n° 19542 | Fiche technique | 12025 caractères | 12025Temps de lecture estimé : 8 mn | 11/04/20 |
Résumé: Une première expérience lesbienne pour ma blonde. J'assiste au spectacle... | ||||
Critères: fh ff couple extracon fépilée hotel hmast intermast cunnilingu pénétratio québec -couple+f | ||||
Auteur : PaulB Envoi mini-message |
Et dire que tout cela avait commencé par une discussion bien anodine autour de ton comptoir !
Je m’en souviens comme si c’était hier… Nous étions en mars, un jeudi soir. Cette semaine-là, nous nous étions lancé un jeu, histoire de nous amuser encore plus en faisant l’Amour… Des « suggestions » et des chansons… Nous avons tellement de plaisir en mettant en pratique ces nouvelles positions, en magasinant ce super vibrateur qui te fait jouir si fort, ou encore en savourant ces morceaux de musique langoureux.
Et puis, ce fameux jeudi soir, j’ai lancé l’application pour couple sur mon iPad… Et je t’ai posé cette question, demandant de te noter de 1 à 10, 1 étant tout à fait hétéro, et 10 tout à fait homo. Je ne sais pas si tu as pu voir ma tête alors que tu répondais ! Je t’entends encore :
Ce fut pour moi comme une révélation, une fenêtre ouverte sur un de mes plus grands fantasmes, et que je pensais le moins accessible : te voir faire l’Amour avec une femme !
C’était il y a trois mois, et hier soir, nous sommes passés du fantasme à la réalité…
Comme le reste de nos projets, celui-ci s’est mis en place en douceur, comme une évidence dans notre vie de couple.
Il y a eu des discussions, en respectant les désirs de chacun, des scénarios et des images qui ont alimenté notre imaginaire et nos ébats de ces dernières semaines. Sans prendre toute la place, cette idée nous excitait au fur et à mesure qu’elle devenait plus qu’un simple fantasme.
Finalement, nous nous sommes lancés. La décision de vivre cette expérience à Québec était simple et logique. Anonymat garanti ! Trouver notre partenaire a été tout aussi simple, Internet regorge d’agence d’escortes. Puisque nous avions décidé que je resterais spectateur, je t’ai laissée choisir celle avec qui tu vivrais ta première expérience. Ton choix s’est arrêté sur une certaine Julie, trente-cinq ans, longs cheveux bruns, yeux bleus, aussi grande que toi. Une femme au physique sculptural, qui nous promettait de passer un moment inoubliable.
L’endroit lui aussi a été facile à choisir : le Château Frontenac ! Quitte à passer une soirée mémorable, autant faire les choses en grand ! Nous avions donc rendez-vous hier soir, à 21 h, au bar de l’hôtel. Nous voulions faire connaissance avec Julie avant de monter à notre chambre, histoire de casser la glace comme on dit.
Nous sommes arrivés en avance, après un excellent souper au restaurant Saint-Amour. Autour d’une bière en attendant Julie, je sentais en toi un mélange d’excitation et de nervosité. Nous étions tellement loin de notre fameuse zone de confort ! Mais comme nous avions souvent discuté, nous nous laissions le droit, autant toi que moi de tout arrêter n’importe quand !
Quand Julie est arrivée, nous nous sommes échangé un regard : elle était telle qu’on se l’était imaginée… Raffinée, mais pas trop, habillée avec classe : long manteau au genou, robe et escarpins noirs, et maquillage léger, comme nous l’avions demandé.
La discussion a été légère et agréable, mais nous avions un peu l’impression de tourner autour du pot. Julie, l’habitude aidant, j’imagine, a fini par rentrer dans le vif du sujet : elle nous a posé quelques questions sur ce qui allait se passer, même si nous avions déjà répondu par courriel. Elle nous a dit vouloir s’assurer de ce dont nous avions envie. Nos bières terminées, nous avons pris la direction de la chambre 307.
Tu m’as demandé de te suivre dans la salle de bain, Julie nous attendant dans la chambre. Les yeux rivés aux miens, tu m’as demandé une dernière fois si c’était ce dont j’avais envie. Prenant ton visage dans mes mains, je t’ai répondu que oui, j’en avais même une folle envie ! Puis j’ai rajouté : « profites-en ! ». Nous nous sommes embrassés avec passion, avant d’aller rejoindre Julie. Comme nous avions prévu, je me suis installé sur le fauteuil, face au lit, pour être certain de ne rien rater de la suite.
Julie avait enlevé son manteau, et t’attendait assise sur le lit, dans sa petite robe noire. Un peu gênée, tu t’es approchée d’elle. Vous étiez face à face, vous détaillant du regard. Julie s’est levée, s’est approchée de toi, caressant délicatement ta joue du bout des doigts. Je t’ai vu frémir sous cette première caresse. Vous vous êtes embrassées, d’abord presque timidement, du bout des lèvres, vos mains cherchant le corps de l’autre. Vos bouches et vos langues se sont trouvées, déjà gourmandes. Vos deux robes se sont rapidement retrouvées par terre.
Julie s’est allongée, nue, sur le lit. Tu as pris le temps de la regarder, de la caresser, comme pour prendre la mesure de ce corps, comme un nouveau jouet qui te serait offert. Tu as exploré la peau de son cou, la courbure de ses seins, en agaçant ses tétons bien dressés et durs, tu es descendu le long de son ventre, et dans le creux de ses hanches. Tes doigts se sont risqués sur sa vulve, tout doucement, en l’effleurant presque. Ton visage s’est approché de ce sexe parfaitement épilé, prêt à recevoir tes caresses. Tu as senti, regardé, touché, comme un plat inédit qui te serait servi. Et quelle dégustation tu en as fait !
Tu as tourné alors ton visage vers moi. J’ai vu dans tes yeux ce désir flamboyant que j’adore tant, et tu m’as dit : « profite bien toi aussi », avant de manger Julie à pleine bouche.
Spectateur sur mon fauteuil, je me caressais à travers mon pantalon, ma queue déjà dure à la vue de vos deux corps magnifiques, tendus par le désir. Tes doigts plantés dans son ventre, ta langue torturant délicieusement son clitoris, Julie soupirait de plaisir, les deux mains tenant fermement ta tête.
Profitant que tu reprenais ton souffle, elle t’a attirée vers son visage, t’a embrassée, et d’un coup de reins, s’est retrouvée au-dessus de toi.
Elle t’a enfin débarrassé de tes sous-vêtements, vous étiez nues toutes les deux.
Dominatrice, Julie te maintenait les épaules contre le matelas, tout en caressant son corps contre le tien, en ondulant sensuellement. Je pouvais entendre ton souffle devenu plus court. J’imaginais ton excitation monter en flèche. Tes mains pétrissaient son dos et ses fesses pendant que vos langues se cherchaient, se trouvaient, et dansaient un ballet effréné.
Julie s’est redressée, et s’avançant sur toi, est venue offrir son sexe à ta bouche avide. Assise sur ton visage, je ne pouvais que deviner ta bouche en train de déguster sa vulve trempée. Tes mains ont rapidement caressé ses seins, avant de glisser sur ton ventre, et tu as commencé à te masturber, d’abord doucement, puis de plus en plus vite. Vos deux corps ondulaient au même rythme, marqué par ta langue sur la vulve de Julie et par tes doigts qui s’agitaient sur ton clitoris.
De mon côté, je m’étais déjà débarrassé de mon pantalon et de mon caleçon. Je me branlais en vous regardant, profitant de chaque parcelle de peau étalée sous mes yeux, me régalant de chaque soupir, de chaque gémissement.
Julie, sentant ton plaisir monter trop vite à son goût, abandonna sa position, t’embrassa langoureusement en goûtant dans ta bouche son propre désir, avant de descendre lentement, léchant généreusement ta poitrine, agaçant la pointe de tes seins, puis s’installa entre tes cuisses. Elle commença alors à te manger, d’abord doucement, en te picorant les lèvres, en t’embrassant l’intérieur des cuisses, pour enfin déguster ta vulve, avec gourmandise. Tu tenais tes chevilles dans tes mains pour lui laisser libre cours à ses envies, les jambes largement écartées, impudique et offerte. Ta maîtresse d’un soir faisait monter ton plaisir rapidement, ses doigts agiles agaçant autant ton anus que ton vagin, pendant que sa langue virevoltait sur ton clitoris. Un traitement qui ne te ferait pas tenir très longtemps, je voyais tes muscles se contracter, j’entendais ton souffle court, tes gémissements plus intenses, et, tes yeux plantés dans les miens, je voyais que tu étais à deux doigts d’exploser, tout comme moi.
Mais Julie en a décidé autrement. Inversant les rôles, elle s’est retrouvée à nouveau allongée sur le dos, à son tour offerte.
Tu as plongé, léchant, doigtant, fouillant cette intimité féminine, sans aucune retenue, juste pour le plaisir de ce moment. Julie se cabrait sous tes coups de langue, ondulait du bassin alors que son plaisir montait. Il n’était pas question pour toi de t’arrêter là, mais tu as décidé de prendre ton temps, de faire durer cette bulle de plaisir.
Une petite pause pour que tout le monde reprenne son souffle, moi calmant les ardeurs de ma queue qui ne demandait qu’à gicler devant ces deux femmes magnifiques se donnant du plaisir, Julie se caressant la pointe des seins les yeux fermés, et toi, jouant avec tes doigts sur ses lèvres charnues, ouvertes et rouges. Mais la pause n’a pas duré longtemps !
Deux doigts enfoncés dans son ventre, ta langue attaquant ce clitoris durci par tes caresses, tu as remonté tes fesses, maintenant parfaitement installée pour que j’admire ton cul, impudiquement dressé sous mes yeux affamés. Tu t’es arrêté quelques secondes, t’es tourné vers moi en me lançant :
Je me suis levé d’un bond, me suis installé derrière toi, et d’un coup de reins me suis enfoncé dans ta vulve brûlante et humide. Pendant que je te prenais avec ardeur, et que mon ventre claquait sur tes fesses, ta langue s’activait de plus en plus sur le clitoris de Julie, qui explosa dans un orgasme spectaculaire, ses mains sur ta tête, la bouche grande ouverte. Elle criait son plaisir d’une voix rauque, presque animale.
Ce fut le coup de grâce pour moi, et j’ai giclé profondément dans ton ventre, les mains accrochées à tes hanches, les yeux rivés sur ton visage maintenant tourné vers moi, et sur ta bouche barbouillée du plaisir de Julie. Je me suis retiré, en collant ma queue entre tes fesses. Je t’ai embrassée à pleine bouche, mes doigts agaçant ta vulve trempée de mon sperme.
Julie t’a alors dit d’un air coquin :
Tu t’es allongée sur le lit, et je me suis collé contre toi. Julie s’est à nouveau installée entre tes cuisses. Elle a pris ta vulve à pleine bouche, dégustant mon sperme en même temps que ton désir, le mélange parfait… La langue de Julie s’occupant de ton clitoris, ma langue dans ta bouche, il n’a pas fallu longtemps avant que tu exploses à ton tour. Un orgasme énorme, qui t’a fait hurler de plaisir, et qui semblait ne jamais vouloir s’arrêter. Quand la vague s’est enfin calmée, ton corps s’est détendu, soulagé de toute cette tension accumulée pendant cette soirée.
Nous étions collés l’un à l’autre, les sens encore saturés de plaisir, Julie nous a envoyé un petit signe amical avant de discrètement quitter la chambre. Nous avons échangé des regards tendres et complices, ma tête sur ton épaule, ma cuisse sur ton ventre. Nos corps étaient pleinement satisfaits de cette expérience inédite et extraordinaire. Tu m’as regardé avec des yeux coquins et m’as lancé :