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n° 19540Fiche technique15218 caractères15218
Temps de lecture estimé : 9 mn
11/04/20
Résumé:  Richard qui m'a fait découvrir les joies de la sodomie, me fait maintenant aimer les plaisirs de la double pénétration . Mon éducation sexuelle progresse d'autant que ma morale décline.
Critères:  fh extracon fdomine fellation anulingus fgode double fsodo init -totalsexe -extraconj
Auteur : Sabine59  (Femme de 40 ans aimant partager ses aventures)            Envoi mini-message
Première double pénétration

Après cet épisode de sexe où Richard me fit découvrir le plaisir anal, je pris quelque temps pour réfléchir sur mon activité sexuelle qui, outre le fait d’être adultère, devenait de plus en plus torride.

Je ne me sentais pas pour autant coupable et je prenais conscience d’être prête à partir à la découverte d’autres plaisirs.


Je mis ma morale de côté, et le souvenir de ces étreintes bestiales, me rendait toute chose et humide, quel que soit le moment de la journée. Mon ventre réclamait les assauts d’un membre dur et vigoureux, et le sexe conjugal, bien que délicieux, n’arrivait pas à combler mes envies lubriques.

Je voulais, impatiente, poursuivre mes explorations sexuelles, mais je dus attendre deux semaines que Richard rentre de déplacement professionnel pour pouvoir les assouvir.


Je ne me fis pas prier lorsque je reçus un SMS de sa part, me demandant de le rejoindre chez lui, car il avait un cadeau pour moi. Je mis, pour l’occasion un simple chemisier et une jupe longue, sans collants ni bas, jugeant que mes jambes bien épilées feraient l’affaire, avec tout de même un bel ensemble de dentelle rouge, comprenant un soutien-gorge pigeonnant et un joli string assorti.


Je me rendis donc ainsi vêtue chez Richard ou plutôt, devrais-je dire, dans l’antre de la luxure. Tout excitée, je sonnai à la porte et mon cœur s’emballa lorsqu’elle s’ouvrit devant un Richard tout souriant. Il prit quelques secondes pour me déshabiller du regard, ma tenue semblant visiblement lui plaire.



Il m’attrapa et me serra contre lui, m’embrassant goulûment, sa main toujours sur mes fesses, l’autre partant déjà sous le chemisier à la rencontre de mes seins. Il me fit m’appuyer contre une table, sa langue virevoltant dans ma bouche en jouant avec la mienne. Il ne fallut pas longtemps pour que je me retrouve à demi assise sur la table, jupe relevée sur les hanches, mon chemisier largement ouvert et les seins sortis de leur écrin de dentelle.


Richard n’abandonna ma bouche que pour mieux aller gober un sein, le tétant frénétiquement tandis que sa main qui, jusque-là, s’occupait de mes fesses, partit prendre possession de mon sexe, déjà largement humide d’excitation. Il ne s’attarda pas en longues caresses avant d’écarter mon string puis mes lèvres, pour me fourrer deux doigts dans le vagin.



Je m’exécutai rapidement, me retrouvant cuisses grandes ouvertes , allongée sur la table. Deux doigts prirent possession de ma vulve brûlante, la fouillant honteusement, écartant sans ménagement ses parois alors que son autre main posée sur mon cou me tenait en place. Rapidement, ce traitement m’arracha cris et gémissements que, vaincue et soumise, je ne tentais même pas de retenir.



Un troisième doigt vint envahir ma chatte la dilatant encore plus. Je me mis à souffler et crier de surprise et de plaisir à la grande satisfaction de mon mâle. En plus des va-et-vient, il fit tourner ses doigts pour bien ouvrir au maximum mon entrée.


J’étais concentrée sur ces sensations quand, sans prévenir, un doigt s’insinua entre mes fesses pour pénétrer en un seul mouvement ma rondelle me faisant lâcher un :



Richard encouragé ne ralentit pas ses caresses et fit de fermes va-et-vient de ses doigts simultanément dans ma chatte et dans mon rectum. Cette double pénétration ne mit pas longtemps à me faire ressentir un orgasme dévastateur qui n’échappa pas à mon bourreau.



Il me fit quitter la table, retirant au passage mon chemisier, mon soutien-gorge et ma jupe. Appuyant sur mes épaules, il me fit mettre à genoux, nue devant lui. Libérant son sexe, il me le présenta sans surprise à l’entrée de ma bouche. L’odeur de ce sexe me rappela aussitôt nos parties débridées, ravivant des sensations telle une madeleine de Proust. Richard n’eut pas à guider ma tête pour que mes lèvres enserrent cette queue dure et turgescente. Ma langue fit avidement le tour de l’épais gland et le goût envahit ma bouche en même temps que la colonne de chair dure se glissait lentement mais sûrement vers le fond de ma gorge,



Obéissante, je me mis à le pomper goulûment, faisant cogner son gland au fond de ma gorge à chaque va-et-vient, consciente de me comporter comme une vraie chienne digne des films X les plus hards. Nue, à m’employer sur cette tige, la bouche suintante de salive, j’étais loin de mon quotidien de mère de famille mariée et rangée.

Il ne fallut qu’une dizaine de minutes de ce traitement pour que j’entende Richard me dire :



Il se ficha au fond de ma gorge et envoya de longues giclées que je m’efforçai d’avaler, sans avoir le temps de me délecter de ce jus d’homme. Il me fallut déglutir une bonne dizaine de fois, car il n’avait pas menti, ses bourses étaient bien pleines. Vidé, mais pas moins excité, il me fit me relever et me claquant une fesse d’une manière appuyée me dit :



En chemin, il attrapa un paquet bien emballé posé sur la table, que je n’avais pas remarqué jusque-là.



Il passa sa main sur ma fente avant de reprendre possession de ma chatte de ses doigts.

Rapidement, il se mit à me fouiller sans vergogne, ne laissant aucun centimètre carré de ma chatte au repos. Je me mis à tortiller des fesses sous ses caresses et me remis à gémir bruyamment. Il passa un moment à me doigter ainsi, me faisant littéralement dégouliner de mouille. Saoulée de plaisir, je fus soudain tétanisée lorsque sa langue vint se poser sur mon clito. Il l’aspira, le pinça entre ses lèvres, engendrant de profonds coups d’électricité dans tout mon bas-ventre. Des « oh oui, continue, c’est bon, mon Dieu, salaud, non » se déversèrent naturellement de ma bouche



C’est alors qu’un doigt vint jouer avec ma rondelle avant de l’envahir à son tour, m’arrachant un râle de surprise et de plaisir mélangés.



Effectivement, deux de ses doigts dilataient sans difficulté ma rondelle encore presque vierge, il y a peu de temps.



Il fit alors glisser le paquet devant moi que j’eus du mal à ouvrir dans ma position et sous les assauts des doigts fouillant sans ménagement ma chatte et mon cul maintenant. Je reconnus vite l’objet, un magnifique godemichet, moulé sur le sexe de mon amant tant les veinures et la courbure semblaient les mêmes.



La tête dans les draps, les mains écartant mes fesses, il prit le gode et l’introduisit non pas dans ma chatte comme je m’y attendais, mais entre mes fesses, me faisant me tortiller.



Inexorablement, il fit pénétrer ce membre synthétique au plus profond de mon ventre jusqu’à ce qu’il soit entièrement rentré. J’étais rouge sous l’effort et il me fallut quelque temps avant que mes chairs ne prennent la dimension de ce substitut de membre. Une fois en place, il imprima quelques va-et-vient, ce qui me fit crier d’émotion. Mon amant s’employa à trouver le bon rythme et le bon angle pour me faire crier de plus en plus et je me mis à gueuler sous les coups de boutoir.

Richard était aux anges et mes cris lui firent retrouver sa vigueur.



Il m’agrippa alors les hanches et présenta son gland nu à l’entrée de mon vagin. Il me prit directement d’un bon coup de reins, enfonçant son membre dur au plus profond.

Je hurlai de surprise et de plaisir mêlés, subissant ma première double pénétration.

Jamais je n’aurais pensé ressentir une telle sensation d’envahissement, de comblement. Tout se bousculait en moi, les deux membres de Richard, mes barrières morales, les sensations de mes chairs dilatées, le plaisir coupable. Je ne pouvais plus parler tellement j’étais occupée à vocaliser ce trop-plein de stimulations.


Seuls des « Ahhhhh », « Ohhhhhh », « Wouaaah » sortaient de ma bouche à mesure que mon mâle se mit à faire coulisser sa queue en moi, ou devrais-je dire ses queues, car le pervers agitait d’une main son membre synthétique entre mes fesses , synchronisé ou non avec son jumeau.


Je me sentis très salope dans cette position, offerte comme une chienne, aux pratiques les plus salaces de mon amant. Sentiment renforcé par le fait, une fois habituée à la position, que je me rendis compte que Richard me montait à cru. Je percevais parfaitement la chaleur et la texture de son membre aller et venir en moi sans barrière synthétique.


Il me limait le ventre sans préservatif, comme si cela était naturel qu’il abuse ainsi de sa chienne. Je pensais m’être déjà transformée en salope, mais je découvrais à quel point ce mot était sans limites.

Je ne fis aucune remarque et acceptais mon nouveau statut. Avais-je le choix, envahie par deux queues ? D’ailleurs, je ne voulais plus me poser de questions, juste ressentir les choses, et mon Dieu, que je les sentais profondément. La pratique, qui jusque-là était plutôt modérée, se fit bestiale.



Il se mit alors à pilonner ma chatte de sa queue pendant qu’il me défoncer le cul avec le gode.

Je hurlais littéralement sous ses coups de boutoir ne faisant presque plus la différence entre la chair et le latex. Je ne savais plus que vocaliser des « Wouahhh , Wouahhh » en continu et rapidement, des ondes de plaisir irradiaient vers mon ventre annonçant un orgasme d’une puissance jamais explorée.

Richard n’était pas loin du plaisir non plus, à en juger par ses respirations rauques et ses ahanements.

Mon corps fut secoué de puissants tremblements lorsque je jouis comme jamais, fichée sur ces deux queues de l’enfer, lâchant des « Ahhhhhhh » ininterrompus.


Mon étalon en profita pour jeter ses dernières forces dans un pilonnage décomplexé et c’est au son de « Prends ça, sale pute ! », que je sentis son membre se raidir et palpiter en moi alors qu’il déversait au plus profond de ma chatte son sperme brûlant. J’étais sa femelle et il m’avait saillie comme il se doit. Il se retira de moi et je m’affalai sur le lit. Mais à peine mon bassin avait touché les draps, le gode toujours fiché entre les fesses que ma tête, tirée par les cheveux, fut guidée vers le sexe luisant de sperme et de mouille.



Je m’exécutai, semi-comateuse, et bientôt il n’y eut plus de trace visqueuse de nos ébats sur son sexe à demi mou. Il en profita pour s’allonger à mes côtés et me caressa tendrement le ventre.