n° 19572 | Fiche technique | 10009 caractères | 10009Temps de lecture estimé : 7 mn | 01/05/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Elle va, coquine, sans moi mais me raconte tout. | ||||
Critères: fh fhh fagée inconnu parking intermast fellation préservati pénétratio sandwich fsodo -totalsexe | ||||
Auteur : Mauricebernard (couple complice) Envoi mini-message |
Amants depuis de nombreuses années, nous ne vivons malheureusement pas ensemble et devons nous contenter de brèves et érotiques rencontres épisodiques. Mais il nous reste le partage des envies et des plaisirs par tous les moyens à notre disposition… Elle, élégante sexagénaire, mince et séduisante, fait tourner à l’occasion, quelques têtes et dresser quelques sexes qu’elle sait et adore satisfaire, dans les situations les plus diverses. Toujours disponible pour une aventure sans lendemain, dès lors qu’elle l’excite, elle répond par un sourire coquin aux sollicitations des hommes qui devinent son tempérament discret, mais très libertin.
Une bonne partie de son plaisir consiste alors à partager ces fredaines avec moi, par téléphone ou sur internet.
C’est ainsi qu’elle m’a confié avoir l’occasion de rencontrer un nouveau complice, un peu plus jeune qu’elle et qui lui a semblé bien disposé à son égard.
Aussi impatient qu’elle, j’ai attendu ce fameux jour pour l’accompagner en pensées, à défaut de la partager avec ce nouveau complice, comme nous aimons le faire en club.
Le jour dit, elle me prévint par SMS.
« Je pars le rejoindre en voiture ; nous avons rendez-vous entre chez nous deux, sur le parking de l’autoroute…pour commencer ! Après, on verra bien. »
« J’imagine que tu t’es bien préparée pour le séduire ? »
« Oh, juste un peu, tu penses bien : jupe légère aux genoux, chemisier fin et dessous… »
« Dessous ? »
« Un sg et un string, facile à écarter en cas d’urgence ! À plus. »
La main sur ma queue raidie par ces quelques annonces prometteuses, j’attendis la suite qui m’arriva au fil des minutes.
Le temps passa avant un autre message :
La suite me parvint plus tard sous forme d’un long message téléphonique.
Nous nous sommes assis à la table et avons échangé quelques banalités ; nous savions bien ce qui nous amenait là, mais on n’osait pas encore aller plus loin. Il regardait mes petits seins qui pointaient sous mon chemisier et ses jambes glissaient lentement contre les miennes. Je l’ai laissé me prendre la main pour la porter à sa bouche ; il a alors lentement passé sa langue sur mes doigts en me fixant dans les yeux. J’ai cru que ma chatte allait crier grâce !
Il s’est rapproché de moi, sur le banc et nos cuisses se sont appuyées l’une contre l’autre. J’ai posé lentement une main sur sa cuisse, dure et souple et l’ai caressée en remontant vers son aine. C’est alors qu’il m’a embrassée pour la première fois, sa langue a joué avec mes lèvres entrouvertes et il les a sucées longuement. J’ai passé ma main derrière sa nuque et ai glissé ma langue dans sa bouche, voracement, tout en agrippant sa queue bandée dans son pantalon.
C’est alors qu’il a aussi ouvert mes cuisses avec ses mains et les a caressées lentement, jusqu’à mon string, déjà trempé. Puis ses doigts ont joué sur mon clito, ont glissé sur ma chatte et ont étalé la mouille qui en sortait déjà. De mon côté, je détachai sa braguette pour aller chercher sa bite qui jaillit sous la table entre mes mains. J’ai léché mes doigts et les couverts de salive avant de saisir son gland avec et j’ai commencé à le branler en douceur.
Ses doigts jouaient à l’entrée de ma chatte et me baisaient légèrement de telle sorte que mon ventre allait et venait sur le bord du banc, à la rencontre de sa caresse. Je n’y tenais plus et, pour lui montrer à quel point j’avais envie d’aller plus loin, j’ai retiré moi-même mon string, puis, j’ai glissé à genoux devant la table et me suis penchée vers sa queue dressée et humide. Tu sais combien je ne peux pas résister à une bite bien bandée pour moi, alors imagine comment j’ai aspiré profondément celle-ci en passant mes doigts sous ses couilles remontées et gonflées. En même temps, je passais une main sur ma chatte et j’ai étalé ma mouille jusqu’à qu’à ma raie et mon petit trou.
Il tenait ma tête doucement en accompagnant mes mouvements sur sa queue et j’ai senti qu’il n’allait pas pouvoir tenir longtemps comme ça ! Je lui ai glissé à l’oreille que nous pourrions aller voir vers le bâtiment des toilettes si nous pourrions y être un peu plus tranquilles…
En me tenant par la main et après avoir, difficilement, rentré son sexe dans son pantalon, il m’a conduite vers les toilettes qui semblaient effectivement bien désertes. Nous avons choisi la cabine pour handicapés, car tu sais combien la place y est plus grande pour coquiner comme ça ! Nous étions tellement excités que nous avions à peine poussé la porte que nous nous jetions l’un contre l’autre, à chercher nos bouches, nos sexes…
Avec sa langue, il a largement étalé ma mouille sur toute ma chatte, en glissant ses doigts vers mon cul que je lui ai tendu bien volontiers. Puis je l’ai entendu déchirer un étui de préservatif, mais j’ai tenu à lui enfiler moi-même avec la bouche, comme j’aime le faire. Il m’a alors retournée contre le mur de la cabine et, sans attendre, a glissé sa bite, bien raide et chaude, dans la chatte.
Cambrée, je lui ai tendu mon cul que tu apprécies tant et il l’a agrippé en disant combien il le trouvait excitant, ma jupe relevée sur mes hanches. J’ai sorti mes seins et j’ai pincé doucement mes tétons déjà trop excités ! Pendant quelques minutes, nous avons baisé comme des fous puis il m’a redressée pour que je vienne m’asseoir sur lui. Face à face, nous avons repris notre baise et il m’a sucé les seins en tenant fermement mes fesses nues plantées sur sa queue.
C’est alors que nous avons compris que nous avions oublié de fermer le verrou de la porte et que quelqu’un était entré dans la cabine !
Un des routiers avait dû nous apercevoir partir et s’était approché. Il avait dû bien en profiter, car, il avait sorti sa bite qu’il branlait en nous regardant en action. J’ai demandé à mon amant du jour ce qu’il pensait de la situation, tout en roulant mes hanches sur ses cuisses, son sexe au fond du mien. Il m’a répondu qu’on ferait comme je le voudrais et que c’était à moi de choisir la suite. Tu parles qu’une telle offre ne se refuse pas ! J’ai donc fait signe au routier de se rapprocher de nous.
Tout en baisant mon ami, j’ai saisi la nouvelle bite qui se présentait à moi et l’ai léchée tout du long, avant de l’engloutir du mieux que je pouvais, car le mec était bien monté ! Mais, j’ai vite compris que son envie était vraiment trop forte pour qu’il résiste longtemps à mon traitement ; je l’ai donc invité venir se placer derrière mon dos, pendant que je cambrais sur mon baiseur. Mon petit trou ayant déjà été bien lubrifié et ouvert, le routier a pu placer son gros gland dessus et s’y glisser sans difficulté.
C’est moi qui lui ai enfoncé sa queue à fond dans mon cul, en poussant mes hanches vers lui, tout en gardant l’autre planté dans ma chatte et l’on est parti dans une double pénétration comme je les aime tant.
Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais j’ai perdu toute notion du temps ; j’ai joui plusieurs fois avant que les deux types n’en puissent plus non plus. Ils se sont alors tenus debout face à moi, assise sur la lunette des w.c. et je les ai finis à la main et avec la bouche. Là ils m’ont tout lâché sur le visage et surtout sur mes seins, sur lesquels j’ai étalé lentement leur foutre bouillant. Regarde, je t’ai fait une photo !
Je reçus alors cette image du sperme répandu sur ses petits seins aux tétons dressés, avec ses doigts fins qui caressaient cette peau adorée.