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n° 19586Fiche technique30437 caractères30437
Temps de lecture estimé : 20 mn
08/05/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  La relation adultère d'une jeune femme avec son professeur de boxe.
Critères:  fh extracon profélève hotel facial fellation fsodo -extraconj
Auteur : Antoine75010            Envoi mini-message
Caroline et son professeur de boxe




Je publie ici une histoire qui m’a été racontée par une lectrice. Le texte qui suit a été recomposé à partir d’un échange de mails où cette jeune femme revient en détail sur une aventure adultère qu’elle a eue il y a quelque temps et sur laquelle elle avait envie de se confier.


Je propose le texte à la publication avec son côté « brut », sans vraiment retravailler le style des mails de « Caroline » (prénom changé évidemment) qu’elle m’écrivait de façon hachée, pendant ses horaires de bureaux. La question littéraire ne s’est pas trop posée pour moi, sensible que j’ai été à la charge érotique et à l’intensité de réel que j’ai pu percevoir dans cette confidence.


Caroline est une jeune femme d’une trentaine d’années, parisienne, mariée, mère de deux jeunes enfants et qui se croyait jusqu’à il y a peu heureuse en ménage. Elle a eu une première histoire adultère, l’aventure d’un soir, qu’elle m’a sommairement racontée ; elle en a eu une seconde, qu’elle m’a relaté plus en détail, c’est de celle-ci qu’il s’agit.






Oui il y a eu une suite à mon aventure adultère. Plusieurs mois après. Pas avec le même homme. Il ne m’intéressait finalement que peu. Il a juste été là à un moment où il y avait une faille dans ma construction. Il s’y est engouffré, il en a profité. Mais je n’étais pas profondément attirée par lui finalement. Ça m’est apparu très vite, quand il a essayé de me recontacter. Je n’en ai eu aucune envie, aucune. J’ai essayé de reconstruire, de passer à autre chose, de me reconcentrer sur mon homme, ma famille. Et j’ai réussi pendant plusieurs mois. Du moins, je m’en suis donné l’illusion.


J’ai effectivement rencontré un autre homme quelques mois après. Je me suis inscrite dans un club de boxe anglaise (débutante) et c’est là que je l’ai rencontré. En plus de son job dans une compagnie d’assurances, il donnait des cours de boxe et de stretching, et je faisais partie d’un groupe de femmes (on était une petite dizaine) à qui il donnait des cours tous les jeudis soirs de 20 h 30 à 22 h.


Je pense qu’il y a eu une attirance mutuelle, une vraie attirance. Une vraie envie de susciter du désir. Tout ce que j’avais essayé de consolider pendant ces mois. Me recentrer sur ma famille, mon travail, nos loisirs. J’avais envie de nos regards pendant le cours. J’avais envie de son corps contre le mien pour me montrer un mouvement. J’avais envie qu’il me regarde, qu’il me désire. Chaque semaine, cette montée en tension jusqu’au jeudi. La dépression post-jeudi, le retour à la normale pendant deux trois jours et cette nouvelle montée d’adrénaline. Complètement déstabilisant, complètement frustrant.


Un soir, je ne suis pas partie immédiatement… J’avais pris ma douche, j’étais rhabillée, je savais qu’il fermait la salle le jeudi soir… La salle était encore allumée, mais je ne le trouvais pas. J’étais là, fiévreusement, dans la salle, les autres filles étaient parties, sans savoir ce que je cherchais exactement. C’est lui qui m’a trouvée. J’ai entendu une voix derrière moi, quelque chose comme « tu cherches un truc ? » Il sortait des vestiaires, il était en train de se rhabiller. Il avait entendu des pas… il s’est approché de moi « tu me cherchais ? » Il était en pantalon, sa chemise ouverte. J’ai pas dit un mot, mais lui savait. Je savais aussi… son visage près du mien, l’effleurement de sa joue contre ma joue… ses mots provocateurs à mon oreille, quelque chose comme « ton mari t’attend pas ? »… tandis que ses mains sur mon corps… et mes mains aussi sur son corps… j’ai lâché mon sac de sport… on s’embrasse… nos corps qui se tendent l’un vers l’autre… nos bouches, nos mains… son corps m’excite… sa main qui amène ma main sur son entrejambe… je le caresse à travers son jean et je devine qu’il est nu dessous…


C’est lui qui ouvre son jean pour me faire caresser son sexe. Rien que dans ma main, je devine que son sexe est rasé, qu’il est divinement dessiné, ses testicules sont ronds, lourds. Son sexe épais. Ça, je me souviens parfaitement de ce contact. Je le masturbe doucement sous l’emprise de la fièvre. Ses mains, son corps, sa bouche. Je gémissais, sous son emprise, tandis que ses mains, tandis que ses mots… Ses mots qui réclamaient à mon oreille « ta bouche »… Je le caressais dans ma main, tandis qu’il réclamait ma bouche… c’était tellement… excitant, troublant, transgressif… Et toujours ses mots pendant que nous nous touchions, pendant que nous nous embrassions… « prends-moi dans ta bouche »…


Je ne sais pas si j’ai cédé, dans quelle mesure il m’a guidée pour que je me retrouve à genoux entre le mur et lui… mais je me suis retrouvée à genoux. Le plus fascinant, c’était la raideur de son sexe, recourbé vers le haut… son gland, ses testicules… la gorge sèche, je l’ai caressé dans ma main… et aussi sentir en le tenant à sa base… la différence de diamètre avec ce que je connaissais… J’avais du mal à en faire le tour de mes doigts, une sensation, juste dans l’écartement entre le pouce et l’index… et ces sensations étaient fascinantes… rien que le toucher dans ma main… un objet sexuel… lui caressait doucement mes épaules et mes seins à travers mon soutien-gorge… il avait ouvert mon chemisier… et ses mots à nouveau, sa main dans mes cheveux, nos regards alors que je tenais son sexe… et ses mots murmurés : « suce-moi »…


Et je l’ai fait… cette boule dans le ventre… cette envie de goûter… j’ai pris son gland dans ma bouche… et en passant ma langue sur son gland… la vision furtive de mon mari… cette vague de honte… refoulée… canalisée… La découverte de quelque chose de complètement différent… encore une fois, la puissance dégagée par la raideur la dureté de son sexe… Je le tenais à la base, juste ma bouche sur son gland… et c’était dingue cette sensation… Et là encore, pareil, les sensations… la mâchoire qui doit s’ouvrir un peu plus pour l’accueillir, le garder dans ma bouche… ces sensations, ces petites différences… Et l’envie de le caresser avec ma langue… Lui, son jean ouvert, moi, à genoux entre le mur et lui, mon chemisier ouvert… j’ai commencé à le masturber très, très doucement dans ma main en le tenant à la base, juste son gland dans ma bouche… ses doigts caressant doucement mes cheveux, mes épaules, pressant mes seins à travers la dentelle de mon soutien-gorge, pinçant délicatement mes tétons… il me laissait faire…


Je l’ai gardé comme ça deux trois minutes, je pense, avant de la sortir de ma bouche en la gardant en main, en la caressant près de mon visage, pour le regarder, lui… ses gestes étaient très doux… sa main sur mes cheveux, mon visage… son sourire… « encore, Caroline »… sa main sur ma main qui tient son sexe… c’est lui qui le redirige vers ma bouche… c’est lui cette fois-ci qui pilote… en douceur, mais de manière assumée, ses doigts qui glissent dans mes cheveux, ses deux mains qui se rejoignent à l’arrière de ma tête pour tirer mes cheveux en arrière sous la forme d’une queue de cheval… et son bassin qui doucement s’est mis en mouvement… qui me force à accueillir dans ma bouche un peu plus que son gland… qui me force à poser mes mains à plat sur mes cuisses pour limiter l’amplitude des mouvements… l’étreinte qui se relâche… moi qui reprends mon souffle… je trouve son sexe incroyable… Je le reprends juste dans ma main pour éprouver sa puissance, sa raideur, sa dureté… c’est dingue ce que son sexe me fait ressentir… Je passe ma langue sur toute sa longueur, je le couvre de baisers… je le veux encore dans ma bouche, je le reprends dans ma bouche… j’ai envie… l’envie dingue de le sentir exploser dans ma bouche… C’était loin de ce que je voulais au début. D’ailleurs, j’avais hésité devant ses mots quand il m’avait demandé de le « sucer ». Et d’abord, j’ai juste été embarquée dans une caresse. Je pense que ça a basculé quand lui a pris le contrôle de la fellation que je prodiguais. Et tout ça s’est emballé après que je l’ai repris, moi, en bouche après qu’il ait une première fois pris le contrôle. J’ai été envahie par un désir de son sexe dans ma bouche… la façon dont je percevais sa puissance dans ma bouche.


Et il a pris peu à peu totalement le contrôle… avec ma complicité… Sensuellement, mais fermement… dans une complicité, mais avec virilité… Ses mains sur ma tête. Ses mouvements lents de bassin. Me laissant juste reprendre mon souffle, parfois. Je n’avais jamais eu un sexe aussi raide, aussi puissant dans la bouche. Et c’est comme s’il y avait une évidence à offrir ma bouche de cette façon. Cette évidence qui lève les inhibitions… moi qui lui donne ma bouche, lui qui la prend, ses mains sur ma tête… et puis ses mots murmurés « je vais jouir, Caroline, continue »… et moi qui continue, qui accélère… jusqu’à ce qu’il se cambre une dernière fois en bloquant ma tête… me serrant fort tout contre lui… Sentir son gland enfler… et puis d’un coup son sperme envahir ma bouche, hyper puissamment… puis le sentir doucement relâcher son étreinte… Je me souviens, je me libère… je tousse… du sperme coule de ma bouche sur mon menton, sur mes seins… son sexe a des soubresauts… Et comme dans un autre univers, je le reprends en bouche, reçois encore du sperme, tousse à nouveau… Je me libère enfin de son sexe et le reprends en bouche, enfin asséché, et je continue de le sucer alors qu’il mollit à peine parce que j’ai peur de revenir à la réalité… j’ai son sperme dans ma bouche, j’en ai sur mon menton, sur mes seins… parce que je n’assume pas ce que je viens de faire… parce que j’ai peur de le regarder, d’entendre ses mots… pour qui va-t-il me prendre ?


C’est lui qui retire son sexe de ma bouche, qui caresse mes cheveux dans un mouvement qui me pousse à le regarder… son sourire, rayonnant, un peu conquérant, très à l’aise… et ses mots, quelque chose comme « t’as été divine, t’as aimé ? » La pire question… Oui, j’ai aimé… mais c’était dans un univers parallèle… là, je reviens dans le réel… le goût de son sperme dans ma bouche… les traces sur mon menton, mes seins… Je murmure quand même un « oui » un peu honteux… parce que c’est vrai que j’ai adoré… le parfum de l’interdit absolu… Je me relève enfin… les douleurs dans les genoux… il me sourit « va te nettoyer »… Se retrouver dans les toilettes… face à la glace… j’ai du sperme sur la dentelle de mon soutien-gorge… Là, face à la glace, je prends encore plus conscience de mon forfait… de cette folie qui m’a traversée… J’essaie de comprendre les mécanismes qui m’ont poussée à faire ça. J’ai le souvenir bien précis du goût tenace de son sperme dans la bouche. Qui m’accompagne encore quand je rentre chez moi.


Commence une relation que je dirais « gérée ». Le décalage entre moi et mon mari les jours suivants. Ce vide, cette difficulté à communiquer. Il me faut plusieurs jours pour dégriser vraiment. Lors de ma toute première incartade, le désir de l’homme que j’avais rencontré s’était évaporé. Là, l’attirance sexuelle ne m’a pas laissé beaucoup de répit. J’ai quand même « séché » le cours suivant, en essayant de me focaliser sur mon foyer. Et en essayant d’augmenter l’intensité des rapports sexuels avec mon mari. Mais là, contrairement à la première fois, c’est revenu. On s’est mis à échanger par textos, pendant les heures de bureau. J’essayais de préserver mon foyer en dehors de ces créneaux. Et j’effaçais tous les textos. Le pire, je crois : je pensais à lui, à sa virilité, sa bestialité, au fait qu’il devait être un homme à femme et que la femme (la femelle), c’était moi. Il exerçait sur moi un charme animal… je pensais à sa verge quand mon mari dormait la nuit et je devais me toucher et me faire jouir en silence en y pensant… jamais connu un désir comme celui-là…


Et puis nous nous sommes revus. Tout d’abord au cours de boxe. On s’est échangé des textos. Et puis le désir a été trop fort, j’ai cédé à l’une de ses propositions : j’ai pris une demi-journée de RTT pour passer l’après-midi chez lui. On a déjeuné dans un restau le midi. On savait pourquoi on déjeunait ensemble. On a parlé dans un état second, lui était détendu, moi sans doute un peu crispée, mais il était charmant… et toujours ces airs… un peu prédateur peut-être, mais il était très beau (c’est un métis), et le corps fin d’un athlète, superbement dessiné, visible sous sa chemise légère…


Il a juste osé un geste au moment où nous attendions pour régler au comptoir, juste avant de quitter le restau : personne ne pouvait le voir, il a juste posé sa main sur l’une de mes fesses, tout doucement, de façon très sûre… très « autoritaire », comme un propriétaire… ça m’a fait un effet fou… Puis dans la rue on a marché, on ne s’est pas embrassés, on n’a plus parlé… il m’avait dit qu’il n’habitait pas loin, on savait tous les deux qu’on allait chez lui.


On a passé deux heures chez lui… ça a scellé le début de notre histoire qui a duré en tout six mois. Il m’a d’abord fait jouir avec sa bouche… il m’avait installée dans son canapé, dans une posture impudique au possible, sur le dos, les deux jambes relevées et la jupe retroussée… en écartant mes jambes et en les regroupant, mes chevilles qu’ils tenaient au-dessus de ma tête… Il m’a léché en écartant mon string sur le côté… d’abord doucement puis de plus en plus vite… j’ai joui d’un coup, très fort, tandis qu’il avait trois doigts en moi… J’ai eu honte après avoir crié mon orgasme… Il m’a laissée reprendre mes esprits, j’étais… Il m’a prise par la main pour m’emmener dans sa chambre. J’étais un peu KO de mon orgasme, mais je sentais que lui était très dur… il a baissé son jean… encore une fois pas de sous-vêtements… il a voulu que le suce de nouveau… il m’a fait asseoir sur le bord du lit… de nouveau, la sensation énorme de cette chair dans ma bouche… la chaleur, la grosseur… et son goût… musqué… j’étais en transe… Je croyais qu’il allait me jouir dans la bouche, mais il s’est allongé sur le lit et m’a fait venir sur lui… Il m’a dit qu’on pouvait ne pas utiliser de capote, qu’il était clean, mais j’ai eu la présence d’esprit de refuser, d’exiger qu’il en mette une… je l’imaginais comme un homme à femmes, hors de question de se passer de préservatifs… Il a donc enfilé une capote, m’a allongée sur le dos cette fois et m’a pénétrée en missionnaire… Son sexe était énorme et malgré le fait que j’étais toute mouillée il a dû forcer le passage… la sensation était incroyable… Petit à petit il a fait entrer tout son sexe en moi et m’a baisée dans toutes les positions… il m’a fait sauter sur ses cuisses puissantes assis sur le bord du lit, il m’a baisée à quatre pattes, à plat ventre, contre le mur… il avait une furie de sexe… il me soulevait comme une plume de ses bras musclés… j’ai joui de façon presque continue… j’ai mouillé comme jamais, nos ventres et nos cuisses collaient de nos fluides… notre sueur aussi… jamais connu ça non plus… cette sensation de se fondre l’un dans l’autre…


Puis, quand j’ai été épuisée, il m’a fait allonger à côté de lui et a retiré la capote… je savais ce qu’il voulait… je me doutais qu’il allait vouloir me jouir dans la bouche, je le sentais… j’étais couchée sur lui… il caressait mes cheveux… ma tête sur son torse… Il a commencé à me parler de son envie… il m’a dit qu’il avait envie de jouir dans ma bouche, qu’il avait envie de son sperme dans ma bouche. Je ne répondais rien. J’étais pas très à l’aise. Je fermais les yeux. On est resté comme ça quelques minutes. Il me demandait de lui donner ma bouche. Il branlait son énorme queue juste devant mon visage et petit à petit j’ai été hypnotisée…


Finalement, j’en ai eu envie moi aussi… et il l’a senti… il a senti et ça l’a excité… je me suis mise au-dessus de son sexe qu’il branlait énergiquement et j’ai ouvert ma bouche en grand… comme dans un clip porno… quand il éclaté, j’ai ressenti jusque dans mon cerveau ce sperme qui giclait… c’était fou… il en avait encore une fois une quantité folle… j’en ai eu partout… il m’a tenu la tête sur son organe et j’ai avalé de sa semence… goût acre, mais dans la fièvre du moment encore une fois j’ai aimé… Nos respirations se sont calmées… C’est ce moment-là qui est le plus dur… en termes de rapport à l’adultère. Lui était ailleurs, béat… me disant juste qu’il avait adoré me jouir dans la bouche… on a un peu dormi. Après j’ai dû partir en catastrophe à cause de l’heure.


Puis ça a été crescendo quelque temps. On s’est vus chez lui, une fois à son bureau. Il y avait une vraie attirance. Il dégageait quelque chose de complètement sexuel et me disait que moi aussi, qu’on était un couple très sensuel… qu’on dégageait une énergie sexuelle folle… je l’ai cru… je crois qu’on était beaux, même dans la rue… Et il savait me donner du plaisir, d’une intensité incroyable…


J’ai trouvé une forme d’équilibre par rapport à mon couple… j’avais admis que je pouvais faire des choses avec mon amant que je ne faisais pas avec mon mari. Ce qui était dur, c’était de faire l’amour avec mon mari. Je pouvais en avoir envie (je ne voyais pas mon amant plus de deux fois par mois), mais il me paraissait atrocement fade. Ça, ça a été très dur. J’ai cru que mon couple finirait, que je ne pourrais plus continuer à me contenter de sexe, de vrai sexe qu’une ou deux fois par mois… je me refusais à le voir plus… J’en ai parlé à une copine qui m’a dit que tout cela n’était que passager… qu’il fallait laisser le temps au temps, qu’une aventure folle comme ça, souvent faisait long feu… et c’est vrai que ça s’est fini peu après… En fait, on s’est « vus » une dizaine douzaine de fois max. Mais c’est vrai que cette fièvre me manque parfois. Jamais retrouvé cette fièvre. Cette fièvre qui m’a rendue folle de désir…


Quand je repense à ces deux escapades à son travail et à l’hôtel… juste portée par le désir. Il y a eu cette nuit à l’hôtel… un quatre étoiles à Paris… Mon mari en déplacement professionnel, mes filles gardées par mes beaux-parents. Ce fut probablement le paroxysme de notre complicité. Jouer ce rendez-vous en fin d’après-midi… arriver si apprêtée dans ce bel hôtel… lui qui m’attendait sûr de lui, au bar… C’est un cadre exaltant. C’est pour ça que je parle de paroxysme. Il se dégage de ces endroits une sensualité, un érotisme… nous étions en accord avec ce cadre.


Et en plus ce soir-là il y avait un projet : depuis plusieurs fois il m’avait caressé mon petit trou pendant qu’on faisait l’amour… une fois il avait essayé d’introduire son sexe, mais j’avais refusé… son énorme sexe en moi, par là, moi qui ne pratique presque pas le sexe anal : je ne pouvais pas imaginer. Souvent il me léchait là… il enfonçait un ou deux doigts et c’est vrai qu’il était doué… qu’il me faisait aimer – mais il ne m’avait jamais sodomisée. Là, le projet c’était qu’il me prenne les fesses dans ce palace… c’était notre jeu… on avait évoqué la chose en riant la première fois, puis on avait décidé de le faire… Moi, ça me flattait, je voyais qu’il mourait d’envie de me prendre par là. Je n’ai jamais été une grande adepte de la sodomie. Je le faisais un peu au début avec mon mari, mais lui n’est pas branché là-dessus donc voilà, ces rapports se sont arrêtés naturellement entre mon mari et moi… Là, c’était différent et je dois dire que ce projet m’avait excitée depuis quelques jours avant le rendez-vous…


Donc : une première étape au bar, fin d’après-midi… Une seconde étape dans la chambre, une troisième étape au bar/restau, une quatrième étape dans la chambre. Aussi : le plaisir de la lingerie. Il m’avait dit que ça l’exciterait… Et c’est excitant d’être excitante… Marque « agent provocateur », porte jarretelles, tanga et soutien-gorge. Mon amant a passé sa main sous ma robe au bar en fin d’après-midi pour s’assurer que j’étais dans un esprit joueuse… il a été ravi. On a échangé des mots brûlants en buvant un cocktail… puis nous sommes montés dans la chambre… on s’est frottés, s’est embrassés… Le cadre, l’ambiance, j’étais très excitée, j’avais le trac aussi pour notre projet de la suite de la soirée… Il m’a tout de suite fait agenouiller sur le lit et m’a remonté ma jupe pour tout de suite me lécher l’anus, en me caressant le clito. Il m’a fait jouir comme ça, très vite finalement, sa langue explorant le trou de mon cul et ses doigts jouant, dans ma chatte ou sur mon clito. Il a été très cru aussi. Il me susurrait des choses très cochonnes, comme quoi il allait me prendre les fesses ce soir, et il le disait autrement, il savait que parler n’est pas facile pour moi et ce soir c’était aussi l’idée : que j’accepte de l’entendre me dire qu’il allait m’enculer, jouir dans mon cul, me défoncer aussi… Il répétait mon prénom « Caroline, ce soir je te prends les fesses » des choses comme ça… Et c’est vrai que ça m’a excitée qu’il me dise ça… j’ai adoré sentir son souffle sur mon anus et j’ai joui très fort, et très vite…


Après quelques instants de récupération, je me suis occupée de lui. Il était très beau et très élégant dans son costume ajusté… je me suis assise sur le bord du lit… c’est moi qui ai ouvert son pantalon, sorti sa verge et qui l’ai embouché d’un coup… Je crois que je l’ai sucé comme jamais je l’avais sucé. Il a senti que j’avais envie de lui comme jamais… il me disait de le regarder… il me disait qu’il aimait me voir avec sa queue dans ma bouche… et du coup… j’ai gémi d’excitation et il est venu d’un coup, très vite lui aussi, il était très excité aussi… J’ai eu envie de son foutre, oui de « son foutre ». Envie de le sentir « gicler ». Là encore, c’était porno… Chaque fois qu’on se voyait, il jouissait presque toujours dans ma bouche, je lui accordais ce plaisir qui lui faisait tant d’effet, mais là c’était vraiment un clip porno où j’attendais à genoux devant lui… ma langue tirée… Et j’ai avalé son sperme… j’ai nettoyé son sexe en gémissant de plaisir… j’avais la bouche souillée par son gros sexe. Il s’est frotté sur tout mon visage, étalant son sperme partout et ça m’excitait comme une folle… Cette complicité qu’on avait… j’étais sous son emprise en fait, je crois… on s’est rajustés et on est redescendus au restau, mais sans que je me nettoie la bouche et à peine le visage… son goût fort… la sensation des traces de son sperme qui séchaient sur mon menton… j’étais à lui… je ne me suis jamais sentie aussi intensément femme… Le goût de son sperme est passé avec le gin-fizz que j’ai pris au bar.


On est allé dîner au restau. On a dîné face à face. D’abord conversation très mondaine qui s’est échauffée au fil du dîner. Je crois me rappeler qu’il m’a demandé assez soudainement ce que ça me faisait de recevoir son sperme dans ma bouche. Je lui ai dit que ça me gênait un peu… Et je pense que c’est ce qu’il voulait à ce moment-là. Je crois qu’il voulait me sentir dans cet embarras… Il a essayé de me déstabiliser. Sur un fil. Me parler de cette intensité quand il tenait ma tête pour jouir dans ma bouche. Il m’a dit que ça l’excitait particulièrement de savoir que j’étais mariée. Et que c’était lui qui jouissait dans ma bouche, et que c’était son sperme que j’avalais. C’est ça qui l’excitait. Il m’a expliqué qu’à chaque fois que je le laissais jouir dans ma bouche, je le choisissais lui par rapport à mon mari, et que ça l’excitait. On a dîné et à la fin, il a dit qu’il allait falloir qu’on en vienne à notre projet.


Ça a été un moment extrêmement fort. J’avais le trac (comment ce gros sexe allait pouvoir entrer dans mon petit trou ?), mais l’alcool m’avait désinhibée. C’est lui qui a piloté les préliminaires, qui m’a encore fait mettre à genoux sur le lit et a préparé mon anus avec sa langue et du lubrifiant, et même avec un petit plug qu’il avait amené. J’ai adoré le sentir derrière moi, sentir son désir, sentir son souffle… ça a été fou d’être autant désirée, surtout par un bel homme, puissant et viril comme lui… Il a fait monter le désir en moi… il a pris son temps et j’ai senti que je m’ouvrais… il savait s’y prendre… Comme il me caressait aussi le clito, petit à petit mon désir est monté en flèche. Je me suis mise à gémir, à me tordre, mais il me tenait fermement par les hanches, par les fesses, tandis que son autre main continuait de branler mon anus… Et là, il m’a dit de le lui dire, de lui demander ce que je voulais… Je savais que c’était la part du jeu… Et je lui ai dit, je lui ai dit que je voulais qu’il m’encule, je lui ai dit « encule-moi »… Il s’est mis à genoux à côté de moi sur le lit et m’a présenté sa grosse queue devant le visage que je me suis mise à sucer… Puis tout naturellement, il s’est placé derrière moi… C’est moi qui ai pris sa verge entre mes mains et qui l’ai guidé entre mes fesses… Oui, j’étais folle de désir et j’ai pointé son gros gland sur mon anus, sans capote… j’avais trop envie de le sentir… Je dois dire que j’avais appris à le connaître, que je savais qu’il faisait très attention à sa santé, qu’il n’avait pas tant de femmes que ça, et il m’avait certifié qu’il était clean…


Il m’a pris par les hanches et s’est enfoncé en moi… j’étais hyper préparée et heureusement, sa queue était vraiment très grosse… la sensation était folle, l’impression d’être remplie totalement, de ne plus pouvoir respirer… étrange : pas douloureux… j’étais parfaitement détendue… Il a poussé et enfoncé sa verge presque entière dans mon anus… il est resté, allongé sur moi, au fond de moi et a commencé à bouger tout doucement… Il m’a sodomisée pendant peut-être dix, quinze ou vingt minutes… j’ai fini à plat ventre, lui m’écrasant de son poids… j’ai eu plusieurs orgasmes… et un état inqualifiable, un état suspendu… J’étais un jouet en chiffon, je n’avais plus aucune force… j’étais vide, juste remplie de son énorme sexe… À la fin, il a voulu que je parle, que je lui demande alors je lui ai dit les mots qu’il voulait entendre… il voulait jouir dans mon cul et m’a fait le dire… ça l’a complètement fait déborder et j’ai senti qu’il éjaculait entre mes fesses dans un grognement… On est restés l’un sur l’autre longtemps… on s’est même endormi… On a rebaisé dans la nuit, puis le matin, et de nouveau il m’a pris les fesses, chaque fois sans capote. Ça aussi, c’était nouveau et c’était très fort. Je sentais tout de lui. J’avais l’impression de sentir tous les détails de son gros sexe en moi, ses veines, son gland tout doux aussi, qui faisait comme un piston en moi. Ça a été là l’osmose entre nous, beaucoup de jouissance, une grande complicité, presque un sentiment amoureux…


Notre histoire s’est finie pas longtemps après. À cause de lui. Il a fait quelque chose qui a rompu quelque chose chez moi. La fois d’après l’hôtel, il a voulu nous filmer. Je sentais qu’il en voulait toujours plus. L’après-midi du film encore, il a voulu me sodomiser, mais cette fois il a été moins attentionné. J’ai accepté, mais j’ai eu un peu mal, même si cette fois il m’a fait jouir par là, au début, tout en me caressant. Mais il prenait ses aises, je dirais. Déjà quelque chose commençait à me déplaire. J’ai d’abord refusé le film puis il m’a convaincue : il n’a pas filmé nos visages, et m’a montré la vidéo juste après l’avoir faite. Bizarre. Une vidéo d’une minute et demie, surtout de mon dos, de mes fesses, pendant qu’il me prenait en levrette. Voir sa grosse queue brune qui me baisait m’a quand même fait de l’effet. Mais le problème, ça a été une semaine plus tard, quand il m’a envoyé un lien : il avait mis la vidéo sur un site de pornographie ! Ça a été la goutte qui a fait déborder le vase. J’ai éclaté. Il a tout de suite retiré la vidéo du site, mais c’était trop tard : quelque chose était cassé, je ne pouvais plus avoir confiance en lui… Je lui ai dit que c’était fini. Il s’est excusé, a dit qu’il était con, qu’il fallait passer l’éponge et oublier cette maladresse, mais je ne pouvais pas : c’était fini. Il m’a encore envoyé quelques messages auxquels je n’ai pas répondu. J’ai arrêté les cours de boxe et ne l’ai plus jamais revu.