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n° 19563Fiche technique11845 caractères11845
Temps de lecture estimé : 8 mn
21/04/20
Résumé:  Un homme cède au fantasme de l'escort.
Critères:  fh couleurs asie inconnu prost hotel pénétratio fdanus fsodo confession -totalsexe
Auteur : Natsu      Envoi mini-message
L'escort asiatique

Je toque timidement à la porte de l’appartement. Et si elle ne ressemblait pas aux photos ? Elle m’avait envoûté par ses images publiées sur le site. L’annonce était simple :


Beauté asiatique de passage souhaiterait donner du plaisir. Je serai votre compagne idéale pour passer un moment intense et coquin. Je vous reçois dans mon appartement de luxe, privé et discret.


Après avoir échangé quelques textos avec elle, nous avions convenu d’une rencontre. Le moment était venu. J’entends un : « C’est ouvert ». Elle a une voix légèrement grave et agréable, sans accent, contrairement à ce que j’aurais pensé.


J’avais l’estomac noué, le cœur qui battait comme jamais, et l’esprit perdu dans l’impossibilité d’appréhender la situation… Il est de toute façon trop tard pour reculer. Je pénètre dans la pièce, un grand séjour, plongé dans une semi-obscurité.

Je frémis. C’est elle. Elle est splendide. Elle est assise dans son fauteuil, en working-girl. Une chemise blanche, une jupe tailleur gris foncé, des jolis talons galbant ses mollets. Elle me salue et m’invite à m’asseoir dans le fauteuil en face du sien. Je sens déjà ma verge s’ériger dans son pantalon tant elle est sensuelle. Elle a les cheveux courts, le visage ovale, des jolies lèvres qui sont mises en valeur par un rouge à lèvres carmin. Je lui pose son enveloppe discrètement sur la table basse qui nous sépare. Elle m’offre son beau sourire qui achève de me mettre en confiance. Nous commençons à deviser sur tout et rien, sur mon âge sur le sien, sur le temps, les passions, comme toute rencontre normale.


De temps à autre, elle croise les jambes et les décroise, me chauffant un peu plus, et me mettant un peu plus dans l’ambiance. La longueur de sa jupe me permet de voir des bas et de distinguer la couleur de ses jolies cuisses. Elle continue ce petit jeu et je ne sais pas si elle se rend qu’à chaque mouvement sa jupe remonte, et cela ne me déplaît pas, au vu de la raideur que je constate dans mon pantalon. Au regard qu’elle me plante, je constate que si. Elle a du caractère.


Elle se lève, redescend sa jupe et vient vers moi, avec un sourire mutin. Elle défait un bouton de son haut et vient m’embrasser, me laissant admirer la naissance de ses seins qui sont habillés dans un soutien-gorge rouge en dentelle. Voulant la caresser, elle repousse ma main, me signifiant que c’est elle qui mène actuellement le bal. Elle se met derrière le fauteuil et me caresse le torse. Je sens son souffle dans mon cou et mes oreilles, ce qui me donne des frissons de plaisir. Ses mains continuent leur descente alors que je sens ses lèvres se poser sur mes lobes d’oreille, jusqu’à constater mon sexe en érection, qu’elle flatte à travers le pantalon. Je savoure et commence à pousser des gémissements, mais cruelle, elle s’arrête. Elle vient s’asseoir sur moi, m’offrant son dos, ses fesses caressant ma verge tendue comme jamais. Elle me laisse déboutonner complètement son chemisier, mais les immobilise lorsque je veux empoigner ses seins. C’est elle la patronne. J’en peux plus, je pourrais jouir comme ça, sans la pénétrer. Je peux juste faire des bisous dans le cou, ce qu’elle a l’air d’apprécier.


Elle se met debout ensuite. Elle est féline, sauvage, érotiquement excitante et, disons-le, bandante, dans sa tenue de femme d’affaires, avec la poitrine offerte. Elle me sourit et m’invite à la suivre dans la chambre. Son fessier est parfaitement moulé dans cette jupe, et je laisse libre cours à mon instinct animal. Je la bloque contre le mur. Elle est à ma merci. Mes mains sur son corps sont fermes, dures, mais douces à la fois. Je peux enfin profiter de son corps.


J’arrache son haut et libère ses seins. Je suis excité comme jamais, elle est presque nue entre mes mains. Je remonte sa jupe et je m’agenouille. Je suis nez à nez avec un string en dentelle rouge assorti au soutien-gorge. Elle est humide, avec une odeur de femme qui m’enivre. Je pose des baisers sur son mont de Vénus. Elle pose sa main sur ma tête, m’enjoignant à continuer. Le rapport de force a changé, je domine à présent. J’écarte le string et insinue ma langue entre ses cuisses. Elle est douce, elle est si bonne et elle mouille abondamment. Je goûte sa liqueur au goût ni trop salé, ni amer, à ma convenance. Je l’entends haleter et pousser des soupirs. Je sens sa jouissance monter alors que je fais tourner ma langue entre ses lèvres intimes.


Pour la frustrer, j’arrête mon traitement et me relève. Elle me regarde furieuse. Je la prends par la main et lui demande de m’emmener à sa couche. Imaginez le spectacle devant moi : une beauté asiatique, en talons aiguille, la jupe relevée, le cul et la poitrine à l’air. Sa chambre est cosy, mais sobre, appelant à l’amour. Elle se love contre moi, et m’embrasse. Je la pousse sur le lit, et me déshabille. Elle en profite pour enlever les vêtements restants, ne gardant que ses bas et ses talons. La voir enlever son string, les jambes relevées, est un spectacle divin.


Alors que je m’approche du lit, elle se met à quatre pattes face à moi, vient saisir mes couilles et me prend en bouche. C’est chaud et doux. Elle me procure la meilleure fellation que j’ai eue à ce jour. Elle avale entièrement ma tige, me regardant dans les yeux, au risque de vomir. Elle reprend de temps à autre son souffle, laissant apparaître des filets de bave. Elle a l’air d’aimer cela et moi aussi. Elle gobe mes boules et les fait tourner dans sa bouche, tout en me masturbant. Un doigt inquisiteur vient caresser mon anus, me faisant défaillir. Elle a trouvé mon point faible. Je l’arrête avant de tout expulser. Je ne veux pas que cela s’arrête maintenant.


Je m’allonge sur le lit, et l’invite à venir m’offrir sa chatte à déguster. J’ai une vision de rêve de son intimité tout glabre. Ses lèvres sont gonflées. Les chairs sont rosies et humides. Elle est totalement ouverte. Je bois sa liqueur à même la source. Ma langue tourne autour de son clito, et j’alterne entre succion et pénétration linguale. Je descends d’ailleurs de plus en plus vers son petit trou jusqu’à l’agacer. Aucune résistance, un total abandon. Je pourrai me faire plaisir plus tard. Elle imprime son rythme en venant elle-même se frotter à ma bouche. C’est indécent, et j’aime ça. Elle éclate sans crier gare de jouissance. Je sens sa vulve se contracter et son corps trembler.


Elle s’allonge à côté de moi, physiquement faible, le regard de félicité, et le sourire aux lèvres. Elle reprend son souffle et vient se blottir dans mes bras. Ses seins collent à ma poitrine. Ils ne sont pas volumineux ou surfaits. Des jolis seins surmontés de tétons prononcés comme des grains de raisin. Je les fais rouler entre mes doigts, les pinçant légèrement. Ma bite tressaille contre ses cuisses, lui rappelant ma vigueur. Tout en la laissant entre ses mains douces qui me branlent, je suçote ses tétons magnifiques. Elle ferme les yeux et apprécie.


Elle se met ensuite sur le dos et ouvre son joli compas. Sa chatte est tout ouverte et m’appelle. Je me place entre ses cuisses et caresse ses lèvres de mon membre turgescent. Je sens la chaleur de son sexe. Je m’attarde sur son clitoris et tourne autour avec mon gland. Celui-ci est sensible, à continuer ainsi je vais décharger avant de l’avoir possédée. J’introduis le bout de mon vit à l’entrée de cette grotte humide, et m’immobilise. C’est le meilleur moment de l’amour. Je bouge imperceptiblement. Je suis décalotté et je ressens toutes ces sensations divines. Je m’enfonce un peu plus et me retire complètement. Elle me regarde, étonnée. Je me penche vers elle pour l’embrasser. Nos langues dansent une gigue torride et j’en profite pour la pénétrer d’un coup sec, ce qui lui arrache un cri de plaisir. Je ressors complètement et je recommence la manœuvre.


Elle en veut plus. Elle place ses jambes autour de ma taille m’emprisonnant et m’enjoignant de ne pas arrêter. Je m’exécute et procède à des va-et-vient vigoureux dans sa chatte. Elle prend ma main et la pose sur sa gorge, et m’invite à l’étrangler d’une pression sur ma main. Madame est adepte des sensations fortes, elle va être servie. Tandis que j’accélère mon mouvement de reins, je m’exécute donc, et je la vois suffoquer. Sa main sur la mienne, elle gère la pression, et desserre l’étreinte quand elle en ressent le besoin. Elle halète de plus en plus et je sens son corps s’arc-bouter. La jouissance est le plus beau bijou de la femme.


Elle se dégage et se met sur le ventre. Ses jolies fesses rebondies me font envie, je les prends en main, les malaxe les embrasse les mordille. Je lui écarte les jambes et la pénètre dans cette position. Je l’immobilise de mon poids et reprends mes allées et venues. C’est sensuel, érotique, excitant, animal.


Elle se redresse sur ses coudes et remonte son bassin. À quatre pattes, elle m’invite à la levrette. Elle exagère la position de son cul et pose sa tête sur l’oreiller. C’est une vision du paradis. Cette déesse asiatique est devant moi, le cul bombé et me regarde d’un air de défi. Je m’agrippe à ses hanches, et la pilonne sans ménagement. Si j’avais de la timidité au début, il n’en est plus rien. Son air chienne m’ôte toute retenue.


Son petit trou devant moi est tentant. J’y pose mon pouce et commence à le masser. Elle aime ça et est habituée. Son cul avale littéralement mon doigt que je fais tourner à l’intérieur. Elle me dit de mettre un second doigt, et je ne me fais pas prier. Au bout de quelque temps, je sors de sa chatte trempée et présente mon sexe à la petite porte entrouverte. Je force un peu pour passer le gland. Elle retient son souffle et me dit de lui prendre le cul. Ce que femme veut…


Je m’enfonce lentement jusqu’à la garde, et la laisse s’y habituer. Je commence à la ramoner doucement. Elle ahane. J’accélère, et elle commence à gémir à gorge déployée. Je tiens tant que je peux, mais ses cris déments m’excitent trop. Je sens la sève monter et je le lui indique. Elle m’encourage à cracher la purée. Je me fiche en elle, et laisse exploser ma jouissance. Je sens les jets tapisser ses intestins. Je sens le plaisir monter de mes reins jusque dans ma tête. Elle s’effondre. La bête à deux dos n’est plus qu’un enchevêtrement de corps. Mon sexe perd à peu de sa vigueur et elle se dégage. Le sperme commence à couler. Elle me regarde, et d’un doigt vient recueillir le foutre pour le porter à sa bouche. Quelle salope !


Elle me sourit et me demande si sa prestation a été à la hauteur de son tarif, ce à quoi je ne peux que répondre par la positive. Elle m’invite à prendre une douche. Je viens de passer une heure de rêve. Lorsque je reviens, elle est dans le salon, et est habillée d’un peignoir en satin qui la rend si craquante. J’en tomberais amoureux. Je comprends que mon temps est terminé et m’habille pour partir. Je lui fais une bise et la remercie. Elle m’embrasse une dernière fois, et ferme la porte.


Je suis dehors, les jambes coupées, les couilles vidées. Je refrappe à la porte. Elle m’ouvre et me prend dans ses bras. Elle m’embrasse :