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n° 19560Fiche technique8015 caractères8015
Temps de lecture estimé : 5 mn
20/04/20
Résumé:  Une professeure de piano se montre entreprenante.
Critères:  fh fplusag jeunes profélève fdomine exhib lingerie init -prememois
Auteur : Estudine      Envoi mini-message
La leçon de piano

L’accord final contenait à lui seul toute la sonate. Il le joua mezzo forte comme écrit sur la partition. Il laissa résonner le piano quelques secondes, retira ses mains du clavier et s’immobilisa. Espérant une réaction de sa professeure, il attendit un court moment puis se retourna sur son tabouret. Elle s’était avancée jusque derrière lui lors de son exécution et voilà qu’il se retrouvait à un mètre d’elle, le regard en face de sa poitrine !


Il avait souvent pensé à ses seins qu’il devinait superbes, fermes, mais toujours maintenus par des soutiens-gorge qu’il savait souvent blancs et toujours en dentelle. C’était encore le cas aujourd’hui, impossible de le nier, son corsage blanc et très fin dessinait parfaitement le sous-vêtement, et en laissait découvrir les détails aux endroits de contact : le dessus des seins, sous les bras… D’aussi près, le spectacle était magnifique.


Elle le laissa contempler le paysage qu’elle savait pour lui enchanteur puis, par un élégant pas en avant, lui pris la tête entre les bras en disant :



Il se retrouvait la tête entre ses seins, envahi de son parfum profond, et murmura plus au décolleté qu’à celle qui le portait :



Elle n’entendit pas exactement ce qu’il avait dit, mais en compris le sens et, en guise de réponse (à la fois maternelle et voulant l’encourager), l’enserra encore plus entre en ses bras, lui plaquant le visage contre sa poitrine, les joues contre ses seins. La chaleur parfumée qui s’échappait de cet endroit l’envahit tout entier, faisant naître un trouble intense qu’il n’avait encore jamais ressenti.


Il ne savait que faire de ses bras ; les laisser pendre, remonter les mains sur le tabouret sur lequel il était toujours assis ? Il se décida à en entourer les hanches de sa professeure en un geste symétrique à celui qu’elle exerçait à sa tête. Elle sourit pour elle-même, se disant que, décidément, il apprenait vite. Il n’osait bouger, percevant sa lente respiration et, à travers le corsage, les odeurs mélangées de son parfum et de sa peau.


Il prit son courage à deux mains et commença à lui caresser le dos en se disant que si cela la gênait, elle saurait le lui indiquer. Sans réaction négative de sa part, il poursuivit son exploration en descendant lentement, très lentement. Après avoir passé la ceinture de la jupe, il poursuivit et, ô sublime surprise ! perçut l’élastique de la culotte à travers le fin tissu de la jupe. Il s’immobilisa aussitôt, car un frisson venait de parcourir le corps qu’il tenait entre ses bras ! Il s’enhardit à le longer, passer au-dessus, repasser au-dessous, elle avait l’air d’apprécier. Descendant sa main vers les deux globes qui semblaient la réclamer, il commença à caresser ses fesses. Il s’aperçut que s’il appuyait légèrement plus, ce n’était plus la main qui parcourait le galbe tendu, mais, sensation extrême, la jupe faisant corps avec sa main c’était le fin tissu qui caressait le satin de la culotte. Il continua cette caresse descendant toujours plus bas, abordant une vallée tant désirée.


Un soupir se fit entendre au-dessus de lui. Lançant son majeur à la découverte de cette vallée enchantée, il rencontra, après plusieurs centimètres d’exploration, la couture arrière du fond doublé coton. Surpris, bien que le fait soit inévitable, il se figea immédiatement. Elle gémit, de plaisir c’était certain, mais il décida de ne pas forcer son avantage. Bien sûr, il avait eu quelques aventures, quelques petites chamailleries, quelques attouchements, mais jamais il n’avait parcouru de telles régions, jamais atteint de telles frontières. Il resta bien sagement en deçà de cette limite si importante.


Sa respiration s’était accélérée, mais elle sourit de cette délicatesse. Guidée par son seul désir, elle recula d’un pas, le fit se lever de son tabouret et après l’avoir regardé dans les yeux quelques secondes pour la première fois, elle l’embrassa passionnément. Il lui rendit maladroitement son baiser qui dura, dura, enflammant leurs sens. Elle mit fin à leur tendre étreinte, recula cette fois d’un pas et, devant le regard ébahi de son élève commença à déboutonner son corsage. Cette idée lui était venue durant leur embrassade et sa sensation qu’il allait apprécier se confirmait : son regard était fixé sur ses doigts qui descendaient lentement le long de l’ouverture. Parvenue à la ceinture de la jupe, elle la dégrafa, fit glisser la fermeture éclair et laissa tomber la jupe à ses pieds. Elle écarta ensuite les pans de son corsage tels deux rideaux s’ouvrant sur une scène de théâtre.


Il n’en pouvait plus, hypnotisé par le spectacle magnifique : le cou souple, la gorge douce, un soutien-gorge blanc maintenait magnifiquement les seins (à moins que ce ne fut l’inverse), le ventre frémissant, une petite culotte adorable, la ceinture faite de la même dentelle élastique que les bretelles du soutien-gorge parcourant le tour de ces hautes hanches, les côtés (et le dos, c’était certain) d’un satin brillant, et sur le devant un large triangle de dentelle dont la pointe inférieure plongeait dans l’ombre des cuisses superbement fuselées. Les sous-vêtements étaient d’une grande marque, il le pariait ! Et jusqu’à la jupe froissée sur les pieds encore chaussés de ses petits escarpins, tout ce qu’elle lui montrait était superbe, un cadeau inestimable !

Ses sens étaient en feu, son cerveau en ébullition…


On entendit la porte de l’entrée du rez-de-chaussée s’ouvrir. Se refermer !



Elle reboutonna précipitamment son corsage, s’accroupit pour remonter sa jupe, la rajuster rapidement, passa une main dans sa coiffure pour la rectifier puis fit le tour du clavier pour aller se placer dans le creux du piano rassurant, prendre appui sur ce meuble si connu, qui la dissimulait quelque peu.


Lui se retourna rapidement, se rassit face aux touches noires et blanches. Empli de ses instants inoubliables, il ne s’aperçut qu’alors que son caleçon était tout poisseux. En effet, dès l’instant où il avait pu plonger sa tête au plus profond de sa poitrine, son sexe s’était puissamment tendu, engoncé dans le pantalon. Au moment de se lever pour échanger ce long et profond baiser inespéré, il s’était alors dressé totalement et, sans aucune autre sollicitation que son désir extrême, il avait éjaculé en puissants jets lui inondant dangereusement tout le bas du ventre.


Il ne la quittait pas des yeux, tous ses gestes lui semblant merveilleux. Il la dévisageait, lui trouvant l’œil trop ouvert, la bouche trop humide, le nez encore frémissant, les cheveux encore ébouriffés.



Et cet ange de beauté, de douceur, de sensualité, emportant mille promesses disparut lentement dans l’escalier.