n° 19431 | Fiche technique | 13034 caractères | 13034Temps de lecture estimé : 8 mn | 29/01/20 |
Résumé: Richard, mon amant, me dévergonde de plus en plus et me fait maintenant découvrir les plaisirs de la sodomie. | ||||
Critères: fh extracon campagne hdomine fdanus fsodo coprolalie init -extraconj | ||||
Auteur : Sabine59 Envoi mini-message |
Collection : Dévergondage d'une femme mariée |
Après toutes ces nouvelles expériences vécues avec Richard, la routine de la vie conjugale reprit son cours rassurant et, dans mon esprit, cette période de sexe débridé, restait une parenthèse et je voulais qu’elle le reste. J’avais tout de même constaté quelques changements. J’étais sexuellement plus demandeuse, au plus grand plaisir de mon mari. Je m’abandonnais plus facilement au plaisir !
Et je le gratifiais quasi à chaque fois de pipes goulues.
Bien sûr, je recroisais Richard à l’occasion. Ses clins d’œil et sa tendance à laisser sa main passer subrepticement sur mes fesses me laissaient penser qu’il n’avait rien oublié de nos ébats.
Malgré tout, nous ne fîmes que nous croiser, sans pour autant envisager à nouveau d’aller plus loin et six mois s’écoulèrent avant que nous nous retrouvions seuls dans une même pièce où il entra alors que je faisais du rangement de papiers administratifs pour le club équestre où nous montions tous les deux.
Alors que je classais des documents dans une étagère, il me salua d’un : « Bonjour Sabine » chaleureux auquel je répondis sans me retourner, absorbée par ma tâche. Ma concentration fut vite mise à mal lorsqu’il se plaça dans mon dos, attrapant mes hanches et me déposant un baiser dans le cou, me faisant sursauter et frissonner à la fois.
Un « Toujours aussi jolie et excitante » suivit cette manœuvre. Par provocation et malgré un « merci » sorti de ma bouche, je fis mine de poursuivre mon travail. Cela le ne découragea aucunement et je sentis bien vite sa main sur mes fesses qu’il malaxa effrontément au travers mon pantalon d’équitation. Mon rangement se fit plus lent et il réussit à me déconcentrer de ma besogne, que je continuais malgré tout. Visiblement cela ne lui suffisait pas, car, bien vite, sa main passa sous mon pantalon et le tissu de ma culotte pour caresser mes fesses à même la peau, chose rendue possible par l’élasticité de ce type de vêtement de monte.
Dès lors mes mains qui, jusque-là servaient à ranger les documents sur les étagères, ne me servirent plus qu’à m’appuyer sur celles-ci alors que Richard se mettait à malaxer chaque globe de manière appuyée. Imperceptiblement, je m’étais légèrement penchée en avant pour tendre ma croupe à la rencontre des massages de mon bourreau. Se sentant encouragé, il glissa sa main le long de mon sillon pour arriver à glisser deux doigts sur ma fente puis entre mes lèvres m’arrachant alors des gémissements sortant involontairement de ma bouche.
Un « T’aimes ça, finalement, coquine » finit par entériner ma capitulation. « J’ai réussi finalement à te détourner de ta tâche, on dirait ».
Il me fit me cambrer alors un peu plus, afin d’accéder plus facilement à ma fente, de mieux en mieux besognée par ses doigts virevoltants. Je haletais silencieusement, ne voulant pas ameuter quelqu’un. Il joua ainsi un moment, à alterner les va-et-vient entre mes lèvres et mon clito, facilités par l’humidité abondante de mon minou.
Décidément, que ce mâle avait prise sur moi ! Car comment expliquer que je n’avais pas plus protesté que ça, me retrouvant croupe tendue , ses doigts fouillant ma chatte dégoulinante, au milieu du secrétariat.
Je fus même flattée par le « Ton cul m’a manqué petite salope ! » qu’il me glissa entre deux introductions de doigts dans mon vagin, déjà bien dilaté. La bourgeoise dévergondée, que je pensais loin, ne faisait en fait que se cacher sous la surface de la routine et une vulgaire main au cul appuyée, avait suffi à la tirer de sa léthargie apparente.
Richard ne cessait de s’occuper de ma croupe. D’une main sur mon épaule, il me fit presque pencher à 90° contre les étagères pendant que la main, qui me fouillait la chatte, remonta lentement jusqu’à ce que les doigts poisseux de cyprine, jusque-là dans ma fente, viennent se poser sur mon anus.
Sans attendre, il y introduisit deux de ses doigts. Mon sphincter, pourtant serré, n’ayant opposé qu’une résistance toute symbolique. Il se mit à faire des va-et-vient entre mes fesses en tournant ses doigts dans mon rectum, me faisant découvrir des sensations et un plaisir honteux, inconnus jusqu’à présent. Ma rondelle avait déjà certes fait l’objet de caresses plus ou moins appuyées, mais jamais elle n’avait été sollicitée et dilatée ainsi. J’avoue qu’un tel traitement m’arracha des gémissements et des grognements impudiques, qu’en bonne mère de famille, je n’aurais cru pouvoir exprimer. Je me sentis très femelle à ce moment précis, repoussant à nouveau les limites de mon éducation et de ma morale. Cependant, je sentis des picotements traverser mon ventre m’annonçant un orgasme aussi inattendu qu’imminent.
Ma respiration et mes gémissements s’accélérèrent et je fus frustrée lorsque Richard cessa net ses caresses et retira sa main de mon pantalon pour me chuchoter à l’oreille :
Dans un état second après ce début d’orgasme interrompu, je me retrouvais au volant de ma voiture à effectuer les 4 km qui séparent le centre de chez Richard, guidée seulement par le désir ardent d’aller jusqu’au bout de la découverte de ce nouveau plaisir.
Je me présentai donc à la porte de Richard et je ne fus pas surprise lorsqu’à peine avais-je appuyé sur sa sonnette qu’il ouvrît la porte me faisant rapidement entrer. À peine passé le seuil, il se jeta sur moi m’enlaçant et m’embrassant avidement.
Ainsi capturée dans ses bras, il me guida directement dans sa chambre où il entreprit d’ôter en partie mes vêtements. Pantalon et culotte ne restèrent pas longtemps sur moi et je me suis vite retrouvée en polo, le bas complètement nu, sur son lit, lui-même ayant réussi dans un même temps à se mettre dans la même tenue. Je pus à nouveau admirer son sexe épais et tendu qui m’avait déjà donné beaucoup de plaisir lors de nos précédents ébats.
Je n’eus cependant pas le temps de profiter de la vue, car un « À quatre pattes, salope », accompagné de gestes directifs me firent me retrouver en position de levrette, croupe relevée et la tête dans les draps, face au miroir de son armoire. Richard, fébrile, se dépêcha d’enfiler un préservatif sur son chibre tendu et je n’eus pas à attendre longtemps avant de sentir cogner son gland à l’entrée de ma chatte. Il me pénétra d’une longue poussée faisant cogner son gland directement au fond de mon vagin, m’arrachant ainsi un cri de surprise et de plaisir mêlés.
Il se mit à me pilonner fermement jusqu’à ce qu’à nouveau ma respiration s’accélère, m’arrachant au passage des vocalises de plaisir. Encore quelques va-et-vient supplémentaires auraient suffi pour que je jouisse, mais Richard se retira de ma fente pour aussitôt placer son gros gland contre ma rondelle. Alors que d’une main il me retenait pas l’épaule, l’autre tenait fermement son sexe à l’entrée de mon rectum qu’il pénétra d’une poussée ferme et appuyée. Un cri sortit de ma bouche lorsque mon anneau céda, laissant pénétrer ce sexe de taille généreuse entre mes fesses. Je me sentis de suite à la fois envahie et empalée. L’image de mon visage dans le miroir reflétait l’effort que cette pénétration me demandait. Je me voyais très chienne dans cette position avec mon mâle derrière moi, concentré sur sa besogne !
Le monstre ne pouvait prendre possession que très lentement de ce sanctuaire jusque-là inviolé !
Les tentatives précédentes avaient toutes échoué à l’entrée du fait de l’étroitesse. Je ressentis chaque millimètre de cette tige me pénétrer. Je soufflai sous l’effort, l’appréhension et l’excitation. Richard agrippa mes hanches de ses deux mains pour pouvoir mieux maîtriser la poussée, m’empêchant ainsi toute fuite en avant.
Lentement mais sûrement, son sexe prit possession de tout mon rectum et, à bout de souffle, je sentis ses testicules enfin cogner contre ma vulve, sensation nouvelle pour moi !
Jamais je n’aurais pensé pouvoir accueillir un tel engin et d’ailleurs je ne m’étais jamais imaginé pouvoir offrir mes fesses de cette manière. Mon étalon resta quelques minutes ainsi fiché en moi, laissant le temps à mes chairs de prendre la dimension de son sexe.
Mon appréhension se dissipa en même temps que mon rectum se dilatait et je commençais à prendre un certain plaisir à me sentir ainsi clouée sur un tel membre.
Les légers coulissements de ce sexe me firent du bien et au fur et à mesure qu’ils prirent de l’ampleur, la sensation se mua en plaisir. Je recommençais à gémir lorsque Richard entreprit de longs va-et-vient, bien agrippé à mes hanches.
Encouragé par mes vocalises, ses coups de reins se firent plus rapides. Désormais, il réussissait à faire des allers-retours de toute sa longueur. Dans le miroir, mon visage se déformait de plaisir et je feulais comme jamais, ce qui excitait mon sodomiseur. Il grognait lui aussi de plaisir et transpirait sous l’effort.
Les coups de reins se firent plus puissants, me soulevant le cul à chaque coup de boutoir, m’arrachant des cris de plaisir bruyants. Le claquement de son bas-ventre, contre mes fesses et mes cuisses, rajoutait à mon excitation et je m’imaginais comme une pouliche saillie par son étalon. Je perdis toute notion du temps. Richard pilonnait mes fesses comme jamais et je sentis un orgasme dévastateur arriver.
Les spasmes de l’orgasme commençaient lorsque, agrippé fermement à mes hanches, il se ficha au plus profond de mon ventre plaquant ses couilles contre ma vulve et réussissant tout de même à faire tournoyer son membre dans mon fondement avec son bassin.
Je fus dévastée par les ondes d’un orgasme qui me terrassa. Mon ventre se contracta, de même que mon anus enserrant fermement la grosse queue de Richard qui palpitait, profondément enfoncée au fond de mes fesses alors qu’il éjaculait puissamment. J’eus l’impression de sentir les jets chauds malgré le préservatif. Mes sensations semblaient décuplées par cette jouissance anale à la différence d’un orgasme vaginal. Je m’écroulai sur le ventre le sexe de mon amant toujours fiché en moi.
Il se retira doucement et alors que je plongeais dans une torpeur post-coïtale, les yeux mi-clos, je sentis Richard m’attraper doucement la tête et placer son gland gluant de sperme odorant sur mes lèvres.
Il enfonça alors son sexe dans ma bouche et machinalement ma langue tourna autour de son membre à moitié flasque, ne laissant aucune trace de semence que j’avalai mécaniquement au grand bonheur de mon amant.
Il caressa mes fesses avant de claquer une petite fessée comme l’on remercie une bonne pouliche.
Mon éducation semblait ne devoir que commencer.