n° 19583 | Fiche technique | 39881 caractères | 39881Temps de lecture estimé : 23 mn | 06/05/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: C'est son premier voyage depuis qu'elle est divorcée. Pas de chance, un groupe d'amis est déjà constitué. Heureusement, un homme joue le bon samaritain avec elle. | ||||
Critères: fh ff cadeau vacances fellation confession -occasion | ||||
Auteur : Faustine |
DEBUT de la série | Série : Bouddha Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
C’est mon premier voyage en célibataire, enfin je devrais dire en femme divorcée. J’ai beaucoup voyagé avec mon mari, avec mes enfants, soit en « Individuel » soit en « Organisé » et cela s’était toujours bien passé. Mais là, c’est différent. Je suis tombée sur un groupe déjà constitué, déjà amis, déjà complices et, à part moi, il y a juste un autre couple de jeunes.
Oh, je ne suis pas mise à l’écart. Ma compagne de chambre est charmante et bien élevée, mais dès le petit-déjeuner elle va rejoindre sa troupe et moi je reste seule avec le couple. Pourtant le pays est magnifique, le voyage très bien organisé, mais il manque la petite touche conviviale qui fait que souvent on se fait des connaissances. J’avais mis ce problème de côté, profitant au mieux de ce pays délicieux qu’est la Thaïlande, sa nature, ses monuments, ses habitants et leur joie de vivre.
Pourtant au fil des jours, un homme du groupe vient me tenir compagnie. Il est à côté de moi pendant les visites, puis dans le bus, parfois au repas formant ainsi avec le couple une vraie tablée. Je ne suis pas aveugle, je vois bien que les autres sourient de cette approche. Mais si cet homme, Xavier, me drague, comme ont l’air de le penser ses amis, c’est une drague des plus timides. C’est juste un compagnon, rien de plus, rien d’équivoque, rien de graveleux ! Il est assez bel homme, probablement la cinquantaine avancée. Mais, même si sa drague n’est pas évidente, elle me fait du bien. Après le départ de mon mari, j’ai eu un moment difficile, alors qu’un homme puisse quitter son groupe pour venir, ne serait-ce que pour me tenir compagnie, me paraissait comme un baume sur ma douleur.
J’étais mariée, mère de deux enfants, assez grands maintenant pour se débrouiller si je ne suis pas là. J’aimais mon mari et je sais que lui m’aimait aussi. J’ai vécu des heures délicieuses avec lui. Mais au fil des années, surtout après la naissance de mon deuxième enfant, j’ai moins apprécié qu’il me fasse l’amour. Mon mari est comme on dit « bien monté ». Je le sais, car même si je n’ai pas couché avec des dizaines d’hommes avant lui, j’étais loin d’être une gamine innocente. Je le savais, mais lui aussi, évidemment, et il en faisant une fierté. Il aimait me posséder avec son bel engin qui en plus avait toujours une dureté de fer. Il se faisait une idée de « mâle » qui, pour satisfaire son épouse, devait la bourrer longuement, variant les positions, se retenant le plus longtemps possible, pensant que plus cela dure, plus sa femme allait aimer et jouir. Il ne négligeait pas vraiment les préliminaires. Il ne me prenait pas « à sec ou à froid », mais me caressait et me lutinait, mais rarement assez longtemps pour que j’aie ma jouissance. Alors je simulais, mais même lorsque je poussais des « oh ! C’est bon ! Je viens ! Je viens ! », il continuait son labeur à n’en plus finir et me gratifiait, après s’être vidé en moi, d’une « C’était bon, hein ! Tu as bien joui ? » Et je répondais « Oui » sans vouloir le décevoir, car dans le quotidien c’était un mari merveilleux.
Au fil du temps, j’ai trouvé la solution de le sucer, améliorant au fil des semaines ma technique sur les godes qu’il achetait. Godes vibrants que j’utilisais d’ailleurs en « extérieur » sur mon bouton et sur mes lèvres pour me donner le plaisir que j’avais rarement avec lui. Je suis devenue capable de bien le prendre en bouche malgré sa taille. Sans avoir les lèvres de Julia Roberts, je peux heureusement m’ouvrir assez. Ainsi en le suçant et le pompant profond, jouant la vicieuse qui adorait ça, je le faisais jouir et cracher dans ma gorge. Je dois avouer que j’avais un certain plaisir à le soulager ainsi, pas seulement le plaisir de m’éviter une saillie, mais je dois le reconnaître, du plaisir de sucer alors qu’en même temps je me caressais le clito de la main ou même mieux avec un jouet vibrant. Il aimait que je me montre cochonne.
Mais cela n’a pas suffi. Il est allé chercher ailleurs. Au début, j’ai été vexée, mais après comme il devenait entreprenant bien moins souvent cela m’allait plutôt bien.
Mais c’était jouer avec le feu et l’âge avançant, le démon de midi ou la crise de la quarantaine a eu raison de mon couple. Il s’est trouvé une autre qu’il a aimée. À peine plus jeune, mais, qui sûrement appréciait aussi mieux que moi de se faire remplir avec son gros machin.
Cela fait six mois maintenant. Six mois de célibataire. Et c’est mon premier voyage.
Je me confie à cet homme que je connais à peine. Bien sûr, pas les détails de ma vie sexuelle, mais, comme une hypocrite, je rejette toute la faute sur mon mari. Il compatit. Lui aussi est marié, mais par jeu, il ne veut pas m’indiquer laquelle du groupe. Mais lui est heureux en ménage. Si c’est le cas, alors pourquoi vient-il avec moi ? Par compassion ? Pire par pitié ? Non, je ne crois pas, car lorsque je lui dis qu’il ne devrait pas quitter ses amis pour moi, sa femme surtout, il a la gentillesse de me dire qu’il apprécie ma compagnie et qu’il doit les rendre jaloux d’accompagner une femme aussi séduisante que moi. Quant à son épouse, elle n’y voit pas d’inconvénient. Il faut dire qu’elle ne risque pas grand-chose, il y a toujours des personnes du groupe à proximité.
La veille du retour, nous avons quartier libre. Spontanément, Xavier se propose de m’accompagner et j’accepte sa compagnie, car je me voyais mal toute seule dans une grande ville comme Bangkok. La journée s’écoule tranquillement. Je fais des achats, Xavier me montre des endroits qui ne sont pas sur la liste des curiosités. Il est déjà venu il y a quelques années pour le travail. Bref, une journée très agréable avec un compagnon charmant, agréable, prévenant, me prenant parfois par la main pour les traversées des avenues, posant une main douce sur mon épaule dénudée, mais sans jamais être lourd ni intrusif.
Au retour à l’hôtel pour le remercier de cette belle journée, je l’invite lui et son épouse pour un dîner en ville. Il accepte, mais au rendez-vous, il vient seul :
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il prend tout en main et d’ailleurs la mienne aussi. Nous passons une soirée délicieuse. Le repas est délicat et supportable pour un Européen. Je suis un peu pompette, autant par nos bavardages qui ont pris, d’ailleurs je ne sais plus comment nous avons dévié sur des choses plus intimes, que par le cocktail et les alcools.
On sort dans une rue très animée. Tout naturellement il passe sa main autour de ma taille et je ne refuse pas son contact. Au contraire, il est ma force dans cet enchevêtrement de population ou piétons, motos, scooter s’évitent.
Je ris.
Quel gentil compliment. Décidément cet homme est tout en délicatesse, un vrai gentleman. Même sa main autour de ma taille est une présence amicale et je me surprends à l’apprécier comme j’apprécie lorsqu’il pose sa paume sur mon épaule nue.
Trois minutes en tuk-tuk et on nous dépose devant l’institut. Xavier m’entraîne. L’entrée est discrète. Une hôtesse à un comptoir. Rien de ce que j’ai vu dans les films. En entrant, il m’a dit :
Donc je le laisse faire. Il revient vers moi :
Il sourit. Je mets une seconde à réaliser ce que cela signifie. J’ai déjà eu des kinés hommes, mais ce qu’il propose est…
J’ai peut-être parlé de façon un peu sèche.
Il fait un pas vers le comptoir.
Il se retourne
Il reste un bon moment avec l’hôtesse. Pendant ce temps, je me suis assise et parcours un document devant moi. Tout est en thaï, mais des photos montrent le visage de ceux et celles qui manifestement officient dans le salon.
Il revient vers moi.
Aussitôt une femme vient nous chercher. Nous franchissons une porte. Un instant je m’inquiète que peut-être nous allions nous retrouver ensemble… Dans la même pièce… Que c’est peut-être son plan pour me séduire… Nous regarder nous faire masser… Et… Si c’est le cas, qu’est-ce que je fais ?
Mais la femme ouvre une porte et montre à Xavier que c’est pour lui. Il la franchit.
J’acquiesce. La porte suivante est pour moi. J’entre. Une femme m’accueille. Elle est jeune, charmante, de ces visages de femmes enfants à qui nous autres européens avons du mal à donner un âge. Elle me salue avec ce « wâi » traditionnel si chargé de respect. Je fais de même. Elle me parle en m’indiquant le coin de la pièce. D’un sourire et d’un geste, je lui montre que je ne comprends pas en disant « française ». Elle me sourit comme on sourit toujours dans ce pays même si c’est pour cacher un ressentiment.
Son accent est délicieux. Jamais je ne me moquerai des accents de ceux qui s’efforcent de parler ma langue. Beaucoup devraient prendre exemple sur moi. Qui sont-ils pour se moquer alors qu’ils sont infoutus de dire le moindre mot dans une langue étrangère.
Je comprends. Je me déshabille. Elle s’empare de chaque objet qu’elle accroche soigneusement. Arrivée à mes sous-vêtements, comme j’ai une seconde d’hésitation, elle me sourit et me tend la main. Après tout, pensai-je, on est entre femmes et Dieu sait que cette femme sous ses airs de gamine a dû en voir passer des corps de clientes et peut être même de clients. Avec les hommes, elle fait pareil ?
Je suis nue et elle ne me « capte » pas plus. Elle me demande de la suivre. Elle ouvre une porte. C’est une douche. Grande avec du carrelage chargé de fleurs et d’oiseaux. Elle attrape un bonnet de bain pour que je le mette. Elle ouvre un robinet qui libère des dizaines de jets d’eau, tous se dirigeant vers le centre de la douche. Je vais entrer, mais d’une main sur le bras elle me retient. Elle vérifie que l’eau est bien chaude avant de me libérer.
L’eau est tiède et odorante. Elle frappe mon corps de tous côtés. C’est presque trop puissant et je retrouve la sensation d’une cure que j’ai suivie, cure de bains et massage avec de la boue et le « rinçage » par un jet puisant qui faisait office de masseur, masseur brutal.
Elle me regarde quelques secondes puis me fait signe de sortir. Je la retrouve « au sec » et elle entreprend de me laver. Pas un centimètre de peau n’échappe à ses mains agiles qui étalent sur mon corps un liquide moussant. Cela paraît si naturel que je m’étonne à peine qu’elle aille jusqu’à me laver entre les cuisses et même passer sa main dans la raie de mes fesses.
Je retourne sous la douche. Elle me fait signe de me tourner, de lever les bras, bref de faire ce qu’il faut afin que la mousse soit éliminée. Je ressors. D’une large serviette chaude, elle me sèche.
La table de massage est confortable. Un grand miroir sur un mur me renvoie mon image. Ma masseuse s’empare d’un récipient dont elle déverse une partie sur mon dos, faisant de grandes traînées, traînées d’huile parfumée qu’elle s’empresse d’étaler sur tout mon corps. Comme elle reste du côté opposé au miroir, je peux la voir opérer. À nouveau le sillon de mes fesses n’est pas un obstacle pour elle. Elle me fait retourner et recommence son manège. Bien vite, je suis enduite du cou jusqu’à la pointe de mes pieds sans oublier mon intimité. J’ai sursauté lorsque de sa paume elle a étalé son huile sur mon sexe. Son regard a croisé le mien et elle a eu un sourire plein de gentillesse.
Voilà, je suis comme enduite et je dois réfléchir la lumière comme un miroir. À nouveau sur le ventre, je vois dans la glace que ma masseuse enlève sa blouse. Elle est nue dessous. Corps d’adolescente sans une once de graisse, les seins petits, mais bien présents. Je tourne la tête de son côté. Elle me sourit alors qu’elle s’enduit le corps du même liquide et que sans pudeur elle écarte les cuisses pour que l’huile se glisse partout. Elle aussi brille de mille feux.
Elle fait descendre la table presque au niveau du sol. Je ne suis pas innocente au point d’ignorer que ce coquin de Xavier m’a réservé un massage spécial, spécialité du pays, le body-body. Alors qu’elle se glisse sur moi, je me demande, si j’avais choisi un masseur homme… J’ai la pensée fugace d’imaginer un homme entreprendre la même chose. Est-il capable de ne pas bander alors qu’il frotte son corps à celui de sa cliente ?
C’est le plus fantastique massage qu’on ne m’a jamais fait. Au début, on se crispe un peu de sentir un corps nu se frotter au sien. Étrangement, l’huile fait plus qu’un lubrifiant, il « habille » les corps rendant ces frottements si intimes moins chargés de sensualité.
Pourtant tout est sensualité. Elle se sert de toutes les parties de son corps pour masser, effleurer, exciter oui aussi. Qui pourrait imaginer qu’un nez, un coude, un genou, un avant-bras, une plante de pieds puissent être utilisés. Heureusement que le massage commence alors que je suis sur le ventre. Cela me permet de m’habituer et de me décontracter doucement, me laissant envahir par son message tout en regardant dans le miroir son ballet de danseuse. Sur le dos, la perception change. Elle est face à moi, enfin sauf lorsqu’elle se tourne pour pratiquement se mettre en 69. J’ai la vision furtive de son intimité, sans l’ombre d’un poil comme à la naissance, petites lèvres délicates. Mais c’est juste un flash. Tout son corps participe. Ses seins, son ventre, ses cuisses, ses fesses et même son pubis sont des instruments qui participent au massage.
Combien cela dure-t-il ? Si au début j’étais gênée de tant de « proximité » avec elle, petit à petit, je me décontracte. Je ferme les yeux, m’abandonnant à ce contact si troublant.
Je suis bien. J’ai l’impression que je n’ai plus de corps, mais une sensation de plénitude.
Le silence. J’ouvre les yeux. Elle est juste là qui me regarde, un sourire énigmatique aux lèvres.
Elle demande avec une douceur infinie. Je veux parler, mais j’ai peur de rompre l’harmonie de cet instant. Je bats des paupières et souris. Quelques secondes où nos regards se parlent. Que voit-elle dans le mien ? Toujours est-il que dans un murmure j’entends :
Je ne comprends pas et elle le voit. Elle fait un geste de la main et répète :
L’interrogation est plus marquée. Comme je ne comprends toujours pas, je la vois s’éloigner et se diriger vers le mur avec le miroir. Je découvre qu’il y a une porte. Elle pose la main sur la poignée et redemande :
Alors je comprends et réalise que ce mur doit être celui qui nous sépare de la pièce où Xavier est entré et que la porte est une communication entre nous. Je comprends qu’elle me demande si je veux qu’elle aille chercher « Monsieur » qui pour elle doit être mon mari ou tout le moins un compagnon. Xavier. Elle me demande si elle va chercher Xavier. Je réagis. Je brise l’harmonie par un « Non » impératif.
Elle revient. Rien ne la surprend. J’ai dit « Non » et comme j’aurais dit « Oui » elle se serait exécutée. Ciel, est-ce Xavier qui a planifié cette proposition ? Et si j’avais dit « Oui » que ce serait-il passé ? Xavier serait venu… La masseuse serait-elle restée ?
Toutes ces questions se bousculent dans ma tête. Calme-toi, je pense, tu as dit « Non ».
La femme voit bien que je suis perturbée. Elle pose sa main sur mon épaule et dit :
Toujours avec ce sourire charmeur. Elle s’éloigne et je la vois ouvrir une sorte de four d’où elle extrait un panier en osier. Elle revient vers moi et je découvre dans le panier des formes noires que j’identifie pour des pierres dont le poli semble parfait. Avec certaines, elle forme un chapelet sur mon corps. C’est doux. Je retrouve ma sérénité. Je ferme à nouveau les yeux. Je pense pourtant à Xavier qui n’est pas loin. Que fait-il ? Est-il avec un homme ? Non, probablement une femme ! Quel homme se priverait de ce plaisir, s’il a choisi aussi body-body ? Et aussi j’ai entendu qu’il était possible de choisir d’autres options, mais ce ne sont peut-être que des rumeurs ou des fantasmes.
Je suis bien. Les pierres semblent aspirer ce qui restait en moi de stress. Je resterais des heures. Il faut que j’arrête de penser à Xavier. Je sens comme une excitation. J’ai l’impression que mes tétons pointent. Je sens comme un chatouillement, un effleurement.
J’ouvre les yeux. Je découvre ma masseuse avec une pierre à la main qui effleure mon téton. C’est comme une soucoupe volante, disque noir qui plane au-dessus de ma pointe. Une pointe oui, car manifestement mes pensées ont dû déclencher cette réaction, à moins que ce soit le contact fugace de cette pierre tiède qui m’excite inconsciemment.
Elle sourit. Le disque passe sur l’autre téton. Je ne respire plus de peur de perturber la sensation d’un contact immatériel. Et pourtant, mes tétons pointent. Elle enlève les autres pierres. La séance doit être terminée. Pourtant celle qu’elle tient encore dans sa main court entre mes seins, dévale mon ventre dans une glissade comme un skimboard sur une plage. La pierre se plaque sur mon intimité. Un instant, je pense que c’est par erreur, mais non, elle entreprend un doux massage tout en écartant mes chairs pour atteindre le plus intime.
Elle se penche sur moi, dépose un baiser rapide sur mes lèvres. C’est si rapide et inattendu que je n’ai pas le temps de réagir. Mais elle me parle aussi à l’oreille comme un secret à me confier.
Il me faut quelques secondes pour que ses paroles trouvent le chemin de ma compréhension. C’est si surprenant que je…
Elle me masse délicieusement mon petit bouton. C’est bon, mais ce n’est pas bien. Je ne devrais pas la laisser faire. Xavier l’a payée pour me faire cela. Si j’accepte que va-t-il penser de moi ?
Elle caresse mes seins. Je suis des yeux sa main qui tout à l’heure m’a massée déjà avec une sensualité délicate et qui se transforme en instrument de plaisir. Mon regard croise son visage. Elle me sourit comme toujours, mais je vois dans ses yeux une lueur différente et… Ohhhh… La pierre est différente. Elle ne me caresse plus à plat, mais elle est sur la tranche et mes chairs s’ouvrent pour qu’elle y pénètre un peu. Elle roule de mon pubis à mon anus. C’est bon. Chaque passage déclenche une onde de plaisir et m’excite me faisant attendre son retour.
Mes tétons sont maintenant roulés entre ses doigts pour l’un, aspirés par sa bouche pour l’autre. C’est bon. Mais la pierre disparaît. Je vais lui dire de ne pas arrêter… Pas maintenant, alors que je suis excitée comme une femelle en chaleur.
Et si elle avait pour mission de m’exciter pour faire entrer Xavier, Xavier qui arriverait en sauveur et continuerait ce que la masseuse a commencé ?
Mais non, je me fais un film. Le scénario est plus simple. Elle a posé la pierre, mais elle l’a remplacée par sa main. Sa main et ses doigts qui me pénètrent. Un ou deux sont dans mon vagin, poussent mon clito vers le pouce qui le caresse.
Elle me caresse. Par moment ses doigts s’activent comme une petite bite. Ils glissent dans une humidité que je ne peux nier. Jamais on ne m’avait fait ça ! Je veux dire jamais une femme ne m’a fait cela ! Des hommes, avant mon mariage, mon mari après, mais rien de comparable. C’est une femme et en plus, certainement une experte. Je gémis. Elle m’embrasse. Son baiser est plus appuyé. Ses lèvres me font un bâillon délicieux. Elle peut suivre l’effet de ses caresses. Mon souffle lui dit tout. Mes petits cris me trahissent.
Elle s’active. Mon Dieu que c’est bon ! Je me tends vers elle. Je décolle mon bassin de la table. Je suis en lévitation. Ses doigts me transpercent, et Ahhhhhh, je viens. Je sens la jouissance venir. Je tremble. Je suis comme possédée, et Ohhhh, je coule. Oui, je sens que je coule. Mon jus n’est pas comme d’habitude, même si je me caresse… Je coule vraiment. D’ailleurs ses doigts déclenchent des bruits caractéristiques… je jouis… C’est… C’est…
Je m’excuse après de cette jouissance si généreuse. Elle comprend, comme une amie, une complice, une femme et me dit :
Avec pour une fois un sourire que je devine moins « commandé ». Cela ne doit pas être évident de donner du plaisir sans en recevoir en échange.
On me conduit dans un petit salon où on me propose du thé. J’attends un bon moment. Enfin Xavier arrive, rayonnant. Ai-je moi aussi la même mine satisfaite ?
Je joue avec lui. En l’espace d’une soirée, notre relation « d’amicale » a dérivé vers une « complicité » qu’il a amorcée en choisissant le massage pour moi.
Pourquoi suis-je presque déçue que ce ne soit pas lui ? Pourquoi le « Si j’avais voulu vous séduire » sonne comme un « Je n’ai pas envie de vous séduire » et m’attriste ? Se sentir désirée, même si je n’y avais pas pensé vraiment, m’aurait redonné goût à la séduction. Mais non.
Je ne suis pas certaine d’avoir été convaincante. À quoi bon, manifestement je ne suis pas son type. À la rigueur de la compagnie pour quitter son groupe qui devait le saouler…
Je suis plus que pompette. On a trinqué à la vodka. Même glacée elle m’a chauffé le corps et je me surprends à faire la séductrice. C’est bizarre, depuis qu’il m’a dit ne pas être à l’origine du geste de la masseuse pour le faire venir, je suis comme vexée. Pourtant il n’y a pas de raison. Il a été un compagnon attentif et prévenant pendant tout ce séjour, semblant apprécier ma compagnie comme moi la sienne et si j’ai surpris plusieurs fois son regard sur moi, en particulier pendant que nous profitions de la piscine des hôtels, jamais il n’a eu un geste déplacé.
Déplacé ! Quelle conne tu fais. Pourquoi n’as-tu pas laissé ouvrir la porte. S’il n’était pas à l’origine, il aurait pensé que c’était toi qui… Il aurait pensé quoi ? Que tu voulais qu’il te baise ? Oh ! Et alors qu’est-ce que tu en as à foutre, idiote, c’était l’occasion d’essayer avec lui pour voir si…
Dans le tuk-tuk qui nous ramène à l’hôtel, je me love contre lui. Il passe son bras sur mes épaules et sa main pend en face de ma poitrine. Les secousses du véhicule nous malmènent et parfois sa main heurte mon sein. Chacun fait comme si de rien…
Il me raccompagne jusqu’à ma chambre. Il est vraiment tard. Tout le monde doit être rentré depuis un moment. Sa femme doit l’attendre. Quand il va la voir, va-t-elle lui raconter sa soirée ? Si j’ai bien compris, ils ne se cachent rien. Va-t-elle lui donner des détails ou juste un « J’ai choisi body-body et finition par un homme » ou bien des détails… Et dans ce cas est-ce que cela l’excite, Lui. Et Elle, est-ce que cela l’excite de raconter à son mari qu’un masseur l’a possédée, ou alors juste caressée comme la masseuse la fait avec moi ?
On est devant ma porte. On va se séparer. Tout cela m’a énervée… énervée, non excitée, d’une excitation purement fantasmatique.
C’est fou, il faut presque que je le supplie. Tant pis, au risque de passer pour une salope, je veux lui laisser un souvenir. Nous entrons. La porte se referme sur nous. Nous n’allons pas plus loin que l’entrée.
Et aussitôt je me baisse et attrape sa ceinture. Je la détache, je tire sur le zip.
Il proteste, mais si peu ! Il ne m’empêche pas de descendre son pantalon, puis son slip. Sa verge apparaît. Aussitôt je la saisis dans ma main. Elle est au repos. Il n’y pas bien longtemps, une femme a dû bien s’en occuper. J’approche ma bouche. Elle sent bon, reste des huiles et parfums. Je la prends tout entière et lui fait de ma gorge un écrin ou elle se développe rapidement. J’aime la sentir grossir, se dilater, chercher assez de place pour devenir un bâton à la fois souple et rigide.
Voilà, il bande. Je la libère et elle m’apparaît dans toute sa splendeur. J’ai beaucoup bu, mais pas au point de ne pas pouvoir me souvenir du braquemart de mon mari. Celle-ci est plus élégante, délicate, à peine veinée, le gland rose se détachant bien de la hampe.
Je lève la tête. Je croise son regard. Ses yeux brillent et probablement que les miens lui transmettent toute ma perversité, mon vice, mon envie, ma détermination.
Alors je le suce. Je le pompe. Il m’est facile de le prendre tout en bouche. À côté de mon ex, c’est facile. Toute mon expérience est utilisée. Je veux qu’il garde ce souvenir de moi. Je vais le faire jouir et il va regretter de ne pas avoir voulu me séduire.
Regarde-moi. Tu vois comme mes lèvres glissent le long de ton mandrin, qu’elles butent contre tes couilles, que je me bloque des secondes interminables, retenant ma respiration pour ensuite me retirer avec ce bruit si glauque de ma salive et la vision de ce qui coule de mes lèvres.
Regarde-moi soulever ta bite pour aller lécher tes couilles et… Oh, tu es très sensible à cet endroit… ton anus.
Je me souviens de mes premières fellations. Avec mes copains de l’époque, ils avaient juste envie que je les suce pour venir me prendre après. Peu savaient ce qui fait plaisir aux femmes. Je faisais le service minimum cherchant celui qui me posséderait enfin en me faisant jouir. Comme je l’ai dit, ç’a été pire avec mon mari, mais je l’aimais. Je me souviens comme si c’était hier des conseils d’une fellation réussis par Eva Mazone dont la vidéo n’est malheureusement plus accessible. Respirer, saliver, beaucoup saliver, ne pas hésiter à s’entraîner avec un gode ou même tout ce qui a la bonne forme, progresser aussi en prenant plus gros, plus profond, plus, plus. J’ai été une élève attentive, pas particulièrement douée, mais à force d’obstination j’ai réussi à retenir de très nombreuses fois mon mari de me labourer en lui vidant les couilles avec une fellation réussie. Et la plupart du temps il se faisait avoir, même si son envie était de me bourrer comme il doit bourrer et ramoner sa pute actuelle.
Mais oui, mon coquin si tu avais su que celle à qui tu tenais compagnie savait pomper comme cela, tu aurais fait quoi ? S’arranger pour que le groupe avance et te faire sucer. Ou bien, derrière la hutte de cette tribu soi-disant encore sauvage dans le nord du pays ? Impossible, les enfants mendiants ne nous quittaient pas. Me rejoindre dans ma chambre ? Impossible avec ma colocataire. Alors ?
Mon regard croise le sien. Je le pompe et ma main flatte ses couilles.
Que voit-il dans mon regard ?
J’abandonne sa bite gluante. Croit-il qu’il m’a choquée ? Mais non, au contraire, j’apprécie d’être rabaissée ainsi, comparée aux femmes qui n’ont pas honte de leurs envies. Fatiguée d’être considérée comme la femme exemplaire, la mère de famille honnête, l’épouse que l’on trahit alors qu’on ne fait même pas l’effort de la satisfaire.
Mais c’est ta faute, me susurre la petite voix. Il fallait le dire, le demander, en tant d’années tu n’as même pas osé parler à ton mari de tes envies. Peut-être qu’il aurait apprécié. Alors ça suffit. Tu es libre, laisse-toi aller, dis-lui ce dont tu as envie, que d’entendre ces mots ont déclenché des frissons.
Voilà c’est dit. Tu vois ce n’est pas si difficile…
Je le reprends en bouche. Étrangement sa bite a un goût différent. Il a aussi posé sa main sur ma tête et appuie avec.
Il me bloque, je vais étouffer.
Il me relâche. Je reprends ma respiration.
Ma main passe sous ma culotte. Je suis toute mouillée. Je suis excitée. Il aura suffi de quelques mots !
Sa main ne fait que m’accompagner. Elle n’a pas besoin de me forcer, mais c’est un signe de possession.
Je me caresse. C’est bon. Ma bouche remue avec délice la salive que je libère.
Oui, Xavier, je bouffe ta bite. La petite thaïe t’a-t-elle pompé avec tant d’ardeur ? À moins que tu aies préféré la posséder. Alors avec un gros bonus pour elle, car j’ai entendu dire que ce n’est pas dans les règles. Sa jouissance n’est pas loin. Je presse ses couilles comme on presse des citons pour en extraire le jus. Tu vas voir, je vais te montrer que…
mon doigt joue avec son petit trou…. que tu vas pouvoir te vider dans ma gorge…
Je pousse la porte de l’anus. Il ne résiste pas beaucoup.
Pas la peine de me prévenir, c’est comme si je pouvais voir ton sperme qui dévale comme un torrent. Tu vas me remplir la bouche comme la jeune… Non, elle n’a pas pu… Sécurité… D’ailleurs elle a dû le sucer avec une capote pour éviter…
Danger ! Danger ! Tu ne le connais pas vraiment. Tu ne peux pas prendre son foutre, ce n’est pas ton ex. Juste limite. J’ai à peine le temps de retirer sa queue de ma bouche que le foutre jaillit. Je le reçois sur le visage, les cheveux dans des jets très puissants. La surprise passée, il me tend un mouchoir.
C’est comme au réveil, un rêve. Mais je n’ai pas rêvé, je suis juste dessoûlée.
Sans un mot, il se rhabille. Il ouvre la porte et :
Il me laisse, souillée, honteuse. Heureusement que nous rentrons demain. Alors quelle importance ? Pour la première fois de ma vie, je n’ai pas réfléchi, je me suis laissé aller. D’accord, l’alcool m’avait totalement renversé le cerveau et des frontières que je croyais immuables ont été franchies. Ma culotte est trempée. J’ai joui !
Il fait comme si rien ne s’était passé. Dans l’avion, je me retrouve avec une inconnue.
On se sépare à Roissy.
Au revoir.
Au revoir.
À suivre