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n° 19460Fiche technique9552 caractères9552
Temps de lecture estimé : 7 mn
19/02/20
Résumé:  Un ancien amant me rend visite a l'improviste. Un moment qui se déroule tellement bien qu'en fin de journée, je ne sais si ce n'était pas juste qu'un rêve éphémère...
Critères:  f fh copains fsoumise fmast cunnilingu anulingus fdanus fsodo tutu québec -couple
Auteur : Sabrina      
Rêve éphémère

On vient de sonner et je n’attends personne de particulier. En ouvrant la porte, je reste sans voix, surprise de te voir. Un timide bonjour sort de ma bouche. Tu rentres et fermes la porte derrière toi. Je ne sais comment réagir et te saute au cou pour te serrer dans mes bras. Tu me surprends en arrêtant mon étreinte pour bouger ta tête et m’embrasser à pleine bouche tout en me poussant contre le mur. Ta langue trouvant rapidement la mienne. Alors que mes mains sont encore autour de toi, les tiennes ne restent pas inactives et divergent vers des horizons différents, la première monte vers ma poitrine, la seconde descend sous ma jupe et remonte le long de ma cuisse. Tu sembles savoir ce que tu veux et je te laisse faire. Il ne te faut pas attendre longtemps pour constater quand ta main arrive sur ma culotte que je commence à être excitée par ta présence et ce que je subis. Tes doigts glissant sous mon tissu sont vite inondés et vont facilement s’insinuer en moi, te confirmant l’effet que tu me procures.


Tu bouges tes mains et les glisses derrière mes fesses et, sans décoller nos bouches, tu me soulèves et me portes jusqu’à la cuisine où tu me poses sur le comptoir. Je te serre encore plus fort contre moi et mes jambes s’enroulent autour de toi pour être sûre que tu ne partes pas.


Je descends du comptoir, pour me retrouver debout face à toi, l’envie de savoir si tu n’es pas trop à l’étroit dans ton pantalon, l’envie de te sentir grossir dans ma bouche, l’envie de tourner ma langue sur ton gland jusqu’à ce que ton nectar m’inonde, mais avant que je ne puisse entreprendre quoi que ce soit, tu me retournes et me plaques contre le comptoir de la cuisine sur lequel je me penche. Je comprends qu’aujourd’hui, tu veux prendre les choses en mains et tout contrôler, je ne peux que t’obéir et me laisser faire.


Tu t’agenouilles derrière moi et descends ma culotte en même temps. Une fois ce dernier rempart retiré, je m’attendais à des baisers parcourant mon corps, cependant tu me surprends en plaquant ta bouche contre mon sexe. Ta langue se faufile entre mes lèvres et goûte mon plaisir. C’est bon, tout comme toi, j’aime ça, tu n’images pas le plaisir que cela me procure. J’écarte les jambes afin de te faciliter l’accès, je veux la sentir plus profondément, qu’elle puisse lécher chaque centimètre carré de mon sexe. Ta langue continue de fouiller mon intimité et je gémis tellement j’aime cela, j’ai envie de crier ma félicité. J’ai envie de plus et j’utilise une de mes mains pour accentuer mon plaisir en te pressant la tête encore plus contre moi.


Plus je gémis et plus tu continues ce que tu as commencé. Tes mains décident de ne pas rester inactives et viennent tout doucement prendre la place de ta langue en rentrant en moi. D’abord un doigt qui est vite rejoint par deux autres et je mouille tellement qu’ils n’ont aucune difficulté à rentrer. Ils s’activent au rythme de ma respiration.


Pour ne pas en rester là, ta langue remonte mon sillon et vient se poser sur mon cul, sur ce petit anneau jusque-là encore inexploré. Je suis surprise par ce geste, mais commence vite à apprécier cette caresse qui me lèche et masse ce petit orifice. De mes deux mains, je me surprends même à écarter mes fesses. Ta langue continue de laper alors que tes doigts sont toujours en moi. Je ne tiens plus et je suis proche de la jouissance, tu sens cet orgasme monter en moi.


C’est le moment que tu choisis pour te redresser et te plaquer contre moi. Tu es si proche que je sens clairement ton excitation contre moi. Toujours dos à moi, tu baisses ton pantalon et je sens ton sexe dressé et bandé à son maximum contre moi, se baladant sur mes fesses. Hmmmm… il vient naturellement se glisser entre mes jambes, contre mon sexe trempé, il se frotte entre mes lèvres et telle une collégienne, je trépigne d’impatience en attendant de le sentir en moi. Je veux me sentir remplie. Je n’en peux plus.


De ton côté, tu continues de m’exciter en le frottant sur l’entrée de cette grotte humide. J’en peux plus, cette attente est insoutenable, je te le crie : « Prends-moi, remplis-moi, baise-moi à fond ». Et, à ce moment, tu entres d’un coup, jusqu’au fond. Prise au dépourvu, je ne peux qu’émettre un petit cri de surprise et puis un long râle de plaisir. Te ressors entièrement ton sexe et directement le remets au fond. Je sens tes couilles venir taper contre moi, jamais je n’avais senti ça. Tu commences ainsi à me pilonner, lentement et puis de plus en plus vite. Je sens de mon côté de nouveau cet orgasme monter en moi et tu le sens aussi. Tes mains sont sur mes hanches, et tu te donnes à fond en moi. Je sens tes mains remonter le long de mon dos, jusqu’à mes épaules et tu t’assures que, debout contre le comptoir de la cuisine, je reste penchée dessus, la tête appuyée contre ce dernier. Moi qui d’habitude suis serrée, je mouille tellement que tu ne dois plus rien sentir.


Tu me surprends encore, c’est le bout de tissu que tu approches de mon visage, il s’agit de ma culotte. Tu l’avais gardée en mains et pour étouffer mes cris de plaisir, tu me la fourres en bouche. Elle est encore humide de mon jus. Placée ainsi, je me sens comme un objet, subissant les attaques de ta queue, plaquée, ne pouvant ni bouger ni crier. Et j’aime ça ! J’aime ce que je ressens, cette impression de me donner, d’être à toi, d’être ta chose, ton objet, être ta chienne, ta salope. Ces coups de plus en plus puissants. Même la crainte d’être entendue par les voisins, de perdre mon image de jeune fille sage et prude s’est envolée. C’est à ce moment-là que je jouis une première fois, cet orgasme que je sentais monter en moi éclate, tellement intense, si fort. Mes jambes flageolent, je l’attendais depuis si longtemps.


De ton côté, tu n’as pas fini et continues à me besogner de la sorte, tu attrapes mes mains pour les maintenir fermement dans mon dos de ta main gauche alors que ta droite vient se poser entre mes fesses et ton doigt se pose sur ma petite fleur arrière. Il tourne autour, appuie délicatement dessus, puis de plus en plus fort pour rentrer. Les coups de langue en préliminaire l’ont détendue. Tu sais que je n’ai jamais voulu que l’on passe par là et touche cette partie de mon corps, sans doute gênée, sans doute aussi par peur d’avoir mal et pourtant, ici, je te laisse faire, j’ai comme secrètement envie. Et nous voici maintenant avec nos sexes l’un dans l’autre, ton doigt dans mon petit trou et moi me remettant de mon orgasme. Cela me fait une impression étrange d’avoir mes deux orifices comblés. Je commence à deviner pourquoi tu es venu et je sais quelle va être la suite et ne dis rien, acceptant le destin et ayant envie de continuer.


Le rythme de ton sexe ralentit. Il ressort du mien en même temps que ton doigt et il vient se poser sur cette rosette. Doucement, il appuie dessus pour se frayer un passage. J’ai un peu peur, une crainte d’avoir mal et pourtant c’est moi qui pousse les fesses en arrière allant à ta rencontre pour forcer la pénétration. Millimètre par millimètre… Petit à petit, ta colonne de chair entre et elle garde toute sa vigueur. Je grimace un peu avec la douleur, mais j’accepte cette dernière avec plaisir. Je ressens une sensation étrange, de la douleur et du plaisir en même temps. J’aurais tellement dû essayer cela plus tôt. Un moment je sens tes couilles buter contre moi et je sais que tu es entièrement en moi. Je me sens remplie, et étrangement, je me sens aussi femme.


Tu reprends où tu en étais rendu en sortant doucement et rentrant de nouveau. Tout pour me détendre. Tu es bien dedans, c’est serré et te procure beaucoup de plaisir, savoir aussi que tu es le premier à y aller. Tu accélères lentement le rythme et je me mets à aimer ce traitement. Je ne pensais pas y trouver du plaisir et pourtant je désire juste que cela ne s’arrête jamais. Ton sexe allant vers moi, mon fessier venant à sa rencontre. Mes mains se ruent entre mes jambes et je mets à me masturber d’une main et enfoncer mes doigts de l’autre. Je sens ces derniers frotter ton sexe à travers la fine paroi. Ça me procure un bien fou.


Tu ne tardes pas à exploser en moi et à jouir comme tu ne l’avais jamais fait. De longs et nombreux jets. Ceci déclenche un nouvel orgasme chez moi.


Nous restons là un moment, toujours dos à moi, tu te retires doucement et je sens le fruit de ton plaisir couler sur moi. Je veux me retourner, dire quelque chose, mais tu me demandes de rester comme je suis. Tu te recules et remets ton pantalon. Et lorsque je me retourne, je constate que tu es parti. Tel un rêve, tu n’as passé qu’un court moment, éphémère, et il ne reste qu’un souvenir dans ma tête. Un souvenir qui m’a procuré du plaisir.


Le soir même, je me demande si toute cette journée fut réelle ou si elle ne fut que dans ma tête. Et seule dans ma chambre, repensant à ce doux moment, je promène mes mains sur mon corps et me caresse en y repensant. Mes doigts sur le clitoris, glissant entre les lèvres, pénétrant mon intimité. Un, deux ou trois…. Si j’avais un objet à mes côtés, il aurait pris la place de ma main…