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n° 19517Fiche technique97649 caractères97649
Temps de lecture estimé : 54 mn
02/04/20
Résumé:  La passion des VMax permet une rencontre explosive.
Critères:  fffh fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo uro -ffontaine
Auteur : Starpom      Envoi mini-message
Le collectionneur

Voilà ! Je me suis fait mon cadeau de Noël, avec quatre mois d’avance, en plein mois d’août… Une Yamaha VMax de 1992, en parfait état, relativement peu kilométrée, à peine 48 000 km. Il faut dire que j’ai fait une bonne affaire, le gars était pressé de vendre.


Elle est noire et chrome, une vraie bête ! Même à l’arrêt, on dirait qu’elle fonce.


Bon, cela dit, c’est un vrai missile sol/sol, cet engin. On tourne la poignée des gaz, et on se retrouve catapulté sur l’asphalte.

0 à 100 en à peine plus que 3 secondes, plus fort que les Ferrari et autres italiennes mythiques.


J’appuie sur le bouton de la télécommande, la porte de mon garage s’ouvre lentement vers le haut.

Automatiquement, la lumière s’allume lorsque je rentre. Allez hop, je la gare entre ma Pan European et ma Goldwing.


Ah oui, j’ai oublié de vous dire… J’ai cinquante ans, je m’appelle Bruno, célibataire, j’ai ma boîte d’import-export, j’achète tout plein de choses en Chine, et approvisionne les magasins français.

Et ma passion est de collectionner les voitures et les motos qui ont une âme… En plus, ça occupe très agréablement mon temps libre.


Sous les néons du garage brillent une Jaguar XJS 12 cylindres décapotable, une Mercedes 500 SL, une Porsche 911 de 1980, une petite berlinette Midget, et donc mes trois motos.


Je positionne la VMAX sur sa béquille centrale, et passe l’heure suivante à la bichonner. Il faudra que je rachète du produit pour les chromes, c’est qu’elle en a, la miss !

Ensuite, j’entre dans la maison par la porte communicante, sans oublier d’enclencher l’alarme.

Une bonne douche, un verre de whisky coca, et je m’installe devant mon ordinateur portable.

Une petite recherche via Google, et je trouve ce que je cherche, à savoir un forum pour les passionnés de Vmax.


Quelques minutes plus tard, je me suis inscrit, j’ai validé le lien, et me voilà parcourant les rubriques du Forum.

Ambiance sympa, une mine d’or pour les infos techniques, ça se taquine de-ci de-là, j’adore.

Pour finir, je fais une présentation de ma personne et de ma moto, de mes passions, comme la bienséance et la chartre du forum l’impose.


Je vais grignoter un petit morceau, heureusement que j’ai fait le plein du frigo hier !

Bon, allez, un petit tour sur le forum, qui est copieux. Tiens, j’ai deux messages privés…

Le premier est un message automatique de bienvenue, de rappel des règles, etc.

Le deuxième provient d’un dénommé « Val ». Je l’ouvre :


« Salut, Bruno, je viens de lire ta présentation, qui est très sympathique. J’ai vu que nous étions de la même ville, donc les deux seuls représentants du forum sur Cannes. Demain, j’ai prévu d’aller faire une balade dans l’arrière-pays avec ma Vmax, est-ce que ça te dirait de m’accompagner ? Je connais un petit restau sympa à Entrevaux, pas trop cher, et la route est belle et sinueuse à souhait pour se balader. Histoire de faire connaissance ? Mais ne te sens pas obligé, bien sûr. Amicalement, Val »


Quand je disais que ce forum semblait sympathique ! Je clique sur « répondre » :


« Salut Val, avec plaisir. 9 h sur le parking du Darty, juste avant l’entrée de l’autoroute ? »


Quelques minutes plus tard, la réponse…


« Parfait. On prendra la sortie N202, et direction Entrevaux. Cool, j’ai hâte d’être à demain. Pour se reconnaître, pas dur… Vmax ! Bisous, à demain »


Bisous ? Hum, j’espère qu’il n’a pas d’arrière-pensées coquines, le Val… enfin ? Je vais voir son profil…

OK, quarante-cinq ans, de Cannes, inscrit depuis quatre ans, son mail très original val06400@hotmail.fr. Pas beaucoup d’info, en fait. J’en profite pour regarder ses différents posts. Bon, il est très calé en mécanique, a de l’humour, est policier municipal, célibataire apparemment. Bon, on verra demain.

Je passe l’après-midi à nettoyer à fond ma nouvelle acquisition, vérifier la pression des pneus, les niveaux, bref, je m’amuse comme un petit fou.


Vers 18 h, je vais rouler un peu sur la croisette où ma belle attire les regards. C’est vrai qu’elle est impressionnante, et a un bruit de folie. Un feulement rauque…


Je m’enquille l’autoroute direction Nice, et profite de la ligne droite dans la montée vers Antibes, là où on voit les tuniques bleues de loin, pour mettre un peu les gaz…


Bon, OK, on relâche tout ! 180 km/h en un rien de temps, c’est un piège à points, cette machine ! Restons sérieux. À Antibes, je sors de l’autoroute et rentre tranquilou par le bord de mer.

La soirée se passe tranquillement, je me couche tôt, histoire d’être en forme demain.


Dimanche matin, mon réveil sonne à 7 h.

Un bon café, une bonne douche, un coup d’œil sur la météo, et me voilà prêt. Je sors de chez moi, passe à la station pour faire le plein. C’est vrai que cette moto à un réservoir tout petit, 15 l, ce qui lui donne une autonomie de 150/200 km. Pas énorme.


À 8 h 45, je suis sur le parking. Je m’allume une cigarette, et attends Val. Dès que j’entends une moto, je tourne la tête.

9 h 05, j’entends le ronronnement caractéristique du V4 Yamaha. Effectivement, une Vmax rentre dans le parking. Elle est rouge vif, parfaitement propre, un vrai monstre aussi. Val la maîtrise manifestement, il tourne dans un mouchoir de poche, et se gare à côté de ma Vmax.


Il descend de sa moto. Il est assez grand, mince. Son casque à une visière fumée, il a un blouson de cuir avec renfort, et un pantalon de cuir moulant. Tiens, c’est marrant, il a des jambes plutôt féminines.

Il enlève son casque. Une chevelure châtain, très longue, en jaillit. Val secoue la tête pour mettre ses cheveux en place. Val est une femme, plutôt jolie du reste, assez androgyne quand même… Pas beaucoup de poitrine, des petites fesses, mais des cheveux très longs qui lui descendent jusqu’aux omoplates, et un beau sourire !



Je la regarde attentivement. Elle doit faire 1,70 m, a le visage taillé à coup de serpe, de longs cheveux bruns, les yeux marron. Son blouson m’empêche de voir si elle a de la poitrine, mais son pantalon moulant laisse deviner des longues jambes et des belles fesses bien marquées.



Elle verrouille sa moto et met les clés dans sa poche.



Nous nous attablons en terrasse et posons nos casques sur les sièges vacants.



Nous payons les consommations, prenons nos casques, et nous voilà partis.

Autoroute, puis Nationale 202, nous roulons tranquillement. De temps en temps, une petite accélération, pour le plaisir.


Val passe devant moi. C’est vrai qu’elle a de belles fesses, bien moulées dans son pantalon de cuir. Drôle de fille, un franc parlé assez étonnant, mais un beau sourire, une pêche d’enfer, et… un Vmax terrible…

Une bonne heure plus tard, nous voilà arrivés à Entrevaux. Nous nous garons sur le parking du musée de la moto.



Nous achetons nos billets, et arpentons les allées du musée, en contemplant les motos de tous âges, de toutes nationalités.

Au détour d’une allée, nous tombons sur une moto de la Seconde Guerre mondiale.



Elle passe son bras sous le mien, et nous voilà partis vers le fond de la salle. Effectivement, une Harley monstrueuse est en exposition.



Nous contemplons le monstre pendant quelques minutes. Val regarde sa montre.



Nous réenfourchons nos motos, et quelques minutes plus tard, nous sommes attablés au restaurant, sur la terrasse. La vue est magique !

La serveuse prend notre commande. J’allume une cigarette, Valérie fait de même.



Val regarde à droite et à gauche. Nous sommes seuls sur la terrasse, le reste des clients ayant préféré la climatisation dans le restaurant à la chaleur de la terrasse.



Val éclate de rire…



La serveuse apporte les plats. Nous les dégustons, tout en continuant à discuter à bâton rompu.



À cette évocation, Valérie à une contraction… Son visage se fige…



Val se fige à nouveau. À tous les coups, mon évocation de la sodomie l’a fait jouir à nouveau. C’est irréaliste, comme situation…



Elle jouit facilement… J’imagine l’attacher à une chaise, jambes écartées, et la faire jouir plusieurs fois, rien que pour la satisfaire… En plus, mon garage s’y prête bien. Propre, lavable au Kärcher… Elle peut se répandre sans problème.


Nous finissons tant bien que mal notre repas, payons l’addition, et direction le parking.



Je m’approche d’elle, pose mes lèvres sur les siennes, et l’embrasse fougueusement. Ma main descend le long de son ventre, s’immisce entre sa peau et la ceinture du pantalon, et descend sur sa chatte.

Effectivement, c’est trempé… Sa culotte est à tordre…



Ma main se glisse dans la culotte, mes doigts trouvent son clitoris, et je commence à la masturber.



Effectivement, mes doigts se trouvent recouverts d’un fluide très doux, limite liquoreux, chaud, qui s’écoule par saccade de son sexe. Je continue à lui titiller le bouton, et le flot ne se tarit pas…



Je sors ma main de son pantalon, et l’essuie sur mon blouson.



Nous reprenons nos bécanes, direction Cannes. Nous roulons tranquillement. De temps à autre, on se dépasse, pour ouvrir la route à l’autre.

Enfin, au bout d’une heure et demie, entrecoupé d’un arrêt station-service, nous arrivons chez moi.

J’ouvre la porte du garage avec ma télécommande, et nous rentrons les V Max.



Pendant le trajet, je me suis imaginé plein de scénarios avec Valérie. J’espère ne pas m’être fait des films pour rien…



Tout en me parlant, elle enlève ses bottes de moto, son pantalon de cuir, qu’elle fait descendre en même temps avec sa culotte. Ensuite, elle ôte son blouson, son t-shirt et son soutien-gorge. Elle est nue devant moi. Jolie nana, pas à dire. Tiens, ses seins sont assez volumineux en fait, une fois qu’elle a enlevé sa brassière de sport qui les comprimait. Elle pose ses vêtements sur la servante d’atelier.



Je me déshabille rapidement. Mon sexe est au garde-à-vous. Je m’approche de Valérie, et la prends dans mes bras.

Nous nous embrassons en nous caressant le dos, les fesses, les hanches. Mon sexe appuie sur son ventre. Avec mon majeur, je lui caresse son petit trou.



Je m’installe sur le siège du chauffeur, et Val se met à quatre pattes sur le siège passager. Immédiatement, elle prend dans sa bouche mon sexe, et entreprend une fellation fantastique. Je lui caresse le dos, les fesses, les cuisses, l’anus. J’évite de toucher son sexe pour l’instant.

Avec mon autre main posée sur sa tête, je lui imprime le mouvement.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens la jouissance arriver.



Elle se redresse, et m’embrasse.



Elle descend de la Jaguar, et va s’installer sur le fauteuil en toile. Je m’agenouille à côté d’elle, lui fais écarter les jambes, et entreprends de la masturber.



Son sexe commence à ruisseler. Je lui rentre deux doigts dans la chatte. Un premier jet de mouille jaillit et arrose le sol.



Tout en la branlant, je lui suce un téton, le mordille. Ses seins sont fermes, et les pointes bien dures… Un deuxième jet jaillit, encore plus loin que le premier.



Je me décale, m’installe entre ses jambes grandes ouvertes, pose ma langue sur sa chatte, et commence à lui lécher le clitoris.



Un long jet m’asperge à nouveau. Je suis trempé, mais je continue. Je la sens vibrer, réagir à mes caresses buccales. J’étale un peu sa mouille sur mon corps et sur le sien. Nous sommes trempés tous les deux maintenant. Je rentre ma langue dans son sexe. Immédiatement, un jet puissant m’asperge à nouveau. Ses poils pubiens sont collés par sa mouille. Je frotte mon majeur pour bien l’humecter, puis, délicatement, je le rentre dans son petit trou.



Trois jets puissants m’aspergent à nouveau. J’aurais dû prendre mon équipement de plongée, moi… C’est incroyable ! Je suis à genoux dans une flaque de mouille, et il en sort encore…



Je me relève. J’ai l’impression de sortir de l’eau.



Elle finit par se mettre debout. Je la prends par les épaules, la fais se retourner, se pencher sur le fauteuil. Ensuite, je positionne mon sexe contre le sien, et d’une poussée douce, la pénètre d’un coup.



Je lui fais l’amour comme ça. Elle continue à jouir. Son sexe est chaud et trempé, c’est un bonheur. J’y vais de plus en plus fort, et elle, elle gicle de plus en plus. Le fauteuil est maintenant trempé.

Je lui empoigne les seins, et les malaxe doucement. Je joue avec ses pointes aussi.



Je lui embrasse le cou, lui caresse les fesses tout en la pénétrant avec des mouvements amples et puissants.

Je sors de son ventre, la prends par la main.



Elle enjambe la monstrueuse moto en prenant appui sur un cale-pied. Elle s’installe au poste de pilotage, prend en main le guidon, et creuse les reins… Sa chatte appuie sur la selle en cuir de la Goldwing. Elle écarte ses fesses et me les présente.


Je me mets à côté d’elle, et entreprends de lui caresser l’anus. Je prends de la mouille dans son sexe et lui humecte soigneusement les fesses. Elle a des fesses somptueuses. Je suis littéralement subjugué. J’enfonce de plus en plus profond mon doigt, et elle commence à mouiller. Son liquide se répand sur la selle et goutte sur le sol.

Je m’en enduis les doigts, et lui en enfonce deux dans son petit trou.



Elle mouille de plus en plus, la selle est trempée. Elle dandine des fesses pendant que je la sodomise avec mes doigts. Je les rentre de plus en plus profondément.



J’enjambe la moto, et me positionne derrière Val. J’enfile un préservatif et présente mon sexe devant son anus, et commence à pousser. Mon sexe entre doucement en elle. J’y vais doucement, histoire de ne pas lui faire mal.

Quelques secondes plus tard, je suis rentré à fond. Valérie mouille comme une folle.

Je me plaque contre elle, et lui embrasse la joue tout en lui caressant les cheveux. Mon sexe est complètement entré en elle. Je lui caresse les flancs, les cuisses… Enfin, je commence mes allers-retours. Je lui attrape les cheveux d’une main et lui tire la tête en arrière, pour qu’elle la lève.



Effectivement, quelques instants plus tard, je me libère à grandes saccades dans ses fesses. C’est divin. Ensuite, je m’affale sur elle, et en profite pour lui caresser les seins.



Je me recule, mon sexe sort de ses fesses. Elle prend appui sur le cale-pied pour descendre de l’énorme moto.

Elle sort nue du garage. Je prends le tuyau, ouvre l’eau, et rince les endroits de nos ébats, particulièrement le fauteuil et la Goldwing. J’en profite pour me rincer aussi. Un peu d’eau fraîche me fait le plus grand bien.

Ensuite, je rejoins Val dans la salle de bain. Elle est sous la douche, elle chantonne. J’attrape une serviette et me sèche. J’enfile un t-shirt, un short, sandales. Je suis crevé, mais quelle bonne journée ! Et elle n’est pas finie.


Elle me rejoint dans la cuisine, elle a mis mon peignoir. Elle s’installe sur un tabouret, face à l’assiette de gâteaux.



Elle attrape des gâteaux, les trempes dans le thé et les mange.



Quelques minutes plus tard, Val et moi sortons du garage sur la Goldwing. Je l’accompagne chez elle, le GPS m’indique la route.

Elle habite un petit deux-pièces très sympathique, pas loin de l’hôpital des Broussailles. Je gare la Honda dans la rue.

Nous montons chez elle.



Pendant qu’elle se change, je regarde son salon. Une télé écran plat, un PC, quelques peluches de-ci de-là, et des photos. Val sur son V Max, Val sur une CBR, Val sur une moto de cross. Pas à dire, la moto, elle aime !



Je me retourne. Val a mis une petite robe imprimée très estivale, et des sandalettes à cordelettes. Elle est craquante !



Val prend son casque et nous rejoignons la Gold.



Nous connectons l’intercom pilote/passager.

Contact. Le six cylindres à plat démarre sans un bruit. J’enclenche la première, et nous voilà descendant vers la mer, vers la Croisette. Val est confortablement calée dans son fauteuil. Je mets la sono.

Soudain, je sens la main de Val rentrer dans la poche de mon short. Elle la faufile pour pouvoir attraper mon sexe à travers le tissu. Elle l’empoigne.



Ouais, facile à dire. Elle serre mon sexe dans sa main, puis me malaxe les testicules. J’ai de plus en plus de mal à conduire la Goldwing.



Elle entreprend de me masturber.



Elle me branle de plus en plus vite. Si elle continue…



Et voilà, elle a atteint son objectif, j’éjacule dans mon caleçon. Elle continue à caresser mon sexe.



Elle sort la main de ma poche.



Je garde la Gold sur le trottoir, et nous descendons sur la plage de sable.



Elle prend son portable dans son sac à main, appelle le répertoire, et appuie sur le contact.



Elle raccroche.



Nous passons l’après-midi à lézarder au soleil, à siroter un rafraîchissement à la terrasse d’un café, à discuter.



Le retour se fait tranquillement. Je me gare dans mon garage.



Je prépare le poulet au curry. Le plus long est la cuisson du riz, mais nous profitons du temps d’attente pour boire l’apéro. Une bonne odeur se répand dans la maison.

Val et moi dressons la table en papotant. Incroyable, il y a moins de douze heures que l’on se connaît, et on dirait que ça fait dix ans !

Nous nous attablons.



Ding dong. Le carillon de la porte d’entrée retentit.



Je vais dans l’entrée et ouvre la porte.



Céline est sur le pas de la porte. Pas très grande, 1,60 m environ, blonde très clair, cheveux mi-longs, les yeux bleus derrière de grosses lunettes rondes. Un jean moulant, un petit top bleu roi, une jolie petite poitrine.



Je lui indique la direction de la main. Elle me regarde de haut en bas, me sourit et passe devant moi. Val a raison, elle a une magnifique paire de fesses, bien prises dans son jean. Je sens un frémissement dans mon pantalon.



Elles tombent dans les bras l’une de l’autre et s’embrassent.



Céline me regarde en souriant.



Elle me regarde en souriant.



Elles me suivent docilement jusqu’au garage, bras dessus, bras dessous.



Valérie fait passer sa robe par-dessus sa tête, puis elle enlève sa culotte et son soutien-gorge. Elle pose le tout sur le capot de la Mercedes. Elle est resplendissante dans sa nudité.

Céline semble un peu gênée.



Elle ôte son petit top. Elle n’a pas de soutien-gorge dessous. Ses seins sont petits et fièrement dressés.

Elle déboucle sa ceinture, et fait descendre son pantalon le long de ses jambes. Elle a des jambes assez épaisses, et des hanches très fines.

Enfin, elle enlève sa culotte blanche. Sa toison est tellement blonde qu’on dirait qu’elle est rasée.


Valérie se dirige vers elle, lui attrape le biceps, et la fait tourner sur elle-même, afin qu’elle me tourne le dos.



C’est vrai que Céline à un cul magnifique. Je me déshabille en deux temps trois mouvements et pose mes affaires sur la robe de Valérie. Mon sexe est déjà au garde-à-vous.



Je suis derrière Céline. Je lui pose les mains sur les épaules, et lui fais un baiser dans le cou. Mes mains descendent le long de ses bras. Mon sexe s’appuie sur ses fesses.

Mes mains remontent sur ses hanches. J’empoigne ses seins, qui sont bien fermes. Je les malaxe doucement. Je sens leurs pointes bien dures.


Céline cambre les reins pour appuyer plus fort ses fesses sur mon sexe. Ma main droite caresse doucement son ventre, et descend vers son sexe.


Valérie me caresse le dos et m’embrasse sur l’épaule. Elle glisse sa main entre nos deux corps, empoigne mon sexe, et commence doucement à me caresser. Elle imprime un mouvement de haut en bas, mon gland frotte entre les fesses de Céline. C’est divin.

Je pose ma main sur le sexe de Céline. Je la masturbe doucement. Elle gémit de temps en temps. Elle écarte un peu les jambes, et un petit jet vient mouiller le sol.



Val saisit un sein de Céline, et joue avec le téton.



J’attrape de ma main gauche le cou de Valérie, l’attire vers moi, et l’embrasse sur la bouche. Nos langues se chahutent. Elle attrape mes testicules et les serre doucement.

Je branle de plus en plus vite Céline. Des petits jets jaillissent de temps en temps. Je sens les contractions de ses abdos à chaque fois.



Val me parle doucement à l’oreille.



Je me dégage des filles. J’ouvre le coffre de la Mercedes, et prends un tapis de sol en caoutchouc mousse dedans.

Je contourne la voiture, le pose sur le long capot.

Ensuite, je vais vers Céline que Val est en train de masturber. Elle a un regard un peu lointain à travers ses lunettes. Je lui attrape le poignet, et la guide jusqu’à la berline allemande.


Délicatement, je l’allonge à plat ventre sur le tapis. Elle plie les bras, prend appui sur ses avant-bras et saisit ses seins à pleines mains.

Doucement, je lui écarte les cuisses, et appuie sur son dos pour la faire cambrer, libérant ainsi l’accès à son sexe.

Enfin, je présente mon sexe devant sa fente, et d’une poussée douce, je la pénètre entièrement. Elle est tellement mouillée que mon sexe rentre sans difficulté.

Val attrape mes hanches entre ses mains, et imprime un mouvement lent et ample.



Céline a tourné la tête vers la gauche, et à la contraction de ses muscles, je devine qu’elle se masse assez durement les seins.



Je m’exécute. Un long jet de mouille sort du sexe de Céline et va arroser le sol et éclabousser un peu Valérie.



Je la pénètre à nouveau, et reprends mes mouvements. Céline continue à se triturer les seins. Manifestement, elle est réactive de ce côté-là.

Val se plaque contre moi. Elle me pousse avec son ventre, me mordille l’épaule.



Je sors du ventre de Céline, me retourne, attrape Val, et la plaque doucement sur le capot, à côté de Céline.

Je glisse mes genoux entre ses jambes, et la force à écarter ses pieds.

Ensuite, d’un seul mouvement, je la prends. Mon ventre vient buter contre ses fesses.



Je lui fais l’amour avec des mouvements puissants et rapides. J’ai envie d’elle, plus que de Céline. Céline, presque, c’est pour lui rendre service. Val, c’est pour la prendre, pour la dominer, pour l’avoir avec moi.

Elle coule littéralement, sa mouille descend le long du tapis, et coule sur le pare-chocs.



Céline nous regarde. Elle se cambre le plus possible… Elle glisse une main sous son ventre et se caresse.



Val vient d’expulser un long jet de mouille, je suis trempé au niveau du sexe et des jambes. Elle pose sa tête sur le capot.



Je sors mon sexe de Val, fais un pas de côté, et reprends Céline. J’accélère mes mouvements, mon sexe glisse littéralement dans le sien, trempé.



Je m’exécute, et Céline asperge le sol à nouveau.


Je m’agenouille entre ses jambes, écarte ses fesses, dégage son clitoris avec mes doigts, et entreprends de lui lécher.



Et paf, un jet m’asperge le visage.



Un autre jet, plus faible celui-là, m’inonde le visage.



Céline s’affale sur le capot.

Pendant que je léchais Céline, Val s’est relevée. Elle me prend le bras, se penche contre mon oreille, et me chuchote :



Je suis nu, debout, mon sexe dressé, et trempé de la tête aux pieds de la mouille de ces dames.

Val va prendre quelque chose dans son sac à main, et revient vers moi.



Elle ouvre un étui, en sort un préservatif. Elle attrape mon sexe, et déroule le latex sur mon sexe.



Elle me caresse doucement, en me souriant.



Elle guide mon sexe contre les fesses de Céline.



Elle masse le sexe de Céline pour en récupérer de la liqueur, puis lui en enduit l’anus doucement. Elle répète l’opération plusieurs fois. Elle enfonce un doigt bien humidifié, doucement, tendrement presque…



Elle guide mon sexe contre le petit trou de sa copine, puis le tire pour l’appuyer plus fortement.



J’appuie doucement.



Céline à un mouvement de recul…



En disant ces mots, j’enfonce mon sexe dans son ventre et recommence à lui faire l’amour. Je lui tiens les hanches et la prends plutôt « virilement ». Vu ses gémissements, elle apprécie ce traitement.

Val s’est plaquée contre mon dos, et se frotte contre moi en imprimant les mouvements, comme si elle faisait l’amour à sa copine.



Je m’exécute. Céline jouit, elle se répand sur le capot.



Val intervient.



Céline se relève, et part s’asseoir sur le fauteuil en toile. Valérie s’allonge sur le capot, et cambre les reins.



Je caresse Val des épaules aux cuisses, doucement, tendrement. Puis, j’approche mon sexe du sien, et la pénètre en douceur.



Je lui fais l’amour pendant de longues minutes. Céline nous regarde en souriant. Puis, elle se lève du fauteuil, vient vers moi, attrape ma tête et entreprend de m’embrasser fougueusement.



Céline se penche, et embrasse Val dans le cou et sur l’épaule. Valérie tourne la tête. Elles se regardent intensément.

Leurs têtes se rapprochent, et elles finissent par s’embrasser. Ce spectacle déclenche ma jouissance, je me répands dans le préservatif.

Je sors du ventre de Val. Les filles continuent à s’embrasser. Céline caresse les fesses de Valérie.

Elle se redresse, prend Céline dans ses bras. Leurs bouches se rejoignent à nouveau. Le spectacle est magnifique.

Enfin, Val et Céline se séparent.



Les filles se mettent dans la position demandée. Je viens à côté d’elles, et je leur enfonce, à toutes les deux, deux doigts dans leurs magnifiques sexes.

Je commence à les branler doucement, puis de plus en plus vite. Et ce que j’espérais arrive, elles se mirent à gicler toutes les deux.



Val expulse de longs jets sur le béton du garage.



Céline se penche en avant, son sexe ruisselle de sa jouissance. Une grande flaque s’est formée sous mes deux femmes fontaines.

Je les fais encore jouir quelques minutes, puis j’enlève mes doigts de leur chatte.



Je lui montre le tuyau fixé au mur.



Elle attrape ses affaires, et file dans la douche. Elle a une démarche un peu hésitante.



Je prends le tuyau, ouvre l’eau, règle le pistolet sur jet doux. Je m’approche de Val, appuie sur la détente du pistolet, et l’asperge de bas en haut.



Pendant que je la douche, elle se frotte le ventre, le sexe, l’entrecuisse. Je la rince bien.



Elle prend le pistolet et entreprend de me doucher. Elle insiste sur mon bas-ventre. Ensuite, elle dirige le jet diffusé sur le capot de la Mercedes, et rince le sol en dirigeant le jet vers le dalot.



Céline revient. Elle est rhabillée, tout fraîche !



Elle nous embrasse tous les deux sur la bouche, puis sort par la porte piéton du garage.



Val est hilare. Je commence vraiment à l’apprécier, voire plus. J’aime son caractère, sa franchise, son sourire, son rire, son humour…



Nous discutons tranquillement, nus comme des vers. J’attrape un sein de Val et le caresse.



En disant cela, Val a tourné la tête vers la Mercedes 500.



Je suis contre Valérie. Je la tiens par le cou d’une main, et de l’autre, je lui insère mon majeur dans la chatte.



Et Val vient à nouveau de jouir.



Sur ces mots, elle se rhabille, m’embrasse. J’ouvre le vantail du garage, elle sort avec son V Max, en me faisant un petit signe de la main. Quelle nana ! Ma vie sexuelle, qui était un peu morne, vient de subir une accélération de dragster. Faut juste rester sur la piste !


Lundi


Il est presque 10 h, j’ai passé une nuit agitée, peuplée de rêves lubriques. Je ne me demande pas pourquoi.

Un bon petit déjeuner, puis une bonne douche. Ensuite, nettoyage en profondeur de la Mercedes, au cas où.

J’entends frapper à la porte du vantail du garage.



J’ouvre la porte. Val est devant, sur le trottoir, en uniforme de la Police municipale, à savoir un pantalon bleu foncé avec poches, des rangers, une chemisette blanche avec un gilet pare-balles noir, et une casquette. Elle est super attirante, ainsi accoutrée.


Elle est accompagnée par une femme d’une quarantaine d’années, habillée comme elle, mais nettement enveloppée. Cheveux châtains, bras un peu potelés, gilet déformé par sa poitrine, et un pantalon moulant sur ses rondeurs. Elle a des lunettes de soleil, type Ray Ban, comme les flics américains.



Nous nous faisons la bise sur les joues.



Nous entrons dans le garage. Il faut quelques instants pour que nos yeux se réhabituent à la luminosité du garage, qui est bien moindre que celle du dehors.



Jocelyne se met au milieu du garage, et regarde mes engins.



Elle mime le geste d’ouvrir une portière.



Elle ouvre la portière arrière gauche, et se penche dans l’habitacle. C’est vrai qu’elle a des grosses fesses. Val me fait un clin d’œil, et s’approche de sa cheffe.



En disant ces mots, Valérie pose une main sur les fesses de Jocelyne, et entreprend de les malaxer et de les caresser.



Val continue de caresser les fesses de Jocelyne qui, malgré sa protestation, n’a pas changé de position, seulement tourné la tête pour regarder Val.



Elle s’agenouille devant les fesses de sa cheffe, et les embrasse. Elle glisse une main entre les cuisses de sa cheffe, puis plaque sa paume sur son sexe par-dessus le pantalon.



Valérie s’est relevée. Elle passe sa main sous le gilet et empoigne le sein gauche de Jocelyne. Elle le serre dans sa main. Son autre main se fraye un chemin dans le pantalon de sa cheffe, assez laborieusement, car le pantalon la moule énormément. Enfin, elle arrive à ses fins. Je devine sa main entre la culotte et la chatte de Jocelyne. Elle tire vers le haut ; j’imagine qu’elle a enfoncé un ou deux doigts dans le vagin de la miss qui, du reste, gémit.



Valérie me sourit.



Je pose mes vêtements sur la Pan European. Me voilà nu, le sexe dressé, et une furieuse envie de prendre Valérie. Je vais m’occuper en premier de sa cheffe, puis après, je m’occuperai d’elle.


Pendant ce temps, Valérie a déboutonné le pantalon et la chemise de Jocelyne, qui se retrouve en sous-vêtements, le pantalon en boule sur les chevilles, Rangers aux pieds. Elle a un soutien-gorge brassière noir, et une culotte genre grand-mère blanche. Pas très excitante, la fliquette.


Valérie défait les lacets des chaussures d’intervention de sa collègue, puis lui enlève. Elle ôte aussi le pantalon et la culotte, qu’elle jette dans un coin du garage.

Enfin, elle dégrafe le soutif de Jocelyne, lui enlève. Il va rejoindre les autres vêtements.


Jocelyne est nue. Elle est vraiment boulotte ! Elle a une chatte bien fournie, et une bonne petite bedaine par-dessus. Ses seins sont énormes, avec de gros bouts bien rouge foncé. Ils ballottent dès qu’elle bouge.

Val enlève rapidement sa chemisette et son soutien-gorge. Elle est torse nue. Je devine qu’elle ne veut pas enlever son pantalon tout de suite, sa « particularité » doit la gêner pour le moment. À tous les coups, elle attend que Jocelyne soit complètement partie pour se mettre à poil et mouiller comme une folle. Je vais essayer de faire en sorte qu’elle asperge Jocelyne.

Elle saisit son Tonfa, et le pose sur la tête de Jocelyne.



Bizarrement, Jocelyne rentre son buste dans la Mercedes, pose les avant-bras sur la banquette, écarte les jambes, cambre les reins, et me présente son sexe. C’est vrai que son cul est monumental !



Elle donne un tout petit coup de Tonfa sur l’intérieur d’une cuisse de Jocelyne, qui obtempère.



Val est déchaînée ! Elle tient à prendre sa revanche, manifestement. D’un autre côté, cela ne semble pas gêner outre mesure sa cheffe.

Je m’approche de l’imposant fessier qui dépasse de la Mercedes, me positionne, et d’une poussée, je pénètre Jocelyne.



Je lui saisis les hanches, et commence à la « bourrer », comme dit si poétiquement Valérie.


J’y vais gaiement ! Mon sexe entre et sort de celui de Jocelyne de plus en plus vite. Elle ahane en rythme. Je commence à transpirer, la température dans le garage est assez haute. Il faudra que j’installe une clim, si on doit continuer nos galipettes dedans !


J’attrape les épaules de Jocelyne, et m’en sers de point d’appui pour la pénétrer encore plus profondément. Ses fesses ballottent de plus en plus fort.


Du coin de l’œil, je vois que Valérie enlève ses rangers. Ensuite, elle ôte son pantalon et sa culotte. La voilà nue, Tonfa en main. Elle est tellement désirable…

Elle s’approche de nous. Elle passe le Tonfa par-derrière entre mes jambes, et l’appuie sur mes testicules.



Je recule et sors du ventre de Jocelyne. Val prend ma place. Elle positionne le Tonfa dans l’axe, et commence à l’enfoncer doucement dans le sexe de sa cheffe.



Le tonfa rentre doucement, mais régulièrement.

Pendant ce temps-là, je passe derrière Val, lui empoigne les seins, lui embrasse le cou, et frotte mon sexe contre ses fesses. Je lui pince doucement les pointes des seins.



Ma main droite libère le sein qu’elle malmenait, descend le long de son ventre, se pose sur son sexe, et j’entreprends de la masturber. Effectivement, elle mouille, ma miss. Elle coule, même…



J’insiste. Un jet jaillit en direction du sol. J’adore !



Val est rancunière, manifestement. Ceci étant, il y a pire comme demande. Je lâche Valérie, qui se pousse sur le côté.

Je m’approche de Jocelyne. Je lui écarte les fesses, son anus est tout rose.


Val retire le Tonfa. Je glisse deux doigts dans la chatte de la blonde, récupère de la mouille, et lui en enduis soigneusement le petit trou. Mes doigts rentrent facilement, à mon avis, ce ne sera pas une première pour elle, loin de là.

Enfin, je positionne mon sexe, et pousse doucement. Mon sexe rentre très facilement. Je pousse le plus loin possible.



Valérie est déchaînée. Elle se masturbe brutalement, je vois son sexe goutter sur le sol.



Et hop, encore un jet de jouissance sur le sol. Val jouit facilement avec des mots, ce n’est pas la première fois qu’elle fait le coup.

J’amplifie mes mouvements, à tel point que Jocelyne rentre de plus en plus dans la Mercedes.

Je finis par la pousser pour l’allonger entièrement sur la banquette, seuls ses genoux sortent du véhicule. Je m’allonge sur elle tout en continuant à la sodomiser. J’approche ma bouche de son oreille.



Elle obtempère. Elle attrape la poignée de ses deux mains, et se tient fermement. J’en profite pour passer mes mains entre son buste et la banquette en cuir. Je lui empoigne les seins, et commence à les chahuter. Je les serre, les malaxe, agace les pointes, tout en amplifiant mes mouvements de bassin. Mon sexe sort de quelques centimètres et rentre dans les fesses de Jocelyne.



Jocelyne vient de jouir brutalement. Je sens ses muscles se contracter. J’en profite pour m’enfoncer le plus possible dans ses reins, mon ventre bute sur ses fesses, mais j’appuie encore.



Val attrape mes hanches, et me tire en arrière.



Je me redresse hors de la voiture, en nage. Je dégouline. J’enlève le préservatif et le jette dans la poubelle. Ensuite, j’attrape Val, la pousse pour qu’elle s’allonge sur sa cheffe. Ensuite, je lui écarte les cuisses, et sans autre forme de procès, je la pénètre.


Val saisit la tête de Jocelyne, et serre les jambes autour des hanches de la grosse fille.

Je continue à lui faire l’amour, je sens le plaisir monter. Val dégouline sur les reins de sa cheffe.

Bon, il ne faut pas se voiler la face, j’aime Val. Mon corps est complètement à l’unisson dès que je la pénètre.

Je m’allonge sur elle, lui embrasse le cou, et éjacule dans son ventre, longuement…



Effectivement, on est tous trempés de sueur. Jocelyne est affalée à plat ventre, avec Val sur elle.

Je sors de la voiture, j’ai besoin d’air et de fraîcheur.

Val s’extirpe à son tour. Elle vient dans mes bras, nous nous embrassons tendrement.



Je vais relever Jocelyne, et lui tiens la main pour qu’elle sorte de la voiture.



Elle se masse les fesses. C’est vrai que j’y suis allé un peu fort, mais d’un autre côté, elle n’a rien dit non plus, sinon, j’aurais arrêté immédiatement.

Val m’interpelle :



Je passe derrière sa cheffe, lui saisis les poignets, et les réunis au niveau de ses reins.



En disant cela, elle donne une petite claque sur le sein gauche de Jocelyne, qui ballotte lourdement.



Val s’approche de sa cheffe, prend son sein en main, avance sa bouche et commence à en sucer la pointe.

Pendant ce temps, j’utilise le tuyau d’eau pour me rincer. Ça fait du bien, il fait une chaleur de fou maintenant, et en plus, on a pas mal bougé, enfin, surtout moi.



Val me rejoint, je lui passe le tuyau, pour qu’elle puisse se rafraîchir. Jocelyne, d’un signe de la main, me demande si elle peut en profiter. Je lui propose de se joindre à nous avec un grand sourire.

Une fois tout le monde rincé, ainsi que la « zone » mouillée par Val, je fais un saut dans la salle de bain et en rapporte quelques serviettes. Nous nous essuyons tous.



Mon cœur ? Les bonnes résolutions n’ont pas duré longtemps. Mais c’est très agréable à entendre.

Elles m’embrassent toutes les deux, Val sur la bouche, Jocelyne sur la joue, puis sortent du garage dans la fournaise de cette belle journée d’août ensoleillée.

Je consacre une petite heure à essuyer les voitures, faire l’intérieur de la Mercedes pour enlever toute trace.


Dans le milieu de l’après-midi, je fais un saut au supermarché du coin pour acheter de quoi faire une grosse salade composée et de la charcuterie. Je prends aussi une bouteille de « Moulin à Vent » 2007 pour accompagner le tout.


Ensuite, je checke mes mails, réponds à quelques clients, à mes collaborateurs, histoire de ne pas perdre le fil du travail.


Vers 18 h, je prépare la salade et le plat de charcuterie. J’en profite pour mettre la table, et pour préparer l’apéro dans le salon.


Après cinq minutes de recherche, je retrouve la deuxième télécommande du garage. Je la mets de côté pour Val.

Vers 19 h 15, j’entends la douce mélodie du V4 d’un Vmax. Je vais dans le garage et déclenche l’ouverture de la porte automatique.

Val entre et va garer sa rutilante moto à côté de la Gold. Elle enlève son casque et le pose sur la selle. Elle s’est changée, elle a mis un jean moulant et un petit top orange corail. Elle est ravissante.



Nous allons dans le salon. Je nous sers deux pastis bien frais.



Nous trinquons.



Elle écarte les jambes, et effectivement, il y a une tache d’humidité sur le jean, au niveau de son sexe.



Val se met toute nue en deux temps trois mouvements.



Je vais chercher deux grandes serviettes, et les dépose sur le canapé. Dans la foulée, je me mets tout nu.



Je me positionne sur le côté, et commence à lécher le sexe de Valérie. Je lui titille le clitoris, rentre ma langue dans sa chatte si attirante. Elle commence à haleter.



Je continue mon cunnilingus, et Val commence à gicler petit à petit. Elle a pris mes testicules dans sa main droite, et me les malaxe gentiment.



Je continue de lécher ma chérie, et les jets de sa jouissance sont de plus en plus copieux et puissants.



Elle me malaxe les couilles de plus en plus fort, je bande comme un fou. Je l’ai dans la peau, à mon corps défendant.



Val vient d’expulser un énorme jet de mouille, je suis trempé de la tête aux pieds.



Val se lève, empoigne mes couilles, et me tire vers la salle de bain. Nous sommes trempés tous les deux, surtout moi.

Arrivé dans la salle de bain, je m’allonge dans la baignoire. Val enjambe le rebord, s’allonge sur moi. Elle me sourit, puis m’embrasse. Sa langue chahute la mienne, notre baiser est torride.

Je sens un liquide chaud couler sur mon bas-ventre, et une odeur d’urine se manifeste. Val glisse sa main entre nos ventres, attrape mon sexe, et se met à me masturber.

C’est divin. Au bout de quelques minutes de ce traitement, j’éjacule abondamment.



Nous nous douchons soigneusement.

De retour au salon, nus tous les deux, nous reprenons l’apéritif là où nous l’avions laissé.



Nous avons scellé notre accord ce soir-là.

Trois mois plus tard, Val emménageait chez moi. Nous nous sommes présentés mutuellement à nos amis, puis à nos familles, puis…


Deux ans plus tard…

Mon Dieu qu’elle était belle avec sa robe blanche de mariée !