n° 19464 | Fiche technique | 34234 caractères | 34234Temps de lecture estimé : 19 mn | 22/02/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: La première fois que je l'ai vu, il m'a tout de suite fait penser au chien de l'inspecteur Colombo, vous savez, l'espèce de saucisse à pattes. Je sais qu'il y a nettement plus flatteur comme description pour un homme. | ||||
Critères: fh extracon bizarre fellation cunnilingu préservati pénétratio | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Collection : Blitz Stories |
Cette petite série propose des récits courts et indépendants les uns des autres, avec le même couple comme point commun.
Ces histoires relatent des événements libertins plutôt rapides, éclairs (d’où le titre).
Bonne lecture :)
En temps normal, bien que libertine depuis quelques années, je suis en général une personne assez prude dans mes élans affectivo sexuels, je ne m’offre pas comme ça à n’importe qui, mais parfois j’ai mes coups de cœur, ou plutôt de queue.
Depuis que les enfants sont partis du nid, mon mari et moi, nous nous offrons des extras ci et là. Un de mes passe-temps consiste à m’offrir un mâle, juste pour avoir le plaisir de l’épuiser et d’en abuser, telle une ogresse, car je reconnais que je ne suis pas toujours très délicate.
Ça va faire presque trente ans que je vis avec Gilles, mon mari. Pour ma part, je suis une Italo-Allemande, ce qui explique mon physique très méditerranéen et aussi ma grande taille. Mon germanique de père m’a prénommée Sandra et j’aime mon prénom. Je préfère qu’on le prononce à l’allemande, c’est-à-dire « sann-dra », avec la première syllabe qui rime avec Anne.
Installez-vous confortablement, que je vous raconte tout ça. N’ayez crainte, ce ne sera pas trop long, enfin, j’espère ! Je ne suis pas adepte des récits interminables qui traînent sur trente-six saisons avec des rebondissements cousus de fil blanc !
Peu de temps après l’histoire de la voiture (voir le précédent épisode, mais ce n’est pas indispensable), j’ai rencontré Marcelin. La première fois que je l’ai vu, il m’a tout de suite fait penser au chien de l’inspecteur Colombo, vous savez, l’espèce de saucisse à pattes. Je sais qu’il y a nettement plus flatteur comme description pour un homme. Cela dit, mon mari a eu la même réaction que moi quand nous en avons parlé ensemble, ce qui m’a fortement rassurée, je n’étais pas la seule à avoir pensé ce genre de truc.
Peut-on coucher avec un homme uniquement parce qu’il a un air de chien battu ? Ceci est une bonne question à laquelle je vais répondre en vous narrant ce nouvel épisode des Blitz Stories. Une fois de plus, installez-vous confortablement durant quelques minutes, je ne vais pas vous retenir bien longtemps.
Fidèles à nos habitudes, mon mari et moi donnons toujours rendez-vous dans un endroit public, avec une nette préférence pour la cafétéria de l’hypermarché pas loin de chez nous. Bien que nous soyons arrivés en avance, Marcelin se présente à nous peu de temps après. Ce dernier ressemble assez bien à sa photo, un air de chien battu plus prononcé au réel. C’en est même étonnant. Il a l’allure d’une pauvre petite chose qu’on aimerait volontiers protéger de son aile.
Est-il réellement comme ça, ou est-ce une technique de drague jouant sur le côté maternel de bien des femmes ? Bonne question !
Arrivé à notre table, il s’incline un peu vers nous, ne sachant pas quoi faire de ses mains.
Je vois bien à son air un peu surpris qu’il ne s’attendait pas que ce que je sois si pimpante. Il est vrai que j’essaye d’être à mon avantage, et que je ne déteste pas en mettre plein la vue. Aujourd’hui, j’ai décidé d’être en bleu électrique, y compris mes dessous et mon vernis. Exception faite de mon rouge à lèvres, je ne pousse pas le détail à ce point !
Nous commençons à discuter, je constate que notre contact du jour semble toujours assez étonné. C’est mon mari qui met les pieds dans le plat en demandant carrément :
Serrant son verre à deux mains, Marcelin hoche la tête :
Doublant mon mari, je m’exclame :
Je comprends et ça m’amuse. J’aime bien quand un homme n’a d’yeux que pour moi, même s’il ressemble un peu à un toutou à langue pendante. Nous discutons ainsi de longues minutes. Marcelin est assez timide, mais je constate qu’il est capable de parler de tout sans se forcer. C’est ainsi que j’apprends les grandes lignes de sa vie, son boulot dans une administration, ses vacances surtout en Turquie, son appartement pas loin d’ici, et j’en passe. Si son physique ne plaide pas trop en sa faveur, il suffit de s’attarder un peu pour constater que cet homme peut valoir le coup. C’est d’ailleurs la question que je suis en train de me poser : j’essaye ou je laisse tomber ?
En général, j’aime me donner un peu de délais pour réfléchir, mais là, j’ai envie de savoir si… Une sorte de quitte ou double. J’interroge muettement du regard mon mari. Depuis le temps qu’il me connaît, il sait lire ainsi en moi. Sa réponse est de me tapoter une fois puis deux fois sur la main, signe qu’il pense que je peux me faire plaisir. Nous avons nos petits codes…
Regardant droit dans les yeux de Marcelin, je me jette à l’eau :
Sa réponse spontanée m’amuse. Elle divertit aussi mon mari.
Là, il est subitement moins exalté, presque la douche froide :
Mon toutou manque sérieusement de confiance en lui, mais je peux comprendre sa position, surtout après ce qu’il a pu me confier de ces précédents rendez-vous. Me penchant un peu vers lui, ce qui lui offre une belle vue dans mon décolleté, j’explique alors la suite que je compte donner :
Malgré le fait qu’il zieute allégrement dans l’échancrure de ma robe bleue, je vois bien qu’il est un peu perplexe :
Là, je vois distinctement qu’il marque un temps d’arrêt, plutôt surpris :
Un large sourire s’affiche sur son visage de toutou heureux, et ça l’embellit, c’est incontestable. Je continue sur ma lancée :
Devant son air étonné, je balance une petite perfidie :
Quelques minutes plus tard, je fais la bise à mon mari. Celui-ci me demande en catimini :
À cette évocation, je deviens songeuse…
J’embrasse à nouveau mon mari, puis j’embarque dans la voiture de Marcelin. Celui-ci est fébrile, j’espère que nous n’aurons pas d’accident pour arriver chez lui ! Peu après, nous arrivons dans le parking privé et souterrain d’une petite résidence assez cossue. Tandis que nous sortons de la voiture, Marcelin me demande :
Prestement, à l’aide d’un badge, il ouvre la porte qui accède à l’escalier intérieur :
Peu après, nous entrons dans son appartement. Ou bien, il a une très bonne femme de ménage, ou bien c’est une fée du logis ! Rien à redire, tout est impeccable, rangé, soigné. Alors que je suis en train de contempler sa salle à manger qui fait aussi office de salon, Marcelin me demande :
Je m’attendais à bien des choses, mais pas à ça ! Je suis assez surprise par sa question, d’autant qu’il a l’air sérieux. Intriguée, je réponds le plus placidement possible :
Il me désigne son nez :
La situation me semble un tantinet étrange ! Je suis actuellement en compagnie d’un homme, qui ressemble fortement à un toutou, dont le nez est un peu trop sensible… Je l’imagine déjà en train de remuer aussi de la queue, c’est dire !
Je décide de jouer le jeu :
Il se racle la gorge ; peut-être qu’il ne s’attendait pas à ce que je sois ludique à ma façon. Après un bref silence, il badine :
À ces mots, je décide de rester en mode joueuse, surtout avec un gentil toutou un peu gauche, mais si attendrissant. Afin de voir jusqu’où Marcelin osera aller, je décide de le prendre au mot :
Il rougit, mais répond sans bafouiller :
Aussitôt dit, aussitôt fait. Sa chambre est à l’image de son appartement : soignée et rangée. Oui, une véritable fée du logis, cet homme ! Mis à part une allure peu valorisante, Marcelin possède beaucoup de points positifs à son actif. Sans attendre qu’il me le propose, je m’assieds sur le bord de son lit, puis je lance :
Toujours debout devant moi, Marcellin rebondit sur mon dernier propos :
Je m’exécute aussitôt, le bas de ma robe remonte dangereusement le long de mes cuisses. Mon hôte répond alors :
Un peu surprise par cette proposition, je m’allonge de dos sur le grand lit, jambes toujours écartées. Marcelin s’agenouille aussitôt, repousse un peu plus loin ma robe, puis il plonge sa tête entre mes cuisses en s’exclamant :
Je sens alors une large langue qui se faufile avec agilité sur moi puis en moi. J’ouvre de grands yeux, l’animal est très doué en lécheries ! Je sens que je vais rapidement décoller vers d’autres cieux ! Marcelin me conforte totalement dans l’idée qu’il est un sacré bon toutou !
J’ai déjà été léchée avec application et délectation, mais là, je dois reconnaître que c’est le summum ! Je me demande fugacement si un vrai chien ne s’y emploierait pas de la même façon ! Mais je chasse rapidement cette étrange pensée, la zoophilie ne faisant pas partie de mon quotidien, ni même de mes extras. Non, non !
Dieu que cette langue me fait du bien ! Je me laisse aller dans ma langue maternelle (ou plutôt paternelle, puisque ma mère est italienne) :
Oui, c’est très bon, ce type est doué pour le cunni, c’est indéniable ! Alors je me laisse aller sous cette langue si virtuose. On a parfois de très bonnes surprises avec certains hommes. Peut-être que je m’en doutais inconsciemment. Marcelin ne paie pas trop de mine, ce n’est pas le genre de mâle au bras duquel une femme aime s’afficher, mais il possède quelques atouts non négligeables dans l’intimité d’une chambre à coucher !
Mon hôte s’y prend tellement bien que j’ai beaucoup de mal à résister au puissant plaisir qui monte en moi de façon irrésistible. J’agrippe férocement la couverture du lit pour tenter de m’accrocher à quelque chose, car je sens, je sais que je vais décoller dans très peu de temps !
J’ignore si Marcelin comprend ce que je viens de dire, mais sa langue voltige fort agréablement entre mes lèvres totalement détrempées ! Je perds pied, je suis happée par cette grande vague que je connais si bien et que j’adore ! Ultra légère, je voltige par-delà les nuages, en apesanteur, libérée de toute gravité, enveloppée d’un chaud coton si soyeux !
Je repousse la tête nichée entre mes jambes, la sensation devient trop forte, électrique ! Puis je me laisse submerger par mon plaisir humide, tel un frêle esquif sur une mer déchaînée…
Tout est blanc, lumineux, reposant… J’adore cet état de béatitude…
Puis petit à petit, j’émerge. Clignant des yeux, je me retrouve presque nez à nez avec mon gentil toutou humain qui me demande :
Je réponds en lui envoyant un large sourire :
Je désigne impudiquement son entrejambe :
Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir, j’abaisse aussitôt son pantalon pour découvrir un engin déjà bien dressé, ni trop petit, ni trop gros, à bonne taille comme il se doit. Je ne déteste pas m’offrir des grosses colonnes de temps à autre, mais modérément. Pour vraiment bien en profiter sans avoir mal, il faut de la taille moyenne pour que ça rentre nickel sans trop heurter le fond, si vous voyez ce que je veux dire. En revanche, il faut un minimum syndical pour remplir l’antre.
Sans complexe, je saisis à pleine main son bâton de chair bien raide, afin de le branler délicatement, et visiblement, Marcelin aime beaucoup. Le contraire aurait été étonnant. Après quelques instants, mon hôte avoue :
Peu après, je le léchouille suavement. Il a bon goût. Décidément, ce Marcelin coche toutes les bonnes cases ! Alors, je m’applique à lui offrir une fellation de premier plan. J’ai toujours apprécié les sucettes masculines, une très bonne façon de faire exploser un homme, sans trop se fouler. Je reconnais en avoir vidé quelques-uns de cette façon, sans devoir être pénétrée.
Au début, je pensais épuiser Marcelin de cette façon, mais je crois que vais aller plus loin…
Pour lui signifier qu’il peut se laisser aller, j’enfourne carrément sa verge entre mes lèvres, tandis que je cajole ses testicules pendouillants. Marcelin comprend vite le message, sa tige sursaute vigoureusement avant de lâcher un premier jet bien puissant et copieux. J’avoue que je ne m’attendais pas à une telle quantité ! Il vient de me balancer ses réserves d’une année complète ou quoi ?
Tandis qu’il s’abandonne dans ma bouche, je suis tant bien que mal son flot ! Je reconnais que je suis bien contente quand son éjaculation s’arrête enfin ! D’accord, son sperme avait un assez bon goût, je l’avoue, mais j’ai eu quelques peines à suivre le mouvement.
Je jette un coup d’œil sur son service trois-pièces. Pourtant, ses testicules sont normaux, mon mari les a plus gros, mais sa quantité de sperme est plus faible, c’est indéniable. En revanche, mon homme est un fusil à répétition. Je vais essayer de savoir quel est le cas de mon amant du jour :
Il rougit en me donnant la réponse :
Pas mal d’hommes sont limités à un ou deux coups, d’autres approchent ou dépassent la dizaine. Entre ces deux extrêmes, bien des variations. Mais la grosse moyenne se situe du côté de deux-trois, selon ma propre expérience, si j’exclus mon mari qui a beaucoup plus de répondant. Cela étant, ce Marcelin ne fait rien comme les autres ! Je suppose qu’un amant qui remet le couvert douze fois, ça doit finir par être épuisant s’il fait à chaque fois, mais il paraît que certaines femmes jouissent par paquets de dix !
Je m’étonne de sa réaction :
Je mets les points sur les i :
Mon amant s’étonne franchement :
Il se met à rigoler franchement. Il est nettement plus beau quand il rit ou même quand il sourit. Je sens qu’il n’y aurait pas grand-chose à faire, à changer, pour en faire un homme au bras duquel une femme s’affiche sans complexe.
En parlant de complexe, c’est justement sans complexe que sa tige se redresse déjà, ce qui est bon signe pour moi. Je constate avec plaisir que mon pouvoir de séduction fonctionne toujours sur la gent masculine. J’aime énormément susciter le désir chez un mâle ! Contrairement à ce que je fais la plupart du temps, avec Marcelin, j’ai décidé de me modérer. Il est vrai que quand j’utilise la queue des hommes, j’y vais de bon cœur. Mais là, je n’ai pas envie d’effrayer ou de casser ce si gentil toutou.
Je m’allonge à nouveau sur le lit, puis lui faisant signe, j’écarte largement les jambes :
Niquedouille, un mot que j’ai vite retenu du français. Une façon pour moi de dire andouille (ça rime) ou crétin tout en restant très gentille et affectueuse pour la personne concernée. Sans parler de la sonorité très appropriée !
C’est avec un grand plaisir que je l’accueille en moi, une fois ses précautions prises. Il vaut mieux être trop prudente que pas assez, bien que je ne pense pas que Marcelin soit porteur d’une saloperie, vu sa vie sexuelle de ces derniers mois. Si lui et moi poursuivons par la suite notre relation, j’aurais largement le temps de profiter de lui à fond.
C’est bien l’une des premières fois qu’on me traite avec tant de respect ! Ça m’étonne un peu, car la plupart du temps, à ce moment précis, les hommes sont comme foufous. Même ses pistonnages en moi sont délicats, mais efficaces. Marcelin ne rime pas avec bourrin et j’en suis fort aise !
Cependant, pour la tenue dans la durée, ce n’est pas encore ça, puisque mon amant du jour se laisse aller très vite. Il est vrai qu’il n’a pas baisé depuis un certain temps, ceci expliquant sans doute cela. D’ailleurs, une fois son affaire faite, il s’en excuse platement :
Sa réponse fuse aussitôt :
Et c’est reparti pour une délicieuse séance de léchouille ! Purée ! Mais comment un homme peut-il savoir aussi bien manier de la langue ? On peut séduire une femme en étant bon orateur, une autre façon de se servir de sa langue. Mais le plus grand des orateurs est enfoncé quand je vois comment Marcelin se sert de son organe buccal !
À nouveau, je suis totalement détrempée, et à nouveau, je décolle pour le septième ciel à toute vitesse !
Tant pis si je me laisse aussi aller verbalement. Pas grave, je parie que Marcelin n’a rien compris de ce que j’ai pu dire ! C’est trop bon ce qu’il me fait ! Je sens que je vais conserver ce type dans mon carnet d’adresses ! En attendant, la grosse vague de plaisir monte irrésistiblement en moi, elle va déferler dans quelques secondes, me renverser, et m’envoyer jusqu’au bout de la jouissance !
Une fois de plus, je me retrouve la tête à l’envers, le corps éparpillé, épuisée, vidée, vannée, mais tellement heureuse d’avoir tant profité ! Oh que j’aimerais que cet état de béatitude dure toujours, des jours, des mois, des années, des siècles !
Hélas, il faut revenir à la réalité. Une douce réalité puisque Marcelin continue de s’occuper délicatement de moi en me caressant, en me câlinant, en déposant mille baisers fiévreux sur mon corps frissonnant. J’aime beaucoup me blottir contre un homme capable de douceur.
Puis mon amant rompt le silence :
Puis cela dit, il me regarde intensément avec son air de cocker malheureux, les yeux étincelants, humides et pleins d’espoir !
Sauriez-vous dire non à un si gentil toutou très attentionné ? Moi, je n’ai pas réussi. D’ailleurs, je n’avais pas trop envie de lui dire non. De ce fait, presque chaque semaine pendant un bon bout de temps, Marcelin est venu me chercher cérémonieusement à la maison. Je me sentais vraiment comme une princesse ! Tout en restant très attentionné, il prenait petit à petit de l’assurance et de l’aisance. Tant mieux pour lui.
Sans toutefois perdre son merveilleux coup de langue ! Je vous passe les détails… Franchement, que demander de plus ? Un amant qui bonifie au fur et à mesure des jours, des semaines et des mois !
Jusqu’au jour où…
Nous venons d’achever ce que nous avons l’habitude de faire depuis de mois. Une fois de plus, ce fut très bon. Dès le début, j’ai bien senti comme un petit souci dans sa façon d’être et de faire, mais comme Marcelin m’a envoyée au septième ciel avec aisance et doigté, j’ai vite zappé.
Mon amant hebdomadaire est face à moi, l’air visiblement contrarié et malheureux. Je vois bien qu’il a quelque chose à me dire. Il finit par lâcher le morceau :
Je vois arriver la chose, grosse comme un paquebot :
Il se gratte la tête puis continue :
Toujours un peu mal à l’aise, il poursuit :
Il affiche un faible sourire :
C’est ainsi que nous avons cessé de nous voir.
Mis à part quelques mails de plus en plus espacés, je n’ai plus jamais revu Marcelin. Dans ses messages, je sens bien en filigrane une certaine nostalgie, mais comme il l’a dit lui-même, il a dû choisir.
Voilà, mon autre courte histoire est terminée. Non, il ne fallait pas s’attendre à de la grande littérature. En effet, même chez une libertine, la vie quotidienne n’est pas toujours un sommet dans l’inédit. Et si vous êtes sages, je vous raconterais, sans doute par la suite, encore d’autres petites anecdotes…