n° 19528 | Fiche technique | 46085 caractères | 46085Temps de lecture estimé : 27 mn | 07/04/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Les voyages professionnels à l'étranger sont très formateurs ! Il ne faut pas hésiter à sortir du cadre pour étendre ses compétences. | ||||
Critères: fh hplusag collègues voyage noculotte fellation fouetfesse humour | ||||
Auteur : Cormobin Envoi mini-message |
Ma boîte est spécialisée dans l’agriculture et cherche à se développer encore davantage, à l’international. Prochain marché prometteur, paraît-il : l’Amérique Latine. Avec l’autre cinglé à Washington, l’Europe a des atouts à jouer face aux « gringos ». Nous allons nous appuyer sur notre succursale, déjà implantée au Pérou, pour y développer d’autres activités, enfin, tenter d’y conduire une démarche pro-active pour augmenter notre chiffre d’affaires local.
Et c’est à moi, Simon, qu’il revient de mener cette visite exploratoire. À priori, nous aurons à la fois des rencontres en groupe et aussi des entretiens individuels. Notre objectif est plutôt de tenter du B to B(1), peut-être aussi en renforçant les partenariats institutionnels qu’a su développer Jorge, le responsable de notre filiale péruvienne. On se connaît un peu, on a sympathisé lors de ses visites en France. Je lui avais fait part de mes soucis conjugaux et l’avait informé de ma séparation, puis de mon divorce, avec Chloé.
Pour ce déplacement, compte-tenu du travail à faire, je fais le tour des volontaires dans mon service : impossible d’intervenir seul face à des groupes et il faut également être réactif lors des entretiens. Clotilde se porte volontaire. Maintenant que sa fille a 3 ans, elle a moins de scrupules à laisser Olivier, son mari, s’en occuper pendant quelques jours, sachant qu’il peut compter sur le renfort de ses parents. Clotilde parle bien espagnol. Nous utilisons les deux semaines avant le déplacement pour finaliser notre agenda et préparer les présentations. Je ne suis pas très hispanophone, mais je m’en sors. Jorge parle parfaitement le français et fera l’interprète quand nous en aurons besoin.
Côté hébergement, après avoir vaguement regardé les hôtels, et après en avoir discuté avec Clotilde, je suggère à Jorge de nous trouver un Airbnb. Il nous faut un appartement avec deux chambres et deux salles de bain. Avec ça, on aura chacun notre indépendance et on pourra se servir du salon comme salle de réunion ou de travail, pour ajuster nos présentations et notre stratégie, d’un jour à l’autre. Aussi bien Clotilde que moi ne sommes jamais allés en Amérique Latine. Avec le décalage horaire, nous décidons de partir le vendredi soir, pour éliminer les tracas du jetlag durant le week-end avant d’attaquer, frais et dispos, nos rendez-vous dès le lundi matin. On a prévu de rentrer le jeudi soir, 4 jours de travail, ça doit suffire et comme ça, Clotilde ne perdra qu’un seul week-end en famille.
Jorge nous envoie les références de 2 Airbnb qui semblent convenir à ce que nous cherchons. Il nous dit qu’il préférerait celui situé dans le quartier de Miraflores : c’est un quartier sympa, calme. Clotilde regarde, elle me dit que les chambres lui paraissent correctes, donc Jorge nous retient celui-là, et il passe la commande, en faisant facturer par la boîte.
Comme j’ai l’habitude d’Airbnb, je lui demande de prendre les infos pour qu’on sache comment on récupérera les clés, l’accueil, etc. Jorge connaît les horaires de notre avion, il viendra nous chercher à l’aéroport, donc il nous dit que c’est OK pour tous les détails pratiques. Il a eu la propriétaire au téléphone, tout est en ordre.
La dernière semaine avant le départ se passe. Nous courons partout, préparation, finalisation des diaporamas, traductions, vérification des agendas, valises à faire. Clotilde doit aussi gérer sa petite famille. Finalement, tout a l’air de bien se présenter. On se cale avec Clotilde sur les derniers détails pratiques. Quel climat là-bas ? On fait au mieux. La présence de Jorge sur place est une assurance très forte.
Retrouvailles avec Clotilde à l’aéroport, on est un peu bousculés, mais on va y arriver. La dépose des bagages est le moment où on peut souffler. Le sort en est jeté. On peut commencer à se projeter. On prend notre temps, on est tous les deux, on a juste à s’arranger à être à l’heure en salle d’embarquement, avec notre bagage cabine.
Au moment du décollage, petit moment de stress et de tristesse de Clotilde, qui verse une larme, en disant « ma petite », parce qu’elle ne va pas la voir pendant une dizaine de jours. Ce sera la première fois qu’elle ne la voit pas pendant aussi longtemps. Je ne sais pas trop quoi faire. C’est une marque de confiance de sa part, de se lâcher devant moi. Je la câline un peu, je lui passe la main sur la cuisse, enfin, en tapotant sur son jean, et je lui dis :
Et effectivement, ça passe. Une fois en l’air, elle se reprend. Elle s’excuse même.
Elle retrouve ensuite sa joie naturelle. Ce sera en fait son seul moment de faiblesse du voyage, et encore, faiblesse est un mot trop fort, car son attitude était tout à fait normale. Humaine. J’apprécie que mes collaborateurs et collaboratrices soient capables de se comporter sans pudeur vis-à-vis de moi.
Le voyage est long. On papote. Les films. Survoler l’Amazonie est une expérience unique, même si la nuit tombante ne permet pas d’en apprécier toute la beauté.
L’atterrissage, la nuit est tombée, récupérer les bagages et chercher Jorge dans la foule. Il est là. Autant on a bien préparé le voyage sur un plan professionnel, autant sur le plan géographique, je n’ai pas été à la hauteur. Quand je dis à Jorge :
Il éclate de rire :
Effectivement, Lima est une très grande ville, au bord du Pacifique Sud, au-dessus d’une falaise. Au pied, une route, quelques plages, quelques restaurants. Et on remonte, avec Jorge au volant de sa voiture, jusqu’au district de Miraflorès. Jorge nous a prévenus :
La propriétaire nous attendait. Elle explique à Jorge, qu’elle a eu au téléphone, et surtout à Clotilde, le mode de fonctionnement de l’immeuble, le code pour entrer, les clés, comment se faire un café, etc.
L’appartement est conforme à sa description. Nous sommes au 1er étage. Deux chambres, chacune avec salle de bain, quasi identiques. Clotilde prend celle qui donne sur la courette, moi celle sur la rue, qui a l’air peu passante. On pose les valises rapidement, le temps de se rafraîchir, et hop, nous voilà au restaurant tout proche. Nous sommes décalés, donc on ne prend pas trop garde à ce que commande Jorge pour nous, mais c’est très bon. Je retiens quelques mots : « ceviche », « chicha morada ».
Il nous ramène, et nous dépose :
Et il s’en va.
Le repas nous a un peu requinqués. On traîne un peu, on bavarde, mais on est fatigués. Donc on se souhaite bonne nuit et on part se coucher. Je dis à Clotilde juste avant de fermer la porte de ma chambre :
Je me couche, je prends mon bouquin. Je lis une ou deux pages, mais je fatigue dessus, donc je le pose et je m’endors très vite. J’ai l’impression d’être dans un rêve bizarre. Un vieux bâtiment. Des portes qui grincent, des coups dans les portes. Des coups. Et je me rends compte qu’en fait, on frappe à la porte de la chambre. Coup d’œil sur mon téléphone, il est 2 h du matin. Je dis :
J’entends ou je crois entendre Clotilde, mais je ne comprends rien, donc je lui dis d’ouvrir. Elle ouvre, et elle me dit :
Je suis un peu mieux réveillé :
Elle n’a pas allumé les lumières. Je lui demande :
Je me lève ; il fait très sombre, j’arrive dans sa chambre, j’écoute, et je lui dis :
Je suis vraiment fatigué, je lui dis alors :
Toujours dans le noir, je me recouche, elle reste debout, et je lui dis :
Au bout de 2mn environ, elle reprend :
J’essaie de rester calme. Je lui réponds :
Mais elle continue, elle a l’air beaucoup mieux réveillée que moi, presque joyeuse :
Je la menace alors :
Au matin, je m’éveille, il est environ 7 h. Je suis seul. Un peu de bruit dans la rue, et la voix de Clotilde en fond. J’émerge, je me réveille quasi complètement. Je passe un jogging. Je vais dans la cuisine. Un verre d’eau. À la bouteille, car, a priori, il ne faut pas boire l’eau du robinet. J’entends toujours Clotilde dans le lointain. Ah, elle arrive :
C’est vrai qu’il commence à faire faim, donc je file, je me prépare, et nous voilà quelques minutes après au bar. Clotilde passe les commandes. On commence à manger. J’entame la conversation, suite aux « événements » de la nuit.
Elle a un sourire jusqu’aux oreilles, et bon appétit. Elle reprend une viennoiserie. De mon côté, pour masquer ma surprise et montrer ma hauteur de vue en toute circonstance, je reprends mon verre de jus d’orange. Gloups.
Le reste de la journée se passe tranquillement. Comme Jorge a prévu de nous faire visiter la ville le lendemain, nous nous promenons juste dans le quartier. C’est très aéré, des petits parcs, c’est sympa. Au restaurant, le midi, c’est amusant, car il y a un match de foot espagnol à la télévision et c’est du direct, avec des supporters des deux équipes dans le restaurant. Ils mettent un peu d’ambiance, jusqu’à ce que le score soit établi, et la partie vaincue quitte le restaurant. Promenade encore pour nous l’après-midi, et retour à l’appartement. Pour tuer le temps, et surtout, ne pas dormir trop tôt, nous travaillons nos présentations pour le lundi, parce que nous n’aurons pas le temps dimanche. On s’efforce d’aller dîner tôt, puis retour à l’appartement. Nos conversations ont été anodines, détendues. On s’entend bien avec Clotilde, c’est pour ça d’ailleurs qu’on est partis tous les deux.
J’avoue que je me demande bien comment va se passer la soirée et peut-être la nuit. Clotilde est très détendue, et me dit :
Et elle file dans sa salle de bain en riant. Je pars de mon côté, ma salle de bain. Je ferme la porte de ma chambre, je me prends mon bouquin, le portable pour avoir l’heure juste à côté, et je me couche.
5 mn plus tard, « on » frappe à la porte et « on » l’ouvre. Clotilde, en pyjama, sourire aux lèvres, annonce :
Et hop, plus de pyjama. Et elle se glisse sous la couette, de l’autre côté, et continue :
Elle se rapproche de moi, se colle un peu, et me dit :
De mon côté, je sens que je ne vais pas continuer à lire mon polar, je vais même devoir m’interrompre au milieu d’un chapitre. J’ai beaucoup de volonté, en temps ordinaire, mais là, entre Clotilde nue dans le lit, entreprenante, nos conversations de la nuit et de la journée, je ne vais pas chercher à résister. Et hop, c’est parti.
J’essaie d’en savoir un peu plus :
Elle rit :
Et je pars à l’exploration. Ma main droite lui effleure les seins et descend. J’arrive sur sa chatte. Je la caresse, je la sens réagir, je cherche le clito avec mon majeur, ça a l’air de lui plaire, j’insiste, j’appuie, je tourne, dessus, sur les côtés, enfin, moi je ne sais pas, ma tête ne sait pas, c’est mon majeur qui sait, et mon corps qui s’adapte, en fonction des réactions du sien. Elle se laisse visiblement faire, elle a mis ses mains au-dessus de sa tête. Je descends mon doigt, je m’introduis, elle est mouillée, je m’enfonce, elle gémit, j’insiste un peu, je cherche le point G, mais elle referme ses cuisses :
Je ne peux pas résister, je m’exécute. Maintenant, j’y vais plus fermement, je la branle, je la branle. Elle ne tarde pas à se tendre et à crier un peu, elle jouit. Sans attendre, je me redresse, je place mes genoux entre ses cuisses, et elle me dit :
Petit sourire, que je devine, elle m’attrape, et elle me fait entrer. Elle écarte encore plus les cuisses. Je m’enfonce. Quelques allers et retours, histoire que sa chatte s’habitue bien à ma queue, et de voir comment Clotilde réagit ; ça a l’air d’aller, de lui plaire. Encore quelques petits allers et retours, c’est bon. Puis je passe mes jambes à l’extérieur des siennes et je lui referme les cuisses avec mes genoux, tout en restant profondément enfoncé en elle, ça a toujours l’air de lui aller, super. Je suis appuyé sur les coudes. Ma tête juste au-dessus de la sienne. Avec notre différence de taille, ma bouche est au-dessus de son front. Je lui fais une bise sur le front. Elle sourit. J’ajoute :
Elle sourit encore :
Je me redresse, je remets mes genoux à l’intérieur des siens, je fais bien attention à être bien au fond et doucement, j’avance mes genoux, tout en lui écartant les cuisses, et en les relevant. Elle réagit bien. Je lui murmure :
Alors, je lui relève les jambes, j’attrape ses cuisses et ses mollets, et je pose ses chevilles sur mes épaules, et je la baise encore plus fort. J’augmente un peu le rythme, sa respiration s’accélère, elle ouvre la bouche, elle a l’air d’aimer, et tout d’un coup :
Je la lime encore un peu, puis je la sens se détendre et je lui redescends les jambes. Elle a les yeux clos. Je sens qu’elle a bien joui, qu’elle savoure. Je ne veux pas en rester là. Je recommence à la limer, en profondeur, enfin, autant que ses jambes serrées le permettent. Je m’enfonce, visiblement, ça la réveille, si j’ose dire. Et là, hop, je reprends ses mollets, je remonte ses jambes, et je remets ses chevilles sur mes épaules. Elle a compris, elle accompagne mes gestes en soulevant ses fesses. Je m’enfonce très profond, je la baise fort, elle jouit de nouveau. Je descends ses jambes, je l’allonge, je suis prêt à recommencer. Elle ouvre les yeux et me regarde et me dit :
J’obtempère, je lui dis « OK », et je commence à la limer fort, en serrant ses cuisses entre les miennes, entre mes genoux ; physiologiquement, ça resserre sa chatte sur ma queue, c’est bon. Elle descend ses mains, elle les pose sur mon dos, elle me caresse, et elle me regarde dans les yeux. Elle m’encourage :
Et je jouis, c’est bon, très bon. Je m’allonge sur elle. Je l’embrasse sur le front. Du coup, elle me fait une petite bise dans le cou. Elle sourit :
Je sors d’elle et on se retrouve dans la salle de bain. À elle les toilettes, à moi le lavabo. Elle a l’air très contente, très souriante et elle me dit, en me regardant dans les yeux :
Elle est très impudique, mais très naturelle, donc pas du tout vulgaire.
Et on repart au lit. Je vais lire un peu, pour me remettre, mais elle éteint, on fait très « vieux couple » ; elle ajoute :
J’ai un peu de mal à trouver le sommeil.
Le lendemain matin, c’est le dimanche, j’ouvre un œil, et je vois Clotilde, déjà réveillée, qui me regarde. Elle est nue, découverte, tranquille. Elle sourit. Elle tend la main, et me caresse la joue avec un doigt :
Jorge passe nous chercher comme prévu, repas très sympa, découverte de sa famille. Sa femme travaille dans l’import-export, et a beaucoup voyagé. L’après-midi, ils nous emmènent dans le centre-ville, la place d’armes, l’ancienne gare transformée en bibliothèque. Lima est une mégapole, avec une circulation très importante et des transports publics dont le développement n’arrive pas à rattraper l’expansion démographique. Le dimanche est le meilleur jour pour les touristes. Jorge et sa femme nous déposent en fin de journée à l’appartement. Clotilde consulte son téléphone :
Nous partons dans la chambre. Clotilde me déshabille, puis se déshabille et elle entreprend de m’exciter avec sa bouche, partout, sauf sur le visage, sans doute pour éviter de m’embrasser, sur la poitrine d’abord en me léchant puis en me mordillant les tétons, puis elle descend. Elle suce d’abord lentement, puis plus vite, alterne les rythmes et les profondeurs. Je m’aperçois qu’elle en profite pour se masturber également. Je monte, je durcis, puis elle s’arrête et me dit, très naturellement :
Je feins la déception :
Et elle se met à 4 pattes sur le lit :
Elle m’attrape et m’introduit en elle : vas-y maintenant, tiens-moi bien par les hanches, j’aime ça. Si tu sens que tu vas jouir, préviens-moi.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je la prends bien profondément. La levrette n’est pas ma position favorite. J’y trouve un côté impersonnel. Ce qui m’excite le plus, ce sont les réactions de ma partenaire, son excitation. Quand elle a la tête dans l’oreiller, les réactions, c’est moyen. Ou alors, il faut qu’elle soit très expressive à l’oral par exemple. Ce n’est pas le genre de Clotilde. Pourtant, la vue est superbe. Clotilde a un superbe cul. Les marques de bronzage, je n’aime pas trop, mais là, ça a plutôt tendance à mettre ses fesses en valeur.
Ce n’est pas que je m’ennuie, mais comme ce n’est pas ma position préférée, pour maintenir mon excitation et donc mon endurance, j’ai besoin de m’occuper. Avec la vue dont je dispose, ce serait quasiment malpoli de ne pas tenter, a minima, de lui mettre un doigt dans le cul. En la maintenant fermement avec ma main droite, sur sa hanche droite, je glisse ma main gauche vers le centre de ses fesses. Je laisse mon pouce gauche aller et venir sur toute la longueur de sa raie. Elle ne dit rien, elle soupire. Après plusieurs passages, je sais que son anus est humide, et je décide d’y plonger mon pouce. Tout doucement. 1 cm, ça rentre tout seul. Elle dit tout doucement :
Gentleman toujours, je laisse mon pouce. Je l’enlève ensuite, je continue à la limer. Sa chatte est agréable. Mais pour moi, j’en ai assez. Je lui demande :
Elle semble surprise, donc j’ajoute :
Elle se tourne, m’attrape et me réintroduit dans son con. Tout ouvert, tout humide. Je lui demande :
Et nous voilà repartis comme la veille. Son orgasme est rapide.
Je sors de sa chatte, elle me prend dans sa bouche et se met à la fois à me branler et à me sucer. Elle me sort de sa bouche juste pour me dire :
Et effectivement, je jouis assez vite. Elle avale, elle me garde longtemps dans sa bouche. Puis se relève, s’approche de moi, et me fais un bisou très rapide sur les lèvres et, avant que j’ai réagi, file dans la salle de bains, en me disant :
Je la rejoins pour finir de me laver et je lui dis, en souriant :
Elle sourit :
Je n’insiste pas. Elle continue, très naturellement :
Et elle conclut en riant et en sortant de la salle de bain :
Je la rejoins dans le salon :
Elle est OK.
Elle est un peu surprise :
Cinq minutes après, on est prêt. Je dis à Clotilde :
Elle me répond :
Juste avant de passer la porte, je passe une main dans le dos, jusque sur les fesses de Clotilde.
Clotilde ôte son string et me dit :
Le restaurant est à 10 minutes de marche. Le soleil est caché. Un petit vent. Au bout de 2 minutes, je demande à Clotilde :
Je passe une main sur sa robe, de haut en bas, et je lui dis :
Elle sourit. Nous passons un bon moment au restaurant. Sur le chemin du retour, elle me confie :
Je la rassure :
Nous rentrons dans l’appartement :
Présentations revues, pas de souci. Heureusement, Clotilde a l’air fatiguée. Au bout de deux jours, plus aucune pudeur vis-à-vis de moi, ni de moi vis-à-vis d’elle, d’ailleurs, elle se promène nue pour finir de se préparer pour la nuit. Elle me rejoint au lit. Et au moment où je pose mon polar, et que j’éteins, alors qu’elle me tourne le dos elle se recule, vers moi :
Comment refuser ?
Je la câline un peu, et je la prends dans mes bras. Et effectivement, on en reste là. Pour ce soir au moins, mais le week-end a tout de même été très bien rempli.
Lundi matin, première journée de travail. La bonne nouvelle, c’est que la nuit a été calme. Décalage horaire absorbé. Nous voilà frais et disponible. Nous faisons salle de bain à part, je me rase, pas de perte de temps, et puis je dois avouer que j’apprécie de retrouver un peu d’intimité. J’imagine que Clotilde aussi. C’est tout de même très étrange comme situation, à la fois forte, et puis un côté éphémère.
Jorge passe nous chercher et nous enchaînons réunions et rendez-vous. Jorge nous montre les joies de la conduite dans Lima un jour de semaine. C’est assez original, il ne faut pas avoir peur, et j’apprécie beaucoup de ne pas avoir à conduire moi-même. Nous débriefons ensemble à l’issue de la dernière réunion de la journée. Je pense qu’on a bien fait notre boulot. J’ai pu présenter les aspects stratégiques. Clotilde est entrée dans les détails, elle maîtrise à fond les sujets et faire présenter ces aspects par une femme me semble toujours préférable à un homme qui parfois, passe à l’esbroufe, alors qu’une fille cherche à montrer les atouts des produits qu’elle utilise, sans négliger les aspects les plus sensibles. Et puis bien entendu, on a Jorge, qui connaît le monde péruvien et sud-américain. Sa présence, ainsi que le dynamisme de sa structure, illustre le fait que nous souhaitons vraiment nous développer sur place. Il faut y aller toujours très finement en matière de diplomatie, d’autant que les Français doivent se coltiner une réputation d’arrogance et de suffisance.
Comme les Américains semblent vouloir nous dépasser sur ces défauts, il faut en profiter. Les diplomates prendraient plutôt le pas sur les hommes d’action. L’époque serait aux tables rondes et à la détente.
Jorge nous dépose à l’appartement, juste avant les bouchons du soir. Les deux jours suivants devraient être avec le même rythme. Nous aurons juste à personnaliser légèrement nos présentations, mais nous irons assez vite.
Il fait bon. Je propose à Clotilde d’aller faire un petit footing, et elle accepte. À Miraflores, le long de l’océan pacifique, il y a un parc, pas très grand, mais très sympa, où il y a suffisamment de place pour courir. Nous y passons une grosse demi-heure, soit environ 5 km en courant, ça permet de bien évacuer le stress de la journée et de se détendre. D’un commun accord, on évite les selfies à 2. Parce qu’entre « el parque del amor », le nom du parc, et « el beso », la statue célèbre, il ne faudrait tout de même pas se faire griller. Seuls les bons connaisseurs de Lima peuvent savoir et comprendre, inutile d’en faire trop. Il vaut mieux parler de la course qu’a faite au même endroit Usain Bolt contre une moto taxi, lors d’un voyage promotionnel.
Nous revenons à l’appartement. Clotilde propose :
À la sortie de la douche, Clotilde me rejoint, une serviette entourant ses cheveux. Juste une serviette en fait. Nue.
Je m’habille. J’entends le bruit du sèche-cheveux et Clotilde arrive, avec sa robe :
Clotilde se retourne, soulève sa robe :
Elle n’a rien dessous.
Je fais comme si je n’avais pas entendu, et nous sortons. Le Pérou est le pays d’origine notamment de la pomme de terre et de la tomate. La gastronomie est fabuleuse, mis à part les desserts, si on veut faire le difficile. En fait, la gastronomie locale est au confluent entre la cuisine locale, celle des Indiens, puis celle des conquistadors espagnols, des esclaves et de différents émigrants, comme les Asiatiques. Au final, c’est très diversifié et très bon.
Une fois rentrés, Clotilde a l’air contente. Très bon repas, pas trop copieux, et on s’amuse bien :
Et elle se tourne vers moi et me tend ses fesses.
Elle s’allonge sur le lit, et me dit :
Je ne suis pas vraiment passionné par le SM. J’ai déjà lu des histoires de domination, mais ce n’est pas mon truc. La fessée, ce n’est pas pour faire mal, c’est uniquement pour apporter des sensations. Et ça ne doit pas durer, pas marquer non plus. Un peu de rougeur dans l’instant, mais rien de plus. Je donne quelques fessées. J’alterne fesse droite, fesse gauche. Je lui demande :
Je tape un peu plus fort, je lui embrasse les fesses. Je passe mes doigts sur elle, la main gauche dans sa raie, puis la main droite pour aller chercher sa chatte et son clito.
Ma main gauche s’attarde sur son anus. J’introduis un doigt, je l’enfonce, elle ne dit rien. Je fais quelques mouvements :
Et je lui fais comme un massage, elle se laisse faire. Puis j’enlève mon doigt.
Elle éclate de rire et se retourne :
Et hop, ça repart, fellation puis pénétration, à sa demande, les jambes bien levées, elle est bien offerte, elle jouit bien :
Et là, surprise, elle m’embrasse fougueusement, à pleine bouche, avec la langue. Je me retiens un peu, faut éviter que les dents s’entrechoquent, et je lui rends tout de même, et autant que possible, son baiser. Enfin, elle s’écarte, presque essoufflée :
Et hop, de nouveau baiser langoureux, avec sa langue envahissante et ses lèvres très humides.
Et hop, de nouveau éclats de rire et baiser bien profond.
Et effectivement, jusqu’au départ, Clotilde a su se montrer à la hauteur de cet engagement. Pas d’autre leçon, juste les révisions. La pédagogie, c’est l’art de la répétition. Jusque dans l’avion du retour, même, il fallait profiter de tout le temps disponible pour bien vérifier les acquis.
(1) B to B : Business to Business. (NDLE)