n° 19454 | Fiche technique | 51028 caractères | 51028Temps de lecture estimé : 28 mn | 14/02/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Pour gagner son championnat, ma belle-mère extirpe les dernières gouttes de ma potion intime... | ||||
Critères: fh ff fplusag extracon alliance hotel toilettes voir odeurs fmast intermast fellation cunnilingu pénétratio attache fouetfesse -totalsexe | ||||
Auteur : Alain Michel |
Épisode précédent | Série : L'élixir de ma belle-mère Chapitre 04 / 04 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
J’ai découvert par hasard que Nadine, ma belle-mère, mène une double vie et fréquente un club de danse où lors d’un après-midi, déguisée, elle m’a dragué et sucé sans savoir que j’étais son gendre. Elle s’est ensuite rendu compte que boire ma liqueur intime lui était très bénéfique sur le plan santé, et cela l’a aidé à gagner le Championnat d’Europe d’échecs féminin. Elle m’a alors demandé de l’accompagner lors du championnat mondial d’échecs aux USA pour officiellement lui servir de coach en la préparant avec quelques programmes informatiques. Mais en fait, sujette à des chutes de tensions fréquentes, c’est surtout pour lui donner à boire ma « potion intime », ce qui la met dans les meilleures conditions pour gagner. Laura, son amie du club de danse, doit faire partie du voyage. J’ai accepté en exigeant toutefois que si elle gagnait mon « gros lot » serait une nuit d’amour avec elle.
La compétition pour le Championnat du monde d’échecs avait lieu fin août. Si j’ai passé en famille mes congés du 14 juillet au 15 août, dont dix jours en Savoie dans l’hôtel de Nadine ma belle-mère, nous n’avons pas eu l’occasion de nous « entraîner » comme elle l’aurait voulu. J’étais avec ma femme Céline et mes deux enfants, et elle, accompagnée de Patrick, son mari. Et si nos conjoints avaient accepté que nous partions à Las Vegas pour le championnat une semaine fin août, ils avaient demandé cependant à ne pas être pollués par cela durant les vacances.
Dans le courant de l’été, en cherchant une ampoule de rechange dans la voiture de ma femme, je suis tombé par hasard sur une petite sacoche bien cachée au fond de la boîte à gants. Sans me poser de questions, je l’ai ouverte. Et dedans, j’ai trouvé une boîte de préservatifs entamée ( !), un test très récent de dépistage du VIH (négatif) au nom de jeune fille de ma femme, et roulé en boule dans un sac plastique un string de ma femme qui indéniablement avait bien servi…
Assommé, je me suis quand même souvenu que c’était elle qui avait insisté pour que nous convenions d’un pacte où nous nous autorisions « le cas échéant » et « sans en abuser » des petits coups de canifs dans le contrat, ceci afin de ne pas casser tout autour de nous.
Si dans un premier temps je me suis posé beaucoup de questions sur cette découverte, j’ai relativisé ensuite compte tenu du « flirt poussé » que j’entretenais avec sa mère. Surtout que j’avais exigé de Nadine, si elle gagnait, qu’elle passe une nuit d’amour avec moi. Alors…
Bien sûr, moi aussi j’ai fait le fameux test quelques jours avant le départ. Et quand je l’ai dit à ma belle-mère discrètement lors d’un repas familial, elle m’a répondu qu’elle aussi et que nous nous les montrerions à Vegas.
Nadine avait été très réglo. Suite au gain de 20 000 euros qu’elle avait gagnés en Suisse, elle m’avait offert un superbe tableau d’art moderne (que j’estimais à environ 5000 euros). Et elle avait offert à Laura une montre suisse de haute qualité, qui valait sans doute dans les 1500 euros. Pas pingre, la belle-mère… Et futée aussi : ma femme était ravie du tableau !
* * * * *
C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés un beau jour, Nadine, Laura et moi, dans un avion gros porteur à destination de Las Vegas. Un vol long-courrier, avec toutefois une escale à Miami.
Comme la compagnie aérienne avait un partenariat avec la chaîne d’hôtels qui sponsorisait les fédérations d’échecs, nous nous sommes retrouvés en première classe, un peu isolée des autres passagers, dans une alcôve spéciale pour quatre personnes. Les sièges très confortables s’y transformaient en lit une place qui pouvaient être plus ou moins rapprochés à la demande. Nadine rapprocha deux sièges en les collant l’un à l’autre, et elle me demanda de m’installer près d’elle pour mieux préparer la compétition…
En fait, je n’avais pas touché ma femme pendant quelques jours, en prétextant un petit dérangement passager qui me provoquait des insomnies. J’avais donc été dormir dans la chambre d’amis.
Laura, qui avait entendu, me fit un clin d’œil et s’installa dans l’un des deux autres fauteuils le plus près du mien. J’étais donc entre les deux femmes, collé au fauteuil de Nadine et très proche de celui de Laura.
C’était une attention de la compagnie aérienne qui, vu l’intérêt pour elle de cette compétition d’échecs sur le plan marketing, avait demandé qu’un personnel d’encadrement s’occupe plus particulièrement de nous. Châtain aux cheveux mi-longs, Sandrine était une splendide femme aux yeux verts qui devait avoir entre trente et quarante ans. Sa jupe d’uniforme dévoilait de belles jambes bien galbées, et son corsage laissait imaginer une poitrine tout à fait convenable. Elle avait un petit foulard rouge autour du cou qui lui donnait un côté cow-boy sympa.
J’ai remarqué rapidement que Sandrine était particulièrement attentive au confort de Laura. Elle venait régulièrement lui parler, s’assurait qu’elle ne manquait de rien, lui expliquant l’usage de la télévision et de l’ordinateur qu’elle avait à sa disposition. À un moment donné, pour expliquer le fonctionnement du fauteuil, elle posa même la main sur la cuisse largement dénudée de Laura qui portait une petite jupe d’été de circonstance pour le voyage. Si, troublée, elle tressauta au contact de la main de Sandrine, elle ne fit rien pour l’enlever. Et parfois, quand leurs doigts se touchaient en essayant diverses touches de l’écran et du siège, elles pouffaient de rire toutes les deux. Visiblement, le courant passait bien entre elles.
Quand il fallut mettre la ceinture de sécurité pour le décollage, Sandrine expliqua ce qu’il fallait faire à Laura en se penchant au-dessus d’elle, le visage à quelques centimètres du sien. Puis elle prit la boucle de la ceinture dans sa main, la lui montra, et la passa lentement sur sa taille en la regardant dans les yeux… avant de la boucler. Ne sachant pas quoi faire, Laura se laissait faire. Tout cela était de bon augure, surtout qu’après le décollage vers 22 h, on nous servit un repas absolument délicieux.
Après avoir dîné, je m’éclipsai quelques minutes pour aller prendre une petite douche avant la nuit, la première classe étant équipée d’une mini salle de bain. En revenant, je vis que Laura et Nadine étaient en grande conversation. Curieux, je restais un peu en arrière pour les écouter.
Comme je me décidai à rejoindre ma place, la conversation s’arrêta net. Mais je vis quand même Laura faire un sourire complice à Nadine.
Sandrine nous informa qu’elle allait mettre notre cabine en mode « nuit », puis elle tira quelques rideaux pour isoler les quatre sièges où nous étions, dont un restait libre. Elle éteignit les lumières et nous recommanda de mettre nos fauteuils en position « relax », ce que nous fîmes sans attendre. Je choisis alors un film sur la liste de l’ordinateur et commençais à le regarder, ce qui fit que nous étions dans une lumière tamisée bien agréable.
Et bien sûr, je sentis la main de Nadine se poser sur ma cuisse. Je la regardais, elle sourit et remonta jusqu’à ma ceinture qu’elle défit prestement. Puis très naturellement elle défit ma braguette, glissa sa main dans mon slip et commença à me caresser. C’était très excitant, surtout que Laura nous regardait tout en posant discrètement sa main entre ses cuisses.
Je distinguais alors que Sandrine venait de s’installer dans le siège près de Laura. Celle-ci, surprise, retira sa main. Mais Sandrine la lui reprit et la reposa entre ses cuisses en la regardant fixement. Puis, regardant Nadine branler et lécher ma queue, la cheffe de cabine me fit un sourire complice et commença à remuer sa main sur celle de Laura qui se remit alors à se caresser. Cela dura quelques minutes, toutes deux se régalant du spectacle de Nadine qui léchait avec gourmandise ma queue bien dressée.
Puis Sandrine se pencha sur Laura, lui prit la tête entre les mains et lentement posa ses lèvres sur les siennes. Un peu paniquée, Laura essaya de se dégager de son emprise. Mais comme la cheffe de cabine scotchait ses lèvres aux siennes, elle ne bougea pas, puis lentement se laissa aller. Je vis alors que Sandrine avait réussi à lui ouvrir la bouche et qu’elle lui roulait une pelle magistrale ! C’était divin, et je bandais très fort pendant que Nadine commençait à me sucer bien à fond.
Leur baiser dura longtemps, surtout que Sandrine avait en même temps dégrafé quelques boutons du corsage de Laura et qu’elle lui caressait les seins. Visiblement, Laura avait fait la paix avec sa conscience.
Nadine baissa alors mon pantalon et mon slip, puis s’installa entre mes jambes pour être plus à l’aise pour sucer ma bite. Cela donna des idées à Sandrine. Elle remonta la jupe de Laura sur ses hanches et descendit son slip qu’elle mit dans sa poche en rigolant.
Puis elle fit comme Nadine et se baissa entre les jambes de Laura. Elle la tira un peu par les hanches pour la faire basculer en arrière, et sa tête disparut entre ses cuisses. Visiblement, vu les gémissements que Laura ne pouvait contrôler, elle commençait à la lécher sérieusement…
Alors Laura appuya avec sa main libre sur la tête de Sandrine et commença à faire aller et venir son bassin contre sa bouche en roulant des hanches, ses gémissements devenant de plus en plus forts.
La situation était assez incroyable, Laura et moi attachés sur nos sièges nous tenant pudiquement la main. Et entre les jambes nous avions, elle Sandrine et moi Nadine, de farouches prédatrices qui nous suçaient et nous léchaient avidement. Tout ça dans un avion en plein ciel, au-dessus de l’Atlantique.
Et d’un seul coup Laura me regarda alors fixement :
Nous jouîmes alors quasiment ensemble. Voir Laura se soulever sous la force de son plaisir en inondant le visage et la bouche de Sandrine d’une douche dorée déclencha immédiatement en moi un orgasme puissant durant lequel je déchargeai de longues salves dans la bouche de ma belle-mère qui s’était immobilisée et n’attendait que ça. Avec ma main libre, j’appuyai alors sur sa tête pour l’enfoncer profondément et continuer à me vider en elle tout en collant son visage contre mon ventre. Les lourdes et onctueuses doses de mon nectar le plus intime que je lui avais réservées virent alors remplir sa gorge et sa bouche, la forçant à avaler par des mouvements de gorge dont elle commençait à avoir l’habitude avec moi.
Quelle extase de jouir ainsi en voyant d’une part Sandrine s’abreuver et se délecter des jets drus de la jouissance de Laura, et d’autre part Nadine avaler les lourdes et onctueuses rasades de jus de couille dont je l’avais honorée. Tout cela en tenant chastement par la main Laura qui me souriait tendrement. Un septième ciel en plein ciel !
Après que Nadine eut consciencieusement léché ma bite et avalé les dernières gouttes de sa potion, elle se tourna vers Sandrine qui continuait elle aussi à lécher la chatte de Laura pour ne rien laisser perdre. Elle lui attira doucement le visage contre elle et déposa sur ses lèvres un petit baiser en souriant. Puis elles se sourirent, se sentant alors très complices. Elles avaient toutes deux obtenu de nous ce qu’elles voulaient.
Nous passâmes effectivement une excellente nuit, Nadine appuyée sur mon épaule et Laura sur celle de Sandrine. Le bonheur à l’état pur !
* * * * *
Le voyage se déroula au mieux. Après l’escale de Miami, nous arrivâmes en fin d’après-midi à l’aéroport de Vegas. Là, un chauffeur nous attendait pour nous amener directement à l’hôtel où se déroulait le championnat. Nadine nous y avait réservé une immense suite composée de trois appartements communiquant entre eux. Les modalités d’installation furent vite réalisées, surtout que nous parlions anglais couramment tous les trois.
Après une nuit de profond sommeil et de récupération, vu le décalage horaire, nous affrontâmes les journalistes et les autorités de la fédération mondiale d’échecs pour les obligations classiques dues au rang de finaliste potentielle de Nadine. Tout le monde était au courant de la façon dont elle avait gagné haut la main son titre de championne d’Europe.
Puis le championnat se déroula de la même manière qu’en Suisse. Nadine affronta dans une première partie les championnes des continents africain, américain et océanien. Elle gagna facilement, et pour être championne du monde elle devait affronter ensuite la tenante du titre, la Sud-Coréenne représentante du continent asiatique. Et là, c’était une autre histoire, car celle-ci, particulièrement brillante et très entraînée, n’avait jusqu’alors jamais perdu.
Après une courte pause-déjeuner, la finale commença. La règle était claire : serait déclarée championne du monde la première qui gagnerait deux parties.
Là, il faut bien reconnaître que ma belle-mère eut fort à faire avec cette concurrente de haut niveau. Car elles étaient du même niveau technique, les spécialistes que sont les pronostiqueurs ayant eu du mal à se positionner, car ils savaient que seul le mental pouvait faire pencher la balance pour l’une ou pour l’autre. Et si Nadine gagna une première partie, avec difficulté, me sembla-t-il, elle perdit la seconde. C’est donc la troisième partie qui devait décider qui serait la championne du monde.
Avant de commencer cette partie décisive, il avait été prévu une courte pause. Nadine me dit alors à l’oreille :
Je la rejoignis, content d’être un peu à l’écart du tumulte. Et là, elle me prit par la main pour m’attirer du côté « femmes » pour nous enfermer dans une cabine luxueuse, vu le standing de l’hôtel.
Alors là, ce n’était pas prévu. Nadine devait avoir largement la dose nécessaire avec ce qu’elle avait absorbé dans l’avion. De plus, vu le décalage horaire et le stress du moment, je ne me sentais pas à ce moment-là en situation de lui fournir ce qu’elle voulait. En gros, même en me branlant, je n’étais pas sûr d’arriver à bander. Je le lui expliquai en prenant des gants cependant tellement la situation était délicate.
Elle me regarda fixement, réfléchit un peu puis me dit :
Un peu interloqué, je ne bougeais plus. Elle releva alors lentement sa jupe et la roula autour des hanches. Puis toujours en me fixant dans les yeux, le plus naturellement du monde, elle enleva sa petite culotte noire. Elle la passa sur mon visage, puis vint la poser sur mon nez… Je fermai les yeux, troublé, car je sentais ses exquises fragrances marines avec toutefois quelques touches de caramel salé. Puis elle posa l’endroit le plus intime de sa lingerie directement sous mes narines et bloqua mon nez avec sa main pour m’obliger à respirer sa féminité la plus intime… Hummmmmmm… c’était très fort… Quelles sensations ! Et je commençai à bander ! Puis, comme je commençai à suffoquer, elle m’enfonça complètement sa culotte dans la bouche… La salope !
Après cette mise en condition, elle s’assit sur le siège des toilettes en écartant les cuisses. Et d’une voix rauque, elle dit alors :
La bouche bien encombrée de sa petite lingerie, j’ouvris les yeux. Et pendant qu’elle dégrafait ma ceinture et qu’elle baissait mon pantalon et mon slip, je vis nettement apparaître entre ses cuisses un jet dru et blond qui fit un bruit cristallin en tombant dans l’eau de la cuvette. Incroyable, elle se soulageait devant moi !
En même temps, je sentis une de ses mains venir se poser sur mes fesses, puis doucement un doigt entrer dans ma raie. L’effet fut immédiat, je bandais dur. Elle se mit alors à me branler en même temps que son doigt, pour le moins inquisiteur, vint se poser sur ma précieuse rondelle. Et là, d’un coup sec, il força et entra brusquement.
Sous la douleur de cette intrusion à sec, la bouche bien encombrée, je maugréais :
Mais elle, bien au contraire, commençait à aller et venir en moi. C’était dingue : ma belle-mère m’enculait !
Le fait est que sous ce traitement je commençai alors à bander très fort, surtout qu’elle secouait ma bite à vive allure pendant qu’elle continuait à se lâcher dans la cuvette des w.c. !
Alors là, je ne savais plus ce qui se passait en moi. J’ignorais quels fantasmes plus ou moins inconscients elle avait touchés, mais c’était vrai que je commençai à donner les signes précurseurs d’une jouissance, certes rapide, mais bien évidente.
Et pour me « finir », elle enfonça son doigt le plus profondément possible au fond de mes entrailles en lâchant alors bruyamment une cascade de plusieurs jets drus d’onde dorée dans la cuvette. Ma bite commençant à tressaillir dans sa main, elle l’emboucha alors en la plongeant au fond de sa gorge. Et je déchargeai plusieurs belles rasades de sa potion préférée qu’elle se dépêcha d’avaler goulûment avec avidité.
Une fois rassasiée, elle retira lentement ma bite de sa bouche en serrant ses lèvres autour pour ne rien laisser perdre. Puis après s’être léché les lèvres, elle me regarda et me dit :
Je lui obéis. Elle se leva alors, enleva sa culotte de ma bouche, écarta ses cuisses près de ma tête, puis vint poser sa chatte encore dégoulinante sur ma bouche…
Et dans le flou de ce qui se passait en moi, sans trop comprendre pourquoi je bandais alors très fort, je l’ai fait… Et elle me regarda faire jusqu’au bout, les yeux lui sortant de la tête, visiblement comblée.
Nous entendîmes alors dans un haut-parleur un appel général disant que la finale se mettait en place.
Très vite, elle se releva et se réajusta.
Et elle fila, me laissant un peu sonné par ce qui venait de m’arriver…
* * * * *
Après être passé rapidement prendre une douche dans ma chambre, je revins dans la salle du championnat pour constater que Nadine, très à l’aise, avait repris la main sur la Coréenne complètement stressée. Elle me regarda entrer et me sourit avant de replonger dans le jeu.
Le match ne dura pas longtemps, elle gagna facilement et fut déclarée championne du monde.
Dans son discours officiel, elle nous remercia, Laura et moi, de l’entraînement et de la mise en condition qui avaient conditionné sa réussite.
Toute la fin d’après-midi et la soirée furent consacrées aux obligations protocolaires, aux photos et aux interviews. Si fait qu’à deux heures du matin, nous avons décidé d’aller nous coucher, complètement KO.
* * * * *
Le lendemain, Laura avait accepté l’invitation de Sandrine à visiter la ville. Nadine et moi nous passâmes l’après-midi ensemble à continuer les rencontres des sponsors et des autorités locales. Partant le lendemain soir pour la France, nous savions que nous avions cette dernière nuit pour tenir notre engagement.
Nous décidâmes de sortir de l’hôtel le soir et dînâmes en ville tranquillement. Ce fut un très bon moment d’échange, et nous nous découvrîmes mutuellement tout au long du repas. En évitant toutefois les confidences sur nos vies de couple, nous avons constaté que depuis que nous nous étions rencontrés au 97, notre vie avait changé. En fait, nous nous équilibrions l’un l’autre dans cette relation pour le moins ambiguë. Sans trop chercher à comprendre, nous avons convenu de ne pas nous prendre la tête, de ne pas faire de plans sur l’avenir, mais de profiter simplement de l’instant présent et des moments de bonheur que la vie pouvait nous offrir. Nous avons convenus cependant de ne pas nous tutoyer pour le moment, car au bout de vingt années de vouvoiement, le changement n’était pas simple.
Elle m’avoua même qu’elle avait adoré quand, la deuxième fois où je l’avais rencontrée, je l’ai fouettée avec ma ceinture. Et elle me signala alors que Laura, qui avait passé la tête à ce moment-là sans que je ne l’aie vue, s’était confiée à elle et avait pris un pied terrible en nous regardant. Le message était clair pour moi : elle en redemandait…
Puis nous sommes rentrés à l’hôtel rapidement…
Arrivé dans la chambre de Nadine, nous nous sommes embrassés longuement, bouches scotchées l’une à l’autre, nous buvant littéralement de bonheur. Nous étions tous deux conscients que nous allions entrer dans une nouvelle relation. Et nous l’acceptions, nous la désirions.
Je l’ai déshabillée lentement, puis tendrement j’ai commencé à lui lécher la chatte avec applications, passant et repassant sur ses lèvres et son clito, descendant jusqu’à la raie culière pour récupérer sur ma langue ses nectars intimes. Cela dura longtemps, et elle jouit à deux reprises me tenant la tête coincée entre ses cuisses au moment où elle se lâchait dans ma bouche.
J’entendis alors dans la pièce d’à côté du bruit et des voix. C’était Laura qui ramenait Sandrine dans sa chambre…
Nous reprîmes nos baisers et je sentis qu’elle essayait de descendre vers ma bite pour me sucer.
Après m’être déshabillé, je me suis approché d’elle et tendrement l’ai allongée sur le dos. Et là, les yeux dans les yeux, je l’ai pénétrée.
Elle ouvrit un peu les cuisses pour bien me recevoir, puis je me mis à aller et venir doucement en elle. C’était bon… Et elle commença à feuler doucement d’abord, se régalant de cette pénétration. Puis elle commença à chalouper de plus en plus vite, roulant des hanches pour venir elle-même s’empaler le plus profondément sur moi. Et elle donna alors elle-même le rythme, ce n’était plus moi qui lui faisais l’amour, mais elle qui me baisait !
À ce moment-là, je dois dire qu’il y avait toujours en moi un plaisir trouble du fait que « je baisais ma belle-mère ». Et ce trouble que je ressentais en moi, je le lisais aussi dans ses yeux.
C’était trop bon, et je me mis alors à la défoncer de plus en plus vite… Ses feulements devinrent de plus en plus forts, elle se mit à crier et mon plaisir vint d’un seul coup, décuplé par sa jouissance. Je jouis alors, en lâchant de longues salves en elle en même temps que l’orgasme l’emportait, ses mains griffant les draps, les yeux exorbités, la tête tournant dans tous le sens… Quel bonheur de la voir jouir et de jouir en elle !
C’est alors que j’entendis un petit craquement du côté de la porte de communication avec la chambre de Laura. J’attendis un peu, puis Nadine commençant à reprendre ses esprits, je sortis d’un seul coup du lit et vis que la porte de communication était entrebâillée. Sandrine était là, nous matant, habillée seulement de son string. Elle était penaude.
Me souvenant de ce que m’avait dit Nadine sur son goût pour la fessée et la ceinture, goût que partageait Laura, je décidais alors d’un petit scénario dans ce sens. Je pris les mains de Sandrine, les attachai avec un foulard, et les accrochai à la barre des rideaux qu’il y avait au-dessus de la porte. Elle se laissa faire sans problème avec même, me semblait-il, un certain engouement. La situation semblait lui plaire.
Elle se retrouva ainsi immobilisée, les bras en l’air, ses seins dressés pointant fermement. Sans être très gros, ils étaient en forme de pomme, pointant leurs mamelons érigés comme des petits sexes. J’ouvris la porte largement pour que Laura et Nadine puissent voir le spectacle.
Je pris ma ceinture, la roulait deux fois autour de ma main, puis retournai Sandrine pour avoir son dos vers moi. Et je commençai à frapper. Doucement d’abord, puis de plus en plus fort. Et je voyais qu’elle se tordait d’abord un peu, puis de plus en plus alors que de belles zébrures lui striaient le dos, les fesses, les cuisses.
Et méthodiquement je lui administrais une correction sur tout le dos, avec une attention particulière pour les fesses et les cuisses. Elle geignait, criait, soufflait… Puis quand elle fut bien rouge, je m’arrêtai.
Je regardais alors Nadine qui s’était mise dans le canapé et qui se caressait, visiblement très excitée. Et me tournant vers Laura, je constatais qu’elle aussi s’était assise dans un fauteuil, la main sur sa chatte se branlant de plus en plus vite. Visiblement, le spectacle leur plaisait…
Je glissai ma main entre les cuisses de Sandrine… et là, c’était Niagara !
Alors je l’ai retournée et j’ai passé la ceinture le long de son cou doucement. Le contact du cuir contre sa peau lui donnait la chair de poule. Puis je suis descendu sur sa poitrine en tournant tout autour de ses deux seins devenus très durs. Je descendis sur son ventre puis entre ses cuisses qu’elle essaya de refermer.
Elle les écarta, et je constatai qu’elle souriait, preuve que, comme je m’y attendais, elle appréciait le traitement dont elle faisait l’objet.
Et je recommençai à fouetter méthodiquement son ventre puis ses seins, malgré les mouvements de hanches qu’elle faisait pour essayer d’éviter les brûlures. Et cela dura quelques minutes où, avec mon fouet improvisé, j’alternais les coups et les caresses sensuelles, n’écoutant pas ses « stop, par pitié ! » qui réclamaient une pause.
Enfin je visai bien son sexe. Et là, elle se mit à crier de plaisir, secouée de tremblements convulsifs. La gestuelle était claire : elle allait au-devant des coups, comme si elle se branlait avec la lanière qui venait la fouetter. Et elle haletait de plus en plus fort, sa culotte complètement trempée faisant une large auréole brune en sa partie basse…
J’entendis alors derrière moi Nadine qui dit entre deux gémissements de plaisir :
Et devant moi, criant « Oui, c’est bon, vas-y ! Plus fort », Laura se contorsionnait dans tous les sens, la main à demi enfoncée dans son sexe.
Quelle salope cette Sandrine, pensai-je. Sous des dehors de cheffe de cabine très BCBG, elle aime se faire fouetter comme une pute en public. Elle aime se donner nue en spectacle pour faire jouir le public qui se branle devant elle. Elle aime être attachée et soumise, en écartant les cuisses pour offrir son sexe aux coups de fouet les plus brûlants. Elle mouille tout ce qu’elle peut en jouissant sous le feu de la lanière de cuir qui lui brûle le sexe ! Tu es une sacrée salope, Sandrine !
Mais à moment donné, estimant que ce petit préliminaire était bien réussi, je me suis dit qu’il était temps de passer à autre chose. Je posai ma ceinture et détachai Sandrine qui me regardait le visage chaviré de plaisir. Je lui claquais alors les fesses et l’envoyai vers Laura qui l’attendait.
Et là, je fermai la porte, à clé cette fois, et me dirigeai vers ma belle-mère qui me regardait venir en se caressant.
Sans ménagement, je la retournai sur le canapé, la mis à quatre pattes et lui enfonçai la tête dans les coussins alors qu’elle gloussait de plaisir. Puis j’approchai ma bite de ses fesses, et doucement commençai à aller et venir dans sa raie culière. Merveille, elle s’était tellement branlée que sa raie était superbement lubrifiée. Hummmmmmm, quel délice d’aller et venir dans sa raie en coulissant si facilement !
Je lui écartai les fesses pour approcher du Saint des Saints. Elle se cambra, écartant d’elle-même ses fesses avec ses deux mains et me dit d’une voix rauque :
Doucement, je présentai ma bite contre sa rondelle, puis poussai doucement… Superbement lubrifié, j’entrai en elle. C’était serré, c’était très fort, c’était très bon. Et j’avançai dans ses entrailles en franchissant quelques anneaux qui s’ouvraient de plus en plus facilement au fur et à mesure que je plongeai en elle… Une fois que je fus calé bien au fond, je restai un petit moment sans bouger. J’étais comme dans un puits aux parois douces. De moins en moins serré à la base, de plus en plus ouvert tout au fond. Exquise sensation…
Là, je me dis qu’avec cette pénétration profonde, j’avais atteint un cap important. J’étais en train d’enculer ma belle-mère. Non seulement je l’avais baisée, mais là je l’enculais. Et j’allais jouir une deuxième fois en elle. C’était troublant, le côté cérébral étant aussi important que le côté physique. J’avais conscience alors que plus tard je ne la regarderais plus de la même manière. La baiser puis l’enculer créait désormais entre nous une relation forte « à vie ».
J’eus alors l’impression qu’elle avait à ce moment-là les mêmes pensées que moi. Car d’une voix douce, elle me dit :
Excité par ses propos, je commençai à aller et venir dans son cul, en lui claquant la croupe de temps à autre, émerveillé par ce que nous étions en train de partager ensemble à ce moment-là. C’était excessivement bon, surtout que plus je la défonçais, plus elle allait et venait d’elle-même sur ma queue, ses fesses claquant contre mon ventre.
Et pour mieux profiter de cet instant magique, elle glissa une main entre ses cuisses et recommença à se caresser. Ou plus exactement à se terminer, car elle s’arrêta d’un seul coup, tressauta plusieurs fois, puis se cambra vers moi en s’enculant à fond alors que terrassée par le plaisir elle criait :
Et bien sûr, ces mots déclenchèrent en moi un orgasme puissant. Je lâchai toute ma sauce dans ses entrailles les plus secrètes, complètement empalé dans son cul. Whaouuuuuuuuu… c’était divin ! Complètement emboîtés, je la serrai dans mes bras pour mieux nous affaler sur le canapé, moi toujours fiché en elle. C’était magique.
Et nous restâmes ainsi quelques minutes délicieuses. En même temps que je lui embrassai le cou, je remuai mon bassin pour lui faire sentir ma queue toujours à demi bandée en elle. Elle tourna la tête vers moi et nous nous embrassâmes longuement.
Une sacrée belle-mère…
Nous nous reposâmes deux bonnes heures. Puis je lui refis l’amour vers le milieu de la nuit, plus sagement cette fois-ci. Enfin, nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre. Au petit matin, nous nous réveillâmes en nous embrassant longuement et très tendrement, comme des amoureux.
Et en bonus, elle me tailla une pipe magistrale. J’avais eu mon gros lot !
* * * * *
Nadine, Laura et moi nous retrouvâmes ensemble pour le voyage retour, toujours en première classe, mais là sur une rangée comportant trois sièges côte à côte. Sandrine avait été réquisitionnée de son côté pour un autre long courrier passant par le Pacifique. Elle avait tenu cependant à nous accompagner à l’aéroport lors de notre départ. Au moment de partir, elle embrassa longuement Laura en lui faisant promettre une rencontre prochaine sur Paris. Laura, émoustillée, l’avait alors invitée au 97. Décidément, ce club nous aura marqué !
Durant ces journées intenses, il est amusant de constater que Laura et moi avions conservé des rapports « copain-copine », mode que nous tenions à maintenir en privilégiant une grande complicité, même si nous continuions alors à nous vouvoyer d’une part, et même si nous avions partagé une certaine intimité durant ce voyage d’autre part. Et quelle intimité !
Le soir de la dernière nuit dans l’avion, Nadine souhaita nous offrir le champagne le plus luxueux de la carte, malgré le fait que nous avions déjà un champagne offert dans le menu première classe. Et elle nous dit alors :
Si nous lui avons répondu que c’était quand même surtout elle qui avait gagné avant tout, et que nous n’étions qu’un petit plus pour elle (quoique… ?), nous lui avons confirmé que cette semaine serait très vite bloquée dans notre agenda. Il faudrait être fou pour rater une telle occasion, surtout « all inclusive » !
Intrigués, nous l’écoutâmes alors avec attention.
Bouche bée, Laura et moi nous demandions où elle voulait en venir.
On ne voyait toujours pas où elle voulait en venir.
Un peu interloqué, je lui dis alors :
Ce qui voulait dire « ou ma belle-mère me suce » et ensuite elle embrasse Laura pour lui transférer mon nectar qu’elle avale, « ou Laura me suce elle-même » et avale ensuite…
Nous nous tournâmes tous deux vers Laura. Complètement ébahie, elle ne disait rien, mais on voyait que ça cogitait dur dans sa tête. Petit silence entre nous…
Et là, à notre grande surprise, Laura tout sourire nous dit :
J’hésitais un peu pour la forme, et répondis en me retenant de rigoler :
Nous éclatâmes de rire tous les trois… et commencèrent avec grand intérêt à discuter des modalités pratiques à mettre en œuvre dès que les lumières seraient baissées.
* * * * *
23 h, l’hôtesse annonce que l’on passe en mode nuit et qu’elle tamise les lumières.
Je me suis mis entre Nadine et Laura, pour faciliter l’opération, et je lançai un petit film pour avoir une légère luminosité, car nous voulions quand même tous trois profiter de ce moment « médical » !
Le calme régna alors dans la cabine. Pendant que Laura glissait sa main sur ma cuisse et commençait à remonter, je tournai la tête vers Nadine et l’embrassai longuement. La main de Laura arriva sur mon sexe et commença à le caresser doucement de haut en bas. Puis elle se leva et vint se placer entre mes jambes alors que je buvais la bouche de Nadine. Je sentis ma ceinture être dégrafée, la braguette s’ouvrir, et deux mains tirer sur mon pantalon et mon slip pour le faire descendre… Comme un diable sortant de sa boîte, ma bite se dressa devant le visage souriant de Laura…
Nadine se décolla de ma bouche et me dit suavement :
Laura prit alors ma queue dans sa main pour commencer à l’astiquer, sa langue léchant ce qui semblait être devenu pour elle un superbe sucre d’orge. Franchement, pour un test médical, c’était génial !
Et là, en nous regardant tous les deux fixement, Laura ouvrit sa bouche divine et y engouffra lentement ma bite progressivement… jusqu’à ce que ses lèvres viennent toucher mon bas-ventre. Et elle commença alors des allées et venues, me suçant comme une déesse. Elle savait faire la coquine !
Mes doigts enfoncés dans la chatte de Nadine, ma bouche scotchée à la sienne, pompé par Laura qui me branlait et me suçait en même temps, tout était réuni pour que mon désir vienne très vite. Et je lançai alors le signe de mon éjaculation imminente que nous avions convenu ensemble : j’appuyai sur la tête de Laura pour la bloquer avant de lâcher plusieurs belles giclées de sperme chaud dans sa bouche, tapissant ainsi le fond de sa gorge. Je me vidai en elle pendant qu’elle pressait ma queue.
Nadine et moi avions les yeux rivés sur Laura. Elle sortit ma bite de sa bouche, l’ouvrit largement pour que l’on constate qu’elle était remplie de la fameuse semence, puis la ferma et déglutit plusieurs fois en nous fixant dans les yeux avec ravissement avant de se lécher méticuleusement les lèvres.
Nadine venait à ce moment-là d’avoir un orgasme, si j’en croyais ses soubresauts et surtout ma main complètement trempée dans sa culotte inondée. Nous nous serrâmes l’un contre l’autre pour reprendre tranquillement nos esprits, en regardant Laura lécher ma queue avec application et une gourmandise certaine. Puis, très fière d’elle, elle se réinstalla dans son fauteuil.
Nous éclatâmes de rire et nous installâmes pour la nuit.
Appuyant sa tête sur mon épaule, Nadine me dit doucement à l’oreille :
Sans hésiter, je lui répondis :
Nous finirent ce voyage très complices, carrément collés l’un à l’autre. Cette expédition « Vegas » fut vraiment une réussite !
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Le test médico-sensuel se révéla négatif sur Laura, ma potion intime ne lui provoqua pas d’effet bénéfique particulier. Si ce n’est, nous a-t-elle dit avec humour, « le plaisir du moment partagé pour la science et la médecine dont elle nous remerciait tous les deux »… !
Nadine m’offrit un chèque de 10 000 euros, ce qui m’a permis de changer mon véhicule devenu trop étroit avec les enfants qui grandissaient. Elle m’offrit aussi un nouveau tableau d’art moderne de valeur, tableau qui trouva sa place dans notre salon à la grande satisfaction de mon épouse…
Laura eut aussi droit à 3000 euros qu’elle a investi dans du mobilier, son voyage aux US lui ayant donné des envies de changement. Chose amusante : elle nous a présenté son compagnon un jour où nous déjeunions dans un restaurant proche du 97. Au courant de tout ce qui s’était passé, il nous a dit avec un grand sourire qu’il était prêt à venir avec nous l’année prochaine, en payant lui-même son voyage et ses frais ! Décidément…
De plus, en tant que coach officiel de la gagnante, la chaîne d’hôtel qui sponsorisait la manifestation m’a offert, ainsi qu’à ma femme et mes enfants, une semaine de séjour « all inclusive » thalasso comprise dans un des hôtels de mon choix de la chaîne. Nous avons ainsi passé une semaine magique à Saint-Malo.
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Si cette série s’arrête là pour le moment, je la compléterai peut-être un peu plus tard. Car j’ai découvert, quelques mois après le voyage à Las Vegas, que ma belle-mère avait encore des ressources que je n’imaginais pas !