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n° 19591Fiche technique14011 caractères14011
Temps de lecture estimé : 8 mn
10/05/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Magalie est une jeune femme qui découvre sa sexualité sans savoir qu'elle est nymphomane.
Critères:  fh jeunes oncletante nympho forêt exhib fellation pénétratio fsodo init -initfh
Auteur : Bernardo            Envoi mini-message

Série : Le livre de Magalie

Chapitre 01 / 05
Le livre de Magalie

La période de confinement dure depuis plusieurs semaines et le temps devient long pour tout le monde. Régulièrement, on prend des nouvelles de la famille et des amis. Heureusement, pour l’instant, tout le monde va bien. Je n’imaginais pas que le confinement serait si riche en émotions et que Magalie, la nièce de ma femme, en serait à l’origine.


Ça fait bien une ou deux années que je n’avais pas discuté de vive voix avec elle. Nos échanges se limitent à des commentaires sur nos photos publiées sur Facebook. Elle a maintenant vingt-deux ans et moi bientôt cinquante et un. Je la connais depuis ses douze ans et nous avons toujours été complices. Nous avons le même humour et sommes toujours en train de nous charrier gentiment. Des quelques photos qu’elle publie sur son profil Facebook, je vois que c’est maintenant une belle jeune femme. Les photos de ses vacances sous le soleil de la Martinique laissent deviner que c’est une fille très attirante. Elle a des traits de visage en commun avec sa tante, ma chère épouse. Elle doit faire 1,70 m et est brune aux cheveux longs. Son bikini jaune fluo lui va à ravir. Il laisse deviner un joli fessier bien ferme et des petits seins que j’estime être un 90B. Nous nous voyons rarement, car pour des raisons professionnelles, j’habite loin de chez ses parents.


Au téléphone, nous échangeons des banalités accompagnées de petits pics humoristiques. Comme beaucoup de personnes de son âge, elle se pose des questions sur sa petite vie. Elle hésite dans ses choix scolaires et se demande quand elle rencontrera le prince charmant. Elle éprouve l’envie de tout déballer et de raconter ses aventures en écrivant un livre. Elle a déjà commencé à écrire grâce au temps libre dû au confinement. Je lui dis que je suis intéressé de la lire. Immédiatement, elle accepte, sous une condition : je dois garder le contenu de son livre secret. Elle précise qu’il s’agit d’un mélange de faits réels et de faits romancés. Elle me demande de corriger le texte. Elle a suivi des études de comptabilité et n’est pas très à l’aise avec la grammaire et l’orthographe. J’accepte avec plaisir et surtout curiosité.


Deux jours plus tard, je reçois un mail de Magalie :


« Bonjour tonton, comme convenu voici une première ébauche de mon livre. Attention, je te rappelle qu’il s’agit d’un roman et que tu dois le garder secret. Bisou Magalie. »



Le message est accompagné d’une pièce jointe nommée « Ma désuétude.doc ». Je l’ouvre de suite et j’ai sous les yeux un texte de quarante-trois pages. Je commence à lire ce récit et suis agréablement surpris par la façon dont c’est rédigé. Je débute rapidement la lecture et je reconnais certains événements de la vie de Magalie. J’apprends que depuis trois mois, elle a subi une rupture amoureuse. J’ignorais qu’elle avait un petit ami. Assez rapidement et sans pudeur, elle raconte son dépucelage. J’avoue que ces lignes ont grandement attiré mon attention. Son amant se nomme Grégoire et ils se sont connus à la fac. Il a le même âge qu’elle. Leur première fois a eu lieu dans la maison d’un ami commun dont les parents s’étaient absentés pour le week-end. Le samedi soir fut bien arrosé et l’alcool aida à surmonter les appréhensions. Magalie avait la complicité de sa meilleure amie, Virginie, pour justifier qu’elle découche. Officiellement, elle dormait chez elle pour préparer un rapport de stage.


Le rapport eut bien lieu ce soir-là, mais fut sexuel, avec Grégoire et sans Virginie. Le couple se retrouva dans la chambre des parents de leur ami. Magalie étendue sur le lit à côté de Grégoire devait lutter contre le sommeil. L’alcool l’avait en partie déconnectée de la réalité et voulait l’entraîner dans les bras de Morphée. Grégoire ne l’entendait pas de cette oreille et devenait de plus en plus entreprenant. Ses mains parcouraient maladroitement ses seins à travers l’étoffe du chemisier de Magalie. Rapidement, il le déboutonna pour laisser apparaître un soutien-gorge blanc uni bordé de dentelle. Tout aussi rapidement, Grégoire passa ses mains dessus et dessous cette lingerie.


Difficilement et avec l’aide de Magalie, il dégrafa le soutien-gorge et prit en bouche les tétons l’un après l’autre. Grégoire était aux anges et devenait de plus en plus entreprenant. Il déboutonna le jean de Magalie et y glissa la main. Il découvrit la petite culotte assortie au soutien-gorge et commença le massage de son entrejambe du bout des doigts à travers le tissu. Grégoire, contrairement à Magalie, ne devait pas en être à son coup d’essai. Il s’empressa de la dévêtir complètement et lui glissa un doigt aussi profond qu’il put. Magalie aimait qu’on s’occupe d’elle ainsi, sans trop de douceur. Elle sentait bien que Grégoire ne s’inquiétait que peu du plaisir qu’il pouvait lui apporter. Son intention première était de dépuceler cette si mignonne jeune fille pour jouir en elle et l’accrocher à son tableau de chasse pour pavaner devant ses amis.


Estimant Magalie suffisamment naturellement lubrifiée, Grégoire se déshabilla rapidement, se plaça entre ses jambes et la pénétra brusquement. Magalie venait de perdre sa virginité et était ravie. Au bout d’une dizaine d’allers-retours, Grégoire éjacula sans avoir pris le temps de mettre un préservatif. Il s’affala sur elle et, après quelques bisous dans le cou, s’endormit. Magalie était heureuse de se sentir femme, heureuse d’être avec celui qu’elle aimait. Néanmoins, elle en aurait souhaité plus, plus longtemps, plus fort, plus intense. C’est donc ça l’amour !? C’est agréable, mais avec un goût d’encore.


Presque deux heures plus tard, Magalie fut réveillée par une sensation de chaleur diffuse dans son bas-ventre. Elle avança ses mains vers son entrejambe et rencontra la tête de Grégoire qui oscillait légèrement. À chaque mouvement, elle commençait à ressentir les coups de langue sur son clitoris. Elle lui caressa les cheveux et commença à se mordre les lèvres. Elle écarta les jambes et releva les genoux pour permettre à Grégoire d’accéder à la totalité de sa vulve. Il en profita pour lui introduire un, puis deux doigts. Magalie était maintenant comme un pantin qui n’est pas maître de ses mouvements. Les assauts de Grégoire embrasaient son corps et déconnectaient son esprit. Elle commença à gémir de plus en plus bruyamment et ne sachant plus comment réagir aux réactions de son corps, elle céda dans un long cri. Sa tête était en ébullition, ne laissant de la place qu’à une immense décharge de bien-être. Ses muscles réagissaient de manière désordonnée. Doucement, longuement, elle commença à reconnecter ses neurones et à reprendre la maîtrise de son esprit et de son corps. Elle était fatiguée par cet électrochoc et d’humeur très câline. Elle voulait que cette vague de plaisirs ne finisse pas de la submerger. Magalie savourait son premier orgasme. Elle avait déjà joui en se masturbant, mais ces orgasmes solitaires n’avaient rien de comparable avec celui que Grégoire venait de lui offrir.


Maintenant Grégoire voulait lui aussi jouir. Il retourna Magalie sur le ventre et, la prenant par les hanches, la plaça en position de levrette. Il la pénétra facilement et commença ses va-et-vient. Elle mit un instant à se reconnecter avec le moment présent. Elle appréciait de plus en plus la poigne de Grégoire sur ses hanches, il la tirait vers lui pour s’enfoncer au maximum en elle. Elle adorait sentir claquer le bas-ventre de son amant sur ses fesses et elle adorait également sentir son plaisir monter jusqu’à l’éjaculation, mais elle ne parvenait pas à perdre pied. Grégoire n’allait pas tarder à prendre du plaisir, mais ce serait en solitaire.


Il était temps pour le jeune couple de quitter la maison de leur ami et ils prirent une douche ensemble. Ensuite, sans que Grégoire ne le demande, Magalie sécha Grégoire, puis s’agenouilla devant lui pour le sucer tendrement. Elle adorait être aux commandes et donner du plaisir. Elle s’appliqua et était impatiente de recevoir la semence de Grégoire. Son impatience était partagée avec la crainte de ne pas aimer le goût jusqu’à en être écœurée. Grégoire ne se fit pas attendre et vint rapidement. Magalie était heureuse de sa réussite et maintenant son esprit était focalisé sur le goût du liquide qui coulait dans sa bouche. Elle n’en raffolait pas, mais trouvait le goût et la texture tout à fait supportable. Elle avala tout en maintenant le regard de Grégoire. Ils avaient tous les deux envie de retourner dans la chambre pour continuer leurs ébats, mais il fallait quitter les lieux pour ne pas être surpris.


Me voilà tout déboussolé avec mon téléphone à la main en lisant les premiers ébats de la nièce de ma femme. Pourquoi éprouve-t-elle le besoin de raconter en détail ses rapports ? Il est vrai que c’est une lecture très prenante, mais à ne pas mettre entre toutes les mains. Mon entrejambe s’en souvient encore et je bande fortement. Une autre question me venait, est-il vrai que Magalie ne parvient pas à jouir sous les assauts de son amant ? Excité par ce récit, je me suis masturbé en regardant les photos de Magalie en Martinique. Je suis persuadé que Grégoire est un mauvais amant et que si ça avait été moi, j’aurais réussi à la faire jouir.


L’envie de demander à Magalie si elle arrive ou non à jouir est grande, mais comment aborder le sujet ? J’ai trente ans de plus qu’elle et suis son oncle par alliance. Ce n’est pas trop le genre de conversation à avoir en famille. Ce défaut de jouissance est-il vrai ou est-ce un effet de style pour attirer le lecteur ? Je décide de jouer la carte de la franchise et en lui retournant mes corrections, je lui demande si elle a maintenant réussi à trouver plus de plaisir lors de ces rapports sexuels.


Le jour même, sans aucune timidité, elle me répond que ses multiples essais n’ont pas encore été une réussite. Elle ajoute que ces tentatives seront relatées dans les chapitres suivants de son livre.


Cela fait trois semaines sans aucun échange de mail entre Magalie et moi et sans un coup de fil. Le confinement vient de se terminer et nous avons convenu d’une réunion de famille mardi prochain. Je vais revoir Magalie et mon regard aura nettement changé depuis notre dernière rencontre. Dimanche soir, je reçois un mail de Magalie avec une pièce jointe nommée : « C’est en forgeant qu’on devient forgeron.doc ». Je découvre les multiples expériences menées par Magalie pour trouver la pleine jouissance. Pour le plus grand plaisir de Grégoire, elle s’adonne à la sodomie et à l’exhibitionnisme. Sa première sodomie se passa dans les vestiaires de la piscine municipale de Grenoble. Ce fut difficile de ne pas attirer l’attention lors de la dilatation de son petit orifice. Les suivantes furent plus appréciées avec une noisette de lubrifiant.


Elle tenta ensuite l’exhibition en acceptant tous les fantasmes de Grégoire. Elle fut filmée et diffusée sur internet en train de se faire prendre par Grégoire dans sa chambre puis dans la forêt entourée de voyeurs. Heureusement, elle exigeait de porter un masque en dentelle noire. En faisant quelques recherches sur internet, j’ai réussi à trouver douze photos d’elle en pleine action. J’arrive à la reconnaître malgré son masque. Son pseudo est « freegirl38 ». Pour la première fois, je la vois nue. Je la vois se faire prendre par tous ces orifices. Je trouve aussi une courte vidéo où elle marche nue dans la forêt. Instantanément je bande et me masturbe devant mon écran. Je m’empresse de finir de lire tout son texte et je lui retourne ma correction avec une photo d’elle suçant Grégoire. Lundi soir, Magalie me répond avec juste ces mots :


« Merci pour la correction tonton. Tu es un vilain curieux et je suis impatiente de te retrouver. À demain. Bisous. »


Demain, se seront les retrouvailles après toutes ces semaines de confinement. L’excitation de retrouver Magalie met tout au second plan. J’imagine être avec Magalie et chercher un endroit isolé pour lui parler de son livre. J’imagine lui faire l’amour et devoir la bâillonner pour cacher ses cris de plaisir. Ces désirs interdits décuplent mon excitation. J’appréhende aussi être le jouet de cette jeune femme qui parle si facilement de ses relations sexuelles. Elle n’est plus avec Grégoire depuis trois mois. Est-elle toujours à la recherche de son plaisir ? Serait-elle tentée de faire l’amour à son oncle ?


Énormément de questions traversent mon esprit. Serais-je prêt à mettre mon couple en danger ? Serais-je prêt à briser des liens familiaux si nous venions à être découverts ? Pour m’occuper l’esprit, je surfe sur internet à la recherche de photos et vidéos de Magalie. J’ai le plaisir de découvrir un site avec un album contenant une cinquantaine de photos d’elle. Je la découvre nue et masquée dans une clairière. Elle s’agenouille et suce Grégoire. Au second plan, je distingue deux voyeurs dont le visage est flouté. Les trois dernières photos représentent Magalie prise en levrette. Il est impossible à Grégoire de la prendre par-derrière et de se photographier en même temps. Ils ont donc fait appel à un photographe ou un voyeur a rendu service. Jusqu’à où est-elle prête à aller ?


Vivement demain, vivement la suite dans un prochain récit…