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Temps de lecture estimé : 23 mn
09/04/20
Résumé:  Elle décide de recevoir Sékou pour bien lui faire comprendre qu'il ne doit pas conserver le moindre espoir.
Critères:  fh hh fplusag jeunes extracon école fellation pénétratio fsodo hgode hsodo confession -extraconj
Auteur : Margrite      

Série : La Proviseure

Chapitre 02 / 02
Quel mal y a-t-il à essayer? Aucun, mais essayer c'est l'...

Résumé épisode 1 :

Laurie et Éric pratiquent le candaulisme en sauna et avec un « régulier », Raphaël, qu’ils reçoivent chez eux. Mais, suite à une soirée où l’invité sodomise le mari qui clame son plaisir, le même mari fait stopper toutes ces rencontres. Cela manque à Laurie qui rencontre en cachette Raphaël et puis un autre complice, Dan. Mais un lycéen surprend un de ces rendez-vous et les filme. Il est amoureux de sa Proviseure et espère que… Mais Laurie lui a fait comprendre qu’il ne peut pas espérer ! Pourtant il continue de la suivre.







On frappe. J’ouvre. C’est lui. Évidemment que c’est lui, qui aurait cogné à cette porte dans un renfoncement de cette rue peu fréquentée ?



Je referme derrière lui. On se fait face. Il me tend un bouquet de fleurs et un petit paquet.



Là, je suis étonnée. Une seconde, je me demande s’il n’y a pas un quiproquo ! Je suis tellement surprise que je prends ses cadeaux avec un :



Quelle conne je fais de lui répondre comme cela. J’avais décidé que, dès le début, je ferais la femme froide et insensible.



Si on peut reprocher beaucoup de choses à ce garçon, ce n’est pas son manque de ténacité. Le pot dont il parle s’est passé il y plus de huit mois, à la fin de l’année scolaire. Il me surveille et me « désire » depuis au moins tout ce temps. Mais la bouteille vient me confirmer qu’il n’a pas compris la raison de ce rendez-vous. C’est ma faute, je n’ai peut-être pas été assez claire. Aussi le choix de cet endroit… Mais quelle conne je fais, en le « convoquant » ici, moi je pensais « discrétion » pour vraiment lui faire comprendre qu’il fallait qu’il arrête de me suivre, et lui devait imaginer « rendez-vous sexuel » puisque c’est ici que je reçois mes amants… Merde ! Merde !


Comme je ne réponds pas, il déballe des flûtes, en verre s’il vous plaît, et ouvre sa bouteille. Je le regarde. Il fait moins gamin habillé en adulte et non pas avec ce qu’il porte d’habitude au lycée. Une veste, une chemise et un pantalon. C’est dimanche ! Je ne sais si je dois prendre cela comme un compliment. Peut-être qu’il s’est dit :

« » Je vais m’habiller ringard pour aller baiser la vieille ».

Il me tend une coupe, mais aussi une feuille de papier.



Un coup d’œil me montre que c’est une analyse de sang. Je dois avoir l’air sidérée qu’il enchaîne :



Putain-de-bordel-de-merde-de… Pardon pour ces pensées. Mais je suis dans un sacré pétrin. Il a même pensé à ça ! C’est évident qu’il est dans son trip… Un trip que j’ai alimenté sans le savoir. Il me regarde.



Encore une preuve qu’il doit m’espionner depuis longtemps, car c’est un tailleur que je n’ai pas mis depuis plus de six mois, et que j’ai ressorti pour ce moment. C’est à ce moment que je réalise que je me suis préparé comme pour un vrai rendez-vous. Ce tailleur léger avec un décolleté assez profond, pas du tout adapté au métier de Proviseure, mais plus pour des soirées entre amis, et une robe presque mi-cuisses. J’ai aussi choisi ma lingerie avec soin, sans parler de mon maquillage et du bain que j’ai pris en repassant à la maison. J’ai laissé un mot à Éric pour lui dire que j’avais une réunion impromptue. Je réalise maintenant que s’il me voit ainsi lorsque je vais rentrer, il va me questionner. Mais chaque problème après l’autre.



Un long silence.



Je vois sur son visage la déception. Je peux comprendre sa déconvenue. Il devait imaginer tant de choses, surtout que la vidéo pouvait me faire passer pour une femme facile, une salope amoureuse du sexe…



Cela doit lui coûter de revenir dans le monde réel. Ce n’est pas le gamin que j’imaginais même si je dois forcer le trait sur sa jeunesse pour lui faire comprendre qu’il faut arrêter.



Son regard est celui d’un homme. Un homme, un vrai à qui on fait comprendre… C’est plus facile au sauna où chacun connaît les limites, mais ici avec ce garçon tout prend une importance tragique.

Déjà, il s’éloigne. Il a la poignée de la porte dans la main. Il se retourne.



Il ouvre la porte après avoir débloqué la serrure.



Un cri. C’est moi qui appelle :



Il se fige.



Voilà, c’est dit. Depuis sa visite dans mon bureau et cette révélation, je me suis cachée derrière la femme qui se sent humiliée, humiliée déjà parce que quelqu’un a visionné des choses qui font partie de mon intime, humiliée, car, que mon mari apprenne que je continuais de voir Raphaël, aurait donné lieu à une explication qui ne me faisait pas trop peur, car j’avais des arguments. Mais que d’autres, des collègues, l’administration qui jugerait cela comme une infamie d’autant que cela se passait dans l’enceinte du lycée, cela ne pouvait pas se produire.


Mais je regardais Sékou avec un autre œil. Presque de la fierté de lui inspirer tant de désir, qu’il avait mené une vraie enquête même si cela signifiait que j’étais surveillée. Et aussi que, sous prétexte de me renseigner sur lui, j’avais regardé les profils créés par mon fils. Je n’avais rien trouvé, si ce n’est de nombreuses photos de lui, avec des amis, en vacances, à la piscine, etc. Des photos qui mettaient en valeur, je le soupçonnais d’être un brin narcissiste, son corps d’athlète ou sa couleur de peau apportait une touche d’exotisme qui m’avait troublée.


Et voici que ce garçon se comporte comme peu d’hommes sont capables de le faire. Avouer son amour, ne pas chercher à profiter de cette vidéo qu’un autre aurait pu utiliser pour me faire chanter. Accepter mon choix de ne pas lui céder.

Je me rends compte que depuis un moment je ne le considère plus comme un élève. Qu’il est beau ! Qu’il est grand ! Qu’il est fort ! Que sa couleur de peau me rappelle certains hommes qu’Éric sélectionnait pour moi au sauna.


Est-ce que je me suis menti à moi-même ? Qu’inconsciemment j’ai tout fait pour nous mettre en présence, dans cette maison qui est chargée de luxure afin qu’il n’accepte pas mon refus. Qu’il passe outre ! Qu’il se jette sur moi et que malgré des « Non, non, il ne faut pas », je lui cède…

Mais il est plus fort que moi. Lui sait résister à son envie… Mais moi ?

Et me voilà maintenant femelle qui avoue son désir.

Une femelle qui lui prend la main et le ramène dans la pièce.

Il semble surpris aussi je lui dis :



C’est ma langue qui trouve la sienne. Le baiser est fougueux. Il comprend que je dis vrai.

Sa veste tombe facilement. Les boutons de sa chemise ne me résistent pas longtemps et lorsque nos peaux se touchent alors je sais que j’ai bien fait !

C’est moi qui enlève mon soutien-gorge afin que mes seins caressent son torse, que mes tétons se durcissent en se frottant à cette peau sombre que les muscles sculptent.

Il veut me caresser.



Lorsque je défais sa ceinture, il chasse du pied ses deux chaussures, aussi le pantalon va vite rejoindre les autres vêtements.

Le slip est déformé. Je vois une bosse qui dessine sa verge dans une courbe imposée par l’élastique, mais lorsqu’avec précaution je libère le sexe, c’est une tige bien droite qui s’incline vers moi. Le canapé n’est pas loin. Je l’invite à s’y asseoir.

Pendant qu’il me regarde, j’enlève ma jupe et le mini-slip qui cachait mon minou. Je ne doute pas qu’il a regardé plusieurs fois cette fameuse vidéo, mais la distance ne lui rendait pas possible tout ce qu’il peut découvrir maintenant. Son regard est d’une indiscrétion folle. C’est presque comme une possession.


Je m’agenouille devant lui, prêtresse devant ce magnifique bâton de chair. Bâton à la fois dur et souple que je sens vivre dès que je l’enveloppe de ma main. Le gland d’un rose très sombre tranche sur la hampe d’un noir profond. Il est circoncis et mes lèvres déclenchent un « Ohhh » qui vient de là-haut. Je lève les yeux vers lui. Nos regards se croisent. Je connais la puissance érotique de ces regards échangés entre mâle et femelle, mais je ne m’attarde pas. Il a dû rêver de cet instant. Le corps des hommes sur la vidéo cachait ma tête alors que je les pompais. Il n’a pu qu’imaginer. Rassure-toi, tu ne seras pas déçu. Je doute que tes copines, mais sait-on jamais avec toutes ces gamines et ces gamins nourris de vidéos pornos aux exploits qu’ils essaient de reproduire, ne t’aient jamais pompé comme je m’apprête à le faire.


Tu grossis encore alors que mes lèvres font un anneau de chair qui avance un peu plus à chaque fois, pour revenir en arrière et repartir pour une zone que probablement aucune femme n’a jamais gobée. Un regard vers toi et je te découvre « scotché » de ce que je te fais. Je reprends… Je continue… Maintenant mes lèvres arrivent jusqu’à tes couilles qu’une main enveloppe tout en exerçant une douce pression. Je me bloque et me retire, libérant un flot de salive pour mieux y retourner. Je te pompe… Ma langue joue avec ton gland et, suprême caresse, lèche tes couilles alors que ton mandrin a totalement disparu dans ma gorge.


La salive que je brasse, ma respiration que je contrôle, ne m’empêchent pas de t’entendre pousser des soupirs qui sont chacun une reconnaissance de mon talent. Ô, mon si jeune Sékou, si tu savais combien de bites j’ai sucées depuis que mon mari a voulu m’offrir à d’autres.


Je m’active. C’est comme si tu baisais une gorge accueillante. Tu gémis… tu grondes… Parfois ta main se pose sur ma tête, mais c’est juste une seconde, juste pour me dire combien tu aimes. Tu es trop jeune pour savoir que la parole est un partenaire à part entière du plaisir. Je t’appendrai.

Non, voyons, me dit cette petite voix qui est de la raison et qui surnage sur un océan de stupre, c’est juste une fois, pour le satisfaire et clore ce fantasme. J’accélère. Les soupirs aussi. Son mandrin est vraiment devenu gros et long. Mes lèvres ont du mal à l’envelopper, mais…



Le petit pervers, il n’a même pas fait mine de me prévenir ou de se retenir. Mais ce n’est pas grave, rassure-toi, j’aime le foutre et ce n’est pas souvent, à part mon mari et Raphaël que je m’autorise à le goûter.

Tu te libères. Tu te vides dans la gorge de ta Proviseure ! C’est la femme ou la fonction que tu honores ainsi ?

Mais est-ce que tes copines font comme moi et viennent de proposer un baiser dont tu ne peux ignorer combien il est chargé de perversité avec ce goût de ta liqueur. As-tu jamais essayé ?

En tout cas, tu ne me refuses pas ce baiser et tout ce dont il est chargé. Mieux, maintenant que je te surplombe, tes mains s’emparent de mes seins qui se…


Oh, mon Dieu, ses paumes sont brûlantes. Je sens mes tétons se tendre vers elles. Ses doigts les découvrent et je gémis de ce qu’ils leur font. Il m’attire un peu plus et sa bouche les remplace. L’un après l’autre il les savoure et si une main s’occupe de l’orphelin, je sens l’autre qui descend doucement le long de mon ventre et se plaquer… Je gronde de ses caresses. Moi aussi je lance une main vers sa verge. Il bande. C’est comme si son érection ne s’était pas arrêtée.


Mais il se lève, me pousse sur le canapé et plonge entre mes cuisses. Son souffle est chaud, ses lèvres brûlantes, sa langue, un serpent qui se glisse partout. C’est à mon tour de le regarder. C’est à son tour de lever les yeux vers moi.

C’est promis je ne dirai plus jamais du mal des pornos sur internet et de leurs effets néfastes sur notre jeunesse. Sékou a dû regarder, essayer, répéter, tester sur ses copines et je comprends maintenant pourquoi chacune de ses conquêtes, même quittée pour une autre, faisait des compliments sur ce jeune homme. Je ne suis pas comme lui. Il y a longtemps que j’ai abandonné toute retenue pendant l’amour sachant combien les hommes aiment nous entendre les encourager et crier notre plaisir.


Et je l’encourage :



Et aussi le « Ahhhh » alors que je coule tout en bloquant son visage sur ma fente.


Ses tresses rasta sont soyeuses. On dirait une chevelure féminine, mais ce qu’il me montre en se levant et se plaçant sur moi, n’est pas de cette nature.

Déjà son sexe est sur le mien. Je m’ouvre aussi bien en esprit que réellement en écartant les cuisses afin qu’il se positionne facilement. Je le sens qui avance. Je suis si lubrifiée et ouverte que son gros chibre glisse sans effort. Une poussée continue qui m’ouvre pour envelopper de mon mieux ce bâton de chair, lui, aussi gluant que chaud.


Il me domine, faisant un pont de son corps, les pieds au sol, les mains sur le dossier du canapé. Il me possède avec de lents coups de reins. Son torse sombre est à peine souligné par ses deux petits tétons. Mes mains se plaquent sur son torse, caressent les pectoraux sans le moindre duvet. Je tourne autour de mon but et puis comme pour un sein de femme, je l’effleure avec ma paume, testant sa souplesse.


Il s’arrête de bouger. Je me soulève assez pour que ma bouche puisse venir se saisir de cette petite pointe et je le suce comme on tète un téton de femme. Il est surpris, probablement qu’aucune de ses copines ne l’a caressé ainsi. Probablement qu’avec elles il aurait refusé prenant cette caresse comme pas assez « mâle » . Mais moi, il me sait cochonne et expérimentée. D’ailleurs… d’un coup de reins, je le bouscule et le pousse sur le canapé. La seconde suivante, je le chevauche. Son torse me sert d’appui alors que je m’accroupis sur son bâton et me laisse descendre dans un mouvement délicieux.

La position est bien plus inconfortable que celle de la cavalière assise, mais elle permet plus de « fantaisie » sans parler que l’homme à une vision parfaite sur sa bite qui apparaît puis disparaît ce qui donne une touche plus vicieuse.


Je me baise avec délice sur cette tige qui me remplit parfaitement. De son côté, il me caresse les seins, me tord les tétons et n’hésite plus à le faire avec force après que je l’encourage par :



Ma demande n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Il tire si fort que je suis obligée de me pencher encore plus vers lui faisant explorer à son mandrin des zones vierges de mon vagin. Il est beau avec son visage d’encore ado, mais dont les crispations sont celle d’un homme qui a du plaisir.


Et puis il bouge. À son tour, d’un coup de reins, il se redresse, mais au lieu de me coucher, il se lève en m’entraînant avec lui. Debout, il me soutient. Moi, je me suis accrochée en catastrophe avec mes bras et par mes jambes que je croise autour de ses hanches. Je sens ses mains sur mes fesses qui bougent. Il me fait monter et descendre. Il me cheville. Il marche dans la pièce. Chacun de ses mouvements est une caresse. J’ai l’impression que si je me lâchais, je resterais en lévitation, juste retenue par ce pieu de chair qui me brûle.


Mais il trouve la table, m’y dépose avec délicatesse, me fait allonger et, toujours planté en moi, me soulève une jambe après l’autre pour la poser sur ses épaules. Il bouge si fort que je glisse sur le formica brillant, accompagnée par des grincements du meuble. Il m’attrape les deux poignets et me voici une chose qu’il attire à lui pour me baiser dans un rythme effréné. La pièce résonne de nos bruits. Nos respirations, le claquement sec de nos chairs, du clapotis de plus en plus distinct à mesure que le plaisir me fait couler.


Il me lâche les bras. C’est les chevilles qu’il enserre maintenant faisant un V ouvert. Comme dans un réflexe, ma main va à la rencontre de mon clitoris. Je me caresse et je sens aussi son mandrin me frotter alors qu’il plonge ou ressort. Mais il s’arrête. Je le regarde. Nos regards se croisent. Il est redevenu un gamin, d’ailleurs il demande :



Il baisse les yeux. Est-ce par timidité ou plutôt veut-il me montrer l’objet de son désir. Il veut me prendre par mon petit trou. Il sait, bien sûr, que ce chemin est « praticable » . Il a bien vu mes amants l’utiliser à leur guise dans la vidéo qu’il a prise. Je souris.



Remarque qui doit lui faire plaisir. Les hommes sont obnubilés par la taille de leur sexe. Même Éric qui m’avait parlé de « » Mâle mieux monté que lui » pour me proposer d’autres hommes. Nous les femmes sommes moins sensibles à cet argument. Le savoir-faire est primordial bien que ce soit plus facile avec un beau mandrin.

Petit mensonge, car mon cul en a connu des possessions. Avec le sauna et les visites de Raphaël, je ne compte plus le nombre de fois où on m’a enculée. Depuis notre « pause », j’ai remarqué qu’Éric était encore plus attiré par ce chemin. Chemin plus étroit, surtout si un gode occupe la chatte.


Sékou n’est pas dans cette philosophie. Il laisse son dard trouver le chemin. Mes jambes écartées laissent son regard vérifier. Il appuie un peu. Il me regarde ! Un battement de paupières lui donne le feu vert. Il appuie un peu plus, encore un peu. Et puis, comme toujours, le sphincter cède à la pression. Il doit être humide de mes jouissances.

Le sourire de Sékou fait plaisir à voir. Je pourrais lui demander si c’est sa première fois. Mais je ne veux pas que… Ohhhh ! La glissade est parfaite. Mon ventre s’ouvre sans grande résistance. Il est surpris que déjà son ventre heurte ma fente. Il me regarde à nouveau.



Il continue. Très vite il se laisse aller. Il est beau. Jeune, beau, puissant, voilà un homme qui va faire des ravages. Nombreux sont les maris candaulistes qui cherchent des partenaires noirs pour leur épouse. Ce type d’amant est chargé de symbolique encore plus que la recherche de grosses bites.


Je le regarde. Il transpire. Des gouttes de sueur coulent sur son torse traçant de délicats sillons qui disparaissent vers son ventre. Il se tient droit, ses mains tirant mes jambes et me possédant uniquement par des coups de reins.

Il est beau. Ma main déclenche une jouissance, une de ces jouissances qui laissent couler assez de liqueur pour irriguer son mandrin. Mais il n’a pas besoin de lubrifiant. Mon cul est un boyau étroit, mais inondé.


Il accélère. Je vois à son visage que son plaisir arrive. Il gicle. Il continue de me baiser tout en crachant un foutre qui déborde à chaque retrait. Dieu, que c’est bon ! Il me libère. S’allonge sur moi. Son corps est brûlant. Alors je lui dis ce que tout amant aime entendre :



Son sourire fait plaisir à voir.



Il aurait bien continué. Mais il ne faut pas exagérer. Ma conscience commençait déjà à me faire des reproches : « Traînée, tu n’as pas honte ? Un gamin… De l’âge de ton fils… Et ne me dis pas que tu étais obligée… Il était déjà dehors que tu… »

On se rhabille. Je range les fleurs et les chocolats dans un placard. Je ne peux pas rentrer avec ça, déjà que ma tenue pourrait questionner mon mari.



Moi aussi j’aurais bien aimé.


Il est devant la porte. J’attends qu’il parte pour fermer derrière lui. Il veut m’embrasser, mais je refuse. Je passe juste ma main sur son visage dans un geste de tendresse dont je ne sais s’il est celui d’une maîtresse ou d’une femme envers un enfant. Il me saisit la main pour l’embrasser. Merde, il est trop beau et ce qu’il est « chou » !



Il rit de sa plaisanterie sachant qu’évidemment avec moi ils étaient à poil.



Devant Sékou, je ne veux pas faire l’étonnée, aussi je conclus :





**********




La rue est passante avec beaucoup de voitures en stationnement. J’ai emprunté la camionnette anonyme du lycée pour ne pas me faire repérer avec ma voiture. Je suis arrivée vers 11 h et depuis j’attends. J’attends et je gamberge. Depuis que Sékou m’a donné cette information, je ne cesse de me poser des questions. J’aurais à la rigueur compris que Raphaël aille voir mon mari, après tout nous avions sympathisé, mais je ne comprends pas pourquoi il est accompagné par son complice « Dan » . Si c’était pour révéler nos rencontres, pourquoi deux fois ? Deux fois que Sékou a vues, mais peut-être qu’avant déjà ! Éric rentre presque toujours pour manger à la maison, il a des problèmes d’allergie.


Le voilà. 11 h 45. Il entre sans me voir. Me voici espionne ? Inquiète ? Non, pas vraiment ! Curieuse surtout ! Je me dis que si Éric est informé de mon infidélité cela ne l’a pas perturbé outre mesure. Mais j’en doute.

Alors pourquoi ? Peut-être que Sékou a divagué. En tout cas, je le saurai bientôt. Dans le rétroviseur, je vois une voiture se garer. Bingo ! Les deux complices en sortent et… oui… Ils traversent pour aller vers ma maison. La porte s’ouvre au bout de deux secondes à peine, preuve que mon mari les attendait. Donc Sékou avait raison. Mais alors pourquoi ? Est-ce qu’ils organiseraient notre retour dans le circuit. Un espoir m’étreint. Si Éric reçoit Raphaël comme cela, c’est qu’il a dépassé la période de honte de sa première jouissance par le cul.


Oui, mais alors… Pourquoi tous les lundis et… pourquoi avec Dan qu’il ne connaît pas ?

Et si, comme moi, Éric avait ressenti l’envie de recommencer. Alors, pourquoi ne pas l’avoir dit ? À moins que… non… je gamberge trop… Il était trop mal… Mais, mais avec une énorme jouissance… Et si ? Ils sont arrivés vers 12 h. Trente minutes se sont écoulées. Je ne vais tout de même pas attendre deux heures pour les voir ressortir.

Merde, je suis chez moi et après tout, je peux arriver à l’improviste. Je dirai que je ne suis pas bien…


La porte est fermée à clé, mais j’entre discrètement. Elle coulisse sans bruit. Merci les gonds bien huilés. Je me fais l’effet d’une espionne. C’est presque excitant.

L’entrée est silencieuse. La cuisine à gauche ne laisse filtrer aucun bruit. À droite le couloir pour la suite parentale. Couloir ouvert, aucun bruit. L’escalier qui monte à l’étage, à gauche, rien. En face la double porte débouche dans le grand salon qui fait aussi office de salle à manger.



C’est clairement la voix de Raphaël.



Quoi ? De quoi il parle ? En plus je ne suis pas censée connaître Dan ! Qu’est-ce que c’est que ce…



Je n’entends pas la réponse d’Éric. On vient de me traiter de pute et me déclarer la reine des fellations. Il pourrait réagir.



Tiens, c’est la voix de Dan. Son accent anglais le caractérise. Le ton me surprend. Ce n’est pas comme une conversation, c’est différent. J’avance doucement. D’abord je ne vois rien, mais en avançant encore je… sur la gauche… vers la table… Oh, mon Dieu… Les mots me manquent. Je ne m’attendais pas, même si l’idée avait commencé à germer. En tout cas, pas de cette façon…


Les deux hommes qui sont debout, la bite tendue et Éric aussi nu qu’eux, agenouillé devant eux. Manifestement, il les suce. Une main garde la bite de l’un pendant qu’il suce l’autre. Chacun des hommes appuie sur la tête de mon mari afin qu’il gobe le plus possible de son mandrin. Il a du mal, mon tendre époux, mais pourtant il se laisse faire. Je remarque en passant qu’il bande. Ainsi lui aussi a décidé de continuer. Mais je ne pensais pas de cette façon. Dans cette situation, il paraît la petite lopette que deux hommes utilisent.



« Mummm », accompagné d’un gargouillis lui confirme.


Mon homme branle.

Mon homme suce.

Mon homme se fait baiser la bouche.

Mon homme se comporte comme…



Le pauvre chéri a la gorge pleine de la bite de Dan, ses lèvres se bloquant bien avant d’atteindre les couilles, n’arrivant plus à respirer alors que deux mains puissantes le forcent à rester ainsi. Enfin elles le relâchent. Il reprend sa respiration. Ses lèvres laissent passer des coulures de salive. D’autres mains, celles de Raphaël le guident vers un autre mandrin. Il va lui forcer la bouche, mais il s’arrête.



Alors je vois mon époux faire un « oui » de la tête avant que le mandrin de Raphaël le possède.



Il le fait relever. Le visage de mon mari est souillé comme peut l’être le mien dans mes gorges profondes. Il le pousse contre la table. Il le fait allonger.



Mon mari obéit. Il est évident maintenant que les deux complices ont joué le même jeu avec Éric qu’avec moi. Qui de mon mari ou de mon amant a repris contact ? Peu importe, la progression a dû être identique. Probablement que mon mari a réagi comme moi. Après les premières fois, il a constaté que l’envie était moins forte. Qu’il manquait un piment comme par exemple le regard de l’autre. Pour moi, c’était une évidence, pour Éric peut-être qu’une fois passée la phase de honte, il aurait aimé que je sois présente. Alors Raphaël a proposé des « améliorations » . Pour moi le bandeau, le bâillon, les godes, les liens, sous le prétexte que cela apporte encore plus de plaisir. Et je dois reconnaître que c’était vrai. Et puis l’arrivée de Dan qui a transformé une simple infidélité en luxure

Pour lui, probablement d’abord, un peu comme moi, un début de soumission et puis avec l’arrivée de Dan, une transgression bien plus forte.


L’arrivée d’un troisième dans un couple, et nous sommes bien placés pour l’avoir vécue, change totalement la donne. Impossible de se le cacher, le troisième amène avec lui, le vice, la perversité, la recherche de plaisirs insoupçonnés, mais qui, une fois découverts deviennent une drogue. La transformation de mon mari est manifeste. Il abandonne avec eux son statut de mâle qu’il occupait du temps de nos sorties pour se livrer telle une femelle au bon plaisir de son amant. Raphaël et son complice sont des prédateurs et notre couple leur a fourni des proies de choix. Mais qui s’en plaindrait ?

Moi ? Certainement pas.

Éric ? Ce que je vois m’apporte la preuve que non.


Je le vois ce plug. Enfin j’en vois le disque brillant qui obstrue ses fesses maintenant que ses jambes sont levées comme une offrande.



Raphaël tire sur le métal qui se libère avec peine du sphincter.



Éric acquiesce. Il ne peut nier ce penchant, car dès qu’un black était disponible au sauna, il me le proposait. Mais on parle de lui.



Oui, en attendant je le vois guider sa queue vers l’anus de mon mari. Ils sont de profil, mais les jambes me le cachent et de toute façon je suis trop loin pour bien voir. M’approcher plus me ferait sortir de l’obscurité protectrice de l’entrée.



Raphaël est entré d’une poussée vigoureuse.



Alors c’est comme un déchaînement. Raphaël défonce le cul de mon homme et je sais par expérience que lorsqu’il est dans cet état, il est particulièrement dur et gros, pendant que Dan lui enfourne tout ce qu’il peut de son mandrin.


Si j’étais inquiète du traitement que subit mon époux, je suis rassurée en voyant qu’il se branle, le dard manifestement bien tendu.

Pendant de longues minutes, le trio se démène. On dirait que chacun attend l’autre. Pourtant Dan dans un cri crache son jus dans la gorge de mon mari. Cela semble être le déclencheur, car bientôt tous les signes montrent que la bite qui laboure son cul se libère aussi. Le foutre qui jaillit de la bite maritale a la puissance du jet de Genève.


Tout le monde se relève.

Je m’éclipse discrètement.



Ainsi nous sommes tous les deux coupables. Chacun a continué son chemin sans l’autre. C’est ce qui m’attriste le plus, ce n’est pas que chacun a d’une certaine façon cocufié l’autre, c’est que nous n’avons pas osé en parler.

Moi d’abord ! Pourquoi ne pas lui avoir dit que ce qu’il avait initié par son candaulisme me manquait.

Et lui ? Mais peut-être que pour lui se faire prendre par le cul a été une remise en cause de sa masculinité.

À deux, on avait été si fort. Mieux, le sauna et Raphaël avaient renforcé notre attachement et notre amour qui se délitait au fil des années retrouvait la fraîcheur de notre jeunesse.

Que faire ?


En parler bien entendu.




**********




J’attends le week-end. Il fait beau et une longue promenade en forêt m’apporte le courage de parler. En marchant, côte à côte, je lui prends la main.



Je m’arrête. Nous nous faisons face.



Il m’enlace. Je me love contre lui. Nous ne faisons plus qu’un.



Un court silence.



Éric se détache de moi. On se regarde dans les yeux. Qu’a-t-il compris ? Que je sais ? Que moi aussi, j’ai couché ailleurs ? Il m’embrasse. Mon Dieu, que c’est bon d’être aimée.

On reprend notre marche en silence. Chacun plongé dans ses pensées.


Moi j’en ai une qui devient une obsession. Sékou ! Je pourrais peut-être lui en parler. Éric pourrait regarder, dans la pièce ou caché ! Et peut-être qu’il pourra nous rejoindre. Après tout, cette jeunesse a été biberonnée avec des vidéos de culs où tout est possible. Qu’un mari adore voir sa femme baisée par un beau gars, bien membré et dont la couleur de peau peut réveiller des fantasmes…

« Non, arrête de fantasmer. Tu es sa Proviseure. La déontologie te l’interdit même s’il est majeur. Déjà la première fois tu n’avais aucune excuse si ce n’est le vice de se faire prendre par un beau jeune gars. Plus maintenant. Surtout ce que tu imagines », me dit la voix de la sagesse.


« Mais dans quelques mois, après l’année scolaire, alors tu ne seras plus sa Proviseure », me susurre la petite voix du vice…