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Temps de lecture estimé : 19 mn
02/05/20
Résumé:  Mon épouse a enfin accepté l'invitation de mon ancien directeur nommé depuis deux ans en Corrèze.
Critères:  fhh hagé couplus extracon fellation double sandwich fdanus fsodo -cocucont
Auteur : Candaulatend      Envoi mini-message
Visite corrézienne




Il est 17 h quand nous arrivons Julie (mon épouse, trente-quatre ans à l’époque) et nos enfants (deux et quatre ans) devant le portail du site Corrézien où mon ancien directeur Hubert a été nommé voilà deux ans. Il a une maison de fonction au fond de l’immense propriété avec un beau terrain arboré et clôturé.


Il nous reçoit joyeux, avec toute l’élégance qui le caractérise. Nous avons, au cours de nos dix ans de vie professionnelle, réalisé plusieurs projets très constructifs, j’ai acquis son respect professionnel, humain et une certaine amitié.


Hubert, soixante et un ans, grand, légèrement bedonnant, est divorcé depuis quatre ans, ce n’est pas un homme à femmes, on le considère comme un intellectuel, un manager.

Voici deux ans qu’il a quitté la boîte et nous avons gardé de bons contacts, et reçu plusieurs invitations à lui rendre visite, malheureusement toutes déclinées, Julie n’appréciant guère Hubert. Elle le trouve hautain, imbu de lui-même, bref elle ne l’aime pas, pour ne pas dire qu’elle le déteste. Je crois déceler une certaine jalousie. Mais avec cette dernière proposition, elle a enfin accepté.


Nous sommes très chaleureusement reçus, les enfants sont gâtés, ce qui exaspère un peu Julie, mais elle n’est pas en reste, Hubert a pensé aussi à elle et lui offre, fleurs et spécialités corréziennes. Puis il nous installe dans les deux chambres à l’étage, la sienne se trouve au rez-de-chaussée.


Après un bref tour du site et la visite de certains ateliers, visites qui n’enchantent guère ni Julie ni les enfants, nous retrouvons la villa. Les enfants jouent dehors, Julie s’est proposé d’aider à la préparation du repas, je la sens bien plus sereine, voire souriante, surtout depuis qu’Hubert nous a offert un verre, champagne pour madame, très bon whisky pour les hommes.


Pendant le repas du terroir, extraordinaire, Hubert prend grand soin de Julie, s’intéressant à son travail, à ses activités, elle semble d’ailleurs apprécier l’attention qu’il lui porte. Elle est plus détendue et j’en suis soulagé. Elle se propose même d’aider au rangement après le dîner pendant que je couche les enfants.

Quand je reviens, ils sont au salon, bavardant tranquillement en m’attendant.


23 h 30, nous allons dormir (ou presque). Je m’allonge dans le lit et une étrange excitation se fait sentir, j’ai envie d’elle, ou plus précisément, je la trouve particulièrement attirante ce soir, sensuelle, je n’arrive pas exactement définir mon excitation sur l’instant.


Je me blottis contre elle, nous évoquons la soirée qui, pour elle, s’est bien passée malgré ses appréhensions. Je la câline doucement, tout en discutant de l’accueil que nous avons eu. Elle me confie, qu’elle trouve qu’Hubert a bien changé, qu’elle ne l’a jamais trouvé aussi sympa, justifiant ce changement par sa mutation et son divorce.


Heureux de la voir dans cette disposition à l’égard d’Hubert, je lui fais remarquer, en la caressant, qu’il a été très attentionné à son égard, qu’en retour elle a été très charmante avec lui et j’ajoute qu’il semble apprécier son charme et ses atouts si j’en juge par les regards qu’il a eus à plusieurs reprises sur elle.

Elle fait l’étonnée, en souriant et me dit :



Je sens monter une grande excitation et, ayant bien bu, j’ose lui confier que je serais heureux de la partager avec lui et qu’ils fassent l’amour ne me dérangerait pas, bien au contraire.

Elle s’exclame :



Pourtant je poursuis en lui proposant qu’elle s’imagine le rejoindre en bas dans sa chambre en nuisette. Tout en disant cela je lui caresse la chatte que je découvre très humide. J’insiste alors, en lui disant qu’Hubert se branlait peut-être en pensant à elle et puis d’imaginer se faire caresser par nos mains les yeux bandés.

C’est alors qu’elle me dit :



Je rétorque aussi vite, heureux de voir qu’elle se prend au jeu :



Je m’attends à un autre refus, mais elle ne dit rien, mes doigts la caressent toujours, elle écarte les cuisses, signe de plaisir. Je lui susurre alors :



Elle ne dit rien. Qui ne dit mot, consent ! me dis-je alors en me levant.


Je descends, frappe discrètement à la chambre d’Hubert. Il lit. Un peu embarrassé, je lui fais part de mon désir. Étonné, il me demande si je suis bien sûr de ce que je dis. Septique, il ne semble pas de prime abord d’accord, j’argumente du mieux possible et enfin il envisage la demande en s’assurant de la pleine volonté de Julie.

Je reviens dans notre chambre, dis à Julie qu’Hubert est d’accord et qu’il nous attend, mais elle me dit :



Je la prends par la main et elle me suit.

À l’approche de sa chambre, nous sommes l’un et l’autre tremblants, fébriles. La porte est entrouverte, Hubert est debout au pied du lit en pyjama, une petite lampe de chevet apporte juste un peu de lumière tamisée. Je fais avancer Julie, ils échangent un regard, ils semblent émus tous les deux, Hubert lui tend alors la main, elle s’avance timidement et il l’amène vers lui. Je retourne fermer la porte à clé.


Hubert a déjà pris les choses en mains. Il l’enlace et lui caresse le dos, sa main descend sur ses fesses, il l’embrasse dans le cou. Julie ne sait que faire, je la sens encore craintive. Je m’approche d’elle, nous échangeons un regard, je lui souris pour la rassurer. Je peux lire dans ses yeux son inquiétude et son émotion, je lui souffle alors un bisou.


Hubert l’embrasse toujours sur la nuque, sa main vient de passer sous la nuisette, il lui pelote le cul. Il cherche maintenant à l’embrasser sur la bouche, Julie hésite, Hubert pose ses lèvres sur les siennes, les bouches s’entrouvrent et ils se roulent une pelle. Je suis abasourdi par la facilité avec laquelle ils se sont étreints. Je ne reconnais pas ma Julie, si prude et réservée. Mais elle me plaît encore plus comme cela.


Hubert a remonté sa main jusqu’à la nuque de Julie, il lui maintient la bouche contre la sienne, son autre main caresse un sein, Julie n’a toujours pas bougé un bras, je lui saisis donc une main et la porte sur la nuque d’Hubert, ils se roulent alors une pelle encore plus torride.


Puis Hubert recule un peu et remonte la nuisette qu’il retire lentement et complètement en admirant au fur et à mesure le magnifique corps de Julie. Je lis en lui toute sa joie et son excitation qu’il manifeste d’ailleurs par :



Elle est maintenant face à lui, nue, les bras ballants, troublée. Elle me jette un bref regard, j’y devine qu’elle cherche à être rassurée, je lui souris largement comme pour lui dire que tout va bien et qu’elle peut se laisser aller.


Hubert admire avec un œil lubrique ses seins et sa chatte. C’est sur cette dernière qu’il pose la main, il caresse sa petite toison taillée. Un doigt s’immisce entre les lèvres, remonte sur son clito, Julie frissonne et ferme les yeux.


Hubert s’agenouille et vient embrasser sa chatte, elle écarte les jambes et pose son regard sur cet homme mûr qui lui butine le minou. Elle me regarde de nouveau, cette fois ses yeux expriment le désir et le plaisir. Elle met sa main sur la tête d’Hubert et caresse ses cheveux blancs tandis qu’il la lèche et lui titille le clito.

Puis il entre un doigt, elle gémit et pose sa deuxième main sur la tête de son bienfaiteur en écartant encore un peu plus les jambes.

Je suis heureux, Julie s’abandonne au plaisir.


Après ce butinage Hubert se relève, embrasse et caresse ses seins puis il lui roule de nouveau une pelle, une main parcourt son dos et ses fesses, l’autre pelote un sein. Puis il recule un peu et défait son haut de pyjama, laissant apparaître son torse légèrement poilu. Julie nous regarde à tour de rôle avec un petit sourire naïf et coquin, elle fixe alors le bas du pyjama qu’Hubert allait retirer. Elle avait senti son sexe déjà juste avant pendant qu’il l’étreignait, elle savait combien il était excité et dur, elle allait maintenant savoir à quoi il ressemble. Le pantalon descend, Julie découvre la queue bien raide, fine et assez longue. Hubert est à son tour nu devant elle, il la regarde, cherchant à connaître son sentiment, Julie lui sourit. Il semble rassuré.


Il prend sa main et la dirige vers sa queue, elle la saisit et la caresse du bout des doigts, Hubert de nouveau lui roule une pelle, ils s’embrassent goulûment. Elle a sa queue dans la main et le branle doucement.


Moi, je bande comme un taureau et me déshabille à mon tour. Je m’approche d’eux et caresse le dos et les reins de Julie. Hubert entreprend de lui embrasser et sucer les seins, il pince les tétons, elle gémit.

Il descend encore et s’empare de la chatte. Julie écarte naturellement un peu les cuisses, s’ouvrant ainsi à lui, il la butine, la fouille de ses doigts, joue avec son clito. Moi, je la couvre de baisers et lui pelote les seins.


Hubert se relève, je lui laisse alors le champ libre et les regarde. J’aime le voir profiter de ma femme, j’aime la voir avec lui. Il lui roule une pelle, puis il pose ses mains sur les épaules de Julie, je devine qu’il a envie qu’elle s’agenouille pour le sucer. Il me regarde cherchant mon sentiment, il peut y lire mon accord et même plus, mon envie qu’elle le suce.


Puis il la regarde, elle aussi a compris, elle descend vers son sexe laissant ses mains glisser sur le torse poivre et sel, puis elle saisit sa queue, décalotte le gland et le prend en bouche, Hubert frissonne et laisse échapper un « Hum… » de satisfaction. Elle le lèche, le suce, caressant ses couilles. Je la connais bien, ma Julie et comprends, à la façon dont elle le suce, qu’elle a envie de lui donner autant de plaisir qu’elle en prend.


Après quelques instants de ce délicieux supplice, Hubert se retire de sa bouche, je présume qu’il est au bord de l’éjaculation et qu’il ne veut pas en rester là. Il l’invite à se relever et lui fait signe de s’allonger sur le lit. Il se blottit près d’elle, l’embrasse de nouveau langoureusement, tout en passant sa main sur ses seins, puis il descend entre ses jambes, lui écarte sans mal les cuisses et lui broute une nouvelle fois la chatte tout en la doigtant.


Je les rejoins sur le lit et les observe en caressant délicatement les seins de Julie. Elle a de nouveau mis sa main sur la tête d’Hubert et gémit de plus en plus, je comprends qu’elle jouit sous les coups de langue et les doigts de son amant.


Hubert se relève alors, fixe du regard Julie et se positionne entre ses cuisses, il va la pénétrer. La tension est à son paroxysme. Julie regarde Hubert dans les yeux, elle semble implorer qu’il la pénètre. Il approche donc son bassin, se penche un peu sur elle et entre en elle sans avoir à guider son sexe.


Julie soupire de plaisir, pose ses mains sur les épaules et sur la nuque de son copulateur. Hubert ondule en gémissant à son tour, elle descend alors ses mains sur ses reins puis lui caresse et lui pétrit les fesses.

La scène qu’ils m’offrent me semble irréelle. Mon ancien patron, un homme mûr, grisonnant, fait l’amour à ma charmante petite femme de vingt-sept années plus jeune que lui. Le plus étonnant, c’est que la veille encore, elle ne l’appréciait pas du tout, et là, ils baisent sous mes yeux, l’un et l’autre prenant un grand plaisir et j’en suis heureux.


Hubert la besogne de plus en plus fort, lui arrachant de petits râles, je comprends qu’elle jouit encore… Elle lui agrippe la nuque et lui roule une pelle puis, les yeux fermés, elle s’abandonne au plaisir. Il lui chuchote alors quelque chose à l’oreille, elle lui dit : « Oui ».


Hubert accélère encore ses coups de reins puis se cambre, je comprends qu’il va jouir aussi. Effectivement, il explose en elle en râlant, elle ouvre les yeux et regarde son visage qui grimace à chaque spasme. Elle repose alors ses mains sur ses fesses et accompagne les petits mouvements saccadés de sa jouissance en gémissant.


Hubert, en râlant, décharge sa semence en elle. Julie me jette un regard furtif et embarrassé, elle accueille en elle et avec plaisir la jouissance d’Hubert. Il se vide, elle semble en être heureuse. Les saccades diminuent, il l’embrasse alors tendrement, ils échangent un regard et un sourire complice et exténué, Hubert s’allonge près d’elle.



Elle n’ose répondre, mais je vois sur son visage un brin de satisfaction et de plaisir. Il lui tend une serviette, elle essuie sa chatte qui dégouline de sperme. Julie se tourne alors vers moi et me dit :



Elle pose sa main sur mon visage me caresse la joue. Je l’embrasse et lui dis que j’ai envie d’elle.

Elle se met sur le côté, la tête tournée vers Hubert. Je me positionne derrière elle et la pénètre. Hubert nous regarde l’un et l’autre. Julie lui fait face, elle le regarde, elle s’expose, observant le regard de cet homme mûr sur ses beaux seins qui ballottent sous mes va-et-vient, cela semblait lui plaire, Hubert se met alors à les lui peloter.


Je vais et je viens en elle, Hubert la caresse doucement, ses doigts effleurent ses tétons, puis il remonte le long de son cou et sur son visage, il l’embrasse de temps en temps. Mes hanches claquent contre son cul, je stoppe de temps à autre pour reculer l’heure de ma jouissance, j’ai envie d’elle longtemps.


Hubert bande à nouveau, Julie lui saisit alors la queue raidie. Il se positionne pour qu’elle puisse le sucer. Elle l’a en bouche, le suce, en le branlant. Je ne peux me retenir plus longtemps devant ce tableau et les sensations extraordinaires qu’il me procure et je jouis. Je n’ai aucun souvenir d’une jouissance aussi intense. Je soupire de plaisir. Chaque jet m’arrache un bonheur immense. Je râle et geins.


Julie me rappelle par un petit « chut… » que les enfants dorment à l’étage. Je continue à jouir avec force, me retenant de hurler.

Enfin vidé et exténué, je m’affale à mon tour. Nous restons un petit instant, Julie contre Hubert, sa main sur son sexe encore dur, puis elle se lève, remet sa nuisette et part à la salle de bain. Hubert, la queue encore droite, se lève aussi, enfile un slip et me demande si je veux boire quelque chose. Il passe à la cuisine et revient avec quelques boissons.


Julie nous rejoint à la sortie de la douche, dans un peignoir de bain. Elle me propose d’aller en prendre une. Ce que je fais.

Lorsque je reviens, je découvre Hubert de nouveau à poil, sirotant assis sur le lit près de Julie. Elle a le peignoir largement ouvert, les jambes ouvertes face à lui, offrant une belle vision sur sa poitrine et sa chatte. Elle a un pied sur la cuisse d’Hubert qui bande légèrement… relax… Ils me sourient, Julie me fait signe de venir à ses côtés. Hubert va à son tour prendre une douche.


Nous profitons de ce moment pour échanger rapidement sur l’invraisemblance de ce qui vient de se passer. Je la complimente et lui dis combien elle est merveilleuse et combien je l’aime lorsqu’elle s’abandonne ainsi au plaisir. Elle me confie qu’elle n’aurait jamais imaginé cela, qu’elle m’aime aussi et qu’elle y a pris beaucoup de plaisir.


Hubert revient, lui aussi en peignoir de bain, il le quitte et s’allonge sur le lit, Julie entre nous. Elle se blottit alors contre lui, elle semble s’assoupir, elle pose sa tête dans son épaule et sa main sur son pubis. Je ne suis même pas jaloux de la voir aussi proche de lui, bien au contraire.


Hubert éteint la petite lampe de chevet. Un petit halo de lumière, en cette soirée éclairée de lune, s’invite dans notre obscurité, à travers les volets fermés en espagnolette.


Le calme se fait, le sommeil me gagne aussi peu à peu, Julie toujours calée dans l’épaule d’Hubert semble déjà dans les bras de Morphée, je me tourne sur le côté, leur tournant le dos pour m’endormir. Mais quelques instants après j’entends des frottements sous les draps. Hubert fait de petits raclements de gorge, je comprends qu’il se passe quelque chose entre eux, je tourne discrètement la tête, les ombres laissent deviner quelques gestes. Ils se caressent.


Je me retourne sur le dos feignant toujours de dormir et reste stoïque. Je distingue la main de Julie qui ondule sous le drap, elle caresse la bite et certainement les couilles d’Hubert, il dépose discrètement de petits baisers sur la tête de Julie. Elle lève un peu le visage et ils s’embrassent, je l’entends chuchoter quelque chose comme « … encore envie », mais je n’en suis pas sûr. Puis il la caresse entre les cuisses, Julie se tourne alors vers moi, je ne bouge toujours pas. Elle fléchit une jambe et je comprends qu’Hubert en profite pour la caresser de nouveau. Puis il lui murmure quelque chose à l’oreille. Malheureusement je ne comprends rien, elle tourne la tête vers lui et lui répondue : « on peut essayer ».


À mon étonnement, il se lève et sort alors dans le noir. Il va à la salle de bain, semble-t-il. Julie près de moi se caresse doucement. Il revient, entrant toujours le plus discrètement possible, il referme à clé puis s’installe à pas de loup, toujours dans la pénombre. Je perçois quelques petits mouvements, de petits bruits.


Julie lui tourne toujours le dos, la jambe toujours pliée et écartée, elle colle son bassin vers lui, Hubert est légèrement relevé sur son coude et lui caresse le cul, l’embrasse dans le cou. Il saisit quelque chose et s’affaire sous le drap à je ne sais quoi, il caresse de nouveau le cul de Julie puis il s’occupe vraisemblablement de sa bite et dépose ensuite quelque chose sur la table de nuit, ramasse la serviette au bord du lit, il semble s’essuyer ses doigts.


D’un seul coup, le doute et la stupeur m’envahissent. L’idée qu’il va la sodomiser m’apparaît, je revois et repense à chaque scène depuis l’extinction de la lumière. Tout me laisse à penser à la préparation d’une sodomie (Hubert allant chercher du gel, les caresses sur ses fesses et elle qui lui tourne le dos pour lui offrir son cul, etc.). Je n’en reviens pas.


Je ne peux m’y résoudre et m’efforce de me dire que ce n’est pas cela. Certes, nous avons et elle a déjà eu cette expérience anale, mais elle me la refuse depuis plusieurs années. Et puis impossible, pas par « Lui » ! Hubert, celui qu’elle déteste. Bien sûr, elle vient de prendre largement son pied avec lui, mais elle ne peut lui offrir cela… Non !


Mais le doute ne dure pas longtemps et laisse place à l’évidence ; elle colle son cul contre son bassin, elle tourne la tête vers lui et chuchote : « Doucement ». Mon cœur bat la chamade. J’ai du mal à feindre encore le sommeil, de toute façon je pense qu’ils n’en ont que faire.

Je sens leur souffle s’accélérer près de moi, Hubert semble peiner à la pénétrer, les bassins cherchent la position, il pose sa main sur la hanche de Julie. Elle retient son souffle et se fige, puis elle gémit. Hubert dirige sa queue sur l’œillet, elle gémit à nouveau puis un petit râlement, ça y est, il est maintenant en elle.


Leurs respirations fortes témoignent d’une grande intensité émotionnelle. Tout confirme qu’il vient bien de l’enculer. De petits mouvements débutent, elle gémit, puis il plaque son bassin dans un mouvement plus fort, lui arrachant un petit cri étouffé, il s’enfonce un peu plus en elle. L’idée qu’il la sodomise maintenant complètement et profondément m’est à la fois insoutenable et m’excite tout autant.


Les va-et-vient s’intensifient, les gémissements aussi, elle met la tête dans l’oreiller, essayant d’étouffer le bruit de son plaisir. Hubert lui aussi gémit le plus silencieusement possible. Je ne peux jouer l’endormi et me décide alors de laisser libre cours à leurs ébats. Je me tourne doucement vers elle, et dis à Julie :



Elle pose sa main sur mon torse en gémissant, je sens les mouvements de pénétration dans son bras, je mets ma main sur sa chatte qui est, bien sûr, vide, mais bien mouillée, les couilles d’Hubert viennent sur mes doigts, me confirmant bien qu’il la sodomise.


Je lui caresse alors le clito, elle soupire et gémit davantage et de plus en plus fort. Julie pose sa main sur ma bite, raide, et me branle un peu, puis soudainement, elle stoppe alors Hubert, qui se retire, elle se relève un peu et m’enfourche. Elle dirige ma bite vers sa chatte et je la pénètre facilement. Elle cale sa tête contre la mienne et dit d’une petite voix :



Et s’adressant à Hubert, elle lui dit :



Le fait de l’entendre le vousoyer, alors qu’il vient de la sodomiser et qu’on s’apprête à la prendre à deux me paraît surréaliste, mais aussi terriblement excitant.


Hubert ne se fait pas prier, il vient donc derrière elle, lui caresse le cul, il reprend un peu de vaseline en dépose sur l’œillet qu’il caresse, je sens son doigt entrer elle et lui lubrifier l’anus. Puis il s’enduit la bite et se positionne, Julie attend et se cambre un peu pour l’accueillir, elle m’embrasse, elle veut la deuxième queue. Je ne bouge plus.


Hubert dirige sa bite et cherche quelques instants à ouvrir la petite porte, puis il pousse et je sens sa bite entrer doucement. Julie souffle, haletant d’émotion et de désir. Hubert pousse encore, sa queue entre un peu plus profondément et nous le sentons. Mal à l’aise, il ressort se repositionne à nouveau, cette fois il entre plus vite et plus profondément. Julie gémit de nouveau, je lui demande :



Puis elle ajoute en tournant la tête vers lui :



L’entendre réclamer la bite de mon ex-patron m’excite encore plus, je suis au bord de l’explosion.

Hubert pousse, de nouveau elle gémit :



Puis il commence de petits va-et-vient, et les augmente de plus en plus. Je sens sa bite contre la mienne. Julie râle maintenant de plaisir, je n’y tiens plus et je jouis rapidement, ne contrôlant plus rien si ce n’est de ne pas hurler. Julie se colle contre moi et me serre dans ses bras, en disant :



Mais c’était trop tard. Je me déverse en elle.

Hubert, sentant les spasmes de ma queue, a stoppé son élan, mais il est toujours en elle, sa bite bien enfoncée. Ayant à peine fini de jouir, je débande rapidement et propose à Julie de les laisser continuer sans moi. Elle m’embrasse et me laisse m’extirper de son étreinte. Je me mets sur le côté, Julie a gardé la position en levrette et offre son cul à Hubert qui sans attendre l’encule de nouveau et sans mal.


Plus à son aise, il saisit les hanches de Julie et la besogne. Elle souffle fort, fermant les yeux et se laisse sodomiser sans modération. Elle semble rapidement jouir, la tête, une fois de plus, dans l’oreiller. Hubert va-et-vient en elle, en transpirant. Puis, dans un râle, il éjacule dans son cul. Il a plaqué son bassin contre les fesses de Julie. Sa jouissance semble interminable et quand elle commence à s’estomper, il se penche sur le dos de Julie lui embrasse la nuque, puis se retire. Ils s’affalent tous les deux sur le lit.


Un bref instant de repos, Hubert allume la lampe, lui tend une serviette. Puis élégamment il éteint. Nous restons comme deux cons près d’elle, en la caressant doucement.


Après quelques minutes, je lui dis :



Le silence est revenu, la tension retombée, chacun accueille maintenant le repos. Nous sommes un peu à l’étroit dans le lit. Je me lève. Julie, que je pensais endormie, me regarde, je lui dis :



Je ne sais si c’est l’épuisement ou la situation, mais elle reste avec lui, et ce, pour mon plus grand bonheur… Il était 1 h 56 sur le radio-réveil électronique.


6 h 15. J’entends du mouvement en bas et descends, il y à quelqu’un à la douche, j’en déduis que c’est Julie en voyant Hubert en peignoir de bain, il prépare le café.

Nous nous saluons cordialement, avec un regard complice… sans autre commentaire que le fait de savoir si chacun a bien dormi.


Je prends un verre de jus d’orange, Julie sort de la douche elle ne m’a pas vu, elle regagne directement la chambre d’Hubert à ma grande surprise. Hubert regagne lui aussi sa chambre, je le suis et découvre Julie allongée sur le ventre, à poil, jambes légèrement ouvertes, comme offerte, près d’elle le tube de vaseline de la veille et une serviette… Elle tourne la tête et, surprise de me voir, un peu confuse, elle essaie de cacher le tube et me dit d’un air un peu embarrassé :



Elle regarde, désemparée, Hubert, je sens un moment de flottement. Je fais un large sourire à Julie en lui disant :



Puis, en lui lançant un baiser, je sors et referme la porte. Je ne suis pas encore dans la cuisine que j’entends la fermeture à clé de la porte de chambre. Je prends mon café, presque tranquillement, je dirais même satisfait et épanoui comme semble l’être ma femme. Je passe devant la chambre et y colle mon oreille, j’entends des gémissements et me réjouis. Je remonte alors à la chambre et prends un livre. Julie n’apparaît qu’une heure après, un peu confuse, elle m’embrasse tendrement, prend sa trousse de toilette avant de rejoindre la salle de bain en me disant :



La matinée et le repas ne laissèrent rien transparaître de la nuit.


13 h 45. Nous sommes sur le départ, la voiture est chargée je suis en train d’installer les enfants dans leur siège auto. Hubert semble ému et un peu triste. Il nous fait promettre de revenir et, par politesse, nous lui disons à très vite.

Puis je demande à Julie :



J’ajoute avec un petit sourire et un air malicieux :



Julie me sourit et entre dans la maison. Hubert l’accompagne.

Je fais donc mes niveaux tranquillement, occupe un peu les enfants. Ils ne reviennent qu’après un quart d’heure, tout souriant, Hubert la braguette encore à moitié ouverte. J’en souris.

Nous nous quittons ainsi. Après quelques kilomètres, impatient de savoir ce qui c’était passé, je demande :



Puis j’ajoute :



Le soir au lit…

Excité depuis notre départ et avant que nous fassions l’amour, je lui demande ce qu’Hubert et elle ont fait avant le départ. Elle me raconte qu’ils sont montés dans les chambres, qu’elle avait regardé à droite à gauche et elle lui dit avec un regard malicieux :



À ce regard de braise et de désir, il a répondu :



Il s’est approché d’elle, l’a saisie par le bras et embrassée sur la bouche, puis il a passé sa main sous sa jupe lui caressant la chatte, et lui a dit :



En réponse, elle a caressé la braguette et lui a proposé une fellation. Il a défait son pantalon, elle s’est agenouillée devant lui. Elle a saisi son sexe et l’a donc sucé, s’appliquant à lui lécher bite et couilles, le branlant, caressant ses burnes qui ballottaient.


Il a apprécié, elle aussi., il a mis ses mains sur sa tête, lui a caressé les cheveux et l’a encouragée en lui disant qu’elle le suçait bien, il lui a demandé de bien lui lécher les couilles.


Elle allait et venait entre bite et bourses, puis elle a enfourné sa bite le plus profond possible dans sa bouche à la limite des haut-le-cœur, Hubert a gémi puis il a dit :



Il a ajouté :



Elle mouillait beaucoup et était très excitée à l’idée de recueillir sa jouissance et son sperme dans sa bouche, alors elle a accepté. Elle a ouvert la bouche et l’a laissé l’inonder de sperme. Quand les jets se sont estompés un peu, elle a avalé sa semence. Puis elle l’a repris en bouche poussant le plaisir à bien lui nettoyer la queue avec la langue.


Puis elle m’a rejoint à la voiture.


Ce récit m’a mis dans tous mes états. Mon excitation est à son paroxysme et nous faisons l’amour en pensant à Hubert.


Nous n’avons pas revu Hubert…



FIN