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n° 19544Fiche technique10762 caractères10762
Temps de lecture estimé : 7 mn
12/04/20
Résumé:  Les choses se mettent en place...
Critères:  fh ff rousseurs hotel voyage conte
Auteur : Dalibor            Envoi mini-message

Série : Promotion canapé

Chapitre 01
Nadube

Préambule


Nadube et Henri Lèvela, un couple d’employés, dans la force de l’âge, sont au bord du gouffre financier, elle a un petit salaire comme employée de bureau et lui est au chômage depuis 5 mois, les traites s’accumulent lentement, mais sûrement.

Georges Dutrou, le patron de Nadube est au courant des difficultés du couple, mais de son côté, il est un peu fatigué de son épouse Marika, qui manque de motivation matrimoniale. En parallèle, les estimations professionnelles de Nadube ne sont pas excellentes.


Lors d’une fête de l’entreprise, il tombe sous le charme de Nadube et il lui propose d’en faire sa maîtresse. Flattée d’un côté de sentir l’intérêt de son patron et choquée dans sa morale, elle ne sait pas trop que faire. Le reste est à lire.




Dans le bureau du patron.



Une fois l’employée renvoyée à son travail, Monsieur Dutrou discrètement se met la main sur le pantalon en pensant : « Cette petite m’excite comme pas possible, je peux bien croire qu’il ait voulu se la faire, mais c’est pas du lard pour ta couenne Jérôme, mais pour moi. Comment je vais faire pour l’amener dans mon lit, il faut que je la prenne personnellement en main, un changement de secrétaire s’impose ».




La fête



Pendant un mois, les relations entre Nadube et Jérôme l’ingénieur en chef se sont réduites au minimum nécessaire et à la politesse indispensable, puis vint l’annonce de la fête de l’entreprise, à laquelle chacun fut invité avec son conjoint ou compagnon.

Le repas, préparé par un traiteur de renom, fut simplement délicieux, sans oublier les vins, plutôt mi-secs, le tout suivi d’une série de forêts noires très légères. Le maître de cérémonie annonça que la musique allait permettre à chacun de dépenser un peu les calories engrangées par les agapes, il invitait les couples à envahir l’espace de danse. Un joli paso-doble permit à mon cher époux de m’assassiner les arpions. En rentrant, je vis que le directeur s’était mis à notre table et à la musique suivante, il s’inclina devant moi pour la danse suivante alors que son épouse se faisait inviter par mon époux. C’est au cours de cette valse anglaise qu’il me fit part de ses intentions :



La danse se terminait et nous retournâmes vers nos places tout comme nos conjoints respectifs et je remarquais que mon époux était un peu perturbé, mais je ne m’y attardais pas plus que cela.

À la danse suivante, un peu violente, le directeur ne tenant pas à faire l’acrobate prétexta de faire un tour pour voir si tout allait bien et de suite, l’apprenti qui me fait toujours les yeux doux se précipita pour m’inviter à danser. J’aime bien danser et je sais que mon époux pour certaines danses, c’est pas cela. Aussi Jacot m’entraîna sur la piste et là, il s’en donna à cœur joie et j’en ressortis pleine de transpiration, pratiquement dégoulinante. Cela appelait les toilettes pour me rafraîchir.


Plus présentable, je regagnai la table alors qu’une série de slow s’annonçait et que le directeur revenait de sa tournée d’inspection. Sans hésiter, il me redemanda de l’accompagner sur la piste de danse, alors que mon mari s’apprêtait à faire de même, mais il a toujours un temps de retard alors, il se retourna vers Marika pour aussi l’inviter sur la piste de danse.


Après quelques pas de danse, je sentis son souffle sur le cou, j’étais un peu gênée, vu que j’avais transpiré d’importance, jusqu’à ce que je sente une barre dure me labourer le pubis, pas de doute, il bandait pour moi. J’étais d’autant plus flattée que troublée, mais la gêne avait disparu.



Après une courte étreinte bien marquée, où je sens bien son hommage appuyé sur ma minette, on rentre à table pour boire encore un verre. La fête tire à sa fin, les couples légaux se reforment pour la dernière danse, je ne peux m’empêcher de taquiner mon cher époux.




Chez les Dutrou




Alors que…




Chez les Lèvela



…ce n’était pas aussi clair.