Voilà ! Je me suis fait mon cadeau de Noël, avec quatre mois d’avance, en plein mois d’août… Une Yamaha VMax de 1992, en parfait état, relativement peu kilométrée, à peine 48 000 km. Il faut dire que j’ai fait une bonne affaire, le gars était pressé de vendre.
Elle est noire et chrome, une vraie bête ! Même à l’arrêt, on dirait qu’elle fonce.
Bon, cela dit, c’est un vrai missile sol/sol, cet engin. On tourne la poignée des gaz, et on se retrouve catapulté sur l’asphalte.
0 à 100 en à peine plus que 3 secondes, plus fort que les Ferrari et autres italiennes mythiques.
J’appuie sur le bouton de la télécommande, la porte de mon garage s’ouvre lentement vers le haut.
Automatiquement, la lumière s’allume lorsque je rentre. Allez hop, je la gare entre ma Pan European et ma Goldwing.
Ah oui, j’ai oublié de vous dire… J’ai cinquante ans, je m’appelle Bruno, célibataire, j’ai ma boîte d’import-export, j’achète tout plein de choses en Chine, et approvisionne les magasins français.
Et ma passion est de collectionner les voitures et les motos qui ont une âme… En plus, ça occupe très agréablement mon temps libre.
Sous les néons du garage brillent une Jaguar XJS 12 cylindres décapotable, une Mercedes 500 SL, une Porsche 911 de 1980, une petite berlinette Midget, et donc mes trois motos.
Je positionne la VMAX sur sa béquille centrale, et passe l’heure suivante à la bichonner. Il faudra que je rachète du produit pour les chromes, c’est qu’elle en a, la miss !
Ensuite, j’entre dans la maison par la porte communicante, sans oublier d’enclencher l’alarme.
Une bonne douche, un verre de whisky coca, et je m’installe devant mon ordinateur portable.
Une petite recherche via Google, et je trouve ce que je cherche, à savoir un forum pour les passionnés de Vmax.
Quelques minutes plus tard, je me suis inscrit, j’ai validé le lien, et me voilà parcourant les rubriques du Forum.
Ambiance sympa, une mine d’or pour les infos techniques, ça se taquine de-ci de-là, j’adore.
Pour finir, je fais une présentation de ma personne et de ma moto, de mes passions, comme la bienséance et la chartre du forum l’impose.
Je vais grignoter un petit morceau, heureusement que j’ai fait le plein du frigo hier !
Bon, allez, un petit tour sur le forum, qui est copieux. Tiens, j’ai deux messages privés…
Le premier est un message automatique de bienvenue, de rappel des règles, etc.
Le deuxième provient d’un dénommé « Val ». Je l’ouvre :
« Salut, Bruno, je viens de lire ta présentation, qui est très sympathique. J’ai vu que nous étions de la même ville, donc les deux seuls représentants du forum sur Cannes. Demain, j’ai prévu d’aller faire une balade dans l’arrière-pays avec ma Vmax, est-ce que ça te dirait de m’accompagner ? Je connais un petit restau sympa à Entrevaux, pas trop cher, et la route est belle et sinueuse à souhait pour se balader. Histoire de faire connaissance ? Mais ne te sens pas obligé, bien sûr. Amicalement, Val »
Quand je disais que ce forum semblait sympathique ! Je clique sur « répondre » :
« Salut Val, avec plaisir. 9 h sur le parking du Darty, juste avant l’entrée de l’autoroute ? »
Quelques minutes plus tard, la réponse…
« Parfait. On prendra la sortie N202, et direction Entrevaux. Cool, j’ai hâte d’être à demain. Pour se reconnaître, pas dur… Vmax ! Bisous, à demain »
Bisous ? Hum, j’espère qu’il n’a pas d’arrière-pensées coquines, le Val… enfin ? Je vais voir son profil…
OK, quarante-cinq ans, de Cannes, inscrit depuis quatre ans, son mail très original val06400@hotmail.fr. Pas beaucoup d’info, en fait. J’en profite pour regarder ses différents posts. Bon, il est très calé en mécanique, a de l’humour, est policier municipal, célibataire apparemment. Bon, on verra demain.
Je passe l’après-midi à nettoyer à fond ma nouvelle acquisition, vérifier la pression des pneus, les niveaux, bref, je m’amuse comme un petit fou.
Vers 18 h, je vais rouler un peu sur la croisette où ma belle attire les regards. C’est vrai qu’elle est impressionnante, et a un bruit de folie. Un feulement rauque…
Je m’enquille l’autoroute direction Nice, et profite de la ligne droite dans la montée vers Antibes, là où on voit les tuniques bleues de loin, pour mettre un peu les gaz…
Bon, OK, on relâche tout ! 180 km/h en un rien de temps, c’est un piège à points, cette machine ! Restons sérieux. À Antibes, je sors de l’autoroute et rentre tranquilou par le bord de mer.
La soirée se passe tranquillement, je me couche tôt, histoire d’être en forme demain.
Dimanche matin, mon réveil sonne à 7 h.
Un bon café, une bonne douche, un coup d’œil sur la météo, et me voilà prêt. Je sors de chez moi, passe à la station pour faire le plein. C’est vrai que cette moto à un réservoir tout petit, 15 l, ce qui lui donne une autonomie de 150/200 km. Pas énorme.
À 8 h 45, je suis sur le parking. Je m’allume une cigarette, et attends Val. Dès que j’entends une moto, je tourne la tête.
9 h 05, j’entends le ronronnement caractéristique du V4 Yamaha. Effectivement, une Vmax rentre dans le parking. Elle est rouge vif, parfaitement propre, un vrai monstre aussi. Val la maîtrise manifestement, il tourne dans un mouchoir de poche, et se gare à côté de ma Vmax.
Il descend de sa moto. Il est assez grand, mince. Son casque à une visière fumée, il a un blouson de cuir avec renfort, et un pantalon de cuir moulant. Tiens, c’est marrant, il a des jambes plutôt féminines.
Il enlève son casque. Une chevelure châtain, très longue, en jaillit. Val secoue la tête pour mettre ses cheveux en place. Val est une femme, plutôt jolie du reste, assez androgyne quand même… Pas beaucoup de poitrine, des petites fesses, mais des cheveux très longs qui lui descendent jusqu’aux omoplates, et un beau sourire !
- — Bruno, je présume ?
- — Val, je suppose donc. Ravi de faire ta connaissance. Surpris, mais agréablement surpris, du reste.
- — Surpris ? Pourquoi ?
- — Je m’attendais à un homme… Police municipale, Vmax…
- — Ah, tu es un macho ?
- — Non ! loin de là ! Au contraire, je préfère largement passer mon dimanche avec une femme, jolie qui plus est, si tu me permets ce commentaire, plutôt qu’avec un flic bedonnant et limite chauve !
- — Alors, bonhomme, on va gagner du temps. Je bosse, et le reste du temps, je me fais plaisir. J’aime la moto, je ne cherche pas de mari, je ne veux pas de chiards, j’ai horreur des emmerdes et des prises de têtes. OK ?
- — Ça a le mérite d’être clair, en tout cas. Alors, je bosse beaucoup, et le reste du temps, je m’occupe de mes maîtresses mécaniques. J’aime les femmes aussi, je ne cherche pas d’épouse, je ne veux pas non plus de gosses, et encore moins d’emmerdes et prises de tête.
- — Parfait, on est donc en phase.
Je la regarde attentivement. Elle doit faire 1,70 m, a le visage taillé à coup de serpe, de longs cheveux bruns, les yeux marron. Son blouson m’empêche de voir si elle a de la poitrine, mais son pantalon moulant laisse deviner des longues jambes et des belles fesses bien marquées.
- — On prend un café et on y va ?
Elle verrouille sa moto et met les clés dans sa poche.
Nous nous attablons en terrasse et posons nos casques sur les sièges vacants.
- — Bruno, ça me fait plaisir d’avoir trouvé quelqu’un qui partage ma passion de la Vmax. Tu verras, cette bécane, elle est d’enfer. Une fois qu’on en a une, on ne peut plus s’en passer.
- — Oui, j’ai eu un aperçu déjà, c’est vrai que c’est monstrueux ! une sensation de puissance, de violence presque… Si j’osais, je dirais que des fois, c’est limite sexuel, comme excitation. Enfin, sans vouloir faire un quelconque appel du pied, bien sûr…
- — Non, t’inquiète, je ressens la même chose. Hélas. Mais bon, c’est vrai que le Vmax, c’est quelque chose…
- — Pourquoi « hélas » ?
- — Bah, laisse tomber. Bon, on y va à Entrevaux ou on s’encule ?
- — Euh…
- — C’est une façon de parler, bien sûr. On y go ?
- — Allez !
Nous payons les consommations, prenons nos casques, et nous voilà partis.
Autoroute, puis Nationale 202, nous roulons tranquillement. De temps en temps, une petite accélération, pour le plaisir.
Val passe devant moi. C’est vrai qu’elle a de belles fesses, bien moulées dans son pantalon de cuir. Drôle de fille, un franc parlé assez étonnant, mais un beau sourire, une pêche d’enfer, et… un Vmax terrible…
Une bonne heure plus tard, nous voilà arrivés à Entrevaux. Nous nous garons sur le parking du musée de la moto.
- — Ouf, ça fait du bien. Superbe, la route, non ?
- — Un vrai bonheur !
Nous achetons nos billets, et arpentons les allées du musée, en contemplant les motos de tous âges, de toutes nationalités.
Au détour d’une allée, nous tombons sur une moto de la Seconde Guerre mondiale.
- — Regarde Bruno, une Indian ! Pas à dire, ça a de la gueule, ces engins. Tu imagines que des mecs conduisaient ce bestiau sur des chemins de boue, remorquait même des Jeeps avec ! Une épopée… Ça devait renvoyer des sensations de ouf dans le corps, ce moulin ! Pom pom pom… Ça devait être full sensations !
- — Oui, je pense aussi. Mais le Vmax, c’est déjà pas mal aussi, niveau sensation. Un monde sépare ces deux machines, tu sais…
- — Oui, je sais bien. Allez, on continue, il paraît qu’il y a une énorme Harley quelque part, j’ai envie de la voir.
Elle passe son bras sous le mien, et nous voilà partis vers le fond de la salle. Effectivement, une Harley monstrueuse est en exposition.
- — Oh, putain ! Ça, c’est de la bécane, c’est du lourd…
- — Mouaip. J’aime moyen, mais je reconnais qu’elle est superbe. Impeccable pour décorer le salon.
- — Vas-y, fais ton blasé, moi, je la kiff !
Nous contemplons le monstre pendant quelques minutes. Val regarde sa montre.
- — Midi ! Allez, zou, restau, si ma compagnie te convient toujours ?
- — Merveilleusement ! Je passe une journée super. Val, c’est pour ?
- — Valérie. Et Bruno, c’est pour ?
- — Bruno. J’ai fait simple.
- — OK Bruno, continuons donc cette super journée par un super petit gueuleton.
Nous réenfourchons nos motos, et quelques minutes plus tard, nous sommes attablés au restaurant, sur la terrasse. La vue est magique !
La serveuse prend notre commande. J’allume une cigarette, Valérie fait de même.
- — J’adore ce restau, Bruno. En plus, le prix est raisonnable, et les plats, tu verras, sont géants et délicieux.
- — Oui, il faut dire que ça donne faim, les balades et le grand air.
- — Bruno, je peux te poser une question ?
- — Oui, bien sûr ?
- — Tu me trouves comment…
- — Je te trouve comment quoi ?
- — Ben, comme femme, en fait ?
- — Eh bien, déjà, ton sourire est génial, tu as la pêche, tu sais ce que tu veux, bref, comme tu disais tout à l’heure, je kiffe.
- — Et… physiquement ?
- — Houla, c’est délicat, comme question…
- — Non, mais vas-y, soit cash, j’ai vraiment besoin de ta réponse, et je ne sais pas pourquoi, tu m’inspires confiance…
- — Alors, j’aime bien ton visage, assez « brut de fonderie » si je peux me permettre, mais qui te va super bien. Ensuite… Dis donc, Val, tu me mets en porte-à-faux, là. Si je réponds honnêtement, tu vas croire que je te drague, et si je fais mon politiquement correct, je ne serais pas sincère avec toi…
- — Vas-y cash, je te dis. Lâche-toi, tu peux le faire !
- — Alors, comment dire… Eh bien… Je ne vais pas tourner autour du pot, je vais être direct, rapide, je vais aller droit au but, comme à Marseille, loin de moi de tenter d’éluder cette conversation…
- — Allez, accouche !
- — Ben j’ai flashé sur tes fesses, très bien mises en valeur par ton pantalon moulant. J’aime beaucoup ta silhouette, que je devine plus ou moins sous ta veste de moto. Bref, comment dire… Eh bien, voilà, tu me plais, quoi…
- — C’est vrai, tout ce que tu viens de me dire ? Sincère, tout ?
- — Oui, complètement.
- — Oui, mais bon, tu vas faire comme les autres… Dommage, tu me plaisais bien.
- — Faire comme les autres ?
- — Oui. Me laisser tomber d’entrée, comme d’hab.
- — Excuse-moi, je ne pige pas. Te laisser tomber pourquoi ? Tu es sympa, on passe une bonne journée, bon, tu me plais OK, mais ce n’est pas non plus obligé de terminer à l’horizontale au premier rendez-vous !
- — Tu ne peux pas comprendre. On change de sujet ?
- — Si tu veux, mais… J’aimerais comprendre, en fait… C’est quoi le problème ?
- — C’est moi, le problème. Mais laisse tomber, je te dis.
- — Non. Tu en as soit pas assez dit, soit trop. En plus, je ne comprends rien. J’ai compris, mais c’est débile, que, hop, tu te mets toute nue, et moi, je fuis. Pourtant, tu es plutôt sacrément attirante, donc, oui, je ne comprends pas.
- — Oui, c’est le drame de ma vie, en fait. Et en plus, tu as vu presque juste.
- — Presque juste ? Allez, dis-moi, que je ne m’endorme pas con ce soir ? Tu as un sexe masculin sous ce magnifique pantalon de cuir moulant ?
Val regarde à droite et à gauche. Nous sommes seuls sur la terrasse, le reste des clients ayant préféré la climatisation dans le restaurant à la chaleur de la terrasse.
- — Non, je n’ai pas de sexe masculin. Pour faire simple, dès qu’un homme me plaît, je… comment dire… J’ai une réaction physique qui le fait fuir, tout simplement. Voilà, tu sais tout.
- — Une réaction physique ? Tu fais quoi, exactement ?
- — Pfou, c’est difficile d’en parler, c’est la première fois que j’ose…
- — Ça ne doit pas être dramatique non plus ? Il se passe quoi, au juste ? Tu te transformes en louve-garou ? Il te pousse un pelage noir et puant ? Des écailles recouvrent ton corps ?
Val éclate de rire…
- — Non, rien d’aussi impressionnant, je te rassure. En fait… Bon, allez, à moi de me lâcher, mais… tu promets de ne pas partir de suite ?
- — Oui, promis.
- — Eh bien… Je mouille. Mais quand je dis « je mouille », ça dégouline, ça ruisselle… Pour peu que mon partenaire soit en train de me lécher ou de me pénétrer, il se retrouve… trempé… Et ça, je peux te dire qu’à ce moment-là, ils s’en vont… Et si l’excitation est vraiment très forte, je suis pire qu’une douche… Voilà, tu connais mon drame. Tu es toujours là, assis devant moi ?
- — Ben oui. Pour être franc… Je dirais même que ça m’intrigue. Ça doit être fun, de finir trempés tous les deux. Mais je ne comprends toujours pas pourquoi tes ex-partenaires se sont enfuis…
- — Ils ont eu peur. C’est vrai que c’est impressionnant, des fois. Le jet fait parfois un mètre, ça asperge…
- — Hum, fun, effectivement.
- — Et le pire, quand je suis excitée sur le Vmax, je ne te dis pas l’état du pantalon. Heureusement qu’il est en cuir, ça ne se voit pas, mais je suis trempée de la chatte aux pieds…
- — Et ce matin ? …
- — Non, pas encore. Mais là, je vais aller aux toilettes, faut que je fasse tomber la pression… Sinon… sur le chemin du retour… Et vu notre discussion… Tu ne m’en veux pas ?
- — Non, du tout. Tu veux que je t’accompagne ? Qui sait, je pourrais peut-être te caresser, si ça te tente… En attendant mieux, bien sûr.
- — Quoi, tu as toujours envie de moi, maintenant que tu sais ?
- — Plus que jamais. J’imagine, on termine trempés tous les deux, brillants de ta jouissance, ça doit être géant… Après, une bonne douche, et hop ! Non ?
- — Tu es trop chou, Bruno.
La serveuse apporte les plats. Nous les dégustons, tout en continuant à discuter à bâton rompu.
- — Donc, si tu me lèches, et que je t’en envoie plein la figure, tu ne fuiras pas ?
- — Non, je passerai en apnée, puis je t’embrasserai, me frotterai contre toi pour partager ta jouissance, et tenterai de te faire jouir encore et encore. Tout en y prenant du plaisir aussi, bien sûr… Après, j’ai une tenue de plongée à la maison, des fois que…
- — Un peu, mon neveu ! Je te ferai tout ce que tu veux ! D’accord ?
- — Tout ?
- — Oui. Enfin, sauf bondage, torture et autres conneries. Mais pour le reste…
- — Même si je te prends avec ton Tonfa ? Que je te l’enfonce dans ta chatte ?
À cette évocation, Valérie à une contraction… Son visage se fige…
- — Et merde. Putain, ta connerie vient de me faire jouir d’un coup ! Je suis trempée, maintenant. C’est malin…
- — Ben voilà, comme ça, tu es détendue maintenant… D’un autre côté, je plaisantais aussi, faut dire…
- — Que tu croies ! Je peux jouir plusieurs fois de suite, tout dépend de mon partenaire. Et là, mon gars, tu me fais un putain d’effet…
- — Alors, si je veux que tu mouilles sans problème, j’ai juste à te prendre dans les fesses, quoi. Comme ça, tu asperges sans interférences…
- — Oh putain…
Val se fige à nouveau. À tous les coups, mon évocation de la sodomie l’a fait jouir à nouveau. C’est irréaliste, comme situation…
- — Arrête, Bruno, arrête par pitié, j’en peux plus. Ça dégouline dans mes bottes, maintenant…
- — OK, promis, j’arrête. On finit le repas, on va chez moi, et si tu veux, je te prends dans la Jaguar. Cuir, bois précieux, et tu me la rinces comme il faut, OK ? Avec ta chatte, tu m’en mets partout, promis je ne fuirais pas…
- — Humpfffff… Arrête… Bordel ! mais arrête…
Elle jouit facilement… J’imagine l’attacher à une chaise, jambes écartées, et la faire jouir plusieurs fois, rien que pour la satisfaire… En plus, mon garage s’y prête bien. Propre, lavable au Kärcher… Elle peut se répandre sans problème.
Nous finissons tant bien que mal notre repas, payons l’addition, et direction le parking.
- — Tu peux te rassurer, ça ne se voit pas.
- — Oui, mais moi je le sens…
- — Bah, tu vas sécher en rentrant à Cannes, non ?
- — Oui, probable…
- — Tu permets ?
Je m’approche d’elle, pose mes lèvres sur les siennes, et l’embrasse fougueusement. Ma main descend le long de son ventre, s’immisce entre sa peau et la ceinture du pantalon, et descend sur sa chatte.
Effectivement, c’est trempé… Sa culotte est à tordre…
- — Tu vois, je ne t’ai pas raconté de conneries…
Ma main se glisse dans la culotte, mes doigts trouvent son clitoris, et je commence à la masturber.
- — Non, non… Non… arrête… Haaaaaaaaaaaaaaaaa.
Effectivement, mes doigts se trouvent recouverts d’un fluide très doux, limite liquoreux, chaud, qui s’écoule par saccade de son sexe. Je continue à lui titiller le bouton, et le flot ne se tarit pas…
- — Hummmmfff… Arrête ! j’en peux plus…
Je sors ma main de son pantalon, et l’essuie sur mon blouson.
- — C’est effectivement impressionnant… Bon, on y va, histoire que tu sèches un peu ?
- — Ahhh, oui, allons-y…
Nous reprenons nos bécanes, direction Cannes. Nous roulons tranquillement. De temps à autre, on se dépasse, pour ouvrir la route à l’autre.
Enfin, au bout d’une heure et demie, entrecoupé d’un arrêt station-service, nous arrivons chez moi.
J’ouvre la porte du garage avec ma télécommande, et nous rentrons les V Max.
- — Pfou, ça fait du bien d’être arrivé. Sympa, ton garage… Superbes bagnoles, en tout cas. Ah, tu as aussi une Goldwing ? En plus, la 1500 ! La classe ! L’exact opposé du Vmax, mais quel engin ! Et que c’est bon la fraîcheur… Tu as climatisé ton garage ?
- — Oui, comme ça la mécanique souffre moins.
Pendant le trajet, je me suis imaginé plein de scénarios avec Valérie. J’espère ne pas m’être fait des films pour rien…
- — Dis-moi, Val… Ça te dit toujours qu’on fasse les fous ensemble ?
- — Si par « faire les fous » tu entends baiser, oui, clairement ! Tu veux me prendre où, et comment ? Moi, je suis open… Je n’attends que ça, je dois dire, tu m’as chauffée à blanc tout à l’heure…
Tout en me parlant, elle enlève ses bottes de moto, son pantalon de cuir, qu’elle fait descendre en même temps avec sa culotte. Ensuite, elle ôte son blouson, son t-shirt et son soutien-gorge. Elle est nue devant moi. Jolie nana, pas à dire. Tiens, ses seins sont assez volumineux en fait, une fois qu’elle a enlevé sa brassière de sport qui les comprimait. Elle pose ses vêtements sur la servante d’atelier.
- — Je suis à toi ! Alors, tu veux me prendre comment ? Dis, tu ne veux pas que je te suce avant, histoire de te mettre en bonne condition ?
- — Rien ne me ferait plus plaisir.
- — Alors, qu’est-ce que tu attends pour te déshabiller ?
Je me déshabille rapidement. Mon sexe est au garde-à-vous. Je m’approche de Valérie, et la prends dans mes bras.
Nous nous embrassons en nous caressant le dos, les fesses, les hanches. Mon sexe appuie sur son ventre. Avec mon majeur, je lui caresse son petit trou.
- — Bon, alors, si tu te mettais dans la Jaguar, moi, je me mets à côté, sur le siège passager, comme ça je peux te sucer. OK ?
- — OK !
Je m’installe sur le siège du chauffeur, et Val se met à quatre pattes sur le siège passager. Immédiatement, elle prend dans sa bouche mon sexe, et entreprend une fellation fantastique. Je lui caresse le dos, les fesses, les cuisses, l’anus. J’évite de toucher son sexe pour l’instant.
Avec mon autre main posée sur sa tête, je lui imprime le mouvement.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens la jouissance arriver.
- — Arrête, ma puce, je vais finir par jouir.
Elle se redresse, et m’embrasse.
- — C’est gentil, « ma puce ». Mais que ce soit clair, cul OK, relation, pas pour l’instant. OK ?
- — Oui, t’inquiète. Tu sais ce qui me ferait plaisir, là, maintenant ?
- — Dis-moi ?
- — Que tu t’assoies sur le fauteuil en toile, là-bas, afin que je puisse te masturber et te faire gicler comme tu le fais si bien. Qu’on en mette partout ! Et ensuite…
- — Ensuite ?
- — Que tu te mettes sur la Goldwing, comme si tu la pilotais, et moi, je me mets derrière toi, et je te prends…
- — Programme sympathique… Tu me prends comment ?
- — Euh… je te prends les fesses, si tu veux bien ?
- — Hmmm, tu m’encules, en gros… Pourquoi pas. Mais je vais en mettre partout sur la selle !
- — Pas de soucis, tu peux y aller gaiement.
- — Alors, allons-y.
Elle descend de la Jaguar, et va s’installer sur le fauteuil en toile. Je m’agenouille à côté d’elle, lui fais écarter les jambes, et entreprends de la masturber.
- — Putain, comme c’est bon…
Son sexe commence à ruisseler. Je lui rentre deux doigts dans la chatte. Un premier jet de mouille jaillit et arrose le sol.
Tout en la branlant, je lui suce un téton, le mordille. Ses seins sont fermes, et les pointes bien dures… Un deuxième jet jaillit, encore plus loin que le premier.
Je me décale, m’installe entre ses jambes grandes ouvertes, pose ma langue sur sa chatte, et commence à lui lécher le clitoris.
- — Arrête, tu es dingue, je vais…
Un long jet m’asperge à nouveau. Je suis trempé, mais je continue. Je la sens vibrer, réagir à mes caresses buccales. J’étale un peu sa mouille sur mon corps et sur le sien. Nous sommes trempés tous les deux maintenant. Je rentre ma langue dans son sexe. Immédiatement, un jet puissant m’asperge à nouveau. Ses poils pubiens sont collés par sa mouille. Je frotte mon majeur pour bien l’humecter, puis, délicatement, je le rentre dans son petit trou.
Trois jets puissants m’aspergent à nouveau. J’aurais dû prendre mon équipement de plongée, moi… C’est incroyable ! Je suis à genoux dans une flaque de mouille, et il en sort encore…
- — Oh putain, c’est trop bon… Arrête, j’en peux plus, moi…
Je me relève. J’ai l’impression de sortir de l’eau.
- — Debout, Val…
- — Attends, j’ai les jambes coupées…
Elle finit par se mettre debout. Je la prends par les épaules, la fais se retourner, se pencher sur le fauteuil. Ensuite, je positionne mon sexe contre le sien, et d’une poussée douce, la pénètre d’un coup.
- — Ahhhh ! Humm, c’est bon…
Je lui fais l’amour comme ça. Elle continue à jouir. Son sexe est chaud et trempé, c’est un bonheur. J’y vais de plus en plus fort, et elle, elle gicle de plus en plus. Le fauteuil est maintenant trempé.
Je lui empoigne les seins, et les malaxe doucement. Je joue avec ses pointes aussi.
- — Hum, hum, trop bon, Bruno…. Trop bon ! Je n’ai jamais connu ça… Continue, continue… J’aime bien comme tu me malaxes les seins… Ils sont sensibles, tu sais…
Je lui embrasse le cou, lui caresse les fesses tout en la pénétrant avec des mouvements amples et puissants.
Je sors de son ventre, la prends par la main.
- — Allez, mets-toi sur la Gold…
Elle enjambe la monstrueuse moto en prenant appui sur un cale-pied. Elle s’installe au poste de pilotage, prend en main le guidon, et creuse les reins… Sa chatte appuie sur la selle en cuir de la Goldwing. Elle écarte ses fesses et me les présente.
Je me mets à côté d’elle, et entreprends de lui caresser l’anus. Je prends de la mouille dans son sexe et lui humecte soigneusement les fesses. Elle a des fesses somptueuses. Je suis littéralement subjugué. J’enfonce de plus en plus profond mon doigt, et elle commence à mouiller. Son liquide se répand sur la selle et goutte sur le sol.
Je m’en enduis les doigts, et lui en enfonce deux dans son petit trou.
Elle mouille de plus en plus, la selle est trempée. Elle dandine des fesses pendant que je la sodomise avec mes doigts. Je les rentre de plus en plus profondément.
- — Allez, viens, maintenant, je suis prête à te recevoir. Mais vas-y doucement, s’il te plaît.
J’enjambe la moto, et me positionne derrière Val. J’enfile un préservatif et présente mon sexe devant son anus, et commence à pousser. Mon sexe entre doucement en elle. J’y vais doucement, histoire de ne pas lui faire mal.
Quelques secondes plus tard, je suis rentré à fond. Valérie mouille comme une folle.
Je me plaque contre elle, et lui embrasse la joue tout en lui caressant les cheveux. Mon sexe est complètement entré en elle. Je lui caresse les flancs, les cuisses… Enfin, je commence mes allers-retours. Je lui attrape les cheveux d’une main et lui tire la tête en arrière, pour qu’elle la lève.
- — Vas-y, ma puce, mouille, fais-toi du bien !
- — C’est trop fort, Bruno. J’en peux plus, tu me tues, là…
- — Je suis super bien en toi, Val. C’est un plaisir d’être dans ton cul, tu sais…
- — Vas-y, profites-en… Hmmmm, je suis pleine, là… J’aime ta bite dans mon cul, c’est bon !
- — Je vais jouir, Val.
- — Ne te retiens pas, moi, je suis HS.
Effectivement, quelques instants plus tard, je me libère à grandes saccades dans ses fesses. C’est divin. Ensuite, je m’affale sur elle, et en profite pour lui caresser les seins.
- — Merci, Val, ce fut… géant.
- — Pour moi aussi ! c’est la première fois que mon partenaire s’occupe autant de moi. Ça ne t’a pas gêné, ma mouille ?
- — C’est bizarre, mais… assez excitant, en fait.
- — Je suis flapie.
- — Tu sais quoi, Val, va prendre une douche, moi, je passe un coup de jet et je te rejoins. Ensuite, un bon thé avec quelques gâteaux pour se requinquer. Ça te va comme programme ?
- — Mieux serait indécent ! La douche ?
- — Au fond du couloir, porte de droite.
Je me recule, mon sexe sort de ses fesses. Elle prend appui sur le cale-pied pour descendre de l’énorme moto.
Elle sort nue du garage. Je prends le tuyau, ouvre l’eau, et rince les endroits de nos ébats, particulièrement le fauteuil et la Goldwing. J’en profite pour me rincer aussi. Un peu d’eau fraîche me fait le plus grand bien.
Ensuite, je rejoins Val dans la salle de bain. Elle est sous la douche, elle chantonne. J’attrape une serviette et me sèche. J’enfile un t-shirt, un short, sandales. Je suis crevé, mais quelle bonne journée ! Et elle n’est pas finie.
Elle me rejoint dans la cuisine, elle a mis mon peignoir. Elle s’installe sur un tabouret, face à l’assiette de gâteaux.
- — Bruno, c’était vraiment génial, j’ai adoré. Je tenais à t’en remercier !
- — Plaisir partagé, Val. La douche t’a fait du bien ?
- — Oh oui ! Je suis requinquée. Et une chose est sûre, pour m’énerver maintenant, il faudra faire fort… Je flotte dans la ouate, je ne te dis pas !
Elle attrape des gâteaux, les trempes dans le thé et les mange.
- — Dis-moi, Val, il est quatre heures, ça te dit qu’on passe la fin d’après-midi et la soirée ensemble ? Tu n’as pas d’impératifs ?
- — Du tout, aucun impératif et oui, ça me plaît bien.
- — Alors, je te propose une petite virée avec nos Maxous, boire un pot sur la Croisette, puis retour at home où je te préparerai ma spécialité, un petit poulet au curry dont tu me diras des nouvelles.
- — Programme sympa. Faut que je passe chez moi pour me changer, je n’avais pas pris de rechange. Dis, on pourrait prendre la Gold ? Toi en pilote, moi en passagère ?
- — Hum, pourquoi pas.
- — Bon, c’est dit, on y go ! J’ai toujours été baba devant ce paquebot sur deux roues !
Quelques minutes plus tard, Val et moi sortons du garage sur la Goldwing. Je l’accompagne chez elle, le GPS m’indique la route.
Elle habite un petit deux-pièces très sympathique, pas loin de l’hôpital des Broussailles. Je gare la Honda dans la rue.
Nous montons chez elle.
- — Sympa ton appart !
- — Oui, mais bon, il est assez petit, mais j’y suis bien. Je vais me changer, sers-toi si tu veux, j’ai plein de trucs au frigo.
Pendant qu’elle se change, je regarde son salon. Une télé écran plat, un PC, quelques peluches de-ci de-là, et des photos. Val sur son V Max, Val sur une CBR, Val sur une moto de cross. Pas à dire, la moto, elle aime !
Je me retourne. Val a mis une petite robe imprimée très estivale, et des sandalettes à cordelettes. Elle est craquante !
- — Woah, ça te change du cuir ! Mais pour faire de la moto…
- — Bah, tu rouleras pépère, et je coincerai le bas de ma robe entre mes jambes pour ne pas que tout le monde en profite !
- — Vu comme ça…
- — Allez, zou, on y va ?
- — On est parti !
Val prend son casque et nous rejoignons la Gold.
- — Alors, on va où ?
- — Direction la Croisette, on trouvera bien !
Nous connectons l’intercom pilote/passager.
Contact. Le six cylindres à plat démarre sans un bruit. J’enclenche la première, et nous voilà descendant vers la mer, vers la Croisette. Val est confortablement calée dans son fauteuil. Je mets la sono.
Soudain, je sens la main de Val rentrer dans la poche de mon short. Elle la faufile pour pouvoir attraper mon sexe à travers le tissu. Elle l’empoigne.
- — Val, on va se casser la gueule si tu continues.
- — Mais non. Après l’avoir prise dans la bouche, dans la chatte et dans les fesses, j’ai envie de la prendre dans ma main. Toi, tu conduis, ne t’occupe pas du reste.
Ouais, facile à dire. Elle serre mon sexe dans sa main, puis me malaxe les testicules. J’ai de plus en plus de mal à conduire la Goldwing.
Elle entreprend de me masturber.
- — Je sais que ce soir, tu vas encore me faire grimper aux rideaux, alors, j’en profite un peu avant. Allez, laisse-toi aller, gicle dans ton caleçon… Que je m’occupe un peu de « mon » homme…
- — Euh, tu te rappelles de nos accords… ?
- — Oui, t’inquiète. Mais j’aime bien dire ça, « mon homme »… Mais bon.
Elle me branle de plus en plus vite. Si elle continue…
- — Comme ça, tu seras beaucoup plus zen ce soir, tu prendras plus de temps pour me faire jouir ! Putain, elle est dure, ta queue. Quand je pense qu’il y a moins d’une heure tu m’as inondé le cul…
- — Humpf, on va se vautrer, à ce rythme-là !
- — Mais non, mais non… Allez, balance la sauce dans ton slip, fais-moi plaisir.
- — Val, arrête, sinon…
- — Sinon quoi ?
- — Sinon je te rendrai la pareille ce soir, ça t’apprendra !
- — Mais vas-y, beau blond ! Pour une fois que j’en trouve un qui me fait grimper au septième ciel sans s’enfuir ! Tu ne crois pas que je vais en rester là, non ?
- — Hummmmm.
- — Aller, vas-y, jouis !
- — Ahhhhh.
Et voilà, elle a atteint son objectif, j’éjacule dans mon caleçon. Elle continue à caresser mon sexe.
- — Val, arrête, j’en peux plus.
Elle sort la main de ma poche.
- — Alors, c’était bon ?
- — Oh oui… mais j’en ai partout, maintenant.
- — Bienvenue dans mon monde, mon lapin.
- — Tu vas voir, ce soir, je vais…
- — Oui ? Tu vas quoi ?
- — Je vais prendre ma revanche, sois-en sûre…
- — Humm, j’en frémis déjà… Houla, j’ai peur… Oh, tu vas encore m’enculer ? Mon dieu… Je tremble… Mes petites fesses… Ton sexe… Tu me domines… Ahhhhh…
- — Arrête de te foutre de moi, Val.
- — Hi, hi, hi, j’adore te taquiner. Tiens, gare-toi là, on va se baquer sur la plage, ça te dit ?
- — Hum, OK, pourquoi pas ?
Je garde la Gold sur le trottoir, et nous descendons sur la plage de sable.
- — Zut, je n’ai pas mis mon maillot de bain, on était parti pour un petit café.
- — Bah, vu ce que je viens de te faire, ton maillot…
- — Oui, pas faux.
- — Tu sais, Bruno, pour la première fois de ma vie, je me sens bien avec un homme, je ne suis pas complexée par ma… « particularité » … Je tenais à t’en remercier, sincèrement.
- — Tu n’as pas à être complexé, en fait…
- — Pff, que tu dis. Si tu savais le nombre de mecs qui se sont enfuis comme des voleurs. Enfin, pas tant que ça non plus. Mais bon.
- — Val, tu es désirable, bandante, chaude, douce, humide, c’est le moins qu’on puisse dire, hé hé, et super sympa. Le reste…
- — Le reste ? Ben, seule… voilà, tout bêtement. Mais changeons de sujet. Tu vas te venger comment, ce soir ?
- — Me venger ? Non, du tout. Je vais juste te retourner la politesse, comme on dit. C’était super agréable. Dangereux, mais agréable. Mais là, tu m’as bien vidé, je ne sais pas si je serais au top ce soir.
- — Mais si, mais si. Il faut que tu te venges. Tu n’auras qu’à me faire tout ce qui te passe par la tête, ça m’apprendra. Ah, dis donc, tu sais, j’ai une copine, Céline, qui a exactement le même souci que moi. Elle est blonde, et elle, elle a des grosses fesses. Ça te dirait si je l’invitais à boire un pot ce soir, et tu nous fais gicler toutes les deux ?
- — Euh…
- — Mais par contre, s’il te plaît, tu restes avec moi après, tu ne pars pas avec elle. Oh, mon dieu, je suis conne ! Je trouve un mec bien, et je le branche sur une copine. Quelle nouille !
- — Attends, Val, ne te met pas martel en tête, tu me plais, on est bien ensemble, ta copine, ma foi, si ça te fait plaisir, pourquoi pas, mais ce n’est pas non plus indispensable.
- — Juré ? promis ?
- — Oui, Val. Ceci étant, ce soir…
- — Si, attends, elle est mariée, mais son mec ne lui fait quasiment jamais l’amour, et en plus, elle bosse beaucoup, elle n’a que le dimanche soir de libre. Je l’appelle !
Elle prend son portable dans son sac à main, appelle le répertoire, et appuie sur le contact.
- — Coucou Cel, c’est Val. Tu vas bien ?
- — …
- — Dis-moi, ça te dirait de venir chez un pote ce soir ? J’ai un super truc à te proposer.
- — ….
- — Si, je t’assure… Tu te souviens de notre dernière conversation ?
- — …
- — Eh bien figure-toi que j’avais tort, ça existe. En plus, il est super sympa, cool, et plutôt très mignon. Je viens de passer ma plus belle journée de sexe aujourd’hui. Ça te dirait ? Mais juste en prêt, voire en test, que ce soit bien clair !
- — ….
- — Non, du tout, à condition que tu ne me le piques pas, c’est tout.
- — …..
- — Houla, beaucoup ! Et il m’a prise par mes trois trous. Géant ! Rien que d’y penser, je recommence à mouiller.
- — …
- — Oui… Sur une moto. Il est collectionneur, en plus, tu verrais son garage.
- — …
- — Oui, je te dis ! Mais tout doucement, c’était… géant… Arrête, je vais mouiller encore, rien que d’y penser.
- — …
- — OK pour 20 h. On se retrouve chez lui, je t’envoie l’adresse par SMS. À tout à l’heure, Cel.
Elle raccroche.
- — Elle est OK. Mais, tu n’oublies pas ta promesse, hein ?
- — Promis !
Nous passons l’après-midi à lézarder au soleil, à siroter un rafraîchissement à la terrasse d’un café, à discuter.
- — Bon, on fait comment ? Vu que Céline arrive vers 20 h.
- — Tu m’avais parlé de poulet au Curry ?
- — On est parti. Mais garde tes mains hors de mes poches, faut que j’assure ce soir.
- — Dommage…
Le retour se fait tranquillement. Je me gare dans mon garage.
- — Bruno, Cel m’a posé quelques questions sur le fait que tu m’as sodomisée sur la Gold. À mon avis… elle va avoir envie d’essayer, je pense.
- — Tu crois ?
- — Oui. Tu verras, elle a un cul magique. Et puis moi, j’ai pas mal joui aujourd’hui, je vais être plus calme ce soir, je pense. On en profitera pour faire gicler la petite, toi et moi. En plus, pour nous, le fait d’être prise par derrière nous permet de gicler directement, tandis que quand on a un sexe dans la chatte, c’est moins pratique, tu vois… Faut sortir, puis re rentrer, puis re sortir…
- — Ah ?
- — Oui, ce serait marrant. Pendant que tu la baises, moi, je lui pince les seins et je la branle, et elle, elle coule… Hum, rien que d’y penser… Dis-moi, tu aurais des accessoires, par hasard ?
- — Des accessoires ?
- — Oui, gode, ceinture, menottes, des trucs comme ça ?
- — Non, du tout…
- — Bon, pas grave. On se débrouillera. On mange ?
- — Oui, chef !
Je prépare le poulet au curry. Le plus long est la cuisson du riz, mais nous profitons du temps d’attente pour boire l’apéro. Une bonne odeur se répand dans la maison.
Val et moi dressons la table en papotant. Incroyable, il y a moins de douze heures que l’on se connaît, et on dirait que ça fait dix ans !
Nous nous attablons.
- — Hum, miam, effectivement, tu maîtrises, Bruno. Délicieux !
- — Merci, merci, j’adore les compliments !
- — Céline ne devrait pas tarder à arriver, généralement, elle est ponctuelle.
- — Dis-moi, Val, tu es une drôle de fille, tu sais ! Tu somatises pour ta petite « particularité », tu trouves une solution qui outrepasse ce que tu appelles ton « problème », et la première chose que tu fais, tu mets dans les pattes de ta « solution », moi en l’occurrence, une de tes copines. Ça, c’est de l’altruisme, dis donc !
- — Ben ce n’est pas ça. En fait, on s’est rencontrées chez un toubib, on a sympathisé dans la salle d’attente, et on s’est rendu compte que l’on consultait pour le même problème. Du coup, on a papoté, entre filles, tu vois. D’un autre côté, ça nous a fait du bien de se rendre compte que nous n’étions pas des cas isolés. Peu fréquents, pas « orphelins », en gros.
- — Et donc, Céline, elle coule beaucoup aussi, comme toi ?
- — Apparemment. À tel point que je t’ai dit que son mari a littéralement jeté l’éponge, il ne la baise plus pour ainsi dire. Du coup, elle est un peu frustrée, voire en manque parfois. Alors, quand je lui ai dit au téléphone que j’avais trouvé un copain que ça ne rebutait pas, elle a eu du mal à me croire, d’où l’invitation pour ce soir.
- — OK, OK…
- — En plus, elle m’a laissé entendre qu’elle pensait que je mouillais moins qu’elle, mais je l’ai détrompée. Ceci étant, je crois qu’elle ne m’a pas vraiment cru. D’un autre côté…
- — Oui ?
- — En fait, je ne sais pas laquelle de nous deux mouille le plus.
- — Vous n’avez jamais fait l’amour toutes les deux ?
- — T’es fou ou quoi ?
- — Eh bien, ça aurait pu être une solution de repli, non ?
- — Mouaip… On peut dire ça… En fait, je n’y ai pas pensé, et elle non plus, je pense. Et puis, je ne suis pas une gouine non plus, quoi !
- — Certes, mais…
- — Et puis, ne t’imagine pas qu’on est des effrénées du sexe, juste deux filles qui ont été frustrées depuis longtemps, donc, par contrecoup…
Ding dong. Le carillon de la porte d’entrée retentit.
- — C’est Céline, pile à l’heure !
- — Je vais lui ouvrir.
- — OK, moi, je range la vaisselle dans la machine.
- — C’est gentil !
Je vais dans l’entrée et ouvre la porte.
Céline est sur le pas de la porte. Pas très grande, 1,60 m environ, blonde très clair, cheveux mi-longs, les yeux bleus derrière de grosses lunettes rondes. Un jean moulant, un petit top bleu roi, une jolie petite poitrine.
- — Bonsoir, Céline. Moi, c’est Bruno.
- — Enchanté. Valérie n’est pas là ?
- — Si, elle est dans la cuisine. Je t’en prie.
Je lui indique la direction de la main. Elle me regarde de haut en bas, me sourit et passe devant moi. Val a raison, elle a une magnifique paire de fesses, bien prises dans son jean. Je sens un frémissement dans mon pantalon.
- — Coucou Valérie.
- — Hello, ma Céline.
Elles tombent dans les bras l’une de l’autre et s’embrassent.
- — Alors, c’est lui, l’oiseau rare ?
Céline me regarde en souriant.
- — Eh oui. Comme tu vois, grand, plutôt beau mec, passionné de motos et de voitures comme moi, et… plein de talents cachés !
- — Eh bien dis donc, tu en as de la chance, toi ! Et donc, il est toujours là, malgré…
- — Eh oui, comme tu vois. Par contre, méfie-toi… Tu as de jolies fesses…
- — Ah bon… Et alors ?
- — Alors, comme je le connais, je suis sûre qu’il les a déjà repérées. N’est-ce pas, Bruno ?
- — Tu me gênes, là, Val…
- — Elle a un beau cul, ma copine, non ?
- — Euh oui, c’est vrai, mais…
- — Un beau petit cul que tu aimerais bien prendre, je me trompe ?
- — Euh…
- — Allez, ne soit pas timide, Céline sait très bien qu’on va faire l’amour tous les trois. Tu peux te lâcher, tu sais. Et puis les mots, c’est excitant, n’est-ce pas, Céline ?
- — Tout à fait. Donc, je lui plais, à ton copain ?
Elle me regarde en souriant.
- — Donc, si j’en crois Valérie, tu as envie de m’enculer, c’est bien ça ?
- — Euh, oui, pourquoi pas, mais pas que.
- — Pas que quoi ?
- — Eh bien, pas que t’enculer. J’ai aussi envie de ta bouche, de ta chatte, de tes seins, enfin, si ça te tente.
- — Tu veux me mettre ta bite dans ma bouche ?
- — Oui
- — Et tu veux que je te suce, je suppose
- — Bien évidemment ! Quelle question !
- — OK, mais si moi je te suce, toi, tu me lèches ?
- — Cela va de soi !
- — Sans déc’ !
- — Eh oui, Céline, je t’ai dit, il est génial. Moi, il m’a léchée, je l’ai aspergé plusieurs fois, mais il a continué. Il était trempé ! Ensuite, il m’a prise debout, puis il m’a enculée tout en douceur sur une moto. Un vrai bonheur.
- — Oui, mais moi, je mouille beaucoup…
- — Pas plus que moi, je pense.
- — Dites, les filles, vous faites une compétition ou quoi ? Un concours, celle qui mouille le plus, avec une coupe à l’arrivée pour celle qui a fait le plus long jet ou la plus grande quantité ? Allez, suivez-moi.
Elles me suivent docilement jusqu’au garage, bras dessus, bras dessous.
- — Voilà, les filles. Ici, vous pouvez mouiller autant que vous voulez, ne vous retenez pas. Mais d’abord, faites-moi le plaisir de vous déshabiller, toutes les deux.
Valérie fait passer sa robe par-dessus sa tête, puis elle enlève sa culotte et son soutien-gorge. Elle pose le tout sur le capot de la Mercedes. Elle est resplendissante dans sa nudité.
Céline semble un peu gênée.
- — Ne te sens pas obligé, Céline.
- — Non, ce n’est pas ça. Juste que ça fait tellement longtemps que je n’ai pas fait ça devant quelqu’un d’autre que mon mari.
- — Oui, mais bon, ton mari, il se paluche en douce, et toi, ceinture, lui lance Val.
- — Oui.
Elle ôte son petit top. Elle n’a pas de soutien-gorge dessous. Ses seins sont petits et fièrement dressés.
Elle déboucle sa ceinture, et fait descendre son pantalon le long de ses jambes. Elle a des jambes assez épaisses, et des hanches très fines.
Enfin, elle enlève sa culotte blanche. Sa toison est tellement blonde qu’on dirait qu’elle est rasée.
Valérie se dirige vers elle, lui attrape le biceps, et la fait tourner sur elle-même, afin qu’elle me tourne le dos.
- — Tu vois, Bruno, regarde ces merveilles de fesses. Fermes, rondes, larges…
C’est vrai que Céline à un cul magnifique. Je me déshabille en deux temps trois mouvements et pose mes affaires sur la robe de Valérie. Mon sexe est déjà au garde-à-vous.
Je suis derrière Céline. Je lui pose les mains sur les épaules, et lui fais un baiser dans le cou. Mes mains descendent le long de ses bras. Mon sexe s’appuie sur ses fesses.
Mes mains remontent sur ses hanches. J’empoigne ses seins, qui sont bien fermes. Je les malaxe doucement. Je sens leurs pointes bien dures.
Céline cambre les reins pour appuyer plus fort ses fesses sur mon sexe. Ma main droite caresse doucement son ventre, et descend vers son sexe.
Valérie me caresse le dos et m’embrasse sur l’épaule. Elle glisse sa main entre nos deux corps, empoigne mon sexe, et commence doucement à me caresser. Elle imprime un mouvement de haut en bas, mon gland frotte entre les fesses de Céline. C’est divin.
Je pose ma main sur le sexe de Céline. Je la masturbe doucement. Elle gémit de temps en temps. Elle écarte un peu les jambes, et un petit jet vient mouiller le sol.
- — Ahhh, c’est bon, c’est doux… continue…
Val saisit un sein de Céline, et joue avec le téton.
J’attrape de ma main gauche le cou de Valérie, l’attire vers moi, et l’embrasse sur la bouche. Nos langues se chahutent. Elle attrape mes testicules et les serre doucement.
Je branle de plus en plus vite Céline. Des petits jets jaillissent de temps en temps. Je sens les contractions de ses abdos à chaque fois.
Val me parle doucement à l’oreille.
- — Vas-y, allonge-la sur un capot, et baise-la longuement. Mais gardes-en pour moi, OK ?
- — OK.
Je me dégage des filles. J’ouvre le coffre de la Mercedes, et prends un tapis de sol en caoutchouc mousse dedans.
Je contourne la voiture, le pose sur le long capot.
Ensuite, je vais vers Céline que Val est en train de masturber. Elle a un regard un peu lointain à travers ses lunettes. Je lui attrape le poignet, et la guide jusqu’à la berline allemande.
Délicatement, je l’allonge à plat ventre sur le tapis. Elle plie les bras, prend appui sur ses avant-bras et saisit ses seins à pleines mains.
Doucement, je lui écarte les cuisses, et appuie sur son dos pour la faire cambrer, libérant ainsi l’accès à son sexe.
Enfin, je présente mon sexe devant sa fente, et d’une poussée douce, je la pénètre entièrement. Elle est tellement mouillée que mon sexe rentre sans difficulté.
Val attrape mes hanches entre ses mains, et imprime un mouvement lent et ample.
- — Vas-y, prends-la à fond, Bruno. Ramone-lui bien sa petite chatte.
Céline a tourné la tête vers la gauche, et à la contraction de ses muscles, je devine qu’elle se masse assez durement les seins.
- — Ah, Bruno, sors, sors vite… me dit Céline.
Je m’exécute. Un long jet de mouille sort du sexe de Céline et va arroser le sol et éclabousser un peu Valérie.
- — Putain, c’est bon… Vas-y, rentre à nouveau, continue…
Je la pénètre à nouveau, et reprends mes mouvements. Céline continue à se triturer les seins. Manifestement, elle est réactive de ce côté-là.
Val se plaque contre moi. Elle me pousse avec son ventre, me mordille l’épaule.
- — C’est trop bon, Bruno, trop bon… putain, je mouille à nouveau.
Je sors du ventre de Céline, me retourne, attrape Val, et la plaque doucement sur le capot, à côté de Céline.
Je glisse mes genoux entre ses jambes, et la force à écarter ses pieds.
Ensuite, d’un seul mouvement, je la prends. Mon ventre vient buter contre ses fesses.
Je lui fais l’amour avec des mouvements puissants et rapides. J’ai envie d’elle, plus que de Céline. Céline, presque, c’est pour lui rendre service. Val, c’est pour la prendre, pour la dominer, pour l’avoir avec moi.
Elle coule littéralement, sa mouille descend le long du tapis, et coule sur le pare-chocs.
Céline nous regarde. Elle se cambre le plus possible… Elle glisse une main sous son ventre et se caresse.
Val vient d’expulser un long jet de mouille, je suis trempé au niveau du sexe et des jambes. Elle pose sa tête sur le capot.
- — Tu m’as tué… Trop fort, trop bon.
Je sors mon sexe de Val, fais un pas de côté, et reprends Céline. J’accélère mes mouvements, mon sexe glisse littéralement dans le sien, trempé.
- — Attend, sors, sors vite !
Je m’exécute, et Céline asperge le sol à nouveau.
Je m’agenouille entre ses jambes, écarte ses fesses, dégage son clitoris avec mes doigts, et entreprends de lui lécher.
- — Mais t’es fou, oh non, oh oui, je, je… Attends, non !
Et paf, un jet m’asperge le visage.
- — Mais t’es dingue, Bruno ! Je vais… je vais… tu vas… ahhhhhh !
Un autre jet, plus faible celui-là, m’inonde le visage.
- — Oh, mais c’est trop bon !
Céline s’affale sur le capot.
Pendant que je léchais Céline, Val s’est relevée. Elle me prend le bras, se penche contre mon oreille, et me chuchote :
- — Là, elle est bien vidée, tu l’as bien fait jouir. Tu sais quoi, j’ai envie que tu l’encules, et je suis sûre qu’elle ne demande pas mieux. Mais c’est moi qui guide ton sexe dans son cul, d’accord ?
- — Euh, ma foi, pourquoi pas ?
Je suis nu, debout, mon sexe dressé, et trempé de la tête aux pieds de la mouille de ces dames.
Val va prendre quelque chose dans son sac à main, et revient vers moi.
- — Attends, ne bouges pas…
Elle ouvre un étui, en sort un préservatif. Elle attrape mon sexe, et déroule le latex sur mon sexe.
- — Voilà, c’est mieux comme ça…
Elle me caresse doucement, en me souriant.
Elle guide mon sexe contre les fesses de Céline.
- — Attends, je vais préparer le passage. Inutile de lui faire mal, non plus…
Elle masse le sexe de Céline pour en récupérer de la liqueur, puis lui en enduit l’anus doucement. Elle répète l’opération plusieurs fois. Elle enfonce un doigt bien humidifié, doucement, tendrement presque…
- — Voilà, ça devrait aller.
Elle guide mon sexe contre le petit trou de sa copine, puis le tire pour l’appuyer plus fortement.
- — Vas-y, pousse un peu maintenant…
J’appuie doucement.
Céline à un mouvement de recul…
- — Pardon !
- — En fait, je ne préfère pas par là… Je voulais essayer, mais ça fait mal quand même ! Déjà, les doigts, ce n’était pas très agréable…
- — Pas de problème, Céline.
En disant ces mots, j’enfonce mon sexe dans son ventre et recommence à lui faire l’amour. Je lui tiens les hanches et la prends plutôt « virilement ». Vu ses gémissements, elle apprécie ce traitement.
Val s’est plaquée contre mon dos, et se frotte contre moi en imprimant les mouvements, comme si elle faisait l’amour à sa copine.
- — Attends, Bruno, sors vite ! me demande Céline.
Je m’exécute. Céline jouit, elle se répand sur le capot.
- — Bruno, pitié, je n’en peux plus, tu m’as… Oh, c’était trop bon… mais là, je suis HS…
Val intervient.
Céline se relève, et part s’asseoir sur le fauteuil en toile. Valérie s’allonge sur le capot, et cambre les reins.
- — Je suis à toi. Prends ton temps, moi, je suis bien, j’ai envie de te faire plaisir avant tout.
Je caresse Val des épaules aux cuisses, doucement, tendrement. Puis, j’approche mon sexe du sien, et la pénètre en douceur.
Je lui fais l’amour pendant de longues minutes. Céline nous regarde en souriant. Puis, elle se lève du fauteuil, vient vers moi, attrape ma tête et entreprend de m’embrasser fougueusement.
- — Merci, Bruno, ça faisait longtemps.
- — Tout le plaisir est pour moi, Céline.
Céline se penche, et embrasse Val dans le cou et sur l’épaule. Valérie tourne la tête. Elles se regardent intensément.
Leurs têtes se rapprochent, et elles finissent par s’embrasser. Ce spectacle déclenche ma jouissance, je me répands dans le préservatif.
Je sors du ventre de Val. Les filles continuent à s’embrasser. Céline caresse les fesses de Valérie.
Elle se redresse, prend Céline dans ses bras. Leurs bouches se rejoignent à nouveau. Le spectacle est magnifique.
Enfin, Val et Céline se séparent.
- — Houa, quelle soirée ! dit Val.
- — Oui, génial.
- — Dites, mesdames, accepteriez-vous de me faire un petit plaisir ?
- — Bien sûr, me répond Val.
- — Ah ben oui, dit Céline
- — Alors, mettez-vous dos à dos, fesses contre fesses, et laissez-moi faire.
Les filles se mettent dans la position demandée. Je viens à côté d’elles, et je leur enfonce, à toutes les deux, deux doigts dans leurs magnifiques sexes.
Je commence à les branler doucement, puis de plus en plus vite. Et ce que j’espérais arrive, elles se mirent à gicler toutes les deux.
- — T’es fou, Bruno, ohhhhhhh !
Val expulse de longs jets sur le béton du garage.
- — J’en peux plus, j’ai plus de forces !
Céline se penche en avant, son sexe ruisselle de sa jouissance. Une grande flaque s’est formée sous mes deux femmes fontaines.
Je les fais encore jouir quelques minutes, puis j’enlève mes doigts de leur chatte.
- — Bruno, tu es un grand malade, je suis flapie complet !
- — Oh, il est tard ! Faut que je file, j’ai promis à mon mari de rentrer avant 11 h. Je peux prendre une douche ? Et merci, Bruno, ce fut… hallucinant. Merci, merci. Putain, que c’était bon !
- — Au choix, première à droite après la porte du garage, ou tuyau d’arrosage là ! Et merci à toi, c’était génial. J’adore vous voir arroser le sol sous mes caresses. Sinon, pour la douche, si tu veux…
Je lui montre le tuyau fixé au mur.
- — Vu qu’on crève de chaud…
- — Plutôt douche, merci ! me dit Céline en souriant.
Elle attrape ses affaires, et file dans la douche. Elle a une démarche un peu hésitante.
- — Pour moi, tuyau, Bruno. Et on en profite pour rincer la Mercos.
Je prends le tuyau, ouvre l’eau, règle le pistolet sur jet doux. Je m’approche de Val, appuie sur la détente du pistolet, et l’asperge de bas en haut.
- — Pas trop froide ?
- — Non, parfaite. Et puis ça fait du bien.
Pendant que je la douche, elle se frotte le ventre, le sexe, l’entrecuisse. Je la rince bien.
Elle prend le pistolet et entreprend de me doucher. Elle insiste sur mon bas-ventre. Ensuite, elle dirige le jet diffusé sur le capot de la Mercedes, et rince le sol en dirigeant le jet vers le dalot.
- — Bon, va falloir que j’y aille aussi, je bosse demain. Euh, ça te dirait… si on se revoit ? Enfin, je ne veux pas m’imposer non plus…
- — Mais avec plaisir, j’allais même te le proposer. Demain ?
- — Demain, je bosse de 8 h à 17 h, patrouille îlotage avec ma cheffe, en plus.
- — 19 h ? Je préparerai l’apéro et le repas ?
- — Et tu me baiseras ?
- — On verra ! Tu n’as pas envie qu’on fasse un peu plus connaissance, qu’on se raconte nos vies, tout ça ?
- — Si. J’aimerais bien, en fait…
- — Et après, si ça nous dit, câlin !
- — Cool !
Céline revient. Elle est rhabillée, tout fraîche !
- — Allez, je file. Merci pour tout, Bruno, merci, Val, pour l’invitation. Si tu le laisses tomber, tu me le dis, je me mettrais sur les rangs !
Elle nous embrasse tous les deux sur la bouche, puis sort par la porte piéton du garage.
- — Me laisser tomber ?
- — Laisse tomber, elle délire. Tu as préféré laquelle de nous deux ?
- — Toi.
- — Tu dis ça pour me faire plaisir ?
- — Non. Céline est sympa, mignonne, tout ça, mais je suis plus attiré par toi que par elle. Ne me demande pas pourquoi, mais c’est comme ça.
- — Pourquoi ?
- — Grrrrr !
- — Ah, je sais ! Elle n’a pas voulu que tu l’encules !
- — Rien à voir. J’aime bien, mais occasionnellement, si ma partenaire apprécie. Sinon, aucun intérêt.
- — Alors pourquoi ? dis-moi, dis-moi !
- — Non. C’est contraire à nos accords.
- — Allez ! Sinon, je boude !
- — Boude !
- — Méchant !
- — Voilà. Et soit dit en passant, tu es éblouissante quand tu gicles. J’adore, en fait.
Val est hilare. Je commence vraiment à l’apprécier, voire plus. J’aime son caractère, sa franchise, son sourire, son rire, son humour…
- — Bon, demain 19 h, je serai là.
- — Tu veux que je passe te prendre avec une des voitures ?
- — La Porsche ? Oh oui, cool ! Et toi, tu veux que je m’habille comment ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir ?
- — Ta petite te robe te va à ravir, j’aime beaucoup. Mais j’aime beaucoup aussi ton pantalon moulant en cuir. Mets ce que tu veux, fais-moi la surprise.
Nous discutons tranquillement, nus comme des vers. J’attrape un sein de Val et le caresse.
- — Pfou, j’en peux plus ce soir. Mais si tu veux me prendre encore… Tu veux que je te suce ?
- — Non, juste que j’aime te peloter les seins.
- — Ouaip, ma cheffe aussi, cette salope. Tu ne devineras jamais ce qu’elle m’a fait l’autre jour !
- — Elle t’a fait des avances ?
- — Non. Sous prétexte que j’avais mal rempli un rapport, elle m’a mis une claque sur les seins ! Ça fait mal, en plus. Quelle grosse pouf ! En plus, je suis sûre qu’elle est gouine.
- — Tu n’as pas porté plainte ?
- — T’es fou ! Aucun témoin, sa parole contre la mienne, et comme elle a vingt ans d’ancienneté et moi que trois, laisse tomber. Bon, après, pour se faire pardonner, elle m’a donné un jour de congé.
- — Eh bien, vous ne vous emmerdez pas à la police municipale, dis donc…
- — Et le plus drôle, on discutait cul une fois, car des fois, elle est sympa, et figure-toi que son phantasme, c’est de se faire baiser dans une grosse Mercedes.
En disant cela, Val a tourné la tête vers la Mercedes 500.
- — Et ?
- — Je me disais que…
- — Oui ?
- — Ce serait marrant que je l’amène ici après l’avoir chauffée, et… non, laisse tomber, c’est stupide.
Je suis contre Valérie. Je la tiens par le cou d’une main, et de l’autre, je lui insère mon majeur dans la chatte.
- — Et donc, tu la vampes, tu l’amènes ici, dans la Mercedes, et tu la baises…
- — Non, je la chauffe, et tu la baises comme il faut. Partout. Mais je te préviens, elle est grosse. 1,60 m et au moins 80 kg… Gros culs, gros seins… Arrête avec ton doigt, on vient de se doucher… Hmmm
- — Et pendant que je la baise, tu l’asperges ?
- — Hmmm… Oui, quelque chose comme ça… Putain, arrête ! Et tu la fais couiner, cette grosse truie… Ahhhhh !
Et Val vient à nouveau de jouir.
- — Bruno, arrête, j’en peux vraiment plus, là…
- — En gros, Val, tu me fais baiser toutes tes copines, si je comprends bien ?
- — Non. Céline, c’était pour elle, vu sa situation actuelle. Ça lui a fait du bien. Ma cheffe, c’est pour lui montrer que je ne suis pas ce qu’elle dit, une coincée du cul, une fleurette, une vieille fille. Mais bon, ne te sens pas obligé, on discutait, c’est tout. Mais ça fait quelque temps que ça me démange.
- — Donc, demain, vous patrouillez toutes les deux ?
- — Oui. Et dans ton quartier, en plus.
- — À quelle heure ?
- — Entre 10 et 12.
- — OK, je serai là. Je laisserai la porte piéton du garage déverrouillée. Moi, je travaille sur mes voitures demain, j’ai pris quelques jours de vacances. Et si, par hasard…
- — Oui, par hasard… En plus, je serai en tenue, demain. J’aurai mon Tonfa. Si jamais il te prenait l’idée stupide de t’en servir comme gode.
- — Tu jeux que je te le mette quelque part ?
- — Plutôt, que tu la baises avec. Histoire de lui montrer. Et puis, vu sa corpulence, il va rentrer tout seul !
- — Par contre, si jamais elle n’est pas d’accord, je n’insisterais pas. OK ?
- — OK !
Sur ces mots, elle se rhabille, m’embrasse. J’ouvre le vantail du garage, elle sort avec son V Max, en me faisant un petit signe de la main. Quelle nana ! Ma vie sexuelle, qui était un peu morne, vient de subir une accélération de dragster. Faut juste rester sur la piste !
Lundi
Il est presque 10 h, j’ai passé une nuit agitée, peuplée de rêves lubriques. Je ne me demande pas pourquoi.
Un bon petit déjeuner, puis une bonne douche. Ensuite, nettoyage en profondeur de la Mercedes, au cas où.
J’entends frapper à la porte du vantail du garage.
- — Bruno, tu es là ? C’est Valérie.
J’ouvre la porte. Val est devant, sur le trottoir, en uniforme de la Police municipale, à savoir un pantalon bleu foncé avec poches, des rangers, une chemisette blanche avec un gilet pare-balles noir, et une casquette. Elle est super attirante, ainsi accoutrée.
Elle est accompagnée par une femme d’une quarantaine d’années, habillée comme elle, mais nettement enveloppée. Cheveux châtains, bras un peu potelés, gilet déformé par sa poitrine, et un pantalon moulant sur ses rondeurs. Elle a des lunettes de soleil, type Ray Ban, comme les flics américains.
- — Bonjour Val, bonjour madame.
- — Jocelyne.
Nous nous faisons la bise sur les joues.
- — Venez profiter un peu de la fraîcheur, on crève de chaud sur ce trottoir !
- — Avec plaisir. Bruno, je te présente Jocelyne, ma cheffe d’équipe.
- — Eh bien, enchanté, Jocelyne.
- — Moi de même, Bruno, ravie.
Nous entrons dans le garage. Il faut quelques instants pour que nos yeux se réhabituent à la luminosité du garage, qui est bien moindre que celle du dehors.
- — Eh bien, dites-moi, vous avez de beaux véhicules, Bruno !
Jocelyne se met au milieu du garage, et regarde mes engins.
- — Oh, elle est magnifique, cette Mercedes. Une 500 SL ?
- — Exactement. Vous la connaissez ?
- — Non, pas vraiment, mais cette voiture me fascine. Une merveille monstrueuse, un luxe inouï, bref, Deutsch Quality…
- — Oui, Valérie et moi l’apprécions beaucoup.
- — V12
- — Oui.
- — Je peux ?
Elle mime le geste d’ouvrir une portière.
- — Mais bien sûr, je vous en prie.
Elle ouvre la portière arrière gauche, et se penche dans l’habitacle. C’est vrai qu’elle a des grosses fesses. Val me fait un clin d’œil, et s’approche de sa cheffe.
- — Sympa, l’intérieur, non ?
- — Magnifique, tu veux dire, Valérie. Le cuir est magnifique !
- — Et tu as vu la place qu’il y a ?
- — Oui, impressionnant.
- — Et tu sais quoi ?
En disant ces mots, Valérie pose une main sur les fesses de Jocelyne, et entreprend de les malaxer et de les caresser.
- — Mais ça ne va pas, non ?
- — Bruno et moi, on fait l’amour sur cette banquette, et c’est divin.
Val continue de caresser les fesses de Jocelyne qui, malgré sa protestation, n’a pas changé de position, seulement tourné la tête pour regarder Val.
- — Et c’est géant… à chaque fois.
Elle s’agenouille devant les fesses de sa cheffe, et les embrasse. Elle glisse une main entre les cuisses de sa cheffe, puis plaque sa paume sur son sexe par-dessus le pantalon.
- — Et tu sais quoi, Jocelyne, Bruno va te prendre dans cette voiture, et moi, je vais vous regarder baiser !
- — Mais tu es folle, Valérie ? Hmmmm…
- — Folle ? Oh non ! Tu m’as dit un jour que ton phantasme était de te faire baiser dans une grosse Mercedes, eh bien voilà, tu vas le réaliser grâce à nous. Partante ?
- — Hmmm… Et ton mec est d’accord ?
- — Il l’est ! En plus, il aime bien les gros culs et les gros seins, il va être aux anges avec toi !
Valérie s’est relevée. Elle passe sa main sous le gilet et empoigne le sein gauche de Jocelyne. Elle le serre dans sa main. Son autre main se fraye un chemin dans le pantalon de sa cheffe, assez laborieusement, car le pantalon la moule énormément. Enfin, elle arrive à ses fins. Je devine sa main entre la culotte et la chatte de Jocelyne. Elle tire vers le haut ; j’imagine qu’elle a enfoncé un ou deux doigts dans le vagin de la miss qui, du reste, gémit.
- — Ahhhhhh, doucement…
- — Mais tu mouilles, cheffe ! Tu aimes quand on te pelote les fesses et les seins, dis donc !
- — Hmmouiiii.
- — Bruno, déshabille-toi, je m’occupe d’elle pour l’instant.
- — Oui, chef !
Valérie me sourit.
- — Allez, à poil l’homme, tu vas avoir du boulot avec elle et… avec moi !
- — Mais j’y compte bien, ma puce !
Je pose mes vêtements sur la Pan European. Me voilà nu, le sexe dressé, et une furieuse envie de prendre Valérie. Je vais m’occuper en premier de sa cheffe, puis après, je m’occuperai d’elle.
Pendant ce temps, Valérie a déboutonné le pantalon et la chemise de Jocelyne, qui se retrouve en sous-vêtements, le pantalon en boule sur les chevilles, Rangers aux pieds. Elle a un soutien-gorge brassière noir, et une culotte genre grand-mère blanche. Pas très excitante, la fliquette.
Valérie défait les lacets des chaussures d’intervention de sa collègue, puis lui enlève. Elle ôte aussi le pantalon et la culotte, qu’elle jette dans un coin du garage.
Enfin, elle dégrafe le soutif de Jocelyne, lui enlève. Il va rejoindre les autres vêtements.
Jocelyne est nue. Elle est vraiment boulotte ! Elle a une chatte bien fournie, et une bonne petite bedaine par-dessus. Ses seins sont énormes, avec de gros bouts bien rouge foncé. Ils ballottent dès qu’elle bouge.
Val enlève rapidement sa chemisette et son soutien-gorge. Elle est torse nue. Je devine qu’elle ne veut pas enlever son pantalon tout de suite, sa « particularité » doit la gêner pour le moment. À tous les coups, elle attend que Jocelyne soit complètement partie pour se mettre à poil et mouiller comme une folle. Je vais essayer de faire en sorte qu’elle asperge Jocelyne.
Elle saisit son Tonfa, et le pose sur la tête de Jocelyne.
- — Demi-tour, brigadier ! Pose tes gros seins sur la banquette, mon mec va te fourrer sans préparation.
- — Mais…
- — Pas de mais ! Exécution ! Allez, à plat ventre sur la banquette, ton cul dehors, bien ouvert et cambré ! Allez, bouge !
Bizarrement, Jocelyne rentre son buste dans la Mercedes, pose les avant-bras sur la banquette, écarte les jambes, cambre les reins, et me présente son sexe. C’est vrai que son cul est monumental !
- — Allez, Bruno, vas-y, prends-la, fais la couiner, cette grosse truie !
- — Vas-y mollo quand même !
- — Rien à foutre, je n’ai pas oublié quand elle m’a frappé sur les seins, maintenant, c’est à son tour ! Écarte bien les jambes, toi !
Elle donne un tout petit coup de Tonfa sur l’intérieur d’une cuisse de Jocelyne, qui obtempère.
- — Allez, bourre-la, fais-toi plaisir, ne t’occupe pas d’elle, fais-lui ce qu’il te passe par la tête !
Val est déchaînée ! Elle tient à prendre sa revanche, manifestement. D’un autre côté, cela ne semble pas gêner outre mesure sa cheffe.
Je m’approche de l’imposant fessier qui dépasse de la Mercedes, me positionne, et d’une poussée, je pénètre Jocelyne.
Je lui saisis les hanches, et commence à la « bourrer », comme dit si poétiquement Valérie.
J’y vais gaiement ! Mon sexe entre et sort de celui de Jocelyne de plus en plus vite. Elle ahane en rythme. Je commence à transpirer, la température dans le garage est assez haute. Il faudra que j’installe une clim, si on doit continuer nos galipettes dedans !
J’attrape les épaules de Jocelyne, et m’en sers de point d’appui pour la pénétrer encore plus profondément. Ses fesses ballottent de plus en plus fort.
Du coin de l’œil, je vois que Valérie enlève ses rangers. Ensuite, elle ôte son pantalon et sa culotte. La voilà nue, Tonfa en main. Elle est tellement désirable…
Elle s’approche de nous. Elle passe le Tonfa par-derrière entre mes jambes, et l’appuie sur mes testicules.
- — Tu veux que je te sodomise avec, beau blond ? dit-elle en souriant d’un air espiègle.
- — Euh, non, je n’y tiens pas.
- — Putain, vous me faites mouiller, tous les deux… Tu sais quoi, sors de sa grosse chatte, je vais lui mettre le Tonfa dedans. Je suis sûre qu’elle appréciera, tu vas voir…
Je recule et sors du ventre de Jocelyne. Val prend ma place. Elle positionne le Tonfa dans l’axe, et commence à l’enfoncer doucement dans le sexe de sa cheffe.
- — Mais…
- — Chut, tais-toi, profites-en, je sais que tu aimes ça, cheffe.
Le tonfa rentre doucement, mais régulièrement.
Pendant ce temps-là, je passe derrière Val, lui empoigne les seins, lui embrasse le cou, et frotte mon sexe contre ses fesses. Je lui pince doucement les pointes des seins.
- — Attends Bruno, arrête, tu vas me faire gicler.
- — C’est l’idée, ma puce, c’est l’idée.
Ma main droite libère le sein qu’elle malmenait, descend le long de son ventre, se pose sur son sexe, et j’entreprends de la masturber. Effectivement, elle mouille, ma miss. Elle coule, même…
- — Ahhh arrête, bon sang… hmmmmm…
J’insiste. Un jet jaillit en direction du sol. J’adore !
- — Oh putain… Dis, tu sais ce qui me ferait plaisir, maintenant ?
- — Vas-y ?
- — Encule cette grosse salope, ça me ferait plaisir. En plus, elle est complètement partie avec le Tonfa, elle va adorer. Fourre-lui bien ses grosses fesses, ça lui fera les pieds, ça lui apprendra à me massacrer les seins !
Val est rancunière, manifestement. Ceci étant, il y a pire comme demande. Je lâche Valérie, qui se pousse sur le côté.
Je m’approche de Jocelyne. Je lui écarte les fesses, son anus est tout rose.
Val retire le Tonfa. Je glisse deux doigts dans la chatte de la blonde, récupère de la mouille, et lui en enduis soigneusement le petit trou. Mes doigts rentrent facilement, à mon avis, ce ne sera pas une première pour elle, loin de là.
Enfin, je positionne mon sexe, et pousse doucement. Mon sexe rentre très facilement. Je pousse le plus loin possible.
- — Vas-y, encule-la profond, elle ne demande que ça !
Valérie est déchaînée. Elle se masturbe brutalement, je vois son sexe goutter sur le sol.
- — Allez, bourre-la, vas-y ! Putain, que j’aimerais être à sa place !
- — T’inquiète, ma puce, ce soir, si tu veux, ce sera ton tour !
- — Ahhhhh…
Et hop, encore un jet de jouissance sur le sol. Val jouit facilement avec des mots, ce n’est pas la première fois qu’elle fait le coup.
J’amplifie mes mouvements, à tel point que Jocelyne rentre de plus en plus dans la Mercedes.
Je finis par la pousser pour l’allonger entièrement sur la banquette, seuls ses genoux sortent du véhicule. Je m’allonge sur elle tout en continuant à la sodomiser. J’approche ma bouche de son oreille.
- — Tu aimes, Joce ?
- — Ouiiiii…
- — Tu sens bien mon sexe dans tes fesses ?
- — Oh oui…
- — Tu veux que Valérie t’enfonce le tonfa dans ton cul ?
- — Ahhh non… il est trop gros… Non !
- — OK, OK. Allonge tes bras, et tiens-toi à la portière, je vais te secouer un peu…
Elle obtempère. Elle attrape la poignée de ses deux mains, et se tient fermement. J’en profite pour passer mes mains entre son buste et la banquette en cuir. Je lui empoigne les seins, et commence à les chahuter. Je les serre, les malaxe, agace les pointes, tout en amplifiant mes mouvements de bassin. Mon sexe sort de quelques centimètres et rentre dans les fesses de Jocelyne.
- — Hmmmffffff, ahhhh, ahhhhhhhh !
Jocelyne vient de jouir brutalement. Je sens ses muscles se contracter. J’en profite pour m’enfoncer le plus possible dans ses reins, mon ventre bute sur ses fesses, mais j’appuie encore.
- — Oh, mon Dieu ! que c’est fort… ahhh !
Val attrape mes hanches, et me tire en arrière.
- — Allez, c’est bon, tu l’as bien baisée, à mon tour.
Je me redresse hors de la voiture, en nage. Je dégouline. J’enlève le préservatif et le jette dans la poubelle. Ensuite, j’attrape Val, la pousse pour qu’elle s’allonge sur sa cheffe. Ensuite, je lui écarte les cuisses, et sans autre forme de procès, je la pénètre.
Val saisit la tête de Jocelyne, et serre les jambes autour des hanches de la grosse fille.
Je continue à lui faire l’amour, je sens le plaisir monter. Val dégouline sur les reins de sa cheffe.
Bon, il ne faut pas se voiler la face, j’aime Val. Mon corps est complètement à l’unisson dès que je la pénètre.
Je m’allonge sur elle, lui embrasse le cou, et éjacule dans son ventre, longuement…
- — Oh putain, tu m’as mis la dose, dis donc.
- — Tu prends la pilule, au moins ?
- — Ouais, t’inquiète… C’est tout chaud… D’ailleurs, on crève de chaud dans cette caisse !
Effectivement, on est tous trempés de sueur. Jocelyne est affalée à plat ventre, avec Val sur elle.
Je sors de la voiture, j’ai besoin d’air et de fraîcheur.
Val s’extirpe à son tour. Elle vient dans mes bras, nous nous embrassons tendrement.
- — Faudra revoir nos accords, je pense, dis-je.
- — Oui, probablement. Mais terminons d’abord le travail. Aide-la à sortir son gros ventre de la voiture.
Je vais relever Jocelyne, et lui tiens la main pour qu’elle sorte de la voiture.
- — Ouf, génial… Mieux que mon fantasme, en tout cas… Eh bien, tu me l’as bien mise, dis donc !
Elle se masse les fesses. C’est vrai que j’y suis allé un peu fort, mais d’un autre côté, elle n’a rien dit non plus, sinon, j’aurais arrêté immédiatement.
Val m’interpelle :
- — Bruno, tiens-lui les poignets dans le dos, s’il te plaît…
Je passe derrière sa cheffe, lui saisis les poignets, et les réunis au niveau de ses reins.
- — Mais ?
- — Dis-moi, Jocelyne, tu te souviens du jour où j’avais interverti deux rapports d’intervention ?
- — Euh oui, mais bon, c’est fini, ce n’était pas si grave du moment qu’on l’avait vu avant de transmettre. Pourquoi cette question ?
- — Tu te souviens de ce que tu m’avais fait ?
- — Attends… Non ?
- — Tu m’avais frappé les seins !
- — Ah oui. En fait, je voulais juste simuler une gifle, mais tu t’es relevée, et…
- — Et tu m’as frappé les seins. Donc, à mon tour maintenant, histoire qu’on soit quitte !
En disant cela, elle donne une petite claque sur le sein gauche de Jocelyne, qui ballotte lourdement.
- — Hé ! Tu appelles ça « frapper » ?
- — Attends, je ne veux pas non plus te faire mal, non plus ! Tiens, voilà, pour adoucir les mœurs…
Val s’approche de sa cheffe, prend son sein en main, avance sa bouche et commence à en sucer la pointe.
Pendant ce temps, j’utilise le tuyau d’eau pour me rincer. Ça fait du bien, il fait une chaleur de fou maintenant, et en plus, on a pas mal bougé, enfin, surtout moi.
Val me rejoint, je lui passe le tuyau, pour qu’elle puisse se rafraîchir. Jocelyne, d’un signe de la main, me demande si elle peut en profiter. Je lui propose de se joindre à nous avec un grand sourire.
Une fois tout le monde rincé, ainsi que la « zone » mouillée par Val, je fais un saut dans la salle de bain et en rapporte quelques serviettes. Nous nous essuyons tous.
- — Bon, ce n’est pas tout, ça, mais il va falloir qu’on retourne patrouiller, Valérie. En tout cas, merci pour cet intermède des plus… chauds ! Et superbe voiture, Bruno.
- — Merci, Joce. Si jamais tu veux la conduire un de ces quatre, pas de problème, je te la prête, tu feras juste attention à ne pas la bigner.
- — Ah ça, c’est gentil ! Bon, ce n’est pas tout ça, faut qu’on bosse. On y va, Valérie ?
- — C’est parti. À tout à l’heure, mon cœur.
Mon cœur ? Les bonnes résolutions n’ont pas duré longtemps. Mais c’est très agréable à entendre.
Elles m’embrassent toutes les deux, Val sur la bouche, Jocelyne sur la joue, puis sortent du garage dans la fournaise de cette belle journée d’août ensoleillée.
Je consacre une petite heure à essuyer les voitures, faire l’intérieur de la Mercedes pour enlever toute trace.
Dans le milieu de l’après-midi, je fais un saut au supermarché du coin pour acheter de quoi faire une grosse salade composée et de la charcuterie. Je prends aussi une bouteille de « Moulin à Vent » 2007 pour accompagner le tout.
Ensuite, je checke mes mails, réponds à quelques clients, à mes collaborateurs, histoire de ne pas perdre le fil du travail.
Vers 18 h, je prépare la salade et le plat de charcuterie. J’en profite pour mettre la table, et pour préparer l’apéro dans le salon.
Après cinq minutes de recherche, je retrouve la deuxième télécommande du garage. Je la mets de côté pour Val.
Vers 19 h 15, j’entends la douce mélodie du V4 d’un Vmax. Je vais dans le garage et déclenche l’ouverture de la porte automatique.
Val entre et va garer sa rutilante moto à côté de la Gold. Elle enlève son casque et le pose sur la selle. Elle s’est changée, elle a mis un jean moulant et un petit top orange corail. Elle est ravissante.
- — Coucou, mon chéri… euh, Bruno !
- — Coucou, mon cœur… euh, Valérie !
- — Mouaip, faut qu’on revoie nos accords.
- — Manifestement. Bon, tu as passé une bonne journée ?
- — Une excellente matinée, oui. Et cet après-midi, paperasse. Et toi ?
- — Tranquille. J’ai préparé un petit repas tout simple, salade, charcutaille, et un petit apéro. Tu viens ?
Nous allons dans le salon. Je nous sers deux pastis bien frais.
Nous trinquons.
- — Bon, Bruno… J’ai un problème.
- — Aïe ?
- — Eh bien, comment dire… En tournant pour rentrer dans ta rue…
- — Oui ?
- — Eh bien… J’ai mouillé. Regarde…
Elle écarte les jambes, et effectivement, il y a une tache d’humidité sur le jean, au niveau de son sexe.
- — Ça ne m’était jamais arrivé avant aujourd’hui. Jamais ! Rien que de venir chez toi, ça me rend… toute chose.
- — J’ai eu peur que tu te sois cassé la figure à moto. Ouf !
- — Non, mais attends, c’est inquiétant ! Je pense à toi, enfin, à nous, et paf, je gicle. Tu comprends ce que ça veut dire ?
- — Euh… que tu aimes mon garage, mes véhicules ?
- — Gros malin.
- — Tu as pensé à Céline et Jocelyne, et ton côté masculin a pris le dessus ?
- — Mais tu le fais exprès ou quoi ? Tu ne comprends pas ?
- — Si, j’ai compris, mais nous sommes liés par un accord moral fort, et…
- — Taratata. L’accord il est devenu caduc quand tu m’as sodomisée. Tu t’en souviens ?
- — Euh, voyons… Ah oui, ça me revient !
- — C’est ça, fait l’andouille.
- — Bon, OK, on est super bien ensemble, moralement et physiquement, je ne t’en parle même pas.
- — Voilà. Et on fait quoi, du coup ?
- — On se connaît que depuis une trentaine d’heures, tu t’en rends compte ?
- — Et on a fait l’amour plusieurs fois, sans complexe, sans tabous, avec… avec… avec beaucoup de tendresse, quoi.
- — Et pour ton info, pour pouvoir bander pour baiser Céline et enculer Jocelyne, c’est toi que je regardais. C’est toi qui me fais de l’effet. Ton corps, tes yeux, ton sourire, ta façon d’asperger le sol, tout ça…
- — Je sais, je l’ai senti. Et j’ai été très conne de te mettre dans les pattes, ou plutôt autour de ta queue, ces deux femelles en chaleur. Je te présente mes excuses, sincèrement.
- — Excuses acceptées, mais bon, y’a pire comme contrainte. Mais c’est toi que j’ai dans la peau depuis hier. Du coup, on fait quoi, je te retourne la question ?
- — On tente ?
- — …
- — Je ne te parle pas d’emménager chez toi ou toi chez moi, mais d’être ensemble. Le soir, pas tous forcément, le week-end, mais sans empiéter sur l’autre. On fait les courses ensemble, on part en week-end ensemble, on fait l’amour ensemble, bref, comme un couple quoi…
- — Et moi qui m’étais juré de ne plus tomber amoureux… mission failed.
- — Pareil.
- — Écoute, on peut tenter. Par contre, sache que le soir, je travaille sur mon ordi, j’ai des clients ou des fournisseurs qui m’appellent.
- — Ah, mais tu vis ta vie ! Je ne serais pas là pour te la polluer. Juste tu coupes ton téléphone quand tu me fais l’amour, c’est tout ce que je te demande.
- — Oui, de toute façon, discuter en te léchant, ce n’est pas facile.
- — Oh… arrête, mon jean !
- — Et puis, tenir mon iPhone alors que je te mets un doigt dans le cul, pas gagné !
- — Arrête… c’est malin, je re mouille !
- — Eh bien, enlève-moi vite ce jean et ta petite culotte, que je me fasse une idée des dégâts !
- — T’es fou… mais que j’aime ça.
Val se met toute nue en deux temps trois mouvements.
- — Euh, tu n’as pas peur qu’on flingue ton canapé ?
- — Tu as raison, ne bouge pas.
Je vais chercher deux grandes serviettes, et les dépose sur le canapé. Dans la foulée, je me mets tout nu.
- — Voilà, ma puce. Allonge-toi là.
- — Monsieur est dans de bonnes dispositions, dis-moi. Elle est belle, ta queue.
- — Allez, la fliquette, allonge-toi, écarte tes jolies gambettes, et fais-moi plaisir, gicle ! Et si jamais il te venait à l’idée de prendre dans ta main mes testicules, et de les malaxer et de les serrer, je n’y verrais aucun inconvénient, bien au contraire.
- — Monsieur aime bien qu’on lui triture les couilles ? Mais, avec un grand plaisir.
Je me positionne sur le côté, et commence à lécher le sexe de Valérie. Je lui titille le clitoris, rentre ma langue dans sa chatte si attirante. Elle commence à haleter.
- — Putain, c’est bon… Oh, Bruno, tu es trop génial comme mec… je t’aime !
Je continue mon cunnilingus, et Val commence à gicler petit à petit. Elle a pris mes testicules dans sa main droite, et me les malaxe gentiment.
- — Tu peux y aller plus fort, j’aime bien.
- — Hmmm trop bon ! J’ai peur de te faire mal.
- — Je te le dirai, si c’est le cas.
Je continue de lécher ma chérie, et les jets de sa jouissance sont de plus en plus copieux et puissants.
- — Ahhhh, je vais mourir de bonheur, Bruno… je t’aime, je t’aime, je t’aime…
Elle me malaxe les couilles de plus en plus fort, je bande comme un fou. Je l’ai dans la peau, à mon corps défendant.
Val vient d’expulser un énorme jet de mouille, je suis trempé de la tête aux pieds.
- — Arrête, mon chéri, j’en peux plus, je suis littéralement vidée. Vas-y, prends-moi, comme tu veux, ma bouche, ma chatte, mon cul, mais par pitié, arrête…
- — Tu sais ce qui me ferait plaisir, ma puce ?
- — Accordé !
- — Attends, je ne te l’ai pas encore dit !
- — M’en fiche, c’est d’accord.
- — Bon, alors, lève-toi, prends-moi par les couilles, et emmène-moi dans la salle de bain. Je m’allonge dans la baignoire, tu viens sur moi, on s’embrasse, et…
- — D’accord ! Et ?
- — Et tu te soulages sur moi.
- — …
- — Tu me fais pipi dessus, en gros.
- — Ah… Pourquoi pas ?
Val se lève, empoigne mes couilles, et me tire vers la salle de bain. Nous sommes trempés tous les deux, surtout moi.
Arrivé dans la salle de bain, je m’allonge dans la baignoire. Val enjambe le rebord, s’allonge sur moi. Elle me sourit, puis m’embrasse. Sa langue chahute la mienne, notre baiser est torride.
Je sens un liquide chaud couler sur mon bas-ventre, et une odeur d’urine se manifeste. Val glisse sa main entre nos ventres, attrape mon sexe, et se met à me masturber.
C’est divin. Au bout de quelques minutes de ce traitement, j’éjacule abondamment.
- — C’était bon, mon chéri ?
- — Divin, tout simplement. Merci, ma chérie. Merci.
- — J’ai adoré. Faudra que tu me pisses dessus aussi, à l’occasion. Bon, on prend une douche ?
- — Oh que oui !
Nous nous douchons soigneusement.
De retour au salon, nus tous les deux, nous reprenons l’apéritif là où nous l’avions laissé.
- — Val, OK, on tente. Ça me dit beaucoup. Mais pas trop vite, pour ne pas tout gâcher. Ça te va ?
- — Complètement. On trinque ?
- — On trinque !
Nous avons scellé notre accord ce soir-là.
Trois mois plus tard, Val emménageait chez moi. Nous nous sommes présentés mutuellement à nos amis, puis à nos familles, puis…
Deux ans plus tard…
Mon Dieu qu’elle était belle avec sa robe blanche de mariée !