, l’atmosphère que j’avais choisie, c’était Ginette ne portant rien sous sa robe. Elle les a suivies à la lettre. Elle est nue devant moi.
Putain, qu’elle est belle ! J’avais déjà vu Léa en maillot de bain deux-pièces, mais ici c’est différent. Nue, provocante.
Elle se tourne, se penche…
C’en est trop ! J’ai atteint les limites de la décence. Laisser cette femme, une amie se montrer ainsi, nue, dans le but d’acheter mon silence. Je passe devant elle, et tout en me dirigeant vers la porte:
Je vais ouvrir la porte.
Le ton me surprend. Mon prénom aussi. Je me retourne. Elle s’est tournée vers moi.
Il me semble entendre un sanglot. Je reviens vers elle. Son regard a changé. Ses yeux sont mouillés.
Mon Dieu, quelle question ? Elle me déchire le cerveau et laisse apparaîtrai une réponse. Une évidence que je me refusais à voir. Ma fidélité. Fidélité à ma femme, fidélité à mon copain ! Oui, je refusais de le voir. De le reconnaître. Mon désir de Léa. Un désir que j’ai enfoui sous une prétendue amitié, une camaraderie pour éviter de vraiment…
Sa tête sur mon épaule, je lui caresse la nuque. Elle frissonne et porte son visage vers le mien. Nos lèvres se touchent. C’est comme une explosion. Je n’ai jamais ressenti une telle envie. Envie de l’embrasser, de fouiller sa bouche avec ma langue, de batailler avec la sienne, de nous tester, de partager nos salives, comme si notre vie en dépendait.
Et mes mains qui découvrent son corps. C’est comme si elles savaient déjà. Qu’elles avaient déjà dessiné ses courbes dans l’espace afin de se préparer.
Et elle qui repousse ma veste. Qui s’attaque aux boutons de ma chemise. Qui tire avec une telle impatience que certains sautent dans un craquement sec. Ses mains qui explorent mon torse, qui déjà cherchent à se glisser sous ma ceinture. Une ceinture que j’aide à défaire, un pantalon que je chasse au loin, un slip qu’elle tire pour laisser…
Je bande. Mon sexe est un mât qui se tient bien droit, plaqué contre mon ventre, tendu par un désir brut de posséder ce corps qui me fait face.
Mais Léa me repousse.
Sa main sépare mon sexe de mon ventre. Juste assez pour que ses lèvres viennent sur mon gland.
Comment résister à un tel aveu. Il m’en a fallu de la persuasion pour que ma femme me suce sans retenue. Elle s’affiche femme libérée pour les autres, mais en réalité, elle est toujours un peu coincée et a du mal à laisser parles ses sens. Reste d’éducation débile! Alors, entendre une femme avouer : « J’ai envie », c’est comme un bonheur.
Oui, Léa, suce-moi. Mon Dieu que tu le fais bien. Certainement que ton job… Chut, dit une petite voix dans mon cerveau, oublie ça. C’est toi qu’elle suce, pas un client même si avec eux elle a dû apprendre…
Ses lèves avancent inexorablement, dépassant déjà le sillon du gland pour descendre, descendre et… oui, le nez pincé, le regard vicieux, elle bute contre mes couilles. Des couilles que sa main caresse. De la main je chasse ses cheveux pour mieux la regarder. Je veux la voir, je veux profiter de chaque seconde, de chaque mouvement, de chaque coulure de salive, de chaque bruissement des lèvres qui s’activent sur ma queue.
Je gémis d’un plaisir autant physique que visuel. Quel regard vicieux qui se cache dans ce visage de gamine. Et sa façon de pousser mon vit qu’elle puisse atteindre mes couilles, les lécher, les gober, poussant sa langue au plus près de mon petit trou. Elle m’astique de sa bouche. Ma queue libérée est enduite de salive. Elle garde le gland, l’aspire, le titille de la langue alors que sa main me branle. L’autre main joue avec mes bourses. Un doigt titille mon anus. Et puis un instant elle quitte ma bite pour se lécher un doigt. En reprenant ma queue en bouche, c’est comme un sourire qu’elle habille.
Elle me pompe, me branle, me caresse les couilles et je sens que son doigt tourne autour de mon petit trou. C’est trop bon. Je ne peux plus résister à de telles sollicitations.
Je cherche à la chasser pour ne pas… Mais elle refuse. Au contraire elle accélère, sa main me branle, l’autre presse mes bourses et le doigt pousse, avance dans mon petit trou. Elle me l’enfile au plus profond. Je le sens se crisper et caresser….
Rien ne peut plus m’arrêter. Elle voudrait se retirer qu’elle ne pourrait plus. C’est moi qui appuie sur sa tête pour… Je jouis… Des spasmes presque douloureux libèrent ma liqueur. Une liqueur que jamais ma femme n’a acceptée comme Léa maintenant. Mon foutre qui jaillit, que sa bouche accepte, sa langue continuant de me lécher le gland.
Et puis c’est fini. La source se tarit. Mon sexe faiblit un peu, mais ne redevient pas la petite chose qu’il peut être au repos. La chaleur de la gorge, le bain de crème dans lequel il patauge en font un écrin qui l’entretient.
Léa cependant l’abandonne. Son regard est redevenu celui de la gamine alors que c’est son visage qui porte les stigmates de ce qu’elle vient de faire. Elle se redresse, me fait face. Je chasse les mèches qui sont venues se coller à son front, ses joues. Elle est luisante de sueur et des coulures infâmes habillent ses lèvres et son menton. D’un doigt, je cueille quelques traces coupables dénonçant ce qu’elle vient de faire. Je me sens ridicule avec ce doigt qui suinte maintenant. C’est elle qui le saisit pour le porter à sa bouche. Plusieurs fois je répète ce geste. On pourrait y voir de la luxure, de la perversité, mais en cet instant il me paraît naturel.
Si naturel que j’attire son visage vers le mien et que j’embrasse cette bouche tant désirée. À nouveau la magie opère. Nos langues se retrouvent et échangent cette fois-ci plus que de la salive. Je n’avais jamais fait ça et pourtant c’est si évident.
Comme est une évidence que j’allonge Léa sur le lit, que je plonge entre ses cuisses et à mon tour, cherche, et réussis, à apporter du plaisir. Elle coule et jouit si facilement que je suis presque frustré de ne pas pouvoir lui faire découvrir lentement, étape par étape, comment je sais le faire.
Et puis, je la possède. Mon mandrin glisse avec délice dans sa fente onctueuse. Elle s’accroche à moi, de ses bras, de ses jambes comme si elle avait peur que je parte. Elle gémit à nouveau. D’un coup de reins, je la soulève toujours empalée sur mon vit aussi dur qu’un chêne. Je la pose sur la commode et je la baise. Ses yeux fixent les miens. Par moment ses paupières se ferment comme si elle ne pouvait se retenir, mais c’est regard contre regard que son plaisir et le mien arrivent, chacun scrutant l’autre pour atteindre le moment suprême celui que chaque couple cherche et atteint rarement.
C’est si bon. Comme dans un film au ralenti. Une jouissance du corps, de ma semence qui monte pour aller se déverser dans son vagin. Ses muscles qui prennent mon bâton comme pour le traire. Son regard qui vacille alors que le premier jet l’inonde. Ce sourire comme figé pour l’éternité. Son nez pincé détruisant l’harmonie de ce qui fait son visage de jeune fille.
Et puis, allongé l’un contre l’autre, reprenant notre souffle. Encore une symbiose parfaite.
Et puis la vie qui revient. Chacun qui se sent coupable d’avoir vécu un tel moment. Oui, nous nous désirions en silence. Un désir charnel, mais pas plus…
Chacun se sent obligé de dire qu’il aime son conjoint. Chacun mesure ce que notre culpabilité peut avoir de ridicule. Après tout, j’ai couché avec une escort qui fait ce job pour payer les dettes du ménage. Mais non, on ne peut pas se cacher derrière cette réalité. C’est avec Léa, la femme de mon copain, et elle c’est avec Vincent, le mari d’une amie.
Alors pour essayer de me déculpabiliser et c’est bien un comble, je questionne « Ginette ».
Elle me répond sans détour. Elle s’est juste tournée pour peut-être ne pas croiser mon regard pendant ses aveux. Je la questionne en lui parlant au creux de l’oreille, mon corps collé contre le sien et je l’enveloppe de mes bras. Elle me répond comme en confidence, parlant doucement, comme si cela lui faisait du bien de pouvoir se confier.
Oui, elle fait ce job depuis plusieurs mois. Une ou deux fois par semaine, pas plus. Vu la somme demandée, cela suffit.
Oui, les premières fois cela a été difficile et le secours de la boisson l’a aidée.
Non, elle n’est jamais tombée sur un pervers ou un malade. Elle a juste une bombe lacry dans son sac. Elle vérifie aussi toujours que le client est bien enregistré à l’hôtel.
Oui, cela lui arrive de prendre du plaisir.
Oui, dans ces moments-là, elle se sent vraiment coupable. Mais le client est si fier!
Oui, elle a des demandes particulières. Mais elle refuse la domination ou la soumission. Par contre, elle accepte les couples.
Je viens de réaliser que je bande à nouveau. Toutes les aventures de Ginette me « dopent ».
Elle tourne son visage vers moi et, comme si c’était une évidence :
Elle bouge. Tout naturellement ma bite se retrouve entre ses fesses. Je n’ose pas.
Je ne vois que sa nuque et ses cheveux blonds. Mes reins savent ce qu’il faut faire. Mes mains s’emparent de ses hanches. J’entre facilement. C’est si facile. Avec ma femme, c’est toute une histoire. Il faut négocier et lorsqu’elle accepte elle ne montre aucun plaisir, juste des grimaces de douleur.
Je me glisse dans ce conduit étroit qui m’étreint. Léa ondule de la croupe. J’aimerais pouvoir la voir. Comme dans ces vidéos que j’ai vues sur le net, l’écran séparé en deux parties, l’une montrant de face le visage de la femme, l’autre la progression de ce qui la possède, un beau bâton qui se glisse dans son cul. C’est extrêmement excitant… surtout par le visage où on peut suivre la progression, la surprise, parfois la douleur d’une première fois et si au début, on devine que se sachant filmée la femme n’est pas « naturelle », par la suite elle oublie et son esprit est ailleurs…
J’aimerais la bourrer pendant des heures et la faire hurler de plaisir, mais je suis si à l’étroit que….
Je demande alors que je suis toujours contre son dos, que mon mandrin s’échappe doucement de sa prison.
Elle rit.
Je réfléchis. Voilà une proposition que je n’aurais jamais imaginée. Être dans l’action. Vivre de l’intérieur. La voir avec un autre… avec une autre peut-être…
----------------------------------
Je sens leurs regards. Je les sens, mais…
Ginette joue avec nous. Elle caresse nos bourses…
----------------------------------
Je m’éloigne dans le couloir. Je n’ai pas la patience d’attendre l’ascenseur. Je ne veux pas me retrouver en face d’elle.
Il fait bon dehors. Les gens flânent, même s’il est tard.
Et puis on m’attrape la main.