n° 19577 | Fiche technique | 10007 caractères | 10007Temps de lecture estimé : 7 mn | 03/05/20 |
Résumé: Petits jeux entre adultes. | ||||
Critères: fh couple amour voir intermast facial fellation cunnilingu anulingus pénétratio tutu -couple | ||||
Auteur : Viking6666 Envoi mini-message |
Quand tu es arrivée, j’étais là.
Je t’ai accueillie dans l’entrée, souriant, on s’est embrassé tendrement et je t’ai murmuré « Ce soir, c’est ta soirée ».
Ces quelques mots aujourd’hui n’ont plus besoin de plus d’explications : c’est notre petite phrase magique !
Au tout début de notre relation, tu m’avais fait la surprise de m’accueillir et de prononcer cette phrase. Tu m’avais préparé une soirée à mon goût. Une soirée rien que pour moi…
Depuis, chacun à son tour, on consacre une soirée à l’autre et à son plaisir.
Ce soir, j’ai tamisé les lumières, allumé quelques bougies, mis de la musique dans le salon. L’ambiance est douce et chaleureuse. Je t’ai aidée à enlever ton manteau, tu t’es installée dans le canapé, je t’ai offert un verre de vin que tu adores et on a pris un moment, détendus, à se raconter tout et rien, se regarder, s’embrasser, rire.
Je t’ai ensuite proposé de te faire couler un bain et d’en profiter le temps que je prépare le dîner, ce que tu as accepté avec bonheur.
Tu t’y es prélassée, tu as pris le temps de te chouchouter et de te faire la peau douce.
Je suis venu te voir et t’ai enveloppée dans mon peignoir quand tu es sortie de l’eau.
Je sais que tu aimes cette tendresse, qui est un comme baume de douceur selon tes mots. Tu m’as serré dans tes bras et je t’ai embrassée dans le cou, je sais que ça te fait frissonner. Puis je suis retourné terminer mon dîner-surprise.
Tu as pris le temps de te faire belle. Tu as terminé en enfilant une tenue d’intérieur ample et confortable, mais légèrement suggestive, comme j’aime.
Nous avons pris le temps de déguster ce repas simple, mais délicieux à tes yeux. C’était le prélude de ta soirée de rêve et de nos ébats qui allaient inévitablement suivre…
À la fin du repas, je me suis levé en silence et sans te quitter des yeux. J’ai fait le tour de la table pour venir me placer derrière moi. J’ai posé mes mains sur tes épaules et commencé à les masser doucement. Tu as fermé les yeux, tout au plaisir de sentir tes muscles trop souvent tendus à cet endroit se détendre.
Au bout de quelques minutes, mes mains ont continué leur course, se sont faufilées sous tes vêtements jusqu’à tes seins. Je suis juste venu épouser leur galbe, comme ça, tout tranquillement. Puis j’ai commencé à les caresser, réveillant du même coup tes tétons qui se sont dressés.
Mon pouce et mon index s’en sont alors emparés et le simple fait de les faire rouler entre mes doigts a commencé à t’exciter. Un soupir m’a immédiatement fait sentir que le désir montait en toi…
Mes lèvres sont venues se poser sur ton cou. Tu as penché la tête sur le côté et ce geste d’abandon m’a encouragé à te mordiller très légèrement, pour augmenter l’effet de ce baiser.
Je me suis penché un peu plus par-dessus ton épaule, mes mains ont continué à descendre en caressant ton ventre et l’une d’elles est venue se poser sur ton sexe… tes soupirs se faisaient plus intenses.
Ma main chaude, posée sur ton sexe, d’abord légère puis de plus en plus présente, insistante.
Mes doigts sont venus écarter légèrement tes lèvres et constater que tu mouillais déjà… je t’ai caressée lentement… et je t’ai demandé de te lever… Toujours derrière toi, je t’ai débarrassée de ton pantalon… mes mains sont revenues caresser tes seins plus vigoureusement…
Je me suis collé contre toi… mon bas-ventre sur tes fesses. Tu as pu sentir mon sexe durci à travers mon jean.
Je t’ai poussée vers l’avant, tu as pris appui sur la table… tu es merveilleusement offerte…
Je t’ai caressé les fesses, je me suis baissé pour avoir mon visage à leur hauteur… mes baisers, mes caresses ont fait monter ton désir de me sentir en toi.
Ma langue s’est promenée sur elles, entre elles, titillant au passage ton anus. Ma tête enfouie dans tes fesses. Que j’aime cette petite rondelle élastique, la parcourir de ma langue, essayant d’y faire pénétrer le bout.
Je sais que tu aimes quand je te prends par-derrière, rapidement sans plus de préambules.
J’ai ouvert ma braguette, et j’ai sorti ma queue bien large, dure, tendue… J’ai écarté d’une main ton string et de l’autre je me suis positionné à l’entrée de ton sexe.
J’ai passé mon gland sur ta fente trempée et je suis entré en toi brusquement, nous arrachant un « oh ouii » de plaisir…
Moment de délice, tu te sens remplie, je me tiens à tes hanches et te pénètre : va-et-vient vigoureux, mais pas trop rapides… j’adore voir ma queue qui disparaît en toi, et la revoir sortir trempée de ton jus.
Tu accompagnes mes mouvements et me reçois à chaque poussée en gémissant de plaisir.
J’ai passé mes mains sur tes seins pour les malaxer… je grogne.
D’une main, j’attrape tes cheveux, tire légèrement ta tête en arrière… j’aime te dominer un peu et je sais que tu aimes l’idée d’être celle que je possède de cette manière.
Puis je me suis approché de ton oreille pour lâcher un « Suce-moi ! » impératif, urgent !
Sourires. Je me suis retiré, tu t’es redressée et retournée.
J’étais devant toi… tenant ma queue, la caressant.
Avant de descendre t’occuper de mon plaisir, tu as pris le temps de m’embrasser langoureusement tout en me caressant, cherchant ce sexe dressé et dur que tu aurais bientôt tout le loisir de lécher… sucer… titiller.
Tu t’es accroupie devant moi, tes mains ont parcouru mes cuisses et sont remontées sur mes fesses. Tu as du sentir ton sexe s’ouvrir en t’accroupissant, comme tu me l’as déjà raconté malicieusement.
Tu as commencé par contempler ma queue que tu adores… tu as levé les yeux et croisé mon regard, contribuant à me faire bander encore plus. Je suis prêt à me régaler du spectacle.
Tout en me regardant, tu as tendu ta langue vers moi et es venue la poser sur le bout de ma verge. Tu as récolté ces premières gouttes de plaisir qui la mouillait déjà. Tu t’en délectes.
Tu as ensuite déposé tes lèvres : un petit baiser juste sur le bout de mon gland avec ta langue qui vient se joindre à la fête.
J’ai soudain envie de plus alors j’ai poussé ma queue légèrement dans ta bouche. Tu m’as laissé l’entrouvrir, et tu as accueilli mon gland tout entier.
Tu m’as déjà expliqué le plaisir que tu prends à cajoler un sexe de cette manière. Sentir la forme, la texture, la peau du gland toute lisse, tendue, très fine alors que juste en dessous, elle est plus épaisse, plus souple et coulisse sur la hampe. J’y repense à ce moment et le plaisir que tu prends à me sucer m’attise encore plus.
Tu as laissé mon gland glisser dans ta bouche, ta langue est venue tourner autour comme pour en redessiner les contours… tu m’arraches de profonds soupirs.
Tu ne t’es pas trop attardée sur mon gland… je sais que tu y reviendras… je l’espère en tous cas !
Tu as continué ton travail d’aveugle en m’avalant le plus possible, d’un seul coup. Tes lèvres ont appuyé le mouvement. Je gémis de soulagement et de plaisir. J’étais enfin entièrement dans ta bouche, sentant son humidité, le sexe complètement entouré.
Tu as commencé alors à me sucer assez vite. Avec une de tes mains, tu m’as caressé les testicules et l’entrejambe. Tu t’es ensuite attardé sur la partie entre mon sexe et mon anus et sur mon anus lui-même. Tu as humidifié ton majeur en le suçant et tu es venue titiller mon petit trou en reprenant ma queue dans ma bouche… j’étais au paradis. À cet instant je me demande si je vais me laisser complètement aller au plaisir, te laisser me faire jouir, ou plutôt exploser, ou si je vais m’occuper de ton sexe qui dégouline certainement.
Je tente de te ralentir dans tes investigations, mais une fois partie tu n’as plus envie de me laisser de répits. J’essaie de me dégager, mais je sens que tu veux me conduire jusqu’au bout du plaisir, pour le mien, mais aussi parce que tu adores ça, sentir un homme fondre dans ta bouche…
Tu continues à me sucer, à me lécher les bourses, à les aspirer. Une de tes mains me branle quand je ne suis pas dans ta bouche humide.
Cette séance devient trop chaude, trop excitante !! tu commences alors à te caresser d’une main. Tu trouves ton sexe ouvert, trempé, ton clito dressé, sensible… tu te lèches les doigts en me regardant droit dans les yeux. Je ne perdrais une miette de ce spectacle pour rien au monde. D’une main posée sur ta tête, je te fais reprendre ma queue.
Et là, bien décidée à me faire jouir, tu te concentres sur le rythme de tes caresses, leur pression, ma queue est toute humide et ta main glisse bien. Tu réduis tes caresses quelque temps à mon seul gland… doigts humides qui le frottent, puis tes lèvres qui l’enserrent et ta langue qui tourne autour.
Mes râles et mes protestations ne font que t’encourager à continuer. J’ai la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, une main sur ta tête… je me laisse faire… c’est ta soirée ! Pas le choix.
Je te traite de petite cochonne, t’intime de me sucer à fond comme une salope, j’aime que tu le sois.
Le point de non-retour a été franchi… tu me sens me crisper, ta bouche autour de mon gland, un doigt glissant vers mon anus… je vais venir… j’ouvre les yeux, saisis la base de ma queue pour la maintenir au-dessus de ta bouche ouverte dans laquelle je suis en train de jouir à grands jets, en gémissant.