n° 19578 | Fiche technique | 8838 caractères | 8838Temps de lecture estimé : 6 mn | 03/05/20 |
Résumé: Prétextant un contrôle technique à venir, je demande à mon garagiste, plus âgé que moi, de vérifier ma voiture. Je le séduis et nous faisons l'amour. | ||||
Critères: fh hplusag jeunes travail voiture fellation préservati -magasin | ||||
Auteur : L'instant présent (La vingtaine, je suis plutôt petite, avec des formes) |
Chaque jour, depuis plus de six mois, je passe devant les portes de son garage. Je travaille juste à côté, pour un temps que je sais compté. Quand je le vois, je lui souris timidement et il me le rend. Dans son bleu de travail, sali par la graisse des mécanismes des voitures qu’il examine, je le trouve sexy, professionnel.
Un jour où j’avais crevé sur la route, je décide de lui confier ma voiture. Le soir, en la récupérant, je n’ose pas engager la discussion. Je suis plus jeune que lui, la vingtaine passée, mais lui doit avoir autour de quarante ans. Je suis petite en taille, je pense passer pour une gamine à ses yeux. Alors je me suis contentée de le remercier chaleureusement, il faut dire qu’il a fait du bon boulot.
Les jours qui suivent, je lui adresse des sourires plus francs, plus appuyés, je m’habille avec des vêtements qui me mettent en valeur : des jeans qui me font des belles fesses rondes, des blouses échancrées qui laissent apparaître le haut de ma poitrine volumineuse, des robes courtes. J’ai déjà remarqué les coups d’œil de son collègue, mais ce n’est pas lui qui m’intéresse. J’espère que mon garagiste préféré a remarqué la jeune femme que je suis. Vient mon dernier jour de travail. Je n’ai rien à perdre, s’il refuse mes avances, je ne le verrai plus jamais. Il ne connaît rien de moi, ni mon nom, ni mon adresse. Alors, je choisis soigneusement mes habits, mes sous-vêtements : un tanga noir, en dentelle, avec le soutien-gorge assorti.
La journée passe rapidement et en début de soirée, nous buvons des bières avec les collègues pour fêter mon départ. Chacun quitte ensuite les lieux et moi, je rejoins ma voiture et attends quelques minutes pour être sûre de ne croiser personne. Je me gare devant le garage. Heureusement, le mécano est là.
Là, je joue le tout pour le tout :
Il hésite, surpris :
Le garagiste rougit légèrement, peut-être que mon approche commence à porter ses fruits, il ouvre le capot. Une fois l’inspection faite, il se glisse sous la voiture. Soudain, j’entends :
Je ne vois que ses jambes dépasser donc je me baisse pour lui tendre l’objet désiré. Je suis à genoux près de ses cuisses, et lui annonce que je l’ai. Il tourne alors la tête vers moi et, malgré la pénombre, je le vois ouvrir la bouche et ses joues prendre des couleurs. Je baisse la tête et découvre l’objet de sa stupeur : il devait avoir une vue imprenable sur mes seins, bien ronds et remontés par le soutien-gorge noir qui les met parfaitement en valeur. Il détourne vite le regard, et moi, je sens mon entrejambe s’humidifier.
En me relevant, je vois le sien légèrement bombé, tout à fait appétissant. J’aime voir le désir naissant sous les vêtements. J’hésite sur la conduite à suivre : j’ai une envie folle de m’agenouiller à ses côtés, de le tâter, d’ouvrir sa braguette et de lécher son mât que j’imagine tendu. Le problème, c’est que je suis trop timide pour ça, alors, j’espère qu’il fera un premier geste vers moi.
Pour l’encourager, je me mets à nouveau à genoux vers lui et lui demande de m’expliquer ce qu’il fait. Je me penche, me cambre, les mains près de lui. Il essaye de me répondre avec sérieux, mais je vois bien qu’il a du mal à parler, regarder la voiture et ma poitrine en même temps ! C’est bien un homme ! Pour suivre ses paroles, je commence à m’allonger près de lui.
Là, il me dit :
Il n’est donc pas insensible à mes atouts, c’est juste ce qu’il me fallait. Je me lève, enlève ma robe ; et redescends vers lui. Il ne sait plus où regarder.
Audacieuse, je le rassure :
À moitié nue près de lui, je suis bouillante, mon cœur bat si fort que je pense qu’il l’entend ; en tout cas, il doit voir ma poitrine se soulever à bon rythme. Il me dit qu’il va passer à autre chose. Je me relève, en prenant soin de bien lui montrer mes fesses, en cambrant le bas du dos. Derrière, je l’entends déglutir. Je sens ses mains remonter sur mon mollet, caresser l’arrière du genou, la cuisse. La douceur est absolue, je frissonne de plaisir. Il évite mes fesses et effleure le bas de mon dos. Frustrée, je me retourne et le fixe dans les yeux, la bouche légèrement ouverte. Il doit lire dans mes yeux le désir qui m’habite, car il succombe : il me retourne violemment contre la voiture et me claque une fesse.
La surprise me fait reculer et je suis stoppée par son bas-ventre, extrêmement dur. Je ne peux m’empêcher de soupirer d’excitation. Sa force est vite remplacée par des baisers tendres, dans ma nuque, dans mon dos, une partie très érogène. Ma respiration est courte, saccadée, je frotte mes fesses à son bassin. En même temps que ses lèvres sur mon corps, ses mains s’emparent de mes seins, il les sort de leur prison de tissu. Il veut sans doute les voir puisqu’il me retourne. Je l’embrasse avec passion, avec fougue. Ensuite, je me baisse, dépose de légers baisers sur son entrejambe, et le caresse. Je descends son pantalon et caresse son sexe à travers son caleçon. Je l’embrasse à travers le coton pendant quelques instants, et puis je veux le sentir, alors je le sors. Il est gonflé, tendu, et magnifique, ni grand, ni fin, un entre-deux exquis. Je le lèche, l’embrasse, titille le gland.
Aux bruits qu’il émet, il a l’air d’aimer ça. Après avoir embrassé ses couilles, je le mets dans ma bouche et commence les premiers va-et-vient. C’est chaud, doux et humide. J’ai envie de le faire jouir. J’accélère un peu, joue avec ma langue, et en même temps, je caresse sa cuisse. Il se retire et se plaque contre moi, contre la voiture. Son pénis contre mon corps, c’est trop bon. Il m’embrasse dans le cou, descend sur la clavicule, l’épaule, les seins. Il les mordille, les aspire, j’ai terriblement envie de lui. Il se met à genoux sous ma chatte, décale la culotte, lèche mon clitoris et me met un doigt, il doit constater que je suis trempée.
Il enfile une capote que j’avais laissée dans la voiture, je me mets sur le capot, il s’approche de mon entrée, me lève une jambe. Sa queue entre un tout petit peu, et le voilà qui se retire ! Je soupire et le supplie. Il rentre un peu plus, et s’enlève à nouveau. Après quatre fois ce supplice, je n’en peux plus et avance mon bassin à sa rencontre. Une fois qu’il est entré, je bouge mes hanches, pour qu’il comprenne que j’ai envie de lui. Il s’enfonce jusqu’au bout, et garde un rythme lent, mais puissant. Je ne peux pas gémir trop fort, je dois me retenir. Il malaxe mes seins, caresse mes cheveux châtains.
Me sentant proche de jouir, je le pousse de mes mains. Il attend que je lui dise ce que je veux, alors je me tourne et me penche, mains sur la voiture, pour une levrette. J’ai de la chance, il a dû comprendre que j’adorais les baisers dans le dos, puisqu’il m’en redonne. L’excitation suprême me fait me cambrer, je suis toute à lui. Mes fesses tendues vers lui, il pose une main sur mes hanches et me pénètre. Je suis si proche de jouir que je lui dis, il accélère et quelques coups plus tard, je crie légèrement mon plaisir. Je sens son pénis se gonfler, des jets emplir le préservatif. Je me retourne, essoufflée, et l’embrasse langoureusement.
Nous nous rhabillons en nous regardant et je lui tends mon numéro.