Allez, raconte...
Ce dimanche matin, grasse matinée. Mon mari et moi sommes dans notre lit, à nous renifler, nous regarder, nous toucher, nous dirigeant doucement vers quelque chose de plus intense… Gatien promène ses mains de ma poitrine à mon ventre… Je soupire pendant que mon chéri descend promener ses lèvres, sa langue sur mon clitoris, puis je pousse un petit cri quand il enfonce un doigt dans ma chatte, pendant que mes mains s’emparent avidement de son sexe… Sa bouche abandonne mon ventre pour venir embrasser mes lèvres, puis mon cou, mes oreilles… Il se met à me parler doucement, je ne le comprends pas, il répète…
Surprise, je lui demande :
- — Quoi, mon chéri ?
- — Le mois dernier, quand Arnaud t’a baisée, c’était comment, raconte-moi… je n’arrête pas d’y penser.
Tu parles si je m’en souviens. Comment oublier l’intensité de telles émotions ? Non seulement Arnaud m’avait fait jouir, bien, sous les yeux de mon mari, mais celui-ci avait complaisamment participé à mon plaisir de femme adultère, et m’embrassait, me caressait pendant qu’Arnaud me baisait, avant de me prendre ensuite, lui aussi. Et le chassé-croisé qui avait suivi… chacun d’eux avait bien joui de moi, mais moi, j’avais joui plus qu’eux deux réunis… Au matin, je m’étais réveillée harassée, mais repue dans les bras de mon mari, adultère pardonnée, puis récompensée… tendrement, amoureusement. Après tout ce qu’il avait accueilli la veille, mon ventre avait exigé beaucoup de douceur. Réveiller ce souvenir aujourd’hui me rend encore toute chose encore. Mais je ne savais pas que Gatien, lui aussi.
- — C’était bon, très bon même.
- — Mais encore…
- — Tu aimerais que je te raconte ? Ça te plairait, vraiment ?
- — Oui, dis-moi tout, ce qu’il t’a fait, ce que tu as ressenti, tout, quoi…
Je suis troublée. Mon mari veut revivre, par ma voix, notre séance du mois dernier. Pourquoi pas, après tout, si c’est pour lui faire plaisir ? Mon souvenir est encore bien vivant et, en entamant mon récit, je sens une douce humidité envahir mon ventre, même si j’ai un peu honte (si mes élèves savaient que leur professeure de maths joue à une plus deux…).
- — Ce jour-là, tu m’avais dit que tu ne rentrerais pas avant 19 h, et que je devais accueillir Arnaud. La dernière fois qu’il était venu, j’avais remarqué que ses yeux s’étaient attardés sur mon corps, et de me sentir désirée m’avait excitée. En y repensant, je sentais mes tétons pointer et ma chatte s’humidifier. Avec quelles intentions revenait-il ? Se souvenait-il de mon corps ? J’hésitais à prendre les devants, voire même à le provoquer, en l’accueillant les seins nus ? J’étais à deux doigts de le faire, mais, après hésitation, je me suis contentée de retirer mon soutien-gorge, afin de lui montrer que…
C’est donc avec un grand sourire que je l’ai accueilli. Mes tétons qui pointaient sous mon t-shirt attirèrent son regard concupiscent et il ne se priva pas de les fixer avec une lourde insistance. Il posa sa valise à terre et s’approcha lentement de moi, les yeux rivés sur mes seins. Puis il enserra ma taille de ses bras et plaqua mon ventre contre le sien, comme pour me faire sentir son désir (le cochon avait les mêmes bonnes intentions que moi…), prometteur de délices. Puis il couvrit ma bouche de sa bouche, et sa langue la pénétra lentement. Alors, ses mains firent plus audacieuses, parcoururent mon dos, remontèrent jusqu’à ma nuque, qu’elles effleurèrent légèrement, puis caressèrent, me faisant frissonner. Ensuite, ses mains retroussèrent mon t-shirt, constatèrent l’entière liberté de ma poitrine, ce qui le fit grogner de satisfaction, mirent mes seins à l’air, s’emparèrent d’eux, les soupesèrent, les caressèrent, les pétrirent lentement, puis il se mit à jouer délicatement avec mes tétons, les titilla, les suça et les téta avec avidité et gourmandise.
Gatien sentait son sexe durcir, devenir exigeant, prendre les commandes, mais il résista, il n’en avait pas encore assez entendu.
- — Tu as aimé qu’il joue avec tes nichons ?
- — Oh que oui, mais ça ne faisait que commencer. En gémissant langoureusement, je m’abandonnai, à sa lubricité. Sa main droite lâcha mes seins, ouvrit la braguette de mon jean et descendit jusqu’à mon pubis, me faisant pousser un profond soupir. Sans cesser de m’embrasser, il me poussa contre le mur et ses doigts jouèrent avec mes poils, trouvèrent mon clitoris qu’ils caressèrent jusqu’à me donner du plaisir, que je lui signifiai par un cri, avant de s’aventurer dans mon oasis bien humide. Puis son doigt explora consciencieusement ma chatte. Je ne me retenais plus et, collée contre lui, la tête sur son épaule, je déposais des rafales de halètements, de gémissements, de cris dans son oreille. Puis il joua au macho vulgaire et me demanda :
- — Tu veux que je te la mette ?
Mais, sans attendre ma réponse, il dégrafa sa ceinture, descendit son pantalon et son slip et me pénétra debout, à la hussarde. Flattée par son enthousiasme érotique et le ventre brûlant d’envie de sexe, je ne pus me retenir de saluer l’entrée de son sexe en moi par un râle remonté du fond de mon vagin enfin rempli.
- — Je suis trop excité, je n’en peux plus, je vais te la mettre, moi aussi… Je vais te faire une bonne missionnaire. Écarte bien les jambes… Voilà, ma queue est bien au fond de ton ventre… Tu la sens bien ?
- — Oui, mets-la-moi, comme ça, oui… je te sens bien… c’est aussi bon qu’avec lui…
- — Pas meilleur ?
- — Différent… et meilleur, bien sûr… oui… j’aime ta queue.
- — Continue de me raconter, ça m’excite.
- — Il me ramona un peu, debout, mais trouva vite inconfortable la position. Puis il ressortit sa queue de ma chatte et m’entraîna, sans cesser de me caresser les seins et les fesses, vers notre chambre, pendant que ma douce main ne lâchait pas sa queue, dont la dureté me faisait frissonner (vivement qu’elle reprenne sa place en moi !).
- — Vous deviez être drôles à voir, lui te pelotant et toi le branlant…
- — Je ne sais pas, j’étais dans une telle transe érotique que je ne me souciais de rien, si ce n’était de sa queue, de ses mains, et de ma chatte, bien sûr… Arrivés à la porte de notre chambre, je l’ai arrêté : « Non, pas ici, non… ». Je ne voulais pas profaner notre chambre conjugale, mais il me doigtait à nouveau, en pressant son ventre contre mon ventre. Ma chatte brûlait d’envie de se faire pistonner à nouveau, mais je réussis à l’entraîner vers la chambre d’amis, où tu nous as trouvés. Nous nous sommes allongés sur le lit, il s’est couché sur moi, a relevé mes jambes dans son dos et a glissé à nouveau son sexe dans mon vagin bien lubrifié. Je ne cessais de gémir, d’ahaner, puis de crier pendant qu’il ne cessait de me pilonner.
- — Tu as joui ?
- — Oh que oui ! Mais moins qu’après ton entrée en jeu.
- — Quand je suis arrivé, j’ai été surpris de ne pas vous trouver, mais tes soupirs, venus de la chambre d’amis m’ont révélé votre occupation. J’ai été surpris, parce que je ne m’y attendais pas. Ma première réaction a été la jalousie, mais j’ai été surpris de commencer à bander. J’ai attendu un peu, mais je me suis rendu compte qu’écouter tes gémissements et tes cris de plaisir renforçait mon érection. Alors j’ai décidé d’aller vous rejoindre. Juste avant d’entrer, j’ai entendu ton cri, rauque, et quand je suis entré, je t’ai vue nue, si belle, couchée, empalée sous lui, qui te caressait les seins. Tu avais les yeux encore révulsés par le plaisir que tu avais pris, et il était encore sur toi, sans bouger. Il avait fini ? Sa queue était encore en toi ?
- — Oh que non ! Il avait arrêté ses va-et-vient dans mon ventre, pour me permettre de savourer mon orgasme, mais je sentais bien sa queue encore en moi, dure, insatisfaite. Quand il t’a entendu, puis vu, il m’a adressé un petit sourire, a recommencé à bouger doucement son sexe dans le mien, puis il a accéléré ses mouvements dans ma chatte jusqu’à me faire jouir à nouveau, devant toi ! Je t’ai regardé, puis j’ai fermé les yeux, pour digérer mon nouvel orgasme, l’un des plus forts de ma vie. Quand il s’est cambré, j’ai vu dans ses yeux qu’il allait jouir à son tour. Il a aspergé mon vagin de son sperme en rugissant, puis il a retiré son sexe de ma chatte larmoyante, s’est couché à côté de moi, tout en m’embrassant et en me caressant les seins.
- — Et je suis venu, à mon tour, baiser ma douce épouse infidèle, encore toute brûlante et pleine du plaisir de son amant momentanément repu. Oui, je me souviens encore comme ta chatte était douce et bien lubrifiée. Rien que d’y penser, je sens que je vais éclater !
- — Attends encore un peu, mon chéri, je veux jouir avec toi, comme nous avons joui ensemble ce jour-là… Il m’avait fait jouir si fort, j’ai aimé sa queue… je la sentais bien… C’était bon… oooh… je vais jouir… jouis… Oui…
Encouragé par les mots et la pression du ventre de son épouse, qui allait avec enthousiasme à la rencontre du sien, Gatien reprit sa course effrénée dans le ventre de sa femme, jusqu’à leur jouissance commune, célébrée à grands cris !