n° 19487 | Fiche technique | 15843 caractères | 15843Temps de lecture estimé : 10 mn | 13/03/20 |
Résumé: En vacances, Sven va à travers le carnet intime de sa compagne, découvrir la raison de sa récente folle excitation. | ||||
Critères: f fh jeunes vacances plage cérébral voir exhib nudisme noculotte fmast hmast pénétratio -mastf -uro | ||||
Auteur : Aquasub |
Nathalie avait à peine vingt ans. Toujours aux études, nous étions descendus pour une semaine de vacances sur la Costa Brava où nous avions planté notre tente dans un charmant camping en bord de mer. La chaleur d’un mois de juillet assez humide était assez éprouvante, nos corps peu vêtus étaient constamment perlés de sueur et dès le premier jour, nous passions la plus grande partie de nos journées dans l’eau ; entre deux bains, Nathalie lisait beaucoup ou rédigeait un journal intime que je ne pouvais pas consulter ; moi je matais un peu les jolies mères de famille dont les formes épanouies me faisaient rêver.
La plupart à l’époque offraient leurs seins aux caresses du soleil pour la plus grande joie de tous les mâles fréquentant la plage. Nous étions très épris l’un de l’autre et l’envie de faire l’amour était constante. Hélas, en journée, la température qui régnait dans notre tente ne permettait pas d’y rester plus de cinq minutes. Sur la plage, nous étions entourés par de nombreuses familles qui n’auraient probablement pas apprécié les ébats de jeunes amants. La lecture d’un guide touristique nous donna alors l’idée d’aller chercher plus d’intimité dans les criques situées à quelques kilomètres du camping.
Mardi 5 août
En fin de matinée nous sommes donc partis à pied sur les sentiers des douaniers avec dans notre sac à dos de quoi grignoter et surtout boire, sans oublier mon masque de plongée vu que le guide renseignait des eaux cristallines et poissonneuses.
La marche sous le soleil de plomb était assez éprouvante, la sueur nous brûlait les yeux et nous devions prendre garde de ne pas nous fouler les chevilles sur les rochers dans lesquels était taillé le chemin.
Nous longions la mer, grimpions des murs de roches rouges, descendions des pentes escarpées sans rencontrer personne, la chaleur devant décourager tout randonneur ; seule la perspective de pouvoir nous retrouver nus l’un contre l’autre dans la plus grande discrétion nous motivait.
Après une bonne heure de marche, nous sommes enfin arrivés en vue d’un lieu qui nous semblait propice à un bel après-midi de détente. En contre-bas, une crique tel un petit amphithéâtre s’ouvrait sur la mer. Les fonds marins paraissaient magnifiques et nous étions très excités de descendre les marches taillées à même la roche pour rejoindre au plus vite cette alcôve naturelle. Nous étions très heureux de constater que nous y étions seuls, pas même un hors-bord ancré dans les parages. Nous étendons au plus vite nos serviettes de plage sur la partie de roche offrant un plan suffisamment plat et confortable. Nathalie s’est aussitôt débarrassée de son t-shirt trempé de sueur, ses seins s’agitaient déjà comme par provocation. J’ai hâte d’aller le plus vite possible me rafraîchir dans l’eau, j’enfile mon maillot, saisis mon masque de plongée, embrasse rapidement Nathalie qui est complètement nue, étendue sur sa serviette. Je regarde son sexe débarrassé de tous poils et me réjouis d’en profiter après ma balade au-dessus des fonds qui bordent la crique.
Mercredi 6 août
Aujourd’hui Nathalie souhaite faire une initiation de planche à voile, je l’attends donc à la terrasse d’un bar installé au bord de la plage, je garde son sac contenant ses vêtements et objets de valeurs tout en sirotant une San Miguel. Notre escapade dans la crique a été un moment absolument torride, je veux dire sexuellement. Lorsque je suis sorti de l’eau après une bonne demi-heure d’exploration aquatique, Nathalie m’attendait folle de désir, complètement désinhibée. Elle prenait nombre d’initiatives, faisait preuve de beaucoup de créativité dans les jeux proposés, les poses qu’elle prenait durant nos ébats me rendaient fou tant elles étaient outrageantes. C’était un extraordinaire moment de débauche, je l’ai soupçonnée d’avoir eu une sorte d’insolation qui lui faisait perdre la tête, mais pas du tout, le soir même elle n’a eu de cesse de s’offrir à moi veillant à raviver mon désir par des caresses, poses et baisers dignes du magazine porno le plus explicite.
Alors que mon pied bute dans le sac de toile contenant ses affaires, je sens l’arête dure d’un objet : son carnet intime. Hum, l’occasion est trop belle, la bière avec cette chaleur m’est un rien montée à la tête et je n’arrive pas à contrôler l’envie d’y jeter un coup d’œil. Je plonge la main dans le sac et en ressors le lourd carnet. Le cœur battant, je tourne les pages très rapidement. Pour chaque jour des faits marquants ou anodins sont relatés. Je découvre aussi quelques détails concernant nos retrouvailles charnelles lorsque je la rejoins après mon travail dans sa chambre d’étudiante. Me demandant ce qu’elle avait retenu de notre fol après-midi d’hier dans la crique, je cherche la dernière page manuscrite. Je vois avec plaisir que la date du 05 août est déjà remplie d’une écriture au bic noir, assez nerveuse. Le garçon m’apporte une deuxième San Miguel, je suis prêt à savourer l’instant et commence avec grande excitation la lecture de ces lignes qui ne m’étaient pas destinées.
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Mon cher carnet, je profite de l’assoupissement de Sven pour te raconter le surprenant moment que j’ai vécu cet après-midi. Nous avions décidé de quitter l’habituelle plage surpeuplée pour aller chercher un peu de calme dans les criques à quelques kilomètres d’ici. Quelle galère pour aller jusque-là ! Nous avancions dans une véritable fournaise, j’ai failli me tordre le pied plus d’une fois, mon t-shirt se plaquait sur ma peau tant je transpirais. Depuis les falaises où nous marchions, la vue sur la mer était fantastique. Après bien une heure de progression, nous sommes descendus vers la première crique que nous avons aperçue. Je n’en pouvais plus, il fallait que je me repose un peu. Sven était déjà tout excité de pouvoir se mettre à l’eau et d’aller voir les poissons. Nous étions absolument seuls, j’étais très heureuse de pouvoir me déshabiller complètement et de faire bronzer mon petit triangle tout blanc. Je me suis couchée sur ma serviette de plage, je regardai Sven s’éloigner et pris mon livre. À un moment j’ai eu le sentiment étrange d’être observée, je lève alors un peu les yeux au-dessus de mon bouquin et vois le mouvement rapide d’une tête qui plonge derrière un rocher. Je suis soudain parcourue de frissons qui courent le long de mon dos, je suis comme paralysée par la peur, me voilà seule, impossible d’appeler Sven qui a déjà disparu de ma vue. Je devrais prendre mon maillot et l’enfiler, mais je n’arrive pas à bouger. Je fixe ce rocher où j’ai vu quelqu’un disparaître, rien… cela ne me rassure pas du tout. Où donc est passée cette personne ?
Je vois alors sur la gauche, plus proche encore de moi, la tête et le buste nu d’un homme à moitié caché derrière un rocher. Je fais semblant de ne pas le voir et l’observe mieux, mon regard occulté par mes lunettes de soleil. Il ne semble pas hostile, son physique me semble même agréable avec de beaux cheveux noirs mi-longs, une carrure assez sportive. Peu à peu je m’apaise et la peur fait place à de la curiosité. Que fait-il là ? Que veut-il ? Je fais semblant d’être absorbée par ma lecture, tout en observant du coin de l’œil ce gars qui se tient à approximativement 15 m de moi. Je lui donne l’impression de ne pas l’avoir aperçu. Je le vois doucement s’abaisser, il disparaît un moment et réapparaît ensuite rampant lentement vers un rocher plus proche encore. Vêtu d’un seul maillot et tel un fauve musclé, il évolue avec une certaine grâce. Il se cache alors derrière son nouvel abri, seul son visage dépasse. Je me rends compte que l’excitation s’empare de mon bas-ventre, je commence à perdre prudence et me sens emportée par une vague de désir.
Je dépose mon livre à mes côtés, laisse tomber ma tête sur l’oreiller que je me suis fait avec mon short, je l’incline un peu sur le côté afin de mieux surveiller mon visiteur, je vais lui donner l’impression que je fais une petite sieste. Bien vite je le vois se déplacer un peu à distance de la roche qui le cachait, il sort d’un sac à dos un appareil photo muni d’un gros téléobjectif. Il me vise et me photographie. Tous mes muscles alors se détendent, j’ai l’impression de fondre au soleil, je suis merveilleusement bien, cette certitude d’être photographiée nue sans mon consentement me procure une bien grisante sensation. Très doucement, très naturellement j’écarte les jambes, je sens la légère et tiède brise me caresser l’intérieur des cuisses. Me voici complètement, et de la manière la plus indécente, exposée à l’objectif d’un inconnu.
La transpiration coule sur mon front, inonde mes aisselles et ruisselle dans les sillons situés entre mes cuisses et mon sexe totalement lisse. Le voyeur semble devenir nerveux, il me mitraille désormais sans plus chercher la discrétion, il met son lourd appareil en bandoulière et sort alors son membre bien dressé de son slip de bain où il devait étouffer. Debout, bien campé sur ses jambes, il se branle en me regardant, de son autre main il enserre ses lourds testicules et les tire vers le bas, je n’avais jamais vu un homme se masturber pareillement et cela me rend encore plus folle.
Le besoin de moi-même me toucher devient carrément invincible, je passe d’abord délicatement le bout de mes doigts sur un mamelon. Je le pince, le presse un peu, j’étire doucement le téton, exquise sensation qui directement inonde une fois de plus mon sexe que je sens doucement s’ouvrir comme pour mendier de l’attention. Je n’en peux plus, mes deux mains glissent vers mon pubis ; alors que mes pouces se rejoignent pour emprisonner et presser mon clitoris, mes doigts appuient sur mes lèvres déjà gonflées. Je les écarte, les ressoude l’une à l’autre ; je les écarte à nouveau tout en malmenant de mes pouces mon petit bouton en belle érection. C’est à peine si je regarde encore mon admirateur, mes yeux sont mi-clos, je ramène mes talons presque contre mes fesses, mes cuisses totalement écartées, j’enfourne maintenant trois doigts en moi qui me pénètrent d’un violent va-et-vient alors que l’index de mon autre main agace mon clito.
Je m’offre à ce type comme la plus vicieuse des traînées, de mes mains j’ouvre devant lui grand ma vulve le provoquant de la plus vulgaire façon. Durant deux secondes je le vois ruisselant de sueur se branler frénétiquement, son sexe est imposant et attirant. Sur un coup de folie, dans un mouvement presque explosif je me retourne, me mets à quatre pattes, ma croupe tendue en sa direction, une main occupée à malaxer, étirer ma chatte ; ensuite en appui sur mon front, mes deux mains écartent mes fesses faisant l’offrande de mes deux orifices. Me voilà suppliant d’être prise comme une chienne folle par ce mâle dont j’ignore tout, dont j’ai envie de sentir le glaive au plus profond de mes entrailles, dont je souhaite être couverte et ointe de son odeur. Mais, bon sang, qu’attend-t-il ? Je me retourne prête à l’appeler et je le vois alors ramasser précipitamment son sac, me faire un rapide signe de la main et disparaître à nouveau derrière les rochers. Quelle frustration ! pourquoi donc me laisse-t-il là pantelante et avide ? La fureur me fait reprendre un peu mes esprits et c’est ce qui me permet d’entendre le souffle d’un nageur. Sven, je l’avais complètement oublié durant ces moments d’égarement !
Je me remets vite sur le dos, je referme un peu mes cuisses afin de cacher mon sexe que je sens encore béant et remarque que mon voyeur n’a pas déserté les lieux, il est juste à nouveau en retrait dans son poste d’observation discret.
Mon amant revient auprès de moi, je lui souris, son séjour dans l’eau l’a visiblement très rafraîchi, il a la chair de poule. Je lui dis de s’allonger contre moi pour que je le réchauffe un peu. Une fois couché sur le dos, je m’empresse de m’agenouiller au-dessus de lui, ma croupe juste au-dessus de son visage l’empêchant ainsi de pouvoir remarquer notre spectateur. Je commence dès lors à saisir son membre tout frais et salé pour le lécher tout en vérifiant bien que mon nouvel ami profitait de la scène. Une fois que son sexe a repris vigueur, je m’empresse de l’engloutir, de tourner mes lèvres autour de son gland, je mime du mieux que je peux les salopes que j’avais vues dans les films pornos, j’y prends un exquis plaisir. Du coin de l’œil je savoure de voir mon admirateur se branler avec rage, déjà je cherche comment l’exciter plus encore. Il me revient alors en tête les images d’un film X qui m’avaient troublées sans que j’ose le confier à mon partenaire. Collant bien ma chatte béante contre sa bouche je lui dis : « ferme tes yeux et branle-toi, je te réserve une petite surprise ».
Je me relève ; les yeux clos, il sourit et commence à doucement se masturber. Je m’accroupis au-dessus de cette belle bite, j’écarte de mes deux mains mes lèvres et fixe en souriant le voyeur qui semble comprendre, car il saisit son appareil photo. Je me mets alors à pisser avec démonstration. Sven sentant le flot tout chaud inonder son sexe et ses couilles accélère le rythme de ses caresses, je l’entends exprimer sa satisfaction. Le gars en face me mitraille, la vulve ouverte déversant un torrent d’or. Jamais de ma vie je n’ai été aussi impudique.
Je crie : « Ne jouis pas encore ! »
Je m’agenouille et m’empale sur son glaive, je regarde le photographe en pétrissant mes seins, mes fesses et cuisses glissant sur le liquide qui s’est répandu sur mon chéri. Je me laisse aller, je ferme les yeux, Sven désormais très violemment me défonce le bas-ventre avec son sabre de chair. Nous jouissons de concert, je sens son sperme couler hors de mes entrailles et enduire ses testicules. J’ouvre les yeux, assommée. Le type se barre. Épuisée, je me retourne et me plaque contre lui, l’embrassant dans le cou, nos corps qui suintent de sueur et de liqueurs d’amour semblent devoir se souder.
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La lecture de ces pages me rend fou d’excitation, ce que j’ai bien difficile à cacher sous mon bermuda de plage. Je vois Nathalie ramener sa planche sur le rivage. En vitesse, je remets le carnet dans le fond de son sac, je croise les avant-bras au-dessus de mon entrejambe attendant son retour à mes côtés. Je n’arrive pas à atterrir, j’ai des difficultés à me concentrer. Je dépose de quoi payer mes consommations sur la table et quitte la terrasse pour la rejoindre. Je tiens le plus discrètement possible son sac contre mon bermuda. Je vais l’emmener au camping tout proche, je la tirerai jusqu’aux douches où je la besognerai comme un animal sauvage, sans ménagement, sans explication aucune, ses cris de jouissance résonneront dans les sanitaires. Nous ressortirons de la cabine de douche épuisés par une frénésie sexuelle sous le regard intrigué des dames occupées à faire leur lessive dans les éviers juste à côté.