n° 19543 | Fiche technique | 20776 caractères | 20776Temps de lecture estimé : 12 mn | 12/04/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Il y a toujours moyen de se faire son petit cinéma dans une salle obscure... | ||||
Critères: fh fhh hplusag inconnu cinéma intermast pénétratio -couple+h | ||||
Auteur : Patrik (Carpe Diem Diemque) Envoi mini-message |
J’ai déjà raconté des histoires proches de celle-ci.
Mais comme le sujet m’amuse, je vous présente ce nouveau récit gentillet.
Bonne lecture :)
Je suis en couple avec Pierrette, depuis presque dix ans dont la moitié légalement. Contrairement à bien des hommes, j’ai l’immense chance d’avoir une femme toujours sexuellement active, malgré les années qui passent et aussi les enfants.
Bien que je ne sois pas du tout malheureux en amour ni en galipette, petit à petit, l’idée qu’elle puisse fricoter avec un autre homme m’excitait de plus en plus. Au début, j’ai cru à une passade, mais cette pensée s’est fermement ancrée dans mon esprit, sans pouvoir la chasser. Alors je me suis renseigné et j’ai découvert que je n’étais pas le seul dans ce cas, tant s’en faut, ce qui me rassure, car je pensais être devenu un étrange pervers.
Les semaines, les mois passent, j’inclus parfois d’autres hommes virtuels dans les divers fantasmes que je propose de jouer à ma femme. Puis un beau soir, Pierrette finit par m’avouer que ça ne la dérangerait pas trop de tenter l’expérience de façon soft, mais que ce n’est pas elle qui fera le premier pas…
Demi-aveu qui n’est absolument pas tombé dans l’oreille d’un sourd !
Après avoir casé les enfants chez leurs grands-parents, pour cause de sortie en amoureux au cinéma, je demande à ma chère et tendre de mettre une jolie robe bien décolletée. Depuis longtemps (bientôt dix ans, si vous avez bien suivi), elle sait que je suis un ignoble profiteur et aussi exhibiteur de ses charmes, et comme ça l’amuse aussi d’être à son avantage, elle accepte très souvent de s’habiller sexy, en dehors de sa famille et de ses proches.
C’est justement le résultat qu’elle est en train de me montrer :
Oui, une bien belle robe violette, fortement moulante, avec un décolleté, oscillant entre le V et le carré, qui révèle très bien les rondeurs de ma chère femme. Une large ceinture noire, quasiment un serre-taille, pour mieux souligner sa taille et l’arrondi de ses hanches, et plus bas, une coupe droite qui s’arrête judicieusement au-dessus du genou. Quelques centimètres plus haut, j’avoue que ç’aurait fait un peu trop pute… Perso, ça ne me dérange pas du tout, mais tout le monde ne partage ma vision des choses.
Peu après, nous arrivons au cinéma, nous nous installons plutôt en haut, plein centre, comme nous avons l’habitude de faire. Je dépose nos affaires sur le siège vide à côté de moi, un détail qui a son importance. Puis, je capture la main de ma chère femme, mêlant ses doigts aux miens. Bien calée dans son fauteuil rouge, elle me sourit.
Sur l’écran géant, les premières bandes-annonces commencent…
Quelques minutes plus tard, un homme entre dans la salle, puis il monte l’escalier latéral. Il a visiblement la bonne cinquantaine, les cheveux blancs, pas trop bedonnant, avec une certaine allure générale. Flegmatiquement, il s’approche de nous :
Ma femme est assez surprise qu’il s’assoie avec assurance juste à côté d’elle. Pour ma part, je me dis que ce bonhomme doit avoir une certaine habitude, car je n’aurais jamais osé faire la même chose que lui avec tant d’aisance ! J’aurais mis au moins un siège vide avec ma voisine. Je constate au passage qu’il en a profité pour plonger longuement un regard dans le profond décolleté de ma femme. Il a dû être ravi de découvrir ainsi ses paysages !
Tandis qu’il pose sa veste sur le siège voisin, Pierrette se penche à mon oreille et murmure :
Philosophe, je réponds flegmatiquement :
Le film commence, puis au bout de quelques minutes, délaissant sa main, je pose discrètement ma paume sur la cuisse de ma voisine. Pierrette bloque d’abord ma main en me soufflant :
Elle me regarde curieusement, mais ne répond rien. Elle me laisse faire, ma main repousse alors un peu plus sa robe afin de découvrir sa somptueuse cuisse galbée. J’adore caresser les gambettes de ma femme, et pas que cette partie anatomique de Pierrette ! Mais, hélas, je ne suis pas au bon endroit pour visiter les autres délices de ma femme…
Au bout quelques secondes, tandis que le bas de la robe est repoussé afin de bien dégager les deux belles cuisses de ma femme, je crois entendre un bruit de ceinture qu’on défait.
Peu après, ma femme se penche sur moi et murmure :
Je repousse encore plus le tissu. Elle proteste :
Malgré la semi-obscurité, Pierrette voit bien à mon air que je ne rigole pas. Je constate qu’elle est en train de cogiter à fond, se demandant ce qu’elle doit faire. Néanmoins, elle laisse ma main continuer sa caresse sur sa cuisse, écartant même légèrement les jambes.
Détournant la tête, elle jette un coup d’œil vers mon soi-disant complice. Puis elle s’adresse à nouveau à moi :
À mon grand soulagement, elle accepte ce que son voisin est en train de faire. D’un œil intéressé et curieux, elle le contemple en train de se branler. Alors je tente de passer à l’étape suivante, alors je me penche à l’oreille de ma femme :
Aussitôt, elle se tourne vers moi, interrogative, avec un léger sourire sur ses lèvres :
Elle plisse un peu les yeux, sans doute pour mieux lire sur mon visage. Il y a comme un flottement. Puis quelques secondes plus tard, la main de ma femme disparaît chez son voisin. J’entends peu après un gros soupir. A-t-elle osé prendre son énorme chibre en main ?
En tout cas, c’est la fête dans mon pantalon dont le chapiteau est tendu à mort !
Ayant toujours ma main sur sa cuisse, je ressens une légère vibration, des petits va-et-vient. Il ne faut pas être polytechnicien pour deviner ce qui est en train de se passer. Manifestement, ma femme branle actuellement un parfait inconnu !
Inconnu que j’ai quand même placé sciemment à côté d’elle, je l’avoue…
L’excitation de savoir que Pierrette, ma Pierrette, se dévergonde à poser les doigts sur une autre verge que la mienne est tellement forte que ça en devient insupportable ! L’horreur ! Je n’imaginais pas qu’une simple pensée puisse avoir tant de pouvoir !
Je veux en avoir le cœur net, alors je regarde attentivement. Oui, la menue main de ma femme est en train de branler une grosse queue bien raide ! Je constate que mon comparse en a une plus grosse que moi. Il m’avait dit que la nature ne l’avait pas oublié. Beaucoup d’hommes aiment se vanter de leur cinquième membre. Là non, ce type a effectivement un sacré machin dans le caleçon ! La main de Pierrette n’arrive même pas à en faire le tour, c’est dire !
Ma femme a toujours su s’y prendre pour faire des branlettes, et elle déploie sa science sur cette queue inconnue. Plusieurs fois, en rigolant, elle me dit qu’en branlant très souvent ma bite, ça lui évitait de devoir écarter les jambes et de devoir ensuite essuyer tout mon sperme. Pierrette sait comment donner du plaisir, du très bon plaisir, et c’est bien ce qu’elle est en train de faire à son voisin, qui apprécie énormément sa dextérité en la matière !
Les gémissements de son voisin se font de plus en plus assourdissants. Complètement dans son rôle, ma femme accompagne chacun de ses soupirs en montant d’un cran à chaque fois ! Décidément, Pierrette est une vraie petite salope, y compris avec les autres hommes ! Cette simple pensée me fait bander à mort, j’ai même l’impression que mon engin va se déchirer, va exploser !
Réunissant assez de force pour rester sous contrôle, je glisse ma main entre ses cuisses pour découvrir que sa culotte est trempée. Alors, d’une voix rauque audible aussi par son voisin, je dis à ma femme :
Et paf dans les gencives, bien fait pour moi ! Juste après sa réponse, mon complice extirpe un grand mouchoir de sa poche, signe qu’il va bientôt jouir. Le voyant faire, ma femme lâche aussitôt sa colonne de chair. C’est alors que la voix autoritaire de son voisin retentit sourdement :
Je ne saurais dire pourquoi exactement, mais cette phrase, le ton employé, cette scène, tout ceci se grave définitivement dans ma mémoire ! Dans dix ans, vingt ans, trente ans et même plus, je sens, je sais que je m’en souviendrais dans les moindres détails.
Alors, sans complexe, me tournant à présent le dos, ma femme fait face à son voisin, et de son autre main, elle continue le travail commencé. Durant ce temps, l’homme a les yeux rivés dans le décolleté de Pierrette, voyant deux belles rondeurs légèrement gélatineuses s’agiter en duo sous le rythme de cette branlette expérimentée !
À nouveau, les gémissements ont repris, puis se sont accélérés. Quelques instants plus tard, un râle explose sourdement, tandis qu’un premier jet fuse dans les airs pour aller se perdre, je ne sais où. Le suivant va se perdre dans le mouchoir, tandis que ma femme ralentit petit à petit son mouvement, tout en serrant la grosse tige afin de bien la vidanger, de la dégorger. Quand l’homme est vidé, Pierrette expulse consciencieusement les dernières gouttes en un long mouvement de traction, puis une fois la verge asséchée, elle libère la tige qui se ramollit déjà.
Son voisin lui sourit tout en soupirant bruyamment :
Se frottant les mains avec un mouchoir en papier, ma femme se tourne maintenant vers moi :
Après quelques arrangements, l’homme referme son pantalon, se réajuste, puis se lève :
Il s’incline légèrement devant Pierrette, il me salue aussi. Puis lentement, à pas mesurés, il s’éloigne dans la rangée. Arrivé au bout, il descend l’escalier latéral, s’enfonçant dans l’obscurité de la salle. Peu après, il sort définitivement de la salle.
Une fois le quinquagénaire disparu de notre regard, se penchant vers moi, particulièrement survoltée, ma femme attaque aussitôt :
Sa réaction spontanée me désarçonne et m’enchante en même temps :
Sans me demander mon avis, elle s’active sur ma braguette :
Quand ma femme prend la direction des opérations, c’est rarement bénin ! Libéré, mon sexe se dresse fièrement. Le voyant jaillir de sa cachette, ma femme fait la moue :
Et sans attendre une seconde de plus, elle s’empale directement sur ma verge bien raide. C’est avec délectation que je m’enfonce sans effort dans sa chatte si détrempée. Dieu que c’est bon ! Même si ça va faire bientôt dix ans que je connais par cœur cet endroit si intime ! Oui, c’est chaud, c’est doux, c’est extra juste comme il faut ! On est si bien en elle !
J’imagine ma queue complètement engloutie en elle, j’adore posséder cette femme en chaleur, la pénétrer au plus profond de son intimité. De ses doigts fins et agiles, Pierrette commence à se masturber, tout en ondulant autour de ma queue. Quant à moi, je goûte le plaisir ultime d’être à fond en elle, tandis que je sers de pivot à une femelle qui en veut !
Tandis qu’elle est rivée en moi, je repense fugacement à ce qui vient d’arriver, cet inconnu qu’elle a branlé sans difficulté. L’aurait-elle sucé si je lui avais demandé ? Aurait-elle accepté sa grosse bite que la mienne dans sa chatte ? Aurais-je un jour une réponse à ces questions ? J’ai beau serrer les dents, tenter de penser à autre chose, mais je sens, je sais que je ne vais pas tenir longtemps !
Ma femme est une salope capable de donner du plaisir à d’autres hommes et sous mes yeux !
C’est alors que cette garce remue voluptueusement du bassin dans lequel je suis si bien enfoncé, ce qui déclenche aussitôt un flot de sensations extraordinaires, une vague délirante, un tsunami d’étincelles contre lequel je ne peux rien !
Les vannes s’ouvrent, irrésistiblement. Me relâchant totalement, je me déverse complètement, noyant tout sur mon passage, tandis que j’entends à son tour jouir cette femme qui est sur moi. Oui, j’ai déjà joui en elle de diverses façons, mais ici, là aujourd’hui, dans cette salle obscure, ça dépasse tout ce que j’ai pu connaître ! Mais autrement, je ne saurais l’expliquer…
Oui, j’ai bien fait de planifier tout ça, ça valait largement le coup de tenter l’expérience, et d’y consacrer du temps. Telle est ma dernière pensée avant de sombrer dans un repos réparateur, mais que j’espère bref…
Avachie sur son fauteuil, plongée dans une semi-obscurité bienfaisante, ma belle dévergondée somnole, récupérant petit à petit de sa grosse jouissance. Tandis que je reprends lentement des forces, je constate que cette garce a tenu parole, tout mon pantalon est maculé de sperme !
À ce moment, elle ouvre un œil, et se marre carrément devant mes efforts pour nettoyer ce carnage gluant. Elle glousse :
Ah oui, les poils, je n’avais pas fait attention, ça s’est incrusté dedans ! Ah quel bordel !
Au bout de quelques minutes acharnées, j’arrive à enlever le plus gros, mais il reste une belle tache sur le devant de mon pantalon ! Encore heureux que ma femme se balade toujours avec plein de mouchoirs en papier dans son sac !
Un peu après, je reçois un SMS assez cru :
Je fais lire le message à ma femme qui fait la moue :
Deux minutes plus tard, un autre SMS arrive :
À la vue de ce nouveau message, ma femme sourit d’un air canaille :
Cette autre phrase, le ton employé, son sourire vicieux, tout ceci se grave aussi définitivement dans ma mémoire jusqu’à la fin de mes jours !