n° 19595 | Fiche technique | 43453 caractères | 43453Temps de lecture estimé : 26 mn | 13/05/20 corrigé 05/06/21 |
Résumé: Max, est-il victime d'un concours entre ses femmes ? | ||||
Critères: fh couple extracon collègues travail exhib fmast hmast fellation pénétratio fsodo confession -extraconj | ||||
Auteur : Philippe Vincent |
Max est dirigeant d’une entreprise, il a sous ces ordres une cinquantaine de salariés. Ses dernières années, afin d’accroître ses parts de marchés, il a dû obtenir différents agréments. Ces agréments ont été obtenus grâce à l’implication de tous ses salariés, mais surtout de sa directrice administrative, Valérie, qui est dans l’entreprise depuis plus longtemps que lui.
Max est entré dans la société comme chef d’équipe, poste qu’il a occupé brièvement avant de passer chargé d’affaires, il a rapidement fait ses preuves vis-à-vis des clients et de la direction, on disait de lui « qu’il a les dents qui rayent le parquet ». Le gérant l’a promptement placé en haut de sa liste des personnes de confiance lorsqu’il a dû organiser la reprise de la société, suite au diagnostic à l’issue incertaine que lui avait fait le corps médical. Max a su trouver les partenaires et organiser la reprise de la société. Après avoir passé cinq ans comme salarié, il est devenu le gérant à trente ans, comme il se l’était fixé. Valérie l’a soutenu dans ses démarches et devant les autres salariés lors de ce changement.
Valérie est une secrétaire dévouée, elle travaille dans l’entreprise depuis une quinzaine d’années, très impliquée dans son travail. C’est une femme plutôt petite, assez menue et pleine d’énergie, proche de la quarantaine, toujours habillée de façon simple, très colorée, jamais de jean ou de basquets. Ses tenues sont en harmonie avec son visage, toujours jovial malgré ses lunettes, type maîtresse d’école. On se sent de suite à l’aise avec elle, mais elle sait se faire respecter, elle n’hésite pas s’il faut remettre quelqu’un à sa place. Valérie possède un don pour l’organisation et l’ordre dans son travail, elle gère l’administratif d’une main de maître.
Max est marié et sa femme est coiffeuse, elle a son propre salon, où elle a deux salariées et une apprentie. Actuellement elle ne travaille pas, car elle élève ses deux enfants. Elle a mis son salon en gérance. La responsable est une de ses employées qui veut s’associer avec elle. Le deal est que, si le salon fonctionne bien pendant la période, elles s’associeront en ouvrant une deuxième boutique. Cloé, la femme de Max, est une femme avec des rondeurs comme il les aime, même si là, il trouve que certaines sont mal placées.
La chose que Max aime le plus chez sa femme, ce sont ses pieds, ils sont fins. Entre la voûte plantaire et les orteils, il y a une harmonie qui les rend beaux et sexy. Les fesses sont assez larges pour les mains d’un honnête homme et ses seins en forme de poire sont un plaisir pour les yeux. Le reste du corps de Cloé conserve encore quelques traces de ses grossesses. Lorsqu’elle est à la maison, elle est souvent habillée en survêtement et sweat large ou en robe sans forme, l’été. Lorsqu’ils sortent, elle porte souvent la même tenue, qui ne la met pas vraiment en valeur. Le contraire de son comportement au moment de leur rencontre.
La charge de travail de Valérie devient insupportable avec la gestion des nouveaux systèmes qualité. Max et Valérie décident de recruter une personne pour ces domaines, à mi-temps dans un premier temps. Valérie s’occupe d’organiser le recrutement. Les candidatures sont traitées et les personnes sont reçues par Valérie puis elle fait un bilan à Max où elle sélectionne trois dossiers qui se rapprochent du profil recherché. Les rendez-vous sont pris et les entretiens s’enchaînent. Au final, il y a qu’une candidature qui est retenue.
Max aussi à un sentiment mitigé vis-à-vis de Lydia. Il est comme Valérie, il y a quelque chose qu’il ne peut expliquer chez elle, comme si elle cachait quelque chose. Pourtant c’est une personne agréable qui paraît large d’esprit, avec qui il leur a été facile d’échanger pendant l’entretien. Physiquement, c’est une femme qui est agréable à regarder, de taille moyenne, avec un visage ovale avec quelques taches de rousseur, les cheveux auburn qui tombent sur les épaules. La tenue qu’elle portait, très BCBG, ne permettait pas d’en savoir plus.
L’intégration de Lydia se fait rapidement, due à ses compétences. Max l’emmène voir plusieurs chantiers pour lui présenter les clients, mais aussi faire un état des lieux du fonctionnement du système mis en place par Valérie. Ils n’ont pas vraiment le temps de faire connaissance pendant ces sorties, car leur sujet de discussion avant les visites est la présentation par Max et après ce sont les conclusions de Lydia.
Max doit se rendre sur un chantier du côté de Béziers. Il doit partir la journée, car il faut deux heures aller et deux heures retour, il propose à Lydia de l’accompagner, car c’est un client important et de voir l’implication de la société dans un système de management moderne la conforterait dans sa confiance envers la société. Lydia accepte. Max prend rendez-vous et organise le planning de la journée avec le client.
À l’aller, leurs discussions ont été professionnelles. Arrivé sur place, une fois les présentations faites, Lydia part faire son audit et Max va avec le donneur d’ordre voir pour de nouveaux travaux à chiffrer. Lorsqu’ils se rejoignent, ils font un débriefing avec le coordinateur qui paraît enchanté des échanges avec Lydia. Il est l’heure de partir.
Max continue de discuter avec son client. En passant, Lydia lui rend les clefs, avant de se diriger vers le vestiaire.
Max prend le soleil en cette belle journée de printemps, il voit arriver Lidia qui a troqué son jean et sa veste de chantier pour un legging type pantacourt, une tunique tenue à la taille par une ceinture et elle porte des chaussures semi-ouvertes à talon compensé. Max remarque lorsqu’elle passe devant lui que la ceinture qui est large et serrée fait ressortir sa poitrine et met en valeur ces fesses rebondies, sans doute dues au sport.
Alors que Lydia s’installe dans la voiture, Max remarque le tatouage qui part du pied et remonte sur le mollet gauche, ce sont des roses de couleur foncée reliées entre elles par une tige qui fait des arabesques. Ils prennent la route avant de faire une pause pour se restaurer. Pendant qu’ils déjeunent, leur discussion porte sur ce qu’ils ont vu et fait le matin. Lui à un peu de mal à rester concentré, car la tunique offre un décolleté qui attire son regard, ce qui n’échappe pas à Lydia. Pendant que Max paye au comptoir de la brasserie, elle va se rafraîchir. À son retour, elle a défait un bouton supplémentaire de son décolleté, ce que remarque Max, évidemment. Dans la voiture les échanges ne sont plus professionnels.
Lydia se dirige vers la cafétéria, Max la regarde et apprécie le spectacle de ses fesses qui balancent, cela lui semble un peu exagéré. Il passe son coup de téléphone et la rejoint à l’intérieur. Une fois assis, il voit sur le bord de l’échancrure, un tatouage Il devine l’amorce de deux seins pleins et ronds dont les pointes apparaissent malgré la dentelle de la lingerie et le tissu de la tunique.
Elle s’est sentie un peu agressée.
Une fois la phrase lâchée, elle regrette.
Max ne veut pas prolonger cette discussion qui pourrait le mettre en défaut. Alors il enchaîne :
Après avoir déposé Lydia, Max file au bureau poursuivre sa journée qui est loin d’être terminée. Il pense à ce que Lydia lui a dit, surtout à ce qu’il a vu ou à ce qu’elle lui a laissé entrevoir. Elle est provocante, joueuse. En arrivant, Max prend connaissance des messages et file dans son bureau pour traiter les priorités et mettre de l’ordre dans ses notes du matin.
Une fois ces urgences réglées, il fait une recherche sur internet du site que lui a indiqué Lydia. Après avoir lu quelques petites histoires, il sent les coquineries lui faire de l’effet ou se sont les images laissées par Lydia. Quoi qu’il en soit, il décide de passer chez le fleuriste avant de rentrer. Cloé sort de la salle de bain avec les enfants lorsqu’il pénètre dans la maison, elle est ravie de voir la petite attention qu’il a pour elle. Elle le remercie d’une petite bise sur les lèvres et pointe sa langue pour l’aguicher. Elle lui laisse les enfants, prend le bouquet pour le mettre dans un vase et file se changer, car, comme souvent, elle est mouillée.
Max est ravi lorsqu’il la voit revenir avec une jupe longue, c’est mieux que ses survêtements. Une fois le repas pris tous ensemble et les enfants couchés, ils prennent le temps d’échanger sur leur journée, Max reste sur le côté professionnel lorsqu’il parle de Lydia. Il va prendre une douche pendant que sa douce finit les rangements. Ils se retrouvent sur le divan, Cloé s’assoit contre lui et remonte ses talons à côté d’elle, Max passe son bras autour de son épaule et pose sa main sur sa cuisse. Il caresse délicatement le haut de la jambe et, avec habileté, fait remonter le tissu pour que sa main puisse effleurer la peau, sans réaction de la part de Cloé. Bien intentionné comme il est, il poursuit ses cajoleries, le tissu entrave sa progression sur le haut de la cuisse et le bas de la fesse. Cloé, contre toute attente, déleste cette partie, Max fait remonter le tissu et dégage la fesse gauche.
Max rabat le tissu, lui maintient le visage et l’embrasse. Leurs langues se retrouvent et dansent l’une contre l’autre. La position n’étant pas confortable, ils ne s’éternisent pas. Elle repose sa tête sur son épaule et Max sa main sur la fesse. Les doigts deviennent plus précis dans leur parcours sous la fesse à la lisière de la lingerie. Cloé contient son émoi, tout en facilitant le passage, Max persévère et passe sous le vêtement, il sent l’humidité de la zone. Cloé se redresse, saute sur ses genoux à califourchon et l’embrasse, rapidement, il lui enlève son pull et son soutien-gorge. Elle lui ôte sa chemise et lui caresse les épaules et la tête pendant qu’il butine sa poitrine. De sa main droite, il vient prendre le sein gauche pour le caresser et exacerber le mamelon. Sa bouche enveloppe le droit pour tantôt le tirer tantôt le lécher avec la pointe de sa langue. Cloé gémit de plus en plus fort, excitée comme jamais, elle danse sur le sexe de Max toujours prisonnier. Il la désarçonne, elle se retrouve sur le dos, les cuisses relevées, sur lesquelles Max fait passer son shorty avant de plonger humer cette odeur enivrante de cyprine et de choyer ses lèvres intimes. Son clitoris est sorti de sa cachette tel un petit gland, au contact de la langue, Cloé est électrisée.
Max se relève, défait son pantalon, descend le tout jusqu’au genou, presse son sexe sur la vulve de Cloé.
Max ne la fait pas plus attendre et la pénètre d’une seule poussée pour venir buter au fond de sa matrice. Cloé ouvre la bouche.
« Oh » est le seul son qui sort tellement la pénétration est instance. Max commence des va-et-vient au fond de ces reins. Mais elle en veut plus.
Après cet intense moment, ils reprennent leurs esprits en s’embrassant. Ils se câlinent avant de se rendre à la salle de bain et de se retrouver cette fois dans le lit. Lorsqu’ils se retrouvent sous les draps, ils ont la même idée. Max prend Cloé dans ces bras et commence à la câliner par de petits bisous dans le cou puis sur ces épaules puis de nouveau sa bouche.
Cloé s’occupe de Max avec ses mains, elle le caresse derrière la tête, le long de la nuque avec sa main droite tandis que la gauche est passée entre leurs corps et s’occupe de son sexe. Tantôt elle caresse la verge et passant sa main à plat le long, tantôt elle caresse les bourses en passant ces doigts dessous. Cette fois Cloé prend les choses en main, elle pousse Max sur les dos puis lui caresse le torse, l’embrasse, lui mordille les tétons en descendant vers son sexe qu’elle a pris délicatement en main pour commencer une douce masturbation.
Sa bouche rejoint sa main et l’accompagne, elle passe plusieurs fois sa langue de haut en bas le long de la verge, tout en tournicotant autour du gland. Elle finit par laisser ses lèvres descendre le long de la hampe jusqu’à ce que son nez soit chatouillé par les poils pubiens avant de remonter en pressant la tige. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Max est proche de l’extase. Il en a profité pour caresser les fesses et la petite rose de Cloé, attention à laquelle elle n’est pas insensible. Elle vient se placer sur lui, se passer le sexe de Max de son clitoris à sa petite porte, ce qui les excite tous les deux, elle finit par s’empaler sur le mât, avant d’entamer une danse qui les emmènent à l’extase. Après ça, ils partent rapidement dans les bras de Morphée.
Les jours qui suivent, l’activité de Max s’accélère, comme toutes les années à cette époque, d’abord les devis puis les études et les chantiers s’enchaînent, et ce, du mois d’avril au mois de septembre. Durant cette période les bureaux sont agités par le bizness de l’entreprise, cette année il y une agitation supplémentaire due à Lydia, car depuis le début, elle a changé sa garde-robe, plus de pantalon, mais que des jupes ou robes courtes qui lui arrivent entre le genou et la mi-cuisse, des hauts soit vaporeux ou échancrés, voire très échancrés, et même le tout ensemble.
Une fois, elle est venue, habillée avec une robe assez proche du buste, cela lui faisait ressortir sa poitrine, le bas était assez évasé et fluide, avec un petit courant d’air, on aurait pu admirer ces fesses. Pour rendre décent l’ensemble, elle portait une veste qui lui arrivait sous la taille, assortie à ses chaussures dont les talons devaient mesurer dix centimètres. Ses bijoux, de la chaîne de cheville au collier, en passant par le bracelet, étaient coordonnés. Le collier se perdait facilement dans le décolleté, tellement celui-ci était profond tout en étant maintenu par un lacet.
Lorsqu’elle est venue dans le bureau de Max, afin de préparer une réunion avec un client, elle a bien insisté sur le lissage de la robe pour qu’il se rende compte qu’elle portait des bas maintenus par un porte-jarretelles. Prétextant qu’il faisait chaud, elle a quitté son gilet et Max a pu voir tout le bien de la salle de sport sur son corps, son 85C porté haut par un redresse-seins, laissait la part belle à ses abdos et à son ventre plat. Lydia se réjouissait de l’effet qu’elle provoquait chez son patron, car il avait du mal pour ne pas jeter quelques regards gourmands sur ses atouts.
Ce changement n’a pas échappé à Valérie qui a très vite remarqué qu’elle n’était plus la seule à attirer l’attention des hommes dans l’entreprise. Elle aussi faisait preuve de malice dans ses tenues en mettant en avant ses atouts avec la lingerie qui remplissait son tiroir, mais qu’elle trouvait trop aguicheuse. Ces quelques bouts d’étoffes ou de dentelles dévoilées dans le coin d’un décolleté ou entrevue par une emmanchure la remettaient dans la course de la femme la plus sexy de la boîte. Tout le monde avait remarqué le petit jeu de ces dames, mais personne ne se permettait de faire une quelconque remarque, bien au contraire.
Certain soir, Max a besoin de réellement décompresser avant de rentrer à la maison, car là, les choses n’évoluent pas dans le bon sens. Les enfants sont pénibles et Cloé a du mal à faire face. Alors le soir, lorsque Max fait une remarque, Cloé lui dit le reste et s’en suivent des disputes qui tendent encore plus la situation. Ce ne sont pas les quelques jours que Cloé passe avec ces parents à la Grande-Motte qui apaisent les tensions. Max commence à s’éloigner de sa femme, car il pense que c’est à elle de faire le nécessaire pour que les choses « roulent ».
Max a trouvé un moyen de se détendre et faire retomber la pression. Alors il lit des histoires sur le site Revebebe, il se laisse emporter dans ces récits, vrais ou fantasmés, peu importe, son imaginaire fait le reste, c’est plus fort qu’un porno. Il lui arrive même, si les histoires l’enflamment, de se masturber.
Un soir, alors qu’il se pense être seul au bureau, il s’installe, trouve un récit pour lequel il accroche. Plus il avance dans son déroulé, plus l’histoire devient crédible et son inconscient s’enflamme. Emporté dans son imaginaire où il réalise le fantasme du trio, il sort son sexe, à l’étroit dans son caleçon et commence une lente masturbation. Imaginez le tableau ! La porte s’ouvre, derrière laquelle, Valérie la jupe relevée, la main entre les cuisses regardait son patron se masturber. Sur l’instant Max ne réalise pas tous de suite, toujours pris dans son film. Valérie hypnotisée par le sexe de Max, le gland rouge foncé luisant surplombant un mât épais, lui fait très envie. La vision de Valérie la main dans le string fait monter d’un cran l’excitation de Max, il se lève et se dirige vers elle. Valérie, cette diablesse qui l’allume, fait un pas en avant, au deuxième elle est soulevée et se retrouve à genoux sur le fauteuil. Max présente son sexe à l’entrée de la vulve et Valérie pousse pour s’empaler sur le mât. Il prend ses hanches à pleine main pour la maintenir pendant qu’il vient taper ses cuisses sur son cul. Elle a posé ses mains sur le dossier et l’encourage à chaque coup.
Et Max redouble d’énergie.
Il sent les contractions sur son sexe.
Il sent ses tempes battre au rythme de son cœur.
Elle ressent les contractions de la verge qui la remplit, son orgasme en est prolongé. Max est le premier à sortir de ce fantasme, bien réel. Valérie éprouve un vide lorsqu’il se retire. Celui-ci attrape un mouchoir sur son bureau pour essuyer son sexe poisseux, elle se redresse et file rapidement aux toilettes alors qu’elle sent sur l’intérieur de ces cuisses se répandre le jus du plaisir qu’elle vient d’avoir.
Quelques minutes plus tard, elle est de retour sur le seuil de la porte. Max est de nouveau assis à son bureau devant l’écran. Elle ne voit pas la source de son excitation, elle imagine un film, mais elle n’entend pas le son. Des photos alors…
Valérie a parlé en toute franchise, comme elle s’adresse à son patron habituellement. Max est scotché de l’honnêteté dont a fait preuve Valérie pour ce moment d’intimité. Il ne sait que répondre sur l’instant. Valérie qui se sent honteuse après s’être livrée ainsi, le salue et quitte le bureau. À ce moment-là Max s’exprime :
Après avoir aéré, rangé et vérifié que tout est fermé, Max quitte le bureau. Il sait qu’en arrivant, il va avoir droit à la soupe à la grimace de la part de sa femme, heureusement il y a ses enfants. Pour éviter de passer du temps avec elle et la soulager, mais aussi après ce qui vient de se passer avec Valérie, il a un peu de mal à regarder sa femme, alors il s’occupe de sa progéniture. Lorsqu’ils sont couchés, ils se retrouvent tous les deux, il prétexte qu’il a du boulot pour s’isoler et réfléchir.
Qu’est-ce qui a changé chez lui, pour que Valérie soit troublée au point d’être excitée comme elle l’était. C’est plutôt elle qui a changé, ses tenues, elles sont plus aguichantes, donc c’est elle qui a changé pas moi, se dit-il. D’incriminer Valérie ne le disculpe pas, car elle faisait partie de son fantasme. Dans son rêve érotique, il y avait aussi Lydia, ces deux femmes qu’il côtoie toute la journée. Ces deux femmes qui sont séduisantes, qui sont aguicheuses, qui l’éloignent de sa tendre. Valérie ne l’attirait pas comme ça avant, pourquoi aujourd’hui, c’est la recherche de ce qu’il n’a pas ? Et Lydia, il ne la connaît que depuis quelques semaines, pourquoi ? c’est sur cette réflexion qu’il s’endort.
Le lendemain, Valérie et Max s’isolent dans la salle de réunion qui est à l’écart des bureaux, afin d’avoir une discussion sur ce qui s’est passé la veille. Max s’excuse s’il a fait croire à Valérie qu’il pouvait y avoir quelque chose entre eux. Depuis sa prise de fonction, il ne voulait pas créer de malentendu.
Valérie se mord la lèvre pour ne pas l’interrompre et lui dire qu’elle avait adoré.
Max se calme, il était angoissé, il ne veut pas perdre les deux femmes les plus importantes pour lui, sa femme et son assistante.
Au bureau, les choses reprennent leur cours normal. Le soir, Max vérifie bien que la porte est fermée avant de se détendre, bien qu’il aimerait qu’une Valérie ou Lydia viennent lui tenir compagnie. Bien qu’il semble que Valérie ait laissé de côté le jeu « Dites-moi, patron, qui est la plus belle », peut-être qu’elle croit qu’elle a gagné. Max n’est pas près d’oublier ce moment où il a pris un pied d’enfer.
À la maison, les choses ne vont pas en s’arrangeant. Il propose à Cloé un break, car il pense que les enfants souffrent trop de cette situation. Elle accepte bon gré mal gré, il décide de louer un meublé à proximité. Cloé se met en tête qu’il a une maîtresse, alors elle mène sa petite enquête. Elle sollicite une copine pour lui emprunter sa voiture et lui faire garder les enfants. Elle le suit discrètement, le surveille à son logement, mais sans résultat. Elle décide alors de faire le nécessaire pour le reconquérir. Elle commence un régime et se met à la gym afin de retrouver les formes qui lui permettront de remettre les tenues de sa garde-robe et sa lingerie, celles-là même qui faisaient craquer Max.
Suite à la visite, avec Lydia, d’un laboratoire industriel, celle-ci le titille,
Max, gentiment, mais sûrement, vient de siffler la fin de la partie du petit jeu de ces dames. Arrivé au bureau, il récupère les messages auprès de Valérie et file dans son bureau. Lydia qui est allée directement dans son bureau revient voir Valérie, afin d’avoir une discussion entre femmes, car elle ne pense pas que ses tenues posent problème.
Valérie sourit en reprenant son travail, en repensant à ce petit concours de jalousie.
L’été tire sur sa fin et Max a besoin d’un peu de repos, alors il propose à Cloé de prendre les enfants pendant quelques jours afin de profiter d’eux et pour qu’elle puisse se reposer aussi. Elle accepte volontiers, car ils le réclament souvent. Max part avec les enfants une semaine en bord de mer où il a loué un bungalow dans un camping. Le jour où il les récupère, il remarque que Cloé a changé, mais il ne saurait dire quoi, elle porte toujours sa robe d’été informe et ses cheveux qui sont d’habitude frisés, là, ils sont longs et crépus sur les bords.
La semaine avec ces enfants se passe bien il arrive à bien se reposer et les enfants sont contents, car ils font beaucoup d’activités. Une fois ou deux, alors qu’ils sont à la terrasse d’un café pour le goûter, il a été abordé par des femmes qui trouvaient ça mignon, un papa qui s’occupe des enfants tout seul. Une lui a même demandé si quelqu’un s’occupait de lui. C’est vrai que Max avec son mètre quatre-vingt-dix, pour quatre-vingts kilos, sa barbe de trois jours, ses yeux bleu vert et son sourire accroché en permanence ne laissent pas indifférente la gent féminine. Il réalise que c’est peut-être sa personne qui est à l’origine du concours que les filles au bureau se sont lancé. La nouvelle, pour le séduire et l’ancienne, pour le garder et c’est elle qui a gagné. La nouvelle voulait-elle vraiment le séduire au point de coucher avec lui ou est-ce dans sa nature d’être une aguicheuse ? L’ancienne voulait-elle vraiment en arriver là, ou est-ce le hasard ? Quoi qu’il en soit, il ne regrette pas ce petit écart avec Valérie.
Lorsqu’il ramène les enfants à Cloé, celle-ci n’est pas là, mais se sont ses parents qui l’attendent. Les retrouvailles sont chaleureuses, seuls les enfants sont surpris de ne pas voir leur mère. Cloé l’appelle le soir pour s’excuser et lui propose de la retrouver le lundi soir au salon de coiffure, car elle aimerait qu’ils parlent de l’avenir.
Le salon possède un étage qui est aménagé en salle de repos avec coin-cuisine et coin-salon pour que, lors des pauses, les coiffeuses puissent se reposer en toute tranquillité. Lorsque Max se présente, la voiture de Cloé est garée devant, la porte du salon est fermée, il l’appelle au téléphone.
Cloé apparaît à la fenêtre et lance les clefs à Max.
Lorsque Max se présente à l’étage, elle l’attend en haut des escaliers, de la musique occupe l’espace. Ils se saluent d’un petit smack. Max remarque de suite le nouveau look de sa belle, ainsi que la nouvelle coupe de cheveux. Ils sont plus courts et frisés comme il les aime. Le maquillage est très léger, le rouge à lèvres carmin, le parfum discret. La robe qu’elle porte lui va à ravir, l’imprimé du tissu est magnifique, un champ, des fleurs, une falaise. Il remarque de suite le changement de Cloé et comprend ce qu’il lui a échappé l’autre fois, elle a retrouvé son visage plus fin et sa silhouette d’avant.
Ils se regardent dans les yeux et s’embrassent, c’est un baiser tendre qui se prolonge en baiser torride. Cloé, qui a les bras autour du cou de Max commence à lui caresser la nuque. Max promène ses mains dans le dos, il descend le long de la colonne vertébrale avant d’arriver sur le bas du dos. Cloé lui prend les mains tout en le regardant dans les yeux.
Ils s’embrassent de nouveau en se serrant fort dans les bras l’un de l’autre. Cloé se laisse embrasser dans le cou, tout en défaisant les boutons de la chemise. Il fait glisser une bretelle le long de son bras et poursuit son bisouillage. Cloé apprécie, elle continue son déshabillage en lui ôtant la chemise, puis caresse le torse. Max défait les boutons de la robe pour accentuer l’échancrure. Après lui avoir caressé le torse, elle suit la ligne du plaisir, elle sent qu’il est très excité. Lui fait glisser ses lèvres d’un sein à l’autre tout en restant sur la lingerie.
De nouveau ils s’embrassent passionnément, elle s’attaque à la ceinture avant d’en extraire son sexe déjà bien tendu, pendant qu’il lui embrasse la poitrine qui est gonflée et dont les mamelons pointent à en percer la dentelle. Elle place ses doigts sur la verge tout en gardant le gland dans la paume de la main, elle étale la surexcitation de son homme.
Max cherche à enlever la robe de Cloé. Alors, elle le pousse à s’asseoir sur le divan et lui enlève le bas puis elle recommence ses caresses sur son torse en joignant ses lèvres cette fois, Max apprécie. Elle s’empare de son sexe avec sa main droite tandis que la gauche reste sur le torse, puis elle se met à genoux, embrasse son sexe avant de le prendre en bouche. Elle sent les palpitations du membre sur ces lèvres, ce qui provoque un excès de cyprine chez elle. Alors elle se relève, embrasse Max puis se recule de deux pas, fait tomber les bretelles de chaque côté et se retrouve nue au milieu de la pièce.
Max prend son sexe en main et l’admire faire le show. Cloé recule de nouveau avant de faire demi-tour et de poser les mains à plat sur la table et de tendre les fesses au centre desquelles un bijou rouge carmin trône. Elle le fixe par-dessus son épaule. Max est un homme qui aime ce genre de jeu, il admire quelques secondes ce tableau avant de bondir, le phallus érigé en mât qu’il vient positionner à l’entrée du con où il est inondé du plaisir de la diablesse. Il la prend par les hanches, et ils sautent tous les deux vers le plaisir.
Après avoir récupéré, le divan les accueille, Max retire le bijou, tout en baptisant les fesses de baiser puis remplace l’intrus par son sexe, Cloé qui est excitée par le désir qu’elle procure à Max lors de cette pénétration, apprécie la délicatesse de son homme. Comme la vague irrésolue, il va, il va et il vient entre ses reins et il se retient, elle le rejoint.
Une nouvelle fois, le décollage est simultané vers le septième ciel et l’atterrissage se fait tout en douceur accompagné de câlin et de tendresse. Pendant la douche qui suit, Max démontre à Cloé qu’il n’a pas perdu sa dextérité pour les caresses et que sa langue se rappelle le chemin de son bouton d’amour.
Le matin, ils font la surprise aux enfants lorsqu’ils se lèvent. Max part un peu plus tard, mais arrive en chantant…