n° 19556 | Fiche technique | 14406 caractères | 14406Temps de lecture estimé : 9 mn | 18/04/20 |
Résumé: Retour à la vie conjugale après sa vengeance d'une femme trompée par son mari. | ||||
Critères: f fh couple extracon vengeance voir photofilm fmast confession -regrets | ||||
Auteur : Parisfou Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Le contrat Chapitre 02 | Fin provisoire |
Résumé des événements précédents :
Pour se venger d’une infidélité de son époux découvert grâce au portable de celui-ci, une mère de famille fait signer un contrat à son mari, dans lequel il s’engage à la laisser passer une nuit avec un amant de son choix, et le force à regarder ses ébats via WhatsApp.
Cela fait vingt minutes que nous sommes partis de notre studio du Ve arrondissement où mon mari est venu me chercher.
Arrivés à la maison, une fois mon mari renvoyé dans sa chambre sans ménagement, je me glissai immédiatement dans la couette sur le canapé du salon, sans même me laver les dents et avoir juste retiré ma culotte blanche. Je m’endormis très rapidement, épuisée par cette folle soirée. Je savais que mon mari, confiné dans notre couche, ne viendrait pas me déranger de peur d’invalider le contrat que je lui avais imposé.
Au matin, avant de me lever, je consultai mon WhatsApp pour regarder quelques photos de la veille et les messages échangés. J’avais honte. Mes doigts sentaient encore le sperme, et les poils de ma chatte restaient collés par la salive de mon mari. Il avait dû embrasser les outrages de mon amant avant de me ramener à la maison. Je m’assurai cependant que toute la soirée avait bien été enregistrée, à la fois dans notre studio, mais également à la maison où l’on pouvait voir mon pauvre époux devant son écran regarder le spectacle vivant que je lui avais imposé. Je me contentai juste de faire une copie secrète des enregistrements avant de les effacer.
Je pris enfin un bain vers 10 h. Un très long bain, avec beaucoup de mousse parfumée. Senteur ylang-ylang. Sans même que je m’en rende compte, ma main s’attardait plus que nécessaire sur ma poitrine ou sur le nettoyage de mes zones intimes et de ma petite étoile qui n’avait pas connu pareille attention depuis fort longtemps.
Je m’efforçai de chasser les images de la veille, de les occulter et de les enfouir loin dans mon petit crâne. J’avais peur de la réaction de mon mari que j’avais outrageusement bafoué. Je pris le parti de faire comme s’il ne s’était rien passé. Ni du sien, ni du mien et profitai qu’il dorme encore pour mettre les vêtements de la veille dans un sac poubelle et faire ainsi disparaître toute trace de ma vengeance. Ma vengeance avait dépassé l’offense, et je me sentais coupable. Ma famille avant tout !
Comme nous étions samedi, j’attendis tranquillement le réveil de mes ados vers 11 h pour sortir du bain, et aller dans la chambre chercher un jogging (moche) et libérer ainsi mon cher époux de son confinement.
Je ne le laissai pas parler et lui dis que j’allais courir dans dix minutes avec mes amies au bois de Vincennes, ce que je fais très souvent le week-end. Un samedi ordinaire en somme…
En me retrouvant, mes copines m’assaillirent de questions sur la soirée de la veille. Je les éludai et leur dis que tout cela était derrière moi désormais, et qu’il fallait passer à autre chose. Elles sont restées sur leur faim. Un petit incident dans la vie de couple ne doit pas dégénérer en drame.
Nous n’avons jamais évoqué le passé avec mon mari. Ni son infidélité ni ma vengeance et petit à petit, au fur et à mesure que le quotidien prenait le dessus, mes souvenirs commençaient à s’estomper. Nous avions même repris nos câlins conjugaux. Mais il me manquait le sel, et les étreintes étaient bien pâles.
Au bout de quelques mois, l’hiver passé, je commençai à avoir des insomnies. Parfois, je commençais à mettre ma main entre mes jambes. Il ne se passait rien de bien intéressant pendant cette période, mais j’aimais sentir la chaleur tiède de ma paume entre mes cuisses. Je ne bougeais pas, de peur de réveiller mon époux. La simple chaleur de ce contact innocent me réconfortait.
Au bout de quelques jours, cette petite douceur innocente me gardait éveillée au lieu de m’aider à me rendormir. Je quittais alors discrètement le lit pour rejoindre canapé. Là, sous la couette bleue, devant la télé, mes caresses devenaient plus affirmées. Je laissais mon doigt jouer avec mes poils avant de le mouiller avec ma langue et de frotter mon petit bouton. Mes cuisses fermes écrasaient ma main au point de me faire mal. Je ne pensais à rien de particulier au début. Je me laisser juste entraîner par le plaisir de cet annulaire humide glissant le long de mes lèvres intimes.
De temps en temps, le bout de mes doigts s’insinuait dans ma fente abandonnée, jusqu’à me procurer une douce jouissance. Si par moment quelques flashes me revenaient à l’esprit, cela restait encore très vague. Souvent, c’était l’image de mon soutien-gorge blanc jeté sur le parquet acajou, parfois celui de ma culotte souillée roulée en boule jetée définitivement dans le sac de vêtements à recycler. Plus rarement encore, celle du drap blanc sur mon visage pendant que mon mari me nettoyait le sexe de sa langue.
Ces petites caresses m’endormaient, somme toute, assez vite et j’attaquais le boulot le matin de meilleure humeur.
Au bureau, quelques images revenaient devant mes yeux. Et chaque appel en WhatsApp de mes copines semblait me projeter dans le passé. J’avais l’impression que c’était mon amant qui m’appelait. Parfois, je prenais mon stylo et le passait sous la jupe de mon tailleur sur le fin tissu qui séparait mes longs poils de l’air climatisé du bureau.
Mercredi dernier, à midi, je n’y tenais plus et je profitai de la pause déjeuner pour aller aux toilettes du trentième étage de la tour où je travaille, à la Défense. Ce genre de toilettes en carrelages blancs et noirs, aseptisées et collectives, rangées côte à côte. Je remontai ma jupe dévoilant mes grosses cuisses avant de faire descendre ma culotte en satin blanc sur mes chevilles. Mais au lieu de faire pipi, je pris mon téléphone et y cherchais quelques-unes des photos envoyées à mon mari.
D’abord celle où je suis debout seins nus, jupe relevée, avec dans chatte avec un stylo profondément enfoncé. Puis celle avec le kimono rouge que j’avais envoyé à mon amant d’un soir pour l’attirer dans mes rets, sans oublier celles de sous-vêtements posés près de ma tasse de thé au bureau que j’avais envoyé à mon tendre époux pour le rendre jaloux. Je n’y tenais plus et laissai mes doigts fouiller avec vigueur mon entrejambe jusqu’à ce qu’un spasme violent vienne me surprendre et me faire lâcher mon téléphone.
Celui-ci roula en dehors de la cabine des w.c. venant rompre bruyamment le silence environnant. Je n’eus pas le temps de me remettre et d’aller le chercher, car une âme charitable le fit glisser sous la porte des w.c. sans dire un mot.
Je le ramassai précipitamment et m’aperçus que l’écran n’était pas verrouillé !
Un bruit de talon s’éloignant me permit de m’éclipser le plus discrètement possible. Je ne reviendrai que bien après me rafraîchir un peu le visage !
L’après-midi fut difficile et c’était un peu comme un flash-back dans les films. Tout me revenait en pleine figure. Ma culotte était mouillée et collante et je dus me résoudre à la retirer discrètement pour la ranger dans mon sac à main en cuir noir. Loin de me faire du bien, l’air frais ne faisait que renforcer mon obsession. Je finis par rentrer ainsi à la maison, en prenant soin de ne frôler personne dans les transports en commun.
Mon mari ne c’était aperçu de rien, mais il fut tout surpris lorsqu’au moment de me rejoindre au lit, je soulevai juste ma jupe puis posai directement mon gros fessier sur sa bouche, lui demandant de me faire la toilette de sa langue. J’aimais sentir sa langue caresser mes parois vaginales et aspirer mon petit bouton. Je n’avais plus la retenue qui avait été mienne jusqu’à l’année dernière et lui écartais largement mes fesses à l’aide de mes mains pour lui faciliter son délicat travail ménager.
Sous la couette, je vis une bosse se redresser, mais je me gardais bien de la toucher. Au contraire, je saisis mon pinceau de maquillage sur la table de chevet et je me l’enfonçai dans l’anus. Une jouissance terrible me foudroya. Mon sexe inonda la bouche de mon pauvre mari d’un jet inhabituel et m’effondrai terrassée à ses côtés. J’entendis encore quelques gestes du malheureux sous la couette, jouant les adolescents et puis plus rien.
Cette petite aventure m’avait calmée quelques jours. En fait, jusqu’à ce qu’en regardant Arte, alors que mon mari était couché, je tombe sur une émission parlant de l’infidélité. L’image du sexe de Jacques, mon amant d’un soir, me revint. Ou plutôt l’image de mon visage déformé, en train d’absorber son sexe dressé et de sourire à la caméra cachée. Je ne pus résister et consultai le dossier caché sur le PC. J’étais devenue, le soir de ma vengeance, la pire des courtisanes. Cette image transgressive de mon autre moi-même me plaisait et m’excitait au plus haut point. Face à l’écran, je me voyais les lèvres entrouvertes laissant dégouliner le sperme de mon amant sur le collier en lapis-lazuli, puis finir sa course gluante dans mon décolleté. J’étais fascinée par mes grands yeux trop maquillés fixant la caméra. Je voyais le sexe dressé et le visage crispé par la douleur, dans l’image incrustée, de me mon mari que j’avais obligé à me filmer et se filmer regardant la scène.
L’image en pause, je pris mon vibromasseur qui était resté caché sous le canapé, retirai le jogging qui me sert de pyjama, et mis mes deux jambes nues écartées sur le bureau. J’enfonçai doucement dans mon vagin ruisselant le bruyant jouet fabriqué en Chine. À chaque fois que je me sentais venir, je le retirais et contemplais l’amant de plastique. À l’écran, l’image de mon décolleté blanc et son collier bleu couvert de sperme entretenaient mon excitation. Je portai même à ma bouche mon vibro, l’embrassant avec fougue et découvrant ainsi, pour la première fois de ma vie, le goût sucré de ma féminité.
Le bruit discret de l’objet interdit fendait seul le silence de la nuit jusqu’à que je perçoive un léger souffle lointain dans mon dos. Je remis alors l’image en « play », tout en continuant à passer doucement mon vibro sur ma chatte poilue. Le souffle se fit plus fort, mais je ne me retournai pas et écartai encore mes jambes posées sur le bureau jusqu’à être proche du grand écart.
À l’image, sur le PC, j’étais maintenant à quatre pattes sur le lit, mon visage tourné vers la caméra et on pouvait apercevoir les mains de Jacques pétrissant mes grosses fesses avec de l’huile parfumée. Mais cette fois, ce n’était plus Jacques dans la pénombre qui haletait derrière moi. Plus le film avançait, plus je faisais aller et venir mon jouet sur ma vallée détrempée. J’étais partie dans un autre monde, seule avec mon image, seule avec mon vibro coulissant entre mes jambes écartelées. Mon mari n’osait pas m’interrompre et devait imaginer que je ne m’étais pas aperçu de sa présence. Je pris à nouveau mon petit amant de plastique et le suçai avec avidité, me délectant de mes sucs intimes qui me rappelaient, en moins sucré, le goût de la gelée de pommes. À l’image, Jacques m’enculait avec fougue. Le son était très bas, mais sa respiration bruyante couvrait pourtant mes halètements enregistrés.
Plus mon amant s’enfonçait en mois, plus je faisais aller et venir mon sexe de plastique et accélérais la cadence. Dans le fond de la pièce, mon mari respirait de plus en bruyamment comme s’il était seul en train de regarder un mauvais film. Je montai le son de la vidéo.
Au moment même où Jacques sortait de mon derrière à l’image, je sentis une large goutte atterrir sur mes cheveux et je laissai échapper un son rauque, presque animal avant de laisser tomber mon joli vibro rose sur le parquet.
Je n’osai me retourner, me contentai de resserrer les jambes avant de les faire passer sous le bureau et de fermer le film de mes ébats adultérins.
Sans quitter l’écran des yeux, de peur de croiser le regard de mon mari, vêtue d’un simple T-shirt en coton, de mon legging, toujours posé à mes pieds près du vibro, j’ouvris le mail où mon mari avait signé le contrat dans lequel il s’engageait à accepter son cocufiage. Je fis mine de le relire attentivement pendant quelques instants, avant de me lever en prenant bien soin de ne pas regarder derrière. En faisant comme s’il ne se cachait pas.
Les fesses à l’air, je me dirigeai vers les toilettes pour lui laisser le temps de s’échapper tout en me passant machinalement les mains dans les cheveux luisants pour partie de transpiration. Mes jambes étaient mouillées et je sentais ma liqueur perler doucement le long de ma cuisse. Arrivée devant la porte, je fis mine de ramasser quelque chose par terre, et avant de me relever, pris soin d’étaler mes liqueurs, désormais inutiles, sur mes jambes comme le ferait une sportive cherchant à s’échauffer.
Je n’ai pas pu m’empêcher de poursuivre le mouvement en plongeant mon doigt dans mon intimité détrempée, une main posée au sol, une main dans ma fente, la tête fixant le sol, et les jambes tendues à l’extrême.
Mon mari, s’il était encore dans la pièce, devait avoir une vue privilégiée sur ce beau fessier charnu qu’il a si longtemps négligé.
Après quelques instants dans cette position fort inconfortable, je me réfugiai dans les w.c. tout en prenant soin de laisser la porte entrouverte. Assis sur la cuvette, je continuai ma caresse avec force en laissant échapper des « Jacques » (mon amant d’un soir), « François » (mon mari), … jusqu’à ce que je m’écroule littéralement au pied des w.c. terrassée par cette masturbation coupable.
(À suivre)