n° 19547 | Fiche technique | 35175 caractères | 35175Temps de lecture estimé : 21 mn | 13/04/20 |
Résumé: Un couple fait la rencontre d'une autre femme. Une rencontre anodine au départ. | ||||
Critères: fh ff ffh couple extracon vacances forêt cunnilingu anulingus fsodo confession -couple+f | ||||
Auteur : Philippe Vincent |
Je suis technicien de production sur un site industriel situé à proximité des Cévennes. Je travaille, dans un atelier de production, en poste. Je fais partie d’une équipe, nous sommes chargés de surveiller la production, de faire des tests sur le produit afin d’intervenir si besoin sur les réglages des machines.
Toutes les fins de poste, un point est effectué avec le chef de secteur, étant nouveau dans cette usine, je ne connais pas tout le monde. Dans mon secteur, le responsable est une femme. Suite à la réunion de fin de poste, nous quittons la salle ensemble, elle pour aller à son bureau et moi pour aller aux vestiaires. Nous engageons une discussion sur le temps exceptionnel de ce mois de février. Je lui dis qu’étant motard, je profite de cette météo clémente pour découvrir le coin. J’apprends qu’elle est motarde, mais que depuis son divorce elle ne pilote plus.
Ma femme et moi sommes des passionnés, nous pilotons tous les deux. Ma femme, Sylvie, est jeune conductrice, mais avec déjà une solide expérience, moi ça fait dix ans que j’ai le permis. Sylvie a contracté le virus suite au remplacement de mon « 600 Bandit » par une « 1000 Fazer ». Elle a pris goût aux balades et aux accélérations de l’engin et comme elle est très indépendante, elle a passé le permis.
Sylvie mesure 1,68 m, c’est une femme plutôt forte. Elle n’est pas grosse, elle a ce qu’il faut où il faut, un 90D bien rempli et son pantalon de moto fait ressortir sa belle paire de fesses et, à quarante ans passés, elle est très épanouie. Elle travaille dans l’administratif, passionnée par son boulot dans les ressources humaines, elle fait de grosses journées. Chaque fois qu’elle le peut, elle chevauche son engin et enchaîne les kilomètres.
À l’approche de l’été, la chef de secteur, Harmony, m’annonce qu’elle a acheté un roadster. Je lui propose de nous accompagner lors du prochain week-end pour une balade sur les routes sinueuses cévenole vers Florac.
Le dimanche matin, nous nous sommes donné rendez-vous dans Anduze. Arrivé sur place, je fais les présentations et nous échangeons sur le parcours autour d’un café.
Nous partons d’Anduze, direction Saint-Jean-du-Gard avant de prendre la route de Florac via Saint-Étienne vallée française. La route est propre, elle est sinueuse avec des virages lents et des courbes rapides par moment, on se régale, la circulation est quasi inexistante. Nous faisons quelques poses photo, car les paysages sont magnifiques, la lumière est extraordinaire. La route suit une vallée avant d’arriver sur le plateau, à l’approche de Florac la route est un peu plus rapide, c’est un plaisir.
Arrivé à Florac, nous nous garons sur la place, et on s’installe à la terrasse d’un restaurant, tout en discutant de nos impressions sur le parcours. Nous passons commande en échangeant sur la carte. Après avoir bu notre apéritif, nous dégustons des plats régionaux, l’ensemble est très savoureux.
J’ai remarqué que le courant passe très bien entre Sylvie et Harmonie. Je dois dire que cela me surprend un peu, car Sylvie est plutôt quelqu’un de réservé et qui ne se confie pas à la première rencontre, c’est l’effet moto, on est une famille ! Tout en participant à la discussion, j’en profite pour mater Harmonie. C’est une femme qui doit mesurer dans les 1,60 m, pour 65 kg avec une poitrine qui me semble fort honorable. J’ai du mal à estimer, car le t-shirt qu’elle porte est un peu large, mais je dirais un 85C. Elle a les cheveux poivre et sel avec quelques mèches blondes, coupés en carré sur les épaules et des mèches qu’elle balaie sur le dessus de son visage qui affiche toujours un sourire.
L’après-midi nous roulons en direction d’Ales, via la N6 et, à l’occasion d’un arrêt pour faire le plein, Harmonie nous invite chez elle pour boire un coup.
Elle habite une villa, en bordure d’un village, avec jardin. Nous faisons connaissance de ses deux enfants, un garçon, une fille, deux ados. Autour d’un verre bien frais, nous passons en revue les paysages et les coins que nous avons pu voir tout au long de la journée, notamment un endroit à proximité d’une rivière où il doit être fort agréable de squatter l’été pour se faire bronzer, et plus si affinité… Nous envisageons de nous revoir pour faire de nouvelles balades, toujours dans les Cévennes, pour découvrir d’autres endroits entre les montagnes et les plateaux zébrés de vallées pittoresques.
Quelques jours après, alors que nous sortons de briefing avec Harmonie, tout en allant prendre mon poste, je lui annonce que Sylvie m’a accompagné à moto, car elle ne travaille pas cet après-midi.
Le soir, je rentre à la maison et Sylvie m’attend sur la terrasse, au bord de la piscine, en sirotant un mojito. Je l’embrasse tout en lui caressant les épaules et la nuque.
Nous passons à table, tout en mangeant, elle me raconte sa balade et sa journée. Après avoir pris le café, les températures sont encore élevées, je décide de me baigner. Je quitte mes vêtements et je descends directement dans l’eau, Sylvie me rejoint, elle conserve son paréo pour s’asseoir sur les margelles. Pendant que je me détends en faisant quelques longueurs, elle me parle d’Harmonie.
Tout en discutant, Sylvie balance ses pieds dans l’eau, de là où je suis, je peux voir qu’elle n’a plus le bas de son maillot. Tandis qu’elle continue à parler, je décide, de la rejoindre en faisant un sous-l’eau, je sors la tête pile-poil entre ses cuisses. Je lui embrasse l’intérieur des cuisses en partant des genoux, elle arrête de parler, elle me caresse les cheveux. Je continue ma progression vers son trésor, elle stoppe ses caresses pour s’appuyer sur ses mains en arrière, elle écarte les cuisses. Du bout de ma langue je viens caresser ses lèvres intimes et dégager son clitoris de son petit capuchon. Je fais des allers et retours entre le sexe et le clitoris de Sylvie. Elle commence à gémir de plus en plus fort, elle remonte ses cuisses et appuie ses pieds sur les margelles. J’insiste sur le pourtour de son sexe tout en le pénétrant de la pointe de ma langue. L’inconfort de la pierre l’oblige à se relever, elle me prend par la main et se dirige vers la table, elle y installe un matelas de chaise longue avant de se mettre dans la position qu’elle avait au bord de l’eau. Ma langue retrouve le parcours, partant de son clitoris vers son sexe. Cette fois elle ne s’arrête pas et poursuit jusqu’à son petit œillet puis remonte vers son sexe avant de repartir de nouveau vers son anus ; cette zone est très érogène chez Sylvie, sa respiration s’accélère. Je garde un rythme volontairement lent et insiste sur ces deux orifices avec le bout de ma langue.
Sylvie se relève sur ses coudes, alors qu’elle est au bord de l’orgasme et me réclame une pénétration. Je me redresse, présente mon sexe au bord de ses lèvres, Sylvie m’attire à elle en m’encerclant avec ses jambes. Je la pénètre totalement avant d’entamer des va-et-vient les plus longs et réguliers possibles. Elle me réclame plus de vitesse et de force, j’obéis à sa demande, cela provoque chez elle comme chez moi un orgasme, qui nous laisse chancelants. Nous mettons quelques minutes à nous remettre de ce plaisir intense.
Le lendemain matin, lorsque je me lève, je trouve un petit mot de Sylvie qui est déjà partie bosser. Elle me souhaite une bonne journée et m’annonce que ce soir, c’est elle qui s’occupe de moi. Je prends mon petit-déjeuner tout en écoutant les infos sur une chaîne spécialisée et en regardant quelques sites sur mon téléphone. Je fais un peu de sport et quelques étirements avant d’aller me doucher. Lorsque j’arrive au boulot, je croise Harmonie qui me salue sans plus d’échange, car nous ne sommes pas seuls. Vers dix-huit heures trente, je reçois un MMS de ma douce, qui est au bord de la piscine qui porte pour seul vêtement son paréo et qui me précise « ne traîne pas ». C’est ce que je fais, à vingt heures je suis déjà sous la douche et je m’active pour rejoindre ma diablesse. Une fois rendu sur place lorsque le portail s’ouvre, une voiture est là, c’est mon fils et sa copine qui sont venus boire l’apéro. La gâterie au bord de l’eau, ça sera pour une prochaine fois.
La semaine suivante, je suis en poste de nuit, vingt heures/quatre heures, je ne croise pas Harmonie et je vois ma douce que lorsqu’elle rentre après sa journée. Elle adapte ses horaires en commençant plus tôt afin que l’on passe des moments ensemble. Le mardi en rentrant vers seize heures, elle m’annonce qu’Harmonie l’a appelée pour l’inviter à manger avec elle étant donné que je suis de nuit et elles se sont mises d’accord pour le jeudi.
Sylvie s’enferme dans la petite salle de bain du pool house pour mettre son maillot, tandis que moi, je quitte mes habits et vais directement dans l’eau sans passer par la case maillot. Lorsque je ressors la tête de l’eau, je vois Sylvie arriver au bord de la piscine avec juste son paréo qui la recouvre jusqu’aux fesses. Elle rentre dans l’eau, quitte son vêtement lorsqu’elle a de l’eau au-dessus de la taille et se met à nager. Après avoir fait quelques longueurs tout en se croisant, je la laisse me rejoindre, elle s’accroche à mon cou et à ma taille pour me donner un baiser passionné. Pendant ce temps mes mains parcourent son dos et ses fesses. Sylvie commence des mouvements le long de mon corps, ce qui a pour effet d’accentuer mon érection, car mon sexe appuie sur son pubis, cela nous procure beaucoup de plaisir, Sylvie m’offre son cou que je couvre de bises.
Je me retrouve assis sur une chaise longue, les jambes de chaque côté, Sylvie au milieu en train de me sucer. Je lui caresse le dos, je vais jusque sur ses fesses, tout en la gratifiant de mots doux pour ce plaisir offert. Sylvie se décale pour me faciliter l’accès à son intimité, je caresse son sexe qui est déjà bien humide, l’excitation est à son maximum pour tous les deux. Après m’avoir fait allonger sur le transat, Sylvie vient sur moi, elle fait des mouvements amples de haut en bas, mais le plaisir à raison d’elle, elle vient s’empaler sur mon sexe. Alors, je la saisis par les hanches afin d’imprimer un mouvement d’avant en arrière. J’explose en elle, elle suit en poussant des petits cris retenus avant de s’effondrer sur moi. Après nous être câlinés et bisouillés, je prends une douche et file au boulot.
Le jeudi, Sylvie m’accompagne au travail. Après nous être souhaité une bonne soirée, elle fille chez Harmonie. Le lendemain, elle me raconte sa soirée.
Avant que je file, nous avons organisé notre balade du week-end.
Le samedi nous n’avons rien fait d’extraordinaire si ce ne sont les corvées, course, ménage et sieste. Sylvie m’annonce qu’Harmonie vient avec nous faire les gorges du Verdon et qu’elle ne va pas tarder à arriver. Nous terminons la journée par un barbecue à trois, après avoir bu quelques mojitos, nous nous sommes tous désinhibés et nous avons passé une bonne soirée.
Le dimanche, nous sommes allés faire les gorges du Verdon. Nous sommes montés vers Castellane par le côté droit des gorges, Salle/Verdon, Aiguines. Les paysages sont à couper le souffle, il y a des falaises de plusieurs centaines de mètres de hauteur, la route est propre, mais vu l’immensité des précipices nous avons fait cela calmement. Lors des poses photo, qui ont été nombreuses, j’ai remarqué une complicité grandissante entre mes deux accompagnatrices. Comme nous avions amené le pique-nique, nous avons mangé au bord de l’eau lorsque nous sommes arrivés sur le plateau à Trigance. Le retour s’est fait via la route des crêtes, là aussi des paysages à couper le souffle. Nous sommes rentrés tranquillement, nous avions vu des paysages grandioses. Nous avons quand même fait une pose à Moustier-St-Marie. Nous avons fait le retour en partie avec Harmonie afin de lui rendre le retour moins long.
La semaine suivante, Harmonie est en vacances, elle est partie rejoindre ses enfants à la montagne. Nous avons profité des après-midis ensoleillés au bord de la piscine, après la sieste réparatrice. Sylvie et Harmonie sont restées en contact et ont organisé une rencontre la semaine suivante, après que Sylvie m’aura accompagné au boulot. Cet après-midi-là, Harmonie n’est pas venue travailler, ce n’était pas prévu. Le soir, j’ai mené ma petite enquête, mais sans résultat, impossible de savoir ce qu’il s’est passé pour Harmonie, soi-disant que ma femme est partie à 14 h. Sa nervosité me laisse perplexe. En fin de semaine, Sylvie m’accompagne de nouveau et file rejoindre Harmonie pour la pause déjeuner soi-disant. L’après-midi, Harmonie est aux abonnées absentes, ce n’est pas sur son planning. Je m’organise vite fait pour prendre une heure pendant mon poste et file chez elle.
Lorsque j’arrive à proximité de la maison, je stoppe le moteur de la moto à une centaine de mètres afin de ne pas éveiller les soupçons. Je laisse mes affaires sur la moto et me faufile le long de la clôture vers un endroit où je peux voir chez Harmonie. Je trouve un point d’observation à partir duquel je vois les deux filles assises sur le divan. Elles sont face à face et s’embrassent, elles ne portent plus de haut ni une ni l’autre, Sylvie a remplacé son pantalon de moto par une jupette quelle porte à la maison uniquement.
Leur face-à-face est un combat de mamelons, on ne sait dire lesquels sont plus turgescents les uns des autres, leurs mains parcourent leurs corps. Harmonie laisse la bouche de Sylvie et descend le long de son cou vers ses seins, lorsqu’elle les atteint, Sylvie se penche en arrière afin de les offrir à la bouche d’Harmonie qui en profite, pour retrousser la jupette et partir à la découverte de l’intérieur des cuisses de ma diablesse. D’une main, Sylvie tient la tête d’Harmonie plaquée contre sa poitrine, je vois le plaisir intense sur son visage depuis mon poste d’observation. Elle prend le visage d’Harmonie entre ses deux mains, l’écarte pour l’embrasser, le dévorer, elle descend lentement sur la poitrine offerte, elle n’est pas aussi directe que sa compère, mais son intention est la même. Malheureusement je suis obligé de quitter les lieux et de retourner bosser, je suis dans un état second lorsque je suis de retour, tiraillé entre un sentiment de trahison et l’excitation de ce que j’ai vu. En présentant Harmonie à ma moitié, ai-je fait rentrer le loup dans la bergerie ?
Je suis vraiment préoccupé par la situation, j’ai toujours pensé qu’il vaut mieux être cocu par une femme que par un homme, car avec une femme c’est autre chose qu’elle cherche et qu’elle peut trouver, mais bon, c’est cocu ! Le soir en rentrant, je ne sais pas comment réagir, car je ne veux pas tout foutre en l’air, avant de faire et/ou dire quelque chose je dois réfléchir, alors je fais comme si de rien.
Lorsque je rentre, Sylvie est dans le pool house, elle écoute de la musique et regarde son téléphone. Je la salue comme d’habitude par un petit smack, et prends des nouvelles.
La suite de la soirée se termine sur l’organisation des vacances, nous partons faire le tour des « Cinq terres » en Italie, à moto.
Les jours qui ont précédé les vacances, Sylvie n’a plus vu Harmonie et moi je l’ai vue pendant le boulot, les échanges ont concerné le travail et aucune allusion n’a été faite sur nos sorties moto et elle ne m’a pas parlé de Sylvie.
Nous partons le lundi afin d’éviter les routes surchargées des derniers Aoûtiens qui rentrent. Nous ne prenons pas l’autoroute ni les voies rapides, donc ce sera les départementales et quelques nationales pour nous rendre en Italie à Sambuco, notre première étape. Le lendemain nous partons, direction Gênes où nous passerons un jour pour visiter la ville. Notre route nous mène à Savone, où nous déjeunons, à partir de là nous longeons le bord de mer jusqu’à Gênes. Arrivé à Cogoleto, on s’éloigne du bord des plages pour prendre un peu de hauteur et voir la côte d’un autre point de vue. Arrivés sur le plateau, nous faisons une pause en bordure d’une forêt. Sylvie s’enfonce dans ce petit bois afin de satisfaire un besoin naturel. Elle m’appelle afin de la rejoindre.
Lorsque j’arrive à ses côtés, je vois la mer à perte de vue qui se mélange au ciel dans la brume blanche des nuages en formation. Entre la mer et nous, il y a la nature en pente douce, qui malgré la saison est relativement verte, nous ne voyons pas le village, car une colline le cache de notre vue, cette végétation méditerranéenne tombant dans la mer donne une image de carte postale magnifique. Nous décidons de faire une pause un peu plus longue afin de profiter, je vais chercher les affaires restées sur les motos. J’étale la couverture de pique-nique, à l’ombre des pins, la température étant élevée, je me mets à l’aise en tee-shirt et boxer et j’invite Sylvie à faire de même, elle m’imite volontiers. Je ne peux m’empêcher de la dévorer des yeux, car elle s’est exposée au soleil en lingerie, qui comme bien souvent est raffinée et élégante. Tout en discutant, je me suis approché d’elle et commence à l’embrasser sur l’épaule et dans la nuque, quelques frissons apparaissent sur sa peau colorée par le soleil estival, mes mains caressent ses cuisses de l’extérieur vers l’intérieur et s’échappent sur ces hanches.
Elle appuie son dos sur moi et sa tête sur mon épaule, ma bouche passe de sa nuque à son cou et mes mains remontent sur sa poitrine et redescendent vers son pubis toujours couvert par son string vert comme la nature flamboyante. Ma main passe sous l’élastique pour caresser son petit carré de toison, elle passe les siennes dans son dos pour défaire l’attache de son soutien-gorge et libérer sa poitrine gonflée. Je m’empresse de venir flatter ses seins d’abord le droit puis le gauche. Je m’écarte et l’allonge sur la couverture, ma bouche vient honorer les mamelons d’abord avec mes lèvres puis c’est ma langue qui s’entoure tel un serpent sur sa proie, c’en est trop pour Sylvie dont la respiration s’est accélérée.
Ma bouche prend un chemin différent à la descente, j’écarte doucement ses nymphes, lapant son bourgeon, m’insinuant jusqu’à son œillet pour le gratifier d’une feuille de rose. Je fais frétiller ma langue sur son clito à une allure folle accompagnée de mes doigts jusqu’à l’explosion du plaisir chez la diablesse. Elle se remet doucement, puis se redresse avant de descendre mon boxer jusqu’aux genoux, mon sexe bandé saute tel un diable de sa boîte. Elle le prend en main et lui fait des petites bises sur le gland, son autre main passe sous mes bourses et les caresse du bout des doigts en faisant glisser ces ongles sur la peau fripée. Sa langue remplace ses lèvres en faisant le tour du gland avant de descendre le long de ma tige, elle remonte toujours au contact de ma verge avec son regard plongé dans le mien. Arrivée au sommet, elle l’engloutit puis fait quelques allers-retours avec ses lèvres collées à mon mât, c’est puissant.
Je la relève et l’invite à s’appuyer à l’arbre qui nous offre son ombre avant de passer derrière elle. Je présente mon sexe à l’entrée de sa vulve et elle pousse ses fesses contre mes cuisses, je pose mes mains sur ses hanches, serre ses poignées d’amour pour la maintenir quelques secondes, sinon je vais exploser. Elle passe une main entre ses cuisses pour se caresser, je commence à donner des coups de reins et chaque fois que je bute, elle me caresse les couilles. Elle est gourmande, elle réclame plus de force, j’obéis. Je pose ma main sur ses fesses et mon pouce vient câliner son anus avant de s’introduire entre deux œillades, l’effet est instantané. Elle attrape l’arbre des deux mains et les coups deviennent violents, elle pousse un cri, tombe à genoux alors que moi aussi, je suis en train de jouir et je me vide sur ses fesses et son dos. Il y a toujours ce paysage magnifique, la lumière diffusée à travers les nuages donne une couleur bleu turquoise à la mer, c’est le paradis. Nous avons besoin d’un petit moment pour émerger de cette apesanteur dans la laquelle nous nous trouvons, puis nous reprendrons la route du bord de mer jusqu’à l’hôtel à Gênes.
Le lendemain, nous visitons Gênes, nous découvrons la ville portuaire lieu de brassage avec ces palais tous plus beaux les uns que les autres, ces funiculaires qui vous emmènent à des points de vue exceptionnels, les couleurs de façades avec ce soleil vous enchantent les pupilles. Un jour, c’est trop court, nous reviendrons. Nous prenons la route du bord de mer direction Monterosso al Mare notre première étape des Cinq terres. Nous allons passer cinq jours dans cette région pour visiter les cinq villages Monterosso, Vernazza, Corniglia, Manarola et Riomaggiore. Nous nous baladons sur les sentiers en bord de mer, nous testons la ligne de chemin de fer pittoresque et bien sur les routes sinueuses de l’arrière-pays.
Pour le retour, nous passons dans les montagnes, nous traversons des villages où nous faisons quelques rencontres originales de motards et motardes italiens qui nous expliquent avoir le plus beau pays du monde pour faire de la moto, la preuve c’est que nous sommes là ! Notre dernière étape est Menton, car nous voulons faire les trois routes qui relient Nice à Menton. Le matin de notre départ de Mele, Sylvie m’annonce qu’Harmonie nous rejoindra à Menton et passera les deux derniers jours avec nous. Je l’avais presque oubliée, mais là, toutes les réflexions me reviennent à l’esprit. Je fais remarquer à Sylvie qu’elle aurait pu me demander mon avis, car, l’air de rien, c’est ma chef ! Sylvie me fait observer qu’elle ne s’est jamais comportée comme telle lors des sorties que l’on a faites. Nous prenons la route et enchaînons les kilomètres jusqu’à Menton. Lors des quelques pauses que nous faisons, nous n’abordons pas le sujet. Je me demande comment les choses vont s’organiser, mais je vais bientôt le savoir, car nous arrivons à la maison d’hôtes.
Harmonie est déjà là, sa moto est sur le parking et elle apparaît de suite dès qu’elle entend le son des nôtres.
Les embrassades sont moins chaleureuses.
Harmonie ne manque pas de nous montrer sa chambre, juste en face de la nôtre, avant de nous laisser nous rafraîchir. Nous la retrouvons sur la terrasse, nous commandons nos boissons avant de lui raconter nos vacances, le côté touristique uniquement. Je vais goûter l’eau de la piscine et invite les deux coquines à me rejoindre, chose qu’elles font après avoir eu la confirmation que la température de l’eau est à 30°C. Après nous être détendus, nous commandons des tapas afin de grignoter et de rester là, car les filles ont veillé à ce que mon verre soit toujours plein. Je profite de mon passage à l’intérieur pour boire un café, car je veux rester éveillé.
Il n’est pas tard lorsque Sylvie propose que l’on aille se coucher, la proposition est acceptée de tous.
Nous nous retrouvons avec Sylvie dans notre chambre, je tente une approche alors que nous sommes couchés, mais je suis gentiment éconduit sous prétexte que j’ai trop bu et qu’elle est fatiguée, alors je me tourne pour faire semblant de dormir. Je n’ai pas longtemps à attendre pour que Sylvie vérifie que je suis endormi ; lorsqu’elle en a la confirmation, elle se lève et, le plus discrètement possible, disparaît dans le couloir. Je laisse s’écouler quelques minutes, pour être sûr qu’elles aient commencé leurs retrouvailles intimes, car j’en suis persuadé, elles se sont dévorées des yeux toute la soirée, elles vont fêter leurs retrouvailles. Je me glisse dans le couloir et colle mon oreille à la porte de la chambre d’Harmonie. Je n’entends rien de particulier, je décide de tenter une pénétration. Je pose ma main sur la poignée et appuie doucement puis pousse légèrement, la porte s’ouvre, je reste immobile quelques secondes avant de passer ma tête afin de voir ce qu’il se passe à l’intérieur. Les deux corps s’agitent sous le drap, je pousse la porte afin de pénétrer dans la chambre avant de refermer le battant sans bruit pour éviter d’être repéré. Je reste là sans bouger et observe, mes yeux s’habituent à la pénombre, car quelques éclairages extérieurs sont visibles à travers les volets persiennes. Le drap finit par se retrouver au pied du lit et je découvre les deux corps tête-bêche, Harmonie est dessus, je vois ses deux mains tenir les cuisses de sa partenaire écartées et j’imagine sa langue sur les lèvres intimes de Sylvie.
Cette dernière n’est pas en reste, car les coups de reins d’Harmonie sont sans équivoque, cela me procure une érection instantanément, elle se redresse au moment de jouir et me vois. Elle pousse un cri de surprise et se décale sur le côté, Sylvie se redresse et me voit à son tour, tout le monde reste statique, elles sont là toutes les deux, les seins pointés dans ma direction personne n’ose bouger. Sylvie prend l’initiative de se lever, après quelques secondes, viens me rejoindre et m’embrasse tout d’abord timidement, comme je réponds favorablement la fougue nous saisit, elle pose la main sur mon boxer, le masse et en extrait mon sexe qui n’a pas débandé. Elle me tire jusqu’au lit et me pousse à m’asseoir.
Je secoue la tête pour signifier que je n’y vois pas d’objection. Elle invite Harmonie à la rejoindre et elles se mettent toutes les deux à me sucer, leurs langues se mélangent autour de mon sexe, lorsqu’une me prend en bouche, l’autre me caresse. Je tombe à la renverse sur le lit tellement c’est bon, ma femme me fait remonter un peu plus sur le lit, et là je me retrouve avec un sexe sur la bouche que je lèche du clitoris à la rosette et un vagin qui aspire mon sexe. Nous nous sommes relayés au service du plaisir des autres, cela a duré une partie de la nuit avant que nous sombrions dans les bras de Morphée.
Lorsque nous nous sommes réveillés, il était déjà tard, le petit-déjeuner nous attendait depuis fort longtemps ainsi que la maîtresse de maison.
Ce jour-là, nous n’avons pas parcouru tous les kilomètres envisagés, nous sommes rentrés après manger à la tombée de la nuit. Après nous être rafraîchis, nous nous sommes retrouvés sur la terrasse pour boire un verre et parler de notre journée. Personne n’a abordé le sujet de la nuit précédente. Un peu plus tard, nous sommes allés nous coucher. Arrivé devant notre chambre, j’ai invité Harmonie à nous rejoindre. Sylvie m’a embrassé.
Harmonie nous rejoint après quelques minutes, habillée d’une petite nuisette violine qui laisse apercevoir les contours de son corps, que je peux enfin voir de près. Elle porte bien sa petite cinquantaine, le 85C lui va bien, sa taille marque la maternité, ses fesses rebondies sont portées hautes et sa démarche pieds nus a quelque chose de félin. Nous nous allongeons sur le lit, Sylvie est au milieu, elles s’embrassent, moi je m’occupe de ses seins, je butine le droit et flatte le gauche. Sylvie caresse l’intérieur des cuisses d’Harmonie et remonte sur son pubis, elle la bascule sur le dos et se met à quatre pattes pour la butiner, je me positionne derrière elle et commence à lui choyer les fesses, avec ma langue je la caresse, de son clitoris à sa rosette.
J’entends les respirations s’accélérer. Elles bougent, Sylvie se retrouve sur le dos, Harmonie commence à embrasser les seins, je me colle dans son dos et lui embrasse le cou, Harmonie prend le chemin de son sexe, Sylvie se positionne sur le côté, je me colle contre elle et pousse mon sexe entre ses fesses, elle s’en saisit et le guide vers son anus. Visiblement Harmonie est restée interloquée à la vue de cette pénétration, Sylvie l’invite à reprendre son cunni, ses caresses débordent sur mon sexe et nous emmènent vers un plaisir certain. Cette nuit-là, nous prendrons chacun plusieurs fois du plaisir. Nous ferons découvrir le plaisir de la sodomie à Harmonie, avant que chacun ne plonge dans un sommeil réparateur.
Le lendemain nous reprenons la route, pour rentrer, cela nous fera du bien de retrouver nos repères. Je profite de ce moment pour interpeller Sylvie, nos casques sont équipés d’intercom, j’ai besoin de savoir ses intentions. Après quelques échanges, il est clair qu’elle veut continuer sa vie avec moi alors je lui demande de mettre les choses au clair avec Harmonie. Les choses sont mises en ordre lorsque nous arrivons à la maison, pendant que je déballe nos affaires. Harmonie rentre chez elle, nous referons des sorties avec elle, des soirées aussi.