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Temps de lecture estimé : 9 mn
13/03/20
Résumé:  Fred commence sa dernière année de doctorat. Sa professeure Olga l'invite au calme à la campagne. Fred s'y rend avec Rebecca. Lors d'une soirée de découverte, Olga faillit succomber aux charmes de Rebecca. Finalement Olga s'offrit une séance de voyeurisme
Critères:  f fh fplusag jeunes cadeau copains profélève grosseins cinéma voir exhib noculotte fmast facial nopéné hdanus
Auteur : Fredeau  (Couple libre souhaitant partager ses délires érotiques)            Envoi mini-message

Série : Professeure Olga

Chapitre 02 / 03
Soirée DVD

Résumé du premier épisode :

Olga, ma tutrice de thèse, me propose sa vaste demeure pour poursuivre mes recherches et profiter d’une ambiance calme. J’accepte l’invitation, mais m’y rends avec Rebecca, ma colocataire…






Je rejoignis alors les deux furies, certain de leur avoir laissé assez de temps pour stopper leurs ébats en m’entendant arriver.

Olga venait de se lever pour passer en cuisine déposer un plateau vide, pendant que Rebecca sirotait un petit mojito de façon parfaitement innocente… L’une ou l’autre savait-elle que je les avais vues ?

En tout cas, l’une ou l’autre ne souhaitait pas que je les accompagne dans leurs découvertes lesbiennes.

Olga avait remis un peu d’ordre dans sa tenue et revenait tout sourire – crispé ? – le rouge aux joues :



Pour redescendre la pression érotique de tout le monde, et pour rester fidèle au programme qu’elle avait elle-même fixé, Olga nous incitait à la suivre avec nos verres dans le couloir qui menait à la salle de cinéma.

La pièce agencée avec un grand écran circulaire avait de belles dimensions, une sorte de petite pente, façon gradins de cinéma avec d’énormes fauteuils très confortables qui nous tendaient les bras.

On s’est installé avec Rebecca pendant qu’Olga lançait un film récent sorti en DVD.

Pendant ce temps, ma coloc me glissait à l’oreille :



Je fis mine de ne pas comprendre, elle continua :



Je la regardai, faussement incrédule. Elle me fit un clin d’œil. De mon voyeurisme, elle n’avait rien capté !

Olga nous rejoignit, et je me retrouvai entre les deux beautés.

Rebecca terminait son verre et se calait contre mon épaule en laissant aller et venir ses mains sur ma poitrine à travers mon tee-shirt. J’étais tout autant gêné qu’excité par la présence de ma tutrice à nos côtés et par l’enchaînement des situations érogènes depuis notre arrivée…

Tout naturellement, je fus pris d’une belle érection complètement nue et libre dans mon pantalon.

Je devinais bien les regards d’Olga sur mon corps, l’attention qu’elle portait aux caresses de Rebecca sur mon torse. Je priai pour que les choses dérapent.

Au bout d’un moment, Olga se tourna vers moi, me susurrant à l’oreille :



Elle m’avait soufflé cela dans le creux de l’oreille avec un ton très calme, mais avec la respiration légèrement saccadée, ce qui traduisait son émotion, son désir.



Elle me coupa :



Elle reprenait place en me bisant la joue de manière assez suggestive et appuyée. J’étais au paroxysme du désir. Ces mots résonnaient dans ma tête et levaient en moi les dernières barrières de la pudeur, de la réserve, de la timidité (et encore) !



Je voyais Olga se pencher sur moi et échanger quelques mots avec mon amie, elles avaient un sourire complice, et pendant qu’Olga se réinstallait au fond de son siège, Rebecca me déboutonna le pantalon. Ma verge se libéra et atterrit dans les mains chaudes de ma coloc. Elle soulageait mes bourses, leur faisait place sur le tissu délicat du fauteuil. Je descendis mon jean sur mes chevilles et me plaçai semi-allongé sur le siège.

Je remarquai qu’Olga se positionnait du mieux qu’elle pouvait pour nous observer. Mentalement, j’imaginai bien son regard coquin, chargé de désir, en train de me détailler le sexe… s’en saisissant de ses magnifiques doigts fins, ou avec sa bouche chaude et gourmande.


Rebecca se pencha sur moi pour me gober et jouer avec mon gland, elle mouilla beaucoup ses lèvres et de sa salive me coula sur la tige… Cela scintillait avec les faibles lumières de la salle de cinéma. Je remarquai qu’Olga ouvrait ses jambes de plus en plus, elle se contorsionnait pour, sans y paraître, remonter sa robe sur sa taille. Je me concentrais sur la succion de Rebecca, je connaissais bien cette chaleur, cette bouche, ces coups de langue prodigieux.


Je lui tenais la tête, comme elle aime. Olga avait coupé le son du film avec une télécommande. On s’entendait gémir tous les deux, vautrés auprès de ma tutrice, professeure émérite d’université, complément débraillée, en train de placer ses mains sur ses parties intimes. Son gémissement particulier rejoignait les nôtres.

Olga semblait vouloir profiter de tous ses sens… Cela décuplait son désir que de nous entendre geindre de plaisir à côté d’elle. Elle avait une vue parfaite sur la bouche de Rebecca qui me faisait aller et venir avec vigueur entre ses lèvres. J’aurais bien aimé qu’Olga usât de ses mains et de sa bouche pour profiter pleinement de ce moment charnel. Mais toutefois, ne laissait-elle pas volontairement une ultime distance dans nos rapports.


Rebecca s’est fait une place à mes genoux. Elle a même trouvé un petit coussin, pour s’installer confortablement entre mes jambes. Elle a jeté son débardeur dans un coin. Détendue, elle n’avait pas mis de sous-tif, elle plaçait ses beaux seins autour de ma bite lubrifiée. J’adorais quand elle me branlait comme ça. Olga se masturbait sans retenue à côté de nous.


Elle s’est penchée sur mon sexe. Rebecca lui fit de la place. Alors que je pensais qu’elle m’aurait gobé le gland dans cette magnifique branlette espagnole, je la vis faire couler de sa salive sur mon sexe, cracher entre les seins de Rebecca pour améliorer la friction de sa belle poitrine sur ma verge tendue. Je montais d’un cran dans l’excitation, pendant qu’Olga reprenait sa place fière de son effet sur nous trois.


Mais diable, allait-elle prendre la place de ma coloc ? elle se retenait encore d’intervenir directement. Elle était dans la maîtrise. C’est elle qui pilotait notre trio.

Je me reconcentrai sur Rebecca qui me suçait avec beaucoup d’application entre deux coups de friction sur ses seins.


Puis il lui prit de se lubrifier son majeur dans sa bouche, elle me le porta à mes lèvres et je vis Olga s’en saisir, se pencher sur moi pour lui attraper la main et lui sucer ce doigt impudique pendant quelques secondes. De voir ainsi ma prof, lécher le majeur de ma coloc… ça me rendit complètement dingue ! Je me vis tellement à la place du doigt en train de forcer les petites lèvres au gloss parfait.

Rebecca récupéra son doigt parfaitement lubrifié sans vraiment savoir qui s’en était occupé et elle le plaça entre mes fesses… Elle a quelques fois eu l’occasion de me fouiller, me sonder, me branler le cul… « C’est thérapeutique, je suis élève infirmière », m’avait-elle dit !


Je me détendis en fermant les yeux, pour essayer de m’ouvrir les fesses et l’aider à mieux me pénétrer. Elle savait y faire. Ça y est, il était planté au fond de moi.

Je pouvais bouger dessus. Me faire pendre le petit trou devant ma tutrice, mais quelle image j’allais lui laisser ? Et elle, pratiquement nue, écartelée, ruisselante de sueur et de son plaisir qui montait ! Quelle image mémorable me renvoyait-elle ?

Je la sentis s’agripper à mon bras à mes côtés, j’ouvris les yeux et la regardai se doigter frénétiquement le minou pendant qu’elle ne ratait rien de la magnifique pipe que continuait de me donner Rebecca.


C’était vraiment exquis, nos regards se croisaient, et elle s’accrochait désormais à ma main. On se tendait de façon mutuelle et en simultanée. Je sentis la chaleur m’envahir les fesses, remonter dans mes couilles. Je voyais Olga secouée dans son siège de gauche à droite sous l’effet de ce qu’elle voyait, de ce qu’elle entendait, de ce qu’elle devinait de nous et de ce qu’elle ressentait de son plaisir solitaire. Trois doigts étaient enfouis en elle, sa main était brillante de sa liqueur intime. Les cuisses étaient si ouvertes, qu’elle avait passé ses mollets sur les dossiers des sièges de devant. Elle était quasiment allongée à ma gauche, en s’agrippant toujours avec ses ongles et de toutes ses forces, à mon avant-bras ou à l’accoudoir du siège.


Dans un ultime souffle, nous jouissions de vive voix, à quelques secondes d’intervalle. Rebecca attendait ce moment, elle retenait ses derniers coups de langue, ses derniers allers-retours dans mes fesses. Son index avait rejoint le majeur sans que je ne proteste. Je lui ai envoyé plusieurs salves de sperme sur ses lèvres, son cou, et le reste retomba sur mon bas-ventre. Olga venait de jouir dans un cri de femelle très excitant. Elle s’était fait jouir avec ses doigts en me regardant éjaculer du plus profond de mon corps.




***********




On s’est regardés, repus par le plaisir. Rebecca s’était appliquée à bien me vider, elle avait fini de me sucer la tige, j’en avais partout. Elle a sorti un paquet de mouchoirs et a entrepris de me nettoyer. Olga lui a pris les mouchoirs des mains, mi-nue, mi-habillée, elle s’est approchée de mon pubis et de mon sexe pour me nettoyer méticuleusement. Elle voulait ce contact, elle y est allée très lentement, avec patience et précision. Le contact du coton fin sur ma peau brûlante m’électrisa. Savait-elle l’effet qu’elle produisait ? Mon sexe s’était ramolli, mais il voulait revenir en arrière, il souhaitait qu’on s’occupe encore de lui.


Rebecca s’est éclipsée pour nous laisser seuls. Olga a nettoyé tout mon pubis, plus aucune trace de mon plaisir n’y figurait. Ses gestes étaient presque médicaux. Elle semblait ne montrer aucune émotion, juste de la concentration et de la douceur. Elle a pris un dernier mouchoir propre pour le passer autour de mon sexe qui pointait à nouveau vers le plafond. Elle le caressait comme elle l’aurait fait avec quelque chose d’ultra précieux. Finalement, elle s’est tournée vers moi et m’a regardé en souriant et je me laissai faire. Elle n’a pas eu de contact direct sur ma peau. Comme si elle laissait encore de la distance entre nous, malgré les délicieux instants que nous venions de partager.


À genoux sur son siège légèrement penchée sur moi, j’aurais pu facilement de ma main caresser son ventre, son entrejambe. Vérifier le plaisir qu’elle s’était donné. Trop indécis pour tenter quoi que ce soit, je ne fis rien. Je respectais ce moment, car j’avais peur d’aller trop vite. Une femme de son statut, avec ce charisme et de cette beauté devait garder le contrôle. C’est elle qui m’aurait autorisé à la toucher, à l’embrasser. Je voulais rester dans cette pseudo-position de délicieuse soumission soft.


Elle s’est ensuite relevée, rajustant sa robe sur son corps et quittant les lieux, je me retrouvai ainsi seul pour remonter mon pantalon et remettre de l’ordre à mes esprits.

Je rejoins finalement Rebecca au salon et on se resservit un verre, avec beaucoup de glaçons. Tout sourire, on partageait ce regard de satisfaction de soulagement d’avoir passé un cap dans nos relations. M’asseyant à côté d’elle, on a trinqué ! Reposant son verre, elle m’a pris le visage dans ses mains et m’a langoureusement embrassé. C’était rare qu’elle prenne la peine de me donner ce genre de baiser. Elle et moi étions plutôt dans les ébats rapides, puissants et efficaces.


Quelques instants plus tard, Olga revenait auprès de nous. Elle avait enfilé un petit kimono noir en satin, et je découvris ses pieds nus. Magnifiques pieds, j’étais très sensible aux pieds des femmes et cela me donnait de nombreuses idées pour la suite. Nous donnera-t-elle l’occasion d’avoir une suite ? Je restais complètement bloqué, le regard figé sur ses pieds.

Olga s’en rendit compte et au bout de quelques secondes, on trinqua à notre week-end « studieux » dans un grand éclat de rire. Nous venions de reprendre un peu de distance et de retenue dans nos rapports sans nous en rendre compte. Puis Olga dit :





***********




J’ai obéi ce soir-là. Rebecca s’est glissée parfaitement nue près de moi dans le lit froid de cette chambre peu souvent utilisée. Je lui ai caressé le corps en m’attardant sur son pubis imberbe. On a bien sûr attendu qu’Olga remonte de sa douche pour commencer à se frotter plus fort. Nous n’avions pas besoin de grand-chose. À nouveau, Rebecca m’a plusieurs fois embrassé avec beaucoup d’insistance. Devenait-elle amoureuse, cette pure nympho qui d’habitude ne s’embarrassait pas avec ce genre de détail ?

On a donc bien fait exprès de sonoriser nos ébats et d’en faire profiter Olga, tel qu’elle nous l’avait demandé.


Nue et parfaitement lubrifiée après le déroulement d’une telle soirée, Rebecca m’a grimpé dessus en position d’amazone en laissant ses deux jambes du même côté. Ainsi assise sur mon sexe bandé, nous avons fait l’amour comme il se doit. Nous n’avons retenu aucun de nos cris et avons sûrement fait vibrer les murs de la chambre ; jouissant dans un souffle simultané.

Parfaitement vidés et comblés de bonheur sexuel, nous nous sommes endormis assez rapidement.



À suivre…