n° 19584 | Fiche technique | 16717 caractères | 16717Temps de lecture estimé : 10 mn | 07/05/20 |
Résumé: Un très joli garçon. Son amie. Et moi. Une année d'hypokhâgne et une soirée à la plage. | ||||
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Auteur : Come Sorel Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Suivre mes traces Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Je l’avais toujours trouvé très beau.
De notre groupe d’amis, Benjamin avait toujours semblé rayonner avec une clarté plus évidente que les autres. Plus beau, plus intelligent, d’une élégance instinctive. Dès le premier jour de cette rentrée en hypokhâgne, alors que nous étions tous stressés, engoncés que nous étions dans des habits trop neufs, entourés d’inconnus que nous pensions trop intelligents, il semblait à l’aise, heureux d’être là, souriant. Apollinien.
Peu à peu, les difficultés du travail, les exigences de nos professeurs ainsi que des affinités électives nous avaient rapprochés, lui, moi et quelques autres. Il y avait Lucie, une brune franco-vietnamienne qui n’allait pas tarder à sortir avec lui, Grégoire, un garçon sans finesse, mais drôle et plein d’entrain, Francesca et Alexandra, deux jumelles inséparables et Thomas, le plus sérieux d’entre nous.
Je l’avais toujours trouvé très beau.
Mais jamais autant que lors de cette semaine au bord de la mer en Normandie.
Lucie avait lancé l’idée.
Évidemment. Nous avions bien mérité cette pause après une année difficile et l’exigence des derniers mois pour assurer notre passage en khâgne. Tous issus de la petite classe moyenne, à part Lucie qui venait d’un milieu plus bourgeois, nous allions devoir travailler durant les vacances d’été. Nous fûmes donc tous enthousiastes à l’idée de passer une dernière semaine ensemble avant de ne plus nous voir pendant deux mois.
Dès le soir de notre arrivée, après la répartition des chambrées (les garçons dans une chambre, les jumelles dans une autre et notre couple d’amoureux dans une troisième), nous décidons d’aller à la plage pour un bain de minuit.
Fatigués par la route, enthousiastes à l’idée de ce premier moment ensemble, nous ne restons malgré tout pas longtemps dans une eau froide de début d’été.
Benjamin sort le dernier de l’eau et sous la pleine lune, sa beauté est éblouissante, presque irréelle. Ses jambes musclées, son ventre plat, cette impression de force et de finesse offerte par sa musculature. Son visage perlé de gouttes d’eau et ses cheveux châtains rejetés en arrière par la mer.
Lucie a surpris mon regard et, se glissant derrière moi, me chuchote, en posant sa main sur mon dos nu :
Je me retourne, un peu gêné, et croise son regard. Elle sourit, comme pour accentuer la légèreté de sa remarque. Mais il y a autre chose dans ses yeux et dans la chaleur de sa main sur moi.
Un peu embarrassé, je réponds avec maladresse :
Ce qui la fait rire. Et c’est vrai qu’elle est jolie, Lucie. Comme la plupart des garçons de la classe, j’avais évidemment essayé d’attirer l’attention de cette jolie métisse franco-vietnamienne. Grande, les cheveux noirs et coupés courts, des attaches fines, un corps élancé de danseuse, un visage joli au contour ovale : elle avait tout pour faire tourner la tête. Malheureusement pour nous, habitant un studio dans le même quartier que Benjamin, elle s’était rapidement rapprochée de lui et ils avaient fini par sortir ensemble. Ils étaient le couple de la classe et celui de notre groupe d’amis, la partie s’était jouée sans que nous puissions participer.
La semaine s’écoule paisiblement. Nos journées passées sur une plage presque déserte, la chaleur sans excès d’un bel été normand, nos découvertes de jeunes lecteurs. La vie rêvée. Nos premières vacances de jeunes adultes, nos premières sans nos parents pour certains d’entre nous.
Les filles, légères et court vêtues. Mes yeux se posant sur elles quand elles partaient vers la mer sur la plage.
Benjamin court avec moi tous les matins, torse nu. Je le laisse souvent me dépasser de quelques mètres pour regarder son dos musclé et la sueur entre ses omoplates. Nous terminons notre course sur le sable. De son front tombent des gouttes, creusant de minuscules traces sur le sable.
Les soirées se passent sur la terrasse. Nous discutons de notre avenir, de littérature, de cinéma. Nous buvons la cave du grand-père de Lucie dont les vins auraient mérité mieux que nos palais inexpérimentés.
Ce soir-là, je bois peut-être un peu trop. Benjamin, Lucie et moi nous restons sur la terrasse. Je décide de m’éloigner vers la plage afin de respirer l’air frais et de laisser s’évanouir l’alcool. J’entends bientôt des pas derrière moi.
Benjamin se tient là, à quelques mètres.
Je ne réponds rien, mais je lui indique par un sourire, par un geste de la main que tout va bien et que j’avais besoin de quelques minutes.
On ne résiste pas à Benjamin. Un ton impérieux et un sourire radieux. Je le suis vers les vagues. Arrivés à proximité de la ligne d’eau, il enlève son pull et son tee-shirt d’un seul mouvement puis son jean et son caleçon. Je l’imite. Il marche vers l’eau et je me joins à lui.
Les quelques mouvements de crawl que j’effectue me font effectivement du bien et après quelques minutes, je repars vers le sable. L’eau est froide, mais l’air est encore sec et chaud.
Benjamin sort quelques minutes après moi. Il vient s’allonger à mes côtés, s’appuie sur un coude et se tourne vers moi.
La panique dans mes yeux. Il s’en aperçoit, me rassure.
Disant cela, il avance sa main et caresse ma joue puis mes cheveux. Il se penche sur moi, m’embrasse doucement d’abord puis fait passer sa langue entre mes dents et commence à jouer avec la mienne. Ce faisant, il prend ma main et l’amène sur son ventre plat.
Commençant à comprendre ce qui arrive, réalisant que j’embrasse un garçon et que ce garçon est Benjamin, mon cœur s’emballe et explose dans ma poitrine. Il se relève, me prend par la main et m’entraîne vers les dunes où nous ne risquons pas d’être surpris.
Nous sommes debout. Face à face.
Je reprends notre baiser. Ma main descend de son ventre vers son sexe, palpitant, déjà à demi dressé. Je le prends délicatement dans le creux de ma paume et le branle avec douceur. Bientôt, cette queue me paraît énorme, ma main remonte et descend le long de cette hampe et Benjamin commence à gémir. Nous nous allongeons sur le sable.
Mes doigts caressent maintenant ses couilles, douces et presque imberbes puis je descends vers ses cuisses. Mon corps suit. Je me détache de sa bouche, le repousse sur le dos et descends avaler sa queue.
J’écarte ses cuisses, commence à lui lécher les testicules puis je remonte vers son sexe et, avec ma langue, je lèche, à petits coups rapides, sa hampe puis son gland. Benjamin gémit et caresse mes cheveux noirs de sa main droite.
Je prends maintenant son sexe dans ma bouche et j’effectue de nombreux va-et-vient pendant plusieurs minutes. Je le relâche parfois pour remonter l’embrasser à pleine bouche tout en continuant à le branler.
Je le reprends une dernière fois dans ma bouche, le sens bientôt se contracter. Trois ou quatre spasmes. Éjaculation.
Il se retire aussitôt et s’assoit en tailleur. Il me tend la main pour m’inviter à m’asseoir, dos à lui. Dans cette position, je sens son souffle dans mon cou. Il me murmure que je lui plais et commence à me branler de sa main droite. De sa main gauche, il explore ma poitrine, s’attarde sur mes tétons, descend vers mon ventre, mes cuisses, mes couilles. La jouissance monte, accompagnée d’une joie intense. Benjamin me branle.
Il remonte sa main gauche vers le haut de la nuque, me tourne la tête pour m’embrasser, tout en accélérant la cadence de sa masturbation. Mon plaisir est tel que je dois reculer ma bouche pour pouvoir souffler. Mon sexe se tend, mon sperme part se perdre dans le sable et la nuit.
Il me relève et nous faisons comme il a dit. Une fois rhabillés, il m’embrasse, avec tendresse. Dans un souffle :
Je le trouve très beau.
Quelques jours plus tard, avec la fin de la semaine, viennent les premiers départs. Les jumelles partent dès le vendredi soir puis, tôt le samedi matin, j’accompagne Thomas et Grégoire à la gare.
À mon retour, je trouve le café prêt et Lucie installée dans le salon, feuilletant un magazine. Benjamin est parti courir.
Je m’installe en face d’elle sur un fauteuil. Tout en lisant, je ne peux m’empêcher de la regarder. Allongée de côté sur le canapé, habillée d’une chemise d’homme blanche trop grande pour elle qui met en valeur ses longues jambes et sa peau couleur miel, la lumière tombant de la fenêtre sur son visage, elle est particulièrement belle ce matin-là.
Je la vois soudain lever les yeux, fixer un point au-dessus de moi et sourire.
Benjamin est rentré, bien que je n’aie pas entendu la porte-fenêtre s’ouvrir. Je le sens arriver derrière moi et je m’attends à la voir contourner le fauteuil. Mais il s’arrête, et je sens ses deux mains peser tout à coup sur mes épaules. Mon cœur bat un peu plus fort. Lucie a descendu son regard sur moi. Ses yeux brillent. Il se rapproche et son bas-ventre pèse bientôt contre ma nuque. Sa main gauche descend sous mon tee-shirt et caresse ma poitrine et mon torse. De sa main droite, il appuie sur ma nuque de façon à ce que je tourne ma tête et ses lèvres viennent rencontrer les miennes. Ma bouche s’ouvre et nos langues se rencontrent. Il lâche ma bouche et je prends soudain conscience de la présence de Lucie sur le bras du fauteuil. Elle s’est levée et nous a rejoints pendant les quelques secondes de ce baiser.
À son tour, elle se penche vers moi, ouvre ses lèvres, m’offre sa langue. Puis, elle et Benjamin s’embrassent avant qu’elle ne reprenne possession de ma bouche.
Benjamin se décale sur la gauche. Il a ôté son short et a sorti son sexe. Je commence par prendre son gland dans ma bouche et son sexe durcit. Lucie passe la main sur mes cuisses et de ses doigts délicats ouvre les boutons de ma braguette. Elle sort ma queue et commence à me branler tandis que, penchée sur le sexe de son homme, elle lui lèche les couilles pendant que je le suce.
Elle se relève bientôt, défait sa chemise, révélant des seins petits, mais d’une rondeur parfaite aux tétons d’un rose pâle délicat. Sa peau ambrée met en valeur son ventre plat, sa taille légère et ses jambes fines et musclées.
Le ton s’est fait plus impérieux, il y a un tremblement, du désir dans la voix.
Nous obéissons. Elle nous prend par la main et nous montons l’escalier vers la chambre où ils ont dormi pendant le séjour. Elle s’allonge sur le lit, écarte les jambes, impudique. Son sexe est couvert d’un duvet fin, aussi noir que ses cheveux. Ses lèvres se dessinent parfaitement et ses doigts descendent de son ventre et viennent à la rencontre de son clitoris. Elle nous regarde.
Benjamin et moi nous mettons face à face, nos langues se mêlent. Son corps est en sueur, je quitte sa bouche pour embrasser son cou. Nos mains, plus bas, s’activent. La mienne caresse la hampe de son sexe tandis qu’il me branle avec plus d’énergie, une main enserrant ma bite l’autre sur mes testicules.
Je pourrais me laisser aller à jouir, mais il s’arrête soudain pour rejoindre Lucie sur le lit. Il l’embrasse à pleine bouche et joint une main à la sienne sur son sexe tandis que l’autre caresse sa poitrine. Elle lève la tête, me sourit et me fait signe d’approcher.
Je m’allonge à plat ventre sur le lit. Sa chatte est à quelques centimètres de mon visage, délicieux bonbon et j’y plonge langue et bouche. Le goût de sa mouille. Salée. Je la lèche, doucement, d’abord en cercles concentriques sur ses grandes lèvres puis je remonte et à petits coups de langue, j’excite son clitoris. Ses cuisses se contractent de plus en plus vite, m’enserrent la tête, presque à me faire mal. Je vais plus vite. Deux spasmes. Un cri étouffé. Elle a joui, je crois.
Sur le lit, Benjamin prend sa place tandis qu’elle se lève. Je m’applique à le sucer, remontant de ses couilles à son gland, tentant même de descendre ma langue vers son anus. Il soulève son bassin pour m’aider. Lucie est passée derrière et de ses mains me demande de remonter mon bassin. Elle écarte mes cuisses et, avec sa langue et ses doigts, commence une lente exploration de mon cul.
Combien de temps cela dure ? Dix minutes, une demi-heure, une heure ? Elle fait d’abord glisser ses doigts dans ma raie, embrasse mon anus, rentre sa langue, un doigt, deux… Je m’ouvre peu à peu. Je sais que je m’ouvre pour lui. Ma mâchoire me fait mal à force de le sucer, mais je continue, je le veux dur et puissant en moi.
Je gémis de plus en plus fort, trois doigts maintenant sont en moi. Elle se relève, vient prendre Benjamin par la main, l’emmène derrière moi. Je le sens bientôt près de moi, ses mains caressent mon dos. Lucie s’allonge près de moi. Me caresse les cheveux.
Elle pose la question, mais elle sait.
La douleur est là dès le départ, mais je l’accepte. Je le veux en moi. Lucie m’embrasse doucement, avec tendresse. Benjamin peu à peu rentre en moi, la douleur s’estompe, se mêle de plaisir. Son gland d’abord, son sexe doucement puis je sens ses couilles cogner contre le haut de mes cuisses. Plaisir, il est en moi ce garçon que je trouve si beau. Sa queue en moi.
Peu à peu il peut accélérer, les baisers de Lucie se font plus profonds, sa langue s’enfonce dans ma gorge et étouffe mes cris de plaisir. Sa queue vient et repart en moi avec rythme maintenant, je sens monter en moi une vague, à chaque fois qu’il vient là au fond. Comme un tambour. De plus en plus fort.
Lucie se penche à mon oreille et d’une voix où se mêle du vice et un peu d’amusement, murmure :
Ses mots libèrent quelque chose en moi. Une vague de plaisir m’envahit. Je jouis. Intérieurement, une jouissance autre que l’éjaculation, quelque chose qui vient du ventre et dont le souffle rebondit ensuite dans tout le corps.
Benjamin se retire, ôte son préservatif et vient vers moi. Je m’agenouille au bord du lit. Son pénis est dur comme du marbre, je le touche à peine, j’ouvre la bouche et il éjacule en longs jets chauds. Son sperme coule sur mon visage. Lucie vient vers moi, m’embrasse et nous mêlons nos salives à sa jouissance.
Nous tombons, tous les trois, épuisés, sur le lit.
Je me réveille, une heure plus tard, tandis qu’ils dorment encore. Je sors de la chambre. Je prends une douche. Il faut faire les bagages, les vacances se terminent déjà.