n° 19505 | Fiche technique | 82278 caractères | 82278 14461 Temps de lecture estimé : 58 mn |
26/03/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Ce soir, il y a du très beau monde dans la vaste salle de bal. Tout ce que le Paris du Second Empire peut contenir de célébrités en odeur de sainteté auprès du couple impérial est présent. | ||||
Critères: #historique #initiation fh caférestau fête fmast fellation cunnilingu pénétratio fsodo jeu | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
Ce récit se situe au tout début du Second Empire,
et tente d’en restituer l’atmosphère, les us et coutumes de cette époque qui n’étaient pas les mêmes que les nôtres.
Bonne lecture :)
Ce soir, il y a du très beau monde dans la vaste salle de bal. Tout ce que le Paris du Second Empire peut contenir de célébrités en odeur de sainteté auprès du couple impérial est présent. L’impératrice et jeune mariée Eugénie rayonne dans sa très belle robe, entourée de ses dames de compagnie qui ne sont pas en reste de beauté, un vrai bouquet de fleurs.
Tout autour de moi, un nombre non négligeable de jeunes filles en fleur, elles aussi, sont aussi présentes, dûment encadrées par leurs parents et chaperons. Dans mon coin, je regarde toutes ces petites saynètes de maquignonnage, où l’on teste d’un côté la blancheur de la future génisse, et de l’autre les aptitudes du jeune coq, qui deviendra peut-être taureau par la suite…
Depuis quelques instants, je contemple plus particulièrement la ronde qui s’opère autour des deux filles de Madame de Beaumontel. Il est vrai que ces deux damoiselles sont mignonnes, mais d’après ce qu’on a pu me dire, leur mère, veuve depuis deux ou trois ans, n’est pas bien riche en monnaie sonnante et trébuchante. Mais peu importe si elle est un peu désargentée, cette belle femme mature m’attire, je suis fortement tenté par une petite aventure avec elle. Suivant la mode impériale, elle est vêtue d’une robe bleue et rose à panier qui dévoile allègrement son cou et ses épaules. Diverses dentelles égarent le regard, ainsi qu’un lourd collier de perles qui dégouline agréablement vers son décolleté. Madame de Beaumontel est décidément une belle femme mature, au visage joliment ovale, au petit nez pointu, aux sensuelles lèvres rouges et aux yeux que je devine verts. Assurément une très belle proie pour un chasseur amateur de femmes épanouies.
J’attends que les deux jeunes-filles soient invitées à danser pour me rapprocher de leur mère :
Je m’incline galamment vers mon interlocutrice toujours assise, sans oublier de loucher un peu dans le décolleté fort agréable de la dame :
Oui, mon nom n’est pas inconnu. Il est vrai que je me suis transformé en capitaine de l’industrie depuis déjà quelques années, car c’est bien beau d’avoir une particule, mais ça ne nourrit pas forcément son homme. De ce fait, j’ai décidé de me lancer dans diverses affaires, essayant de créer un maillage entre elles. Depuis, je me suis diversifié dans différentes branches en vertu du principe qu’il vaut mieux éviter de mettre tous ses œufs dans le même panier.
Ce que je viens de dire est partiellement vrai. Je n’avais pas choisi mon épouse, elle le fut par mes parents. Ce fut une entente assez cordiale, mais stérile. Quand ma femme est décédée d’une stupide chute de cheval, j’ai décidé de rester libre et de n’avoir que des petites aventures, prenant prétexte que je ne serais l’homme que d’une seule femme. Un prétexte faussement romantique, mais qui fait bien mes affaires.
Mon interlocutrice affiche un air attristé qui ne semble pas feint :
Elle rosit un peu. Avec un petit sourire, jouant avec son éventail, elle me demande :
Arrêtant subitement de jouer avec son éventail, plutôt surprise par ma répartie, elle cligne fugacement des yeux :
Totalement étonnée, elle en bafouille :
Je m’approche un peu plus près d’elle, tout en profitant de son beau décolleté. Concernant ses appas, son nom de famille n’est pas usurpé, même s’il fut acquis par mariage :
Baissant un peu son petit nez, elle rougit légèrement. Puis, un peu désabusée, elle lâche :
Elle rougit plus fortement, ne sachant pas quoi répondre. Je continue :
Elle rougit encore plus, presque cramoisie :
Un peu gênée du compliment, elle me sourit :
J’esquisse un large sourire tout en agitant mes doigts :
Devant cette allusion, elle vire au rouge pivoine :
Elle cache son visage cramoisi derrière son éventail, ne sachant pas quoi répondre. Elle est sauvée par le retour de ses filles et de leurs cavaliers. Nous devisons ensemble quelques instants, puis comme il commence à se faire tard, je décide de repartir chez moi, bien décidé à conquérir cette Madame de Beaumontel.
Il ne me reste plus à cogiter sur la façon d’y parvenir.
Quand on veut, on peut. Ma mère me répétait souvent cette maxime. Deux jours après le bal, j’ai appris que ma proie avait quelques soucis financiers, pas énormes, un hôtel particulier dont la toiture faisait des siennes. Pas de gros dégâts, mais une réparation à accomplir de toute urgence, sous peine que ça s’aggrave, mais différée pour manque de moyens. Alors je me suis déplacé chez elle pour lui proposer mon aide.
Après les salutations d’usage, je suis rentré dans le vif du sujet :
Même si elle essaye de ne rien en montrer, je vois bien que cette solution l’arrangerait. Elle fronce très légèrement des sourcils pour s’enquérir :
Elle est assez surprise, je vois bien qu’elle hésite. Elle finit par demander :
Incertaine, elle hésite, pesant le pour et le contre. Elle insiste :
Elle rougit. Elle réfléchit, elle se tord les mains, puis ajoute dans ma direction :
Un peu crispée, elle accepte mon offre. Après quelques réglages de points de détail, je la salue, puis je prends congé. Le lendemain matin, l’équipe que j’envoie règle très vite le problème. L’après-midi, j’envoie un coursier porteur d’un message pour convenir d’une date. Dans sa réponse, elle me remercie, et me propose ce jeudi soir pour le dîner en tête-à-tête. Son billet se conclut par un post-scriptum :
En lisant cette phrase, je souris. Une femme, qui prend trop de précautions de cette nature, est souvent une femme qui a peur de faire un faux pas, ce qui est bon signe pour moi. Je réponds que je lui enverrai un fiacre privé, puis j’ajoute le nom du restaurant dans lequel je l’invite, ce qui devrait la rassurer. J’oublie simplement de préciser que ce sera dans un salon privé, dans les étages.
Puis arrive le fameux soir.
Mon invitée arrive dans une robe très proche de celle qu’elle avait lors du bal, sauf que celle-ci est uniquement bleue et possède moins de dentelles. Je crois comprendre que cette robe possède plus bas une faible armature, contrairement à celle du bal. Une fois son châle ôté, fidèle à la mode, je peux admirer son cou et ses épaules qui sont fortement dégagés, m’offrant une fois de plus une belle vue sur son décolleté, surtout si j’ai le bon point de mire. Un lourd collier de perles, le même que celui du bal, dirige encore mieux le regard sur sa blanche poitrine.
Valentine n’a pas protesté que nous dînions en tête-à-tête de façon privée. J’ai réservé un salon au troisième étage, muni d’une belle vue sur la capitale. Un vaste paravent joliment orné coupe la pièce en deux parties, l’une vaste, l’autre plus petite. La partie salle à manger est meublée avec goût, sans ostentation. Alors que nous allons prendre place autour de la table, je lui désigne une grosse clochette posée à côté de ses couverts :
Je lui présente sa chaise, me demandant comment Valentine va pouvoir s’asseoir dessus. Elle s’active sur les côtés de sa robe qui devient soudain plus souple. Une armature pliable, je suppose. Ce qui peut simplifier mes éventuelles futures affaires :
Le dîner commence, une soubrette ainsi qu’un valet viennent nous servir les plats.
Tout se passe bien, l’atmosphère se détend. Valentine est toujours un peu sur la défensive, mais nettement moins qu’à son arrivée. Sous le charme d’une belle vue sur les environs, nous venons de finir les entrées.
Mon invitée se confie petit à petit. Elle reconnaît que ce n’est pas toujours facile d’être une femme seule avec trois grands enfants, mais elle ne se plaint pas, son défunt mari ayant laissé de quoi vivre, même s’il faut parfois le faire chichement.
Le vin capiteux aidant, je commence à tout savoir sur sa propre enfance, puis son adolescence. Elle a visiblement une forte envie de s’épancher, ça va faire sans doute des années qu’elle garde ça en elle. Pour ma part, je lâche quelques brides de ma vie, mais c’est surtout elle que je fais parler. Encore quelques aveux, et je pourrais écrire un livre sur toute sa vie. Il ne serait pas bien gros, puisque son existence n’a pas été très palpitante, comme celle de beaucoup de femmes de notre époque.
Après lui avoir rempli à nouveau son verre, je demande sur le ton de la confidence :
Ah, on dirait que ça va devenir palpitant. Penché vers elle, je demande avec gourmandise :
Elle devient rêveuse :
Elle regarde autour d’elle, puis murmure :
On dirait que cet épisode l’a marquée. Je comprends pourquoi. De temps à autre, dans les journaux, on lit des drames liés au fait que certaines femmes s’étiolent dans une vie morne et prennent feu au moindre compliment. Je suis même surpris que personne n’ait songé à écrire un roman sur le sujet. Mais je crains que son auteur subisse les foudres de la censure pour atteinte aux bonnes mœurs, même s’il existe bien pire derrière les sombres tentures…
Elle devient songeuse :
Puis la conversation devient plus générale, les autres plats défilant sur notre table. Après la salade, je constate que ma proie est un peu indolente, la bonne chère et le vin capiteux aidant à cet état. Je sais que ce n’est pas très fair-play de ma part, mais qui veut la fin s’offre les moyens, disait aussi ma mère. Dommage qu’elle soit décédée depuis presque vingt ans, elle aurait pu constater que ses conseils n’avaient pas été perdus, si j’en crois ma propre réussite.
Galamment, je propose à mon invitée :
Me levant, je pars ouvrir un vantail de la grande baie vitrée. Puis me glissant derrière mon invitée, je l’aide à se relever. Je constate qu’elle vacille un peu. Je lui offre mon bras, et nous venons nous poster devant l’ouverture pour admirer le paysage nocturne qui s’étend devant nous. J’en profite pour me placer derrière elle.
Mon invitée semble fascinée par le paysage nocturne aux mille lumières tremblantes :
Non, non, Valentine, la soirée n’est pas encore terminée, et je compte profiter lâchement de votre état engourdi pour avancer mes pions.
Lorsque durant le bal, j’avais découvert cette femme, j’avais déjà envie d’elle. Ce n’est pas la première fois que je jette mon dévolu sur une dame. Maintenant que je la connais un peu mieux, mon envie est encore plus forte, je veux en faire ma maîtresse, pas une simple conquête de passage. Il y aura quelques résistances à briser, mais je pense que je peux compter sur la soif d’affection qui sommeille en Valentine.
Mais pour parvenir à mes fins, il ne convient pas de se comporter en soudard, même s’il va falloir que je force un peu le destin, comme dans le monde des affaires, on n’attend pas que la caille tombe toute rôtie dans son assiette ! Tandis que je pose délicatement mes mains sur les épaules nues de Valentine, je murmure :
Elle frémit un peu sous mes doigts, mais c’est très léger. Je continue :
Du bout des doigts, je caresse très lentement ses épaules, sa peau est douce, son corps est chaud. J’essaye de choisir au mieux mes mots :
Elle frémit à nouveau, son silence s’attarde. Aurais-je fait un impair, une bêtise ? Alors que je suis en train de chercher une autre phrase à prononcer pour tenter de rectifier ce que je pense être une erreur de ma part, Valentine avoue d’une voix peu assurée :
Je dépose un premier baiser sur son épaule, elle frémit une fois de plus :
Toujours est-il qu’elle ne proteste pas plus. Je dois reconnaître que, depuis le début de la soirée, j’ai ignoblement rempli, et ce, plus d’une fois, son verre d’un vin agréablement sucré, léger, mais fort traître !
Plaqué dans son dos, mes mains sur ses bras, je dépose des baisers de plus en plus ardents sur ses épaules, puis dans le creux de son cou. Valentine soupire d’aise, émettant parfois de bien faibles protestations. Je remonte lentement le long de son cou, très lentement.
Plus bas, mes mains remontent posément vers sa poitrine dont je peux déjà soupeser la lourdeur et les formes pleines. Mes doigts se promènent maintenant sur la fine peau du haut de sa poitrine, une main s’en vient saisir une épaule dénudée. J’adore cette nouvelle mode impériale qui dénude le haut des femmes. Je suis moins d’accord en ce qui concerne ces larges cages sous les robes, ces crinolines d’acier ou de jonc, bien qu’on dise qu’un galant puisse se cacher par-dessous ! On raconte que cette semaine encore, une femme très bien née s’est fait surprendre ainsi.
En attendant d’aller visiter le bas, ayant laissé tomber ma veste qui me gêne un peu, je m’occupe promptement du haut.
S’abandonnant à mes caresses, Valentine laisse échapper un long soupir. Je vois bien qu’elle apprécie beaucoup que je m’occupe d’elle. Depuis combien de temps, n’a-t-elle pas été entreprise par un homme ? Comme bon nombre de jeunes filles, elle est passée directement de la tutelle d’un père à celui d’un mari. On peut même dire qu’elle a troqué ses jouets d’enfant contre un nouveau-né, sa première fille. Quant à son mari, un militaire, vu les échos que j’ai pu avoir, qui n’était pas vraiment un romantique. Bon soldat, mais sans doute médiocre amant.
Je ne sais pas si je suis réellement un bon amant, mais je sais m’occuper d’une femme, j’adore la faire jouir afin qu’elle m’en redemande encore et encore, même si la plupart du temps, elle ne le dira jamais explicitement, mais me le faisant comprendre à demi-mot. C’est souvent ainsi qu’on s’attache une femme, et je compte bien faire complètement mienne cette chère Valentine !
Je sens que le temps est venu d’approfondir nos relations. Posément, je glisse mes deux mains sous ses aisselles afin d’aller cueillir sous le décolleté de sa robe deux lourds fruits bien mûrs ! Je constate avec satisfaction que c’est bien le cas. Ni trop peu ni trop de trop…
Avec application, je les révèle au grand jour. Madame de Beaumontel mérite décidément bien son nom. Son décolleté ne laissait pas beaucoup de doutes à ce sujet, mais les douces masses blanches que j’ai à présent dans mes mains me le confirment très agréablement ! C’est un grand plaisir de les pétrir, d’en sentir la chair entre mes doigts avides et voraces.
Toujours plaqué contre son dos, ses seins lourds et voluptueux dans mes larges mains, je taquine les tétons du bout de mes doigts, tandis que je l’embrasse passionnément dans le cou, puis lui croquant délicatement le lobe de l’oreille.
D’une voix demi-défaillante, elle murmure :
Tout en continuant à l’embrasser et à titiller ses tétons, je suggère :
Elle rougit aussitôt :
Je vois bien qu’elle hésite. Selon la bonne morale, je suis en train d’outrager sa vertu, et à ce titre, je suis un malotru de première catégorie. Mais d’un autre côté, Valentine semble apprécier qu’un homme puisse la désirer et lui faire éprouver bien des choses. Il est vrai aussi que le vin capiteux ne l’aide pas à avoir les idées claires. J’ai bien fait de parier sur le fait que son défunt mari n’avait pas été un amant digne de ce nom. Je suis même prêt à miser qu’il a été pire que médiocre, il a été inexistant. Car les réactions de mon invitée s’apparentent plus à celle d’une jeune fille que celles d’une femme mature ayant eu des enfants. À moins qu’elle ne soit bonne comédienne, mais je ne crois pas à cette possibilité.
J’accentue mon emprise sur Valentine, malaxant voluptueusement ses beaux seins, jouant avec ses tétons, constellant son cou et ses épaules de baisers ardents. Elle respire fortement, elle tremble aussi un peu.
En effet, sa respiration devient légèrement saccadée et sifflante. Un peu inquiet, je relâche ma pression, elle s’apaise un peu. Je suggère :
Je m’y connais un peu en laçage de corset. Depuis que je suis veuf, j’ai entretenu diverses relations avec des dames dont la vertu n’était pas le point cardinal. En contrepartie, j’ai pu apprendre bien des choses qu’on ne confie pas spontanément à son mari. Comme le haut de la robe de Valentine est déjà fortement abaissé, j’ai accès au haut du laçage de son corset. Sachant où mettre les doigts entre les zigzags du lacet afin de le desserrer, en quelques secondes, je libère mon invitée. Celle-ci respire librement à nouveau :
Je décide de mentir un peu, mais pas tout à fait :
Je saisis la balle au bond :
Je l’entraîne délicatement, mais fermement vers le vaste paravent, que je repousse, découvrant le lit qui se cachait derrière. Valentine s’exclame :
Je capture sa main dans la sienne afin de la positionner dos au lit. Puis, lâchant ses doigts, je saisis délicatement, mais fermement ma conquête par la taille, pressant ses seins nus contre mon torse. Dépassée, elle bredouille :
Posant mes lèvres sur les siennes, délicatement, je l’embrasse. Cette femme sera bientôt à moi, je pourrais enfin la posséder. J’ai déjà désiré des femmes, mais celle-ci me fait un effet dantesque, et si l’enfer est le prix à payer, ça ne me dérange pas, surtout si je peux me créer mon petit paradis sur terre en abusant de tous ses paysages charnels !
Tout en l’embrassant et en la caressant, je finis par faire asseoir Valentine sur le rebord du lit. Je sens encore un peu de résistance de sa part, mais aussi comme une curiosité d’en savoir plus, car visiblement, elle est excitée, ses tétons me le montrent bien, sans parler d’une certaine odeur caractéristique bien que subtile.
Glissant mon bras sous ses jambes, et l’autre derrière son dos, je la soulève pour venir la déposer au milieu du grand lit. Elle pousse juste un petit cri, ses yeux sont humides, mélange de crainte et de désir. Je m’allonge prestement à ses côtés :
Je ne la laisse pas me répondre puisque je me penche sur elle pour capturer à nouveau ses lèvres et me saisir d’un sein blanc et charnel. J’adore mêler mes doigts à cette délicate masse molle ! C’est ultra voluptueux, et je soupçonne que Valentine possède sur elle bien d’autres paysages sensuels de même nature !
C’est d’ailleurs ce que j’ai envie de découvrir en glissant ma main sous les divers jupons, la posant sous son genou. Mes doigts câlinent un bas de soie qu’ils remontent petit à petit. La jambe est comme il faut, ni trop peu, ni trop non plus.
Tout en dévorant ma conquête de mille baisers brûlants, je remonte encore un peu plus haut, sa cuisse est fraîche, un peu plus épaisse. Valentine pousse un petit soupir étrange quand mes doigts dépassent l’attache et arrivent sur sa peau nue. Je suis étonné, je m’attendais à une culotte bouffante, mais il semble que Madame de Beaumontel ne suive pas point par point l’actuelle mode, ce qui arrange bien mes affaires !
La peau de sa cuisse fraîche est toute douce, un vrai régal ! Valentine est en train de vibrer, envahie de mille tremblements légers. Le désir ? La crainte ? L’inconnu ?
Puis ma bouche capture son sein que j’embrasse, que je lèche, que je suce, tout en n’oubliant pas de choyer cette belle framboise bien dressée qui me nargue ! Dans ces moments-là, je me dis qu’il y aurait une énorme félicité à redevenir un bébé en train de téter sa nourrice. Une sorte de retour au paradis perdu de notre prime enfance… Qui sait…
Valentine gémit doucement sous la sensuelle torture que je lui fais subir. Elle pourrait fuir, mais elle ne le fait pas. Son corps réclame sans doute ce qu’il n’a pas reçu durant tant d’années. Et le corps est souvent plus puissant que l’esprit, n’en déplaise aux moralistes de tout bord !
Sans toutefois cesser de gober ce délicieux mamelon, j’éprouve une certaine surprise intérieure quand mes doigts rencontrent une toison soyeuse ! Ou bien celle-ci déborde sur les côtés, ou bien Valentine est moins sage qu’elle veuille me faire croire. Délicatement, j’explore un peu plus le bosquet auquel je suis confronté, et il semble bien que ma conquête ne porte plus aucun vêtement au-delà de ses bas, ce qui est une très agréable surprise. Je sais que certaines femmes, fidèles à d’anciennes habitudes, ne portent aucune lingerie qui protège leur intimité. D’autres femmes oublient d’en mettre dans certaines circonstances. Je me refuse de trancher.
Il n’empêche que j’ai une furieuse envie d’aller voir ça de plus près !
Savoir que Valentine ne semble pas porter de lingerie contre son intimité et que je suppose que son bosquet est libre me donne un coup de sang. Je m’aventure un peu plus loin, aucun tissu ne protège son fruit défendu. Je constate avec plaisir qu’il est protégé par une touffe soyeuse assez fournie et abondante.
Je libère avec regret son mamelon, il est difficile de parler et de sucer en même temps :
Elle s’alarme :
Délicatement, je pose mon front contre le sien :
Je vois bien que la situation la dépasse. Normalement, une dame aurait déjà dû quitter la pièce depuis longtemps. Il est vrai que les femmes sont faibles et que les hommes peuvent facilement abuser d’elles. Valentine est assaillie par diverses sensations contradictoires. Son corps réagit très positivement, assoiffé de caresses, mais sa morale lui recommande de fuir.
Persuasif, je répète :
Elle me regarde craintivement, mais avec une lueur étrange dans les yeux :
Tout en couvrant son visage de furtifs baisers, j’explique :
Je pose à nouveau mes lèvres sur les siennes, elle répond timidement à mon baiser. Puis elle me repousse légèrement pour prendre la parole :
Aussitôt, je l’embrasse passionnément, tel un adolescent fébrile, nos lèvres soudées, ma main vorace sur son sein si doux et malléable. Puis je me redresse, décidé à révéler ses trésors cachés sous la masse de ses jupons.
Je m’active ardemment. Je dois me battre avec divers jupons, sans parler de ces cannes en jonc dont j’arrive à me défaire sans rien déchirer. Ce faisant, je n’oublie pas de caresser ma conquête, de déposer ci et là bien des baisers, surtout à l’orée de ses bas, sur sa chair blanche et fraîche.
Tous ses jupons sont à présent relevés, formant divers cercles concentriques superposés l’un sur l’autre. J’aurais aimé qu’on m’enseigne la géométrie de cette façon ! J’admire à présent des cuisses blanches surmontées d’un adorable bosquet châtain clair ayant quelques reflets acajou. Un peu au-dessus, un mignon pubis arrondi, ainsi qu’un ventre bombé comme je les adore. Il faudrait pouvoir immortaliser cette enchanteresse vision sur une grande toile !
Se couvrant à moitié les yeux, Valentine minaude :
Je glisse mes doigts dans sa touffe soyeuse, mes doigts jouant avec les boucles. Puis je dépose un premier baiser sur son pubis bombé. Valentine tressaille. Peu incommodé par sa toison fournie, je continue à déposer divers baisers, accompagnés parfois de titillements de langue. Valentine réagit positivement, elle semble apprécier mon hommage. Puis ayant déniché l’entrée de sa fente, je m’aventure hardiment vers son clitoris, le nez envahi d’effluves marines.
Un cunnilinctus, ma chère, pourrais-je répondre si je n’étais pas si occupé ! J’adore le goût de sa cyprine si savoureuse, je m’étonne de son clitoris assez important, ce qui augmente sans doute la surface sensible de celui-ci. D’ailleurs, Valentine gémit, geint, tressaille, ondule sous mes coups de langue.
Bien qu’elle se débatte, elle ne fait rien pour chasser ma tête. Écartant mieux son bosquet de mes doigts puis ses lèvres, je décide de gober cet insolent clitoris, et de le sucer comme il se doit. La réaction de ma conquête est assez violente, elle se cabre aussitôt :
J’abandonne momentanément son bouton rose et humide pour lui répondre aussitôt :
Elle respire bruyamment :
Écartant à nouveau son bosquet de mes doigts puis sa fente odorante, je gobe et je suce voluptueusement cet insolent clitoris. Valentine gémit à nouveau, se cabre :
Mais pourquoi devrais-je lui obéir ? Alors je continue de plus belle. Ma proie essaye de se dégager, mais c’est peine perdue. Elle s’agite, elle se secoue, elle tangue, je ne lâche pas prise. Un doigt s’offre le luxe de câliner son entrée avant de s’enfoncer voluptueusement en elle.
Je continue ma douce torture sans lui laisser l’occasion de s’échapper. Soudain, elle se fige, puis son corps est assailli de diverses secousses. Puis une longue plainte s’échappe de ses lèvres : elle est en train de jouir, intensément, ardemment !
Je ralentis ma torture tandis qu’elle s’enfonce dans sa jouissance, inondant ma bouche de sa délicate cyprine. Je souris intérieurement : Valentine est mienne, j’ai la certitude qu’elle deviendra ma maîtresse.
Brutalement, elle repousse ma tête :
J’obéis, abandonnant son entrejambe pour aller l’embrasser. Nos lèvres se soudent, maculées de cyprine, nos langues se nouent. Puis nos bouches se séparent, je la laisse récupérer un peu, avant de passer à la suite, tant en la caressant longuement, pour continuer à profiter de son corps et de ses courbes.
Essoufflée, haletante, elle finit par rompre le silence :
Elle reste pensive quelques instants avant de dire :
J’ai déjà été étonné dans ma vie, mais aujourd’hui, je pense que je me souviendrai longtemps de ce moment particulier. Je suis fier de moi, mais en même temps, je suis triste pour elle. C’est d’ailleurs la première fois que je suis ainsi triste pour une femme.
Pour toute réponse, je la serre délicatement dans mes bras. Elle semble un peu surprise de la tournure des événements, mais très vite, elle s’abandonne, et se laisse choyer et câliner comme la petite fille qu’elle est redevenue.
Puis Valentine reprend ses esprits. Elle s’anime :
Elle ne répond rien, les yeux perdus dans le vague. Je continue toujours de la caresser. Une fois de plus, elle se laisse faire, non pas par obligation, mais parce qu’elle apprécie mes mains sur son corps. Après un certain temps, Valentine demande ingénument :
Se redressant à moitié, elle s’exclame aussitôt :
Totalement surprise par ma réponse, elle bafouille :
Impérial, après un baiser appuyé sur chacun de ses seins, je sors du lit. Du coin de l’œil, je vois bien que mon invitée est dépassée par la tournure des événements. Va-t-elle obéir à ma demande ? Je l’espère. Maintenant qu’elle a découvert quelque chose qu’elle ne connaissait pas malgré sa vie de couple, je pense que la curiosité de cette suite que je lui promets encore plus belle devrait l’aider à choisir. Mais il convient de garder dans un coin de sa tête la maxime de François Premier : Souvent femme varie, bien fol qui s’y fie.
Je passe de l’autre côté du paravent, me dirigeant vers le monte-plats. Je rédige ma demande sur l’ardoise, puis je fais descendre le tout. Quelques instants plus tard, le monte-plats revient chargé d’un plateau contenant café et mignardises. Il faudra que je songe à installer ce genre de commodité chez moi, surtout pour mon bureau.
Je m’adresse à Valentine restée sur le lit et hors de ma vue :
Quand je contourne le paravent, j’ai la bonne surprise de constater que mon invitée agenouillée, assise sur ses talons, complètement nue, exception faite de son collier et de ses bas. Tout en déposant devant elle le plateau sur les draps, je lui adresse un sourire radieux.
Je remplis sa tasse, puis je la pousse dans sa direction. Elle me remercie, affichant un pauvre sourire :
Pour toute réponse, elle rougit fortement. J’en profite pour la scruter, la détailler. Je grave dans mon esprit ses seins lourds et laiteux, son ventre rond et reposant, ses hanches pleines, son bosquet fourni qui déborde un peu de ses cuisses jointives. Il ne me manque plus que son fessier, mais c’est juste une question de minutes. Durant ce temps, elle grignote prestement trois petites pâtisseries, preuve que, chez elle, jouir creuse !
Je repousse le plateau, afin de me rapprocher de ma conquête. Me voyant m’approcher d’elle, Valentine frémit. Je lui souris :
Elle soupire un grand coup :
Avant que je ne réponde, spontanément, elle prend ma main entre les siennes :
Me regardant intensément, elle presse fortement ma main dans les siennes :
Je suis bouche bée devant cette confession. C’est moi qui ai maintenant du mal à répondre correctement :
Elle se moque un peu de moi :
Elle lâche ma main. Toujours agenouillée, elle écarte les bras de son corps nu, puis tend ses mains vers moi :
N’y tenant plus, je me jette maladroitement sur elle. Nous retombons sur les draps, l’un à côté de l’autre, enlacés. Je couvre ses lèvres, son nez, ses joues, ses paupières de baisers voraces, tandis que mes mains avides recherchent toutes ses courbes.
Je continue sur ma lancée, mais en me modérant. J’adore couvrir son corps de baisers, d’embrasser ses lèvres sucrées, d’embraser son cou, de mettre mes mains partout sur elle, de peloter ses seins lourds, de mordiller ses tétons sucrés, de caresser son ventre rond, d’effleurer son pubis bombé, de fourrager les doigts dans son bosquet fourni. Et plein d’autres choses encore, sans oublier ses cuisses blanches et fraîches.
Son séant rebondi est une splendide découverte ! Que de jeux à pratiquer sur cette chair débordante, dans cette fente pêchue, sans oublier sa chute de reins sur laquelle on peut s’attarder. Il y a tellement de contrées à visiter, à explorer que je ne sais plus trop bien par où commencer. Pour un peu, je lancerais bien un dé pour me départager !
J’ai cru remarquer cet état de fait. Ainsi, Valentine me confirme ses propos de tout à l’heure, c’est-à-dire que, dès le départ, je ne lui étais pas indifférent. Il est vrai que sa reddition a été rapide, partagée comme elle l’était entre la morale et le plaisir.
Tandis que j’embrasse à présent son ventre, elle rit :
Par deux fois, je la fais jouir en allant déguster son abricot si juteux, et y taquiner sa petite tourelle rose. Par deux fois, elle explose de jouissance, la laissant rompue et repue, avant de repartir de plus belle dans nos jeux sensuels et érotiques.
Entre deux, comme je suis maintenant nu comme elle, de temps à autre, elle s’enhardit à poser sa main sur mon corps, timidement, pour me caresser doucement. Elle a encore bien des barrières à franchir, mais je pense qu’elle parviendra vite à se libérer. Sans qu’elle ne le dise explicitement, c’est elle qui réclame parfois des baisers. J’arrive facilement à la deviner à travers ses mimiques, sa façon de me regarder.
Elle est alanguie les bras en croix, à la suite d’une nouvelle jouissance due à mes doigts taquins. Ceux-ci se sont permis le luxe d’entrer en elle, tandis que d’autres exacerbaient sa petite tour si sensible. Je dépose un énorme baiser sur son pubis plein de boucles soyeuses.
Je la laisse se reposer un peu. À ma grande joie, c’est elle qui revient vers moi quand elle a repris des forces. Je me colle contre elle dans son dos, lui servant presque de fauteuil, profitant à nouveau de sa peau, de ses courbes. D’une voix un peu gauche, elle me confie :
Tandis que je soupèse ses beaux seins lourds, elle fait la moue :
Je vois bien qu’elle a envie de m’ajouter quelque chose, mais qu’elle n’ose pas le demander. Je décide de lui tendre une perche pour savoir ce qu’elle semble avoir en tête :
Je la ceinture totalement dans mes bras, mettant mes lèvres à son oreille :
Elle devient écarlate. Après un fugace baiser, je murmure à son oreille :
Je suis un peu perdu, il y a quelque chose qui m’échappe dans ce qu’elle vient de dire. Elle incline la tête en avant, bafouillant :
Disant ces mots, elle est totalement cramoisie. J’assemble rapidement toutes les brides, et sauf erreur monstrueuse de ma part, je comprends où ma conquête veut en venir. Je suis flatté qu’elle pense à moi de la sorte. Je lui réponds doucement :
Elle reste butée sur son idée :
Elle pose ses mains sur les miennes qui la ceinturent toujours. Elle s’agite un peu plus :
Elle étouffe un petit rire. Je pose la question :
Ce n’est pas si courant, une femme qui connaît un peu son corps et qui semble avoir compris certaines règles biologiques. À moins que je ne me trompe sur ce point-là. Je serre ma nouvelle maîtresse contre moi :
Elle se moque un peu de moi :
Elle marque une petite pause pour ensuite demander d’une petite voix :
Elle argumente :
Toujours plaqué contre son dos, je capture à nouveau ses seins à pleines mains, les soupesant dans mes larges paumes. J’en profite pour dévorer son cou de mille baisers, elle se laisse faire en inclinant la tête sur le côté. Très vite, elle tremble à nouveau, signe évident qu’elle aime. Je titille ses tétons qui durcissent, je joue avec, je les étire doucement, elle soupire d’aise. Il ne me faut pas bien longtemps pour qu’elle vibre à nouveau, ça fait tellement longtemps, tellement d’années que son corps n’a pas été choyé.
Puis, estimant que c’est le bon moment, je change de position. Assis pour moi et agenouillée pour elle, nous sommes maintenant face à face. Son visage entre mes mains, je lui explique la suite :
Elle semble étonnée :
Elle pouffe de rire :
Elle rougit :
Elle me regarde droit dans les yeux, j’y vois une certaine crainte de l’inconnu, mais aussi un profond désir. Je lui souris :
Elle ne répond rien, mais agit. Elle se soulève pour essayer de se positionner au mieux, je l’aide en dirigeant ma verge vers sa fente que je devine déjà bien détrempée. Je cogne à son entrée, puis sans effort apparent, ma tige coulisse lentement en elle, tandis qu’elle s’assied sur moi, poussant un long gémissement. Je l’attire à moi, nos ventres se plaquent l’un contre l’autre, ses seins laiteux s’aplatissent contre mon torse, nos bouches se touchent presque.
Elle sourit d’une bien belle façon :
Posant mes lèvres sur les siennes, j’entame un long et voluptueux baiser. Je sens ses bras, ses mains dans mon dos. Je descends les miennes vers ses fesses pour les capturer et commencer à la faire coulisser sur ma colonne de chair plantée en elle, dans son antre si doux et si chaud. Je sens distinctement son bosquet fourni en bas de mon ventre et leurs boucles soyeuses me câlinent sensuellement lors des va-et-vient de son corps.
Ses seins lourds massent mon torse, ses tétons durcis laissent leur empreinte sur ma peau. Nos ventres se frottent. Corps contre corps. Peau contre peau, chair contre chair. Moi en elle, elle sur moi, deux en un.
Notre baiser se poursuit, Valentine prend des initiatives, elle se laisse aller petit à petit. Le plaisir monte en elle, je sens de plus en plus ses ongles contre ma peau. Elle halète, mordant mes lèvres, plongeant sa langue dans ma bouche.
Soudain, elle se raidit, elle se cambre en arrière, les yeux fermés, enfonçant ses ongles en moi, un long râle sort de sa bouche :
Son visage s’illumine sous la vague qui la submerge, ses traits se transcendent. Dieu qu’elle est belle ! Aucun peintre ne saurait figer ce moment sur une toile !
Je n’en peux plus, je n’y arrive plus. Le barrage cède, les eaux se ruent dans la vallée, une grande vague irrésistible, impérieuse. Je veux remplir son antre, je veux marquer mon territoire, je veux la remplir de moi, partout, totalement, complètement. Parce qu’elle est à moi, rien qu’à moi, uniquement à moi !
Alors qu’à mon tour, je sombre, entre mes yeux mi-clos, je remarque que Valentine est en train de me regarder jouir, tout comme je l’ai fait avec elle. Son expression est un mélange de surprise, de plaisir et de puissance…
Surprise, plaisir et puissance… étrange, mais prometteur mélange !
Je réémerge lentement. Je constate que nous sommes tous les deux couchés sur le côté. Ma maîtresse est totalement échevelée, épuisée, mais visiblement très heureuse. Elle reprend son souffle petit à petit, puis spontanément, elle me demande :
Elle me sourit, puis elle regarde plus bas :
Je l’embrasse, elle répond à mon désir. Quand notre baiser s’arrête, elle soupire :
Elle se met à rire de bon cœur, ce qui m’enchante. Je la trouve immensément belle, la voyant ainsi joyeuse et heureuse !
Depuis cette soirée mémorable, Valentine et moi, nous nous sommes revus plusieurs autres fois, parfois un peu en catimini, hélas. Elle souhaite ne pas trop divulguer nos rendez-vous, une femme du monde se doit de maintenir un minimum de réputation. Cette fois-ci, nous sommes dans l’une des chambres situées au-dessus des locaux de ma banque. En toute discrétion.
Bien qu’elle ne le dise pas expressément, elle adore quand je vais farfouiller de la langue son abondant bosquet, et précisément la petite tour qui y est nichée. Elle ose de plus en plus, elle accepte mes hommages de mieux en mieux. Il est vrai que j’y vais lentement mais sûrement pour gravir la colline de nos turpitudes…
Nous sommes confortablement installés dans un vaste fauteuil face au lit, et j’ai déjà réussi à mettre beaucoup de désordre dans sa tenue, puisqu’elle est uniquement en jupons et en bas. Une fois de plus, alors qu’elle est à moitié nue dans mes bras, assise sur mes cuisses, je tente d’argumenter :
Toujours assise sur mes genoux, elle s’agite :
Je joue voluptueusement avec un de ses seins :
Passant outre, je dépose un gros baiser appuyé sur la masse molle de son sein, juste à l’orée de son aréole bien marquée :
Je pose mes doigts sur ses lèvres :
Un peu prise de court, elle rougit :
Je l’embrasse, elle répond à mon baiser. Quelques instants plus tard, nous sommes nus tous les deux, enlacés, peau contre peau, en train de faire l’amour. Valentine apprend lentement à se lâcher, à laisser parler son corps et son désir.
J’adore folâtrer dans sa touffe si fournie, mais j’admire aussi son somptueux fessier que j’adore couvrir de baisers, voire même de m’en servir comme coussin. Et c’est cette partie de son anatomie qui me tente aujourd’hui. Valentine aime bien que je m’occupe de ses fesses, bien que la première fois, elle ait été interloquée de la façon dont je les ai adorées. Mais comme elle a beaucoup apprécié mon hommage…
Comme ma maîtresse est dans sa période dangereuse, et que j’aime malgré tout m’épancher en elle, une certaine porte bordée de broussailles n’est pas conseillée. Après avoir joui deux fois par mes doigts et ma langue, Valentine est allongée sur le ventre, attendant mon prochain assaut.
Je donne une petite claque pour faire vibrer cette belle masse blanche. Elle ne crie même pas, je parie même qu’elle sourit ! Je commence à embrasser ces deux demi-sphères bien rondes, mes doigts tripotant sa chair débordante, un pur régal !
Puis n’y tenant plus, j’écarte ses fesses pour venir positionner ma verge vers son entrée interdite. Je capture un peu de cyprine entre ses lèvres détrempées, fluide que je dépose sur mon gland. Puis recommençant, j’en dépose aussi sur sa petite cuvette sombre et frémissante.
Valentine me demande d’une petite voix :
Je décide de jouer avec elle :
À ces mots, je force son entrée, elle pousse un petit cri, mon gland disparaît facilement en elle. Appuyé sur les mains posées près de ses seins aplatis, je me positionne mieux :
Je décide de changer de tactique :
Je viens de m’enfoncer un peu plus loin en elle, ce qui explique son exclamation. Je reprends :
Je suis maintenant enfoncé à mi-garde en elle :
Un premier « oh » de surprise sous l’effet de mes mots crus, un second « oh » de contentement du fait que je m’enfonce en elle pour venir me caler tout au fond de son sombre tunnel. Je m’affaisse sur son dos, une première main venant capturer un sein tout mou. Ma bouche toute proche de son oreille, je murmure :
Je commence à remuer en elle, Valentine gémit, ses doigts s’agitent dans son entrejambe.
J’y vais de plus belle, coulissant avec volupté dans ses profondeurs, rivé sur ses belles fesses rondes :
J’adore l’entendre dire des petites grossièretés, signe évident qu’elle se lâche. Ma maîtresse commence à sombrer dans la jouissance, je reconnais sans erreur possible ses petits cris annonciateurs. Je pistonne son magnifique cul, bien décidé à me lâcher complètement dedans, et à le remplir, à le faire déborder, parce que Valentine est mienne !
Nous explosons presque en même temps, un tourbillon s’empare de moi, je sombre totalement, enveloppé par les tressaillements et les cris de jouissance de ma maîtresse. J’aurais dû résister un peu plus longtemps, mais dès que je suis en elle, j’ai toujours des difficultés à rester maître de mes actes, une sorte de folie s’empare de moi, et je redeviens animal…
Tandis qu’elle est blottie contre moi, le corps alangui et repu, elle me questionne :
Elle se tait, se blottissant encore plus contre mon corps nu, sa main sur mon torse, se laissant câliner. Soudain, elle murmure :
Je capture ses lèvres pour la remercier à ma façon de cet aveu. Elle répond avec joie à mon baiser. Puis, l’un contre l’autre, nous sombrons dans une quiétude réparatrice. Un peu plus tard, elle rompt le silence :
Elle s’offusque, tout en restant collée contre moi :
Elle s’obstine :
Je ne m’attendais pas à ce que la réponse fuse aussitôt :
Elle prend une petite pause avant de répondre :
Elle devient cramoisie :
Puis elle se blottit encore plus contre moi, tandis que je l’enlace. Quelques longues minutes s’écoulent, sereines. Puis elle demande :
Elle avoue piteusement :
Je desserre un peu mon étreinte pour mieux la contempler :
Je repousse un peu le drap, dévoilant mon sexe flasque et repu :
Elle détourne un peu le regard :
Valentine désigne mon sexe toujours endormi :
Alors, timidement, elle pose ses doigts sur ma verge molle qui frémit. Puis elle s’enhardit à la caresser comme on le ferait avec un chaton. Je suppose que c’est la curiosité qui fait qu’elle continue quand elle constate que mon pénis se raidit et grossit peu à peu. Puis, elle se décide à capturer ma tige dans sa main. Elle murmure :
Replongeant dans son passé, elle fait momentanément la moue :
C’est une question un peu embêtante à laquelle je ne sais pas répondre. Néanmoins, je décide d’y répondre au mieux :
Je lui adresse un large sourire. J’aime quand une femme tient à moi, quand je sais qu’elle voudra me faire plaisir. Oui, j’ai remporté une belle victoire, mais quelque part, j’ai été pris à mon propre piège. Néanmoins, il vaut mieux succomber à ce genre de piège avec une femme comme Valentine que de tomber dans les griffes d’une courtisane qui vous plumera totalement et qui vous écorchera vif !
Elle continue son doux mouvement de va-et-vient, son poing un peu plus fermé. Fermant les yeux pour mieux apprécier, je continue :
Les yeux toujours fermés, je soupire :
Tandis qu’elle continue toujours de me masturber, j’ouvre grands les yeux :
Avec un large sourire, je proteste :
Sans cesser de me branler, elle se moque gentiment :
Elle me regarde avec un large sourire :
Et à mon grand étonnement, elle pose ses lèvres sur le bout rond de ma verge. Puis elle s’enhardit à donner un petit coup de langue. Puis un deuxième, et d’autres… Bientôt, mon gland disparaître entre ses lèvres. Attendri et excité, je caresse ses cheveux, Valentine est un peu maladroite, mais elle est visiblement pleine de bonne volonté !
Elle retire ma verge de sa bouche, pour aspirer plein d’air :
Elle regarde ma verge bien raide et luisante de sa salive, puis avoue :
Je ne dis rien, je continue de caresser ses cheveux. Elle donne un long coup de langue suave sur ma verge, comme s’il s’agissait une grande sucette sucrée. Puis elle dit :
Et avant que je ne réponde, elle engloutit posément mon sexe pour entamer une somptueuse fellation, peut-être un peu maladroite, mais terriblement efficace et sincère. J’ai énormément de mal à savoir me freiner, sa langue est trop sensuelle, ses doigts qui branlent ma base, la serrant comme il se doit. Sa bouche ondule, tournoie autour de ma verge, la faisant parfois complètement disparaître entre ses lèvres. Quasiment une professionnelle, avec en plus le côté attendrissant de la gaucherie d’une débutante qui veut bien faire.
Je n’y tiens plus, le flot est là, prêt à gicler :
Mais elle ne me lâche pas, elle serre même un peu plus ma verge pour mieux la garder dans sa bouche. Alors, je me laisse aller, je me vide dans sa bouche dans de longs jets, mon sperme sur sa langue, sur ses dents, sur son palais ! À ma grande surprise, elle avale sans effort toute la semence dont je l’ai gratifiée, sans en laisser échapper une seule goutte !
De tels dividendes, j’en veux et j’en redemande tous les jours !
Le nouvel Empire est riche en fêtes et en bals. Il est de bon ton pour le Pouvoir de montrer que tout va bien et que la France rayonne de plus belle dans le monde. Il est vrai qu’en dehors de l’Europe, notre Empereur construit peu à peu un empire mondial (déjà amorcé sous les précédents rois, il est vrai), cherchant à concurrencer nos voisins anglais.
J’ai réussi à obtenir de ma maîtresse qu’elle vienne avec moi à cette soirée, bien que pour sauvegarder les apparences, nous ne sommes pas arrivés en même temps. Et c’est par inadvertance que nous nous sommes retrouvés l’un à côté de l’autre, entourés de gens influents comme divers ministres, députés et sénateurs, le couple impérial n’étant pas prévu, absorbé par d’autres obligations.
C’est alors que je décide de brusquer le cours du temps. Prenant par surprise la main de ma voisine, je m’avance un peu plus dans le cercle pour annoncer distinctement :
Ébahie, elle se retourne vers moi :
Elle se penche vers moi pour murmurer :
Elle rougit tandis que, petit à petit, nous sommes entourés de diverses personnes venues nous féliciter, les femmes autour de Valentine, et les hommes autour de moi. Je sais que ça fera les gorges chaudes dans divers salons, mais je m’en fiche allègrement.
Un peu plus tard, alors que je viens de réussir à me dégager d’un groupe de raseurs, avant que je ne rejoigne Valentine, toujours bien entourée, un quidam m’aborde sans complexe pour me proposer en catimini :
Je me penche à son oreille :
À son air, je pense qu’il a compris où je voulais en venir. Il bafouille avant de s’éloigner :
Je sens qu’il va y avoir d’ici quelque temps une singulière rumeur qui va courir dans les rues de la capitale. Elle sera bien vite chassée par une autre. Je rejoins ma future épouse, je capture sa main et je l’entraîne vers un balcon, loin de la foule. Faisant fi des bonnes convenances, je l’enlace. Mais avant que je ne l’embrasse, posant un doigt sur mes lèvres, elle demande :
À ces mots, elle rougit un peu :
Elle hésite un peu :
Elle m’adresse un large sourire :
Faussement affligée, elle secoue la tête. C’est alors qu’elle s’enhardit :
Tandis que nos lèvres se soudent, je constate avec plaisir que ma future épouse s’émancipe vite. Elle ose exprimer ses attentes, elle me l’a encore prouvé récemment, en exigeant à mots couverts, une certaine position qui lui avait beaucoup plue. Tout ce que j’espère, c’est de ne pas trop la libérer, car même si j’ai pu tâter en mon jeune temps à des orgies, je ne suis pas très enclin à partager ma maîtresse ni ma femme.
En attendant, je profite des joies que la vie daigne bien m’apporter, même si j’ai un peu aidé le cours des choses pour que ça aille au mieux, surtout quand il s’agit des lèvres chaudes et suaves de Valentine, sans oublier toutes les courbes de son voluptueux corps qui s’abandonne à moi.