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n° 19612Fiche technique12295 caractères12295
Temps de lecture estimé : 8 mn
20/05/20
Résumé:  Retrouvailles de deux amants en manque.
Critères:  fh extracon parking voiture intermast fellation cunnilingu fdanus confession -occasion
Auteur : Eric du sud            Envoi mini-message
Débordements intimes




Enfin, agendas et désirs concordaient pour le plus coquin des lundis au soleil, même si je savais par avance qu’en deux heures, il ne pourrait s’agir que d’un simple flirt.

À moi de trouver les bons gestes, le bon rythme, les bons mots pour qu’il devienne torride…


Ayant imposé à ma maîtresse le port exclusif de robe, je m’étonnais de ne pas recevoir de consignes par texto quant à ma tenue. Toujours assez fier de ma virilité, j’optais pour un jean, sans entrave, donc ni ceinture, ni caleçon et plutôt ample…


13 h 45, un texto me prévient qu’elle est en route, pour « la colline », tout près de chez nous. Parc aménagé ou espace remise en forme, pins et buissons sauvages sont propices à toutes activités de plein air. Cependant, les températures ont baissé, un fort mistral balaye la région, la zone est déserte. Dès mon arrivée, je me gare contre la voiture de ma maîtresse, je rentre dans son véhicule, et hop, me voilà tout à côté d’elle ! Enfin.


Je l’embrasse et immédiatement flatte la peau nue de ses jambes par de chastes caresses. Elle me parle de tout, je lui réponds vaguement entre deux baisers dans le cou, les mains baladeuses…

Je la questionne pour connaître son niveau de désir, je la harcelle pour qu’elle me dise de quand date sa dernière masturbation, son dernier orgasme.



Elle ment, car je sais qu’elle aime se caresser en pensant à moi, je lui ai fait avouer plusieurs fois pendant l’amour :



Elle est sur la défensive, ce qui me chagrine un peu, car j’aime sentir la confiance, l’abandon chez une femme dans l’intimité. Mais, après tout, c’est à moi de réinstaurer cette communion entre nos corps, nos désirs.


Baisers, questions, aveux se succèdent dans le triangle bouche – cou – oreille pendant que mes doigts jouent avec l’élastique de sa culotte, malgré une invitation à l’exploration peu expressive, tant ses cuisses restent serrées. Pourtant de son côté, elle est partie à la recherche de ma virilité, car contrairement à elle, je suis très « open », et sa main trouve vite mon sexe, dur, gros et chaud, elle le caresse, doucement, mais sans relâche.


Je l’embrasse, la mords au rythme de sa masturbation :



Ma maîtresse commence à perdre pied, ses problèmes de couple, ses soucis quotidiens s’évanouissent, ses besoins de femelle la submergent. Elle « travaille » de ses lèvres, de sa langue, mon gland cramoisi, mais trop peu le frein, là où les sensations peuvent devenir si intenses. Le plaisir est fort surtout que la frustration de cette succion incomplète aiguise mon désir.



Paroles qui sont soufflées au rythme de mes allées venues dans sa bouche devenue très gourmande.


Elle aime sucer son mec, je le sais depuis les premières minutes de notre improbable rencontre, car elle me l’a bien fait comprendre. Cependant elle a peur de l’éjaculation, elle n’aime pas le sperme, et semble toujours anxieuse d’une éjaculation incontrôlée. Pourtant elle sait bien que je suis un homme très discipliné, au self-control assuré…



Je veux sa bouche, je veux aussi qu’elle s’ouvre pour moi. Elle obéit, se soulève légèrement du siège et ma main peut prendre ainsi possession de son intimité. Elle est trempée, comme j’aime qu’une femme soit. Et mes doigts, tout en m’interdisant toute pénétration, lissent sa fleur, étalent sa rosée odorante.



Et elle repart sur sa chaude et raide virilité pendant que mes doigts, sans relâche, adoucissent son intimité, son clitoris.



Cet aveu me fait durcir encore plus, je sais que ma maîtresse va devenir intenable après son premier orgasme, et je m’applique consciencieusement sur le centre névralgique de sa sensualité.

Elle reprend sa fellation, s’interrompt de nouveau pour me préciser son plaisir :



Tout en dessinant une ultime arabesque avec sa mouille sur son clito, maintenant dur comme un pois.



Juste après son orgasme, je dois retirer ma main, car elle est maintenant si sensible que cela lui devient douloureux. Je la redresse, pour l’embrasser doucement, la câliner.



Je veux qu’elle réalise qu’elle est une femme « sexe » et moi seulement le déclencheur d’un plaisir latent.


On s’embrasse encore, sa langue me lèche les lèvres, elle veut me faire craquer, rétablir l’équilibre entre nous, se jette encore une fois sur mon sexe, pour cette fois-ci me pomper, me sucer bruyamment. Le gentil flirt poussé a basculé dans le total sexe, « le cul » entre un amant exigeant et sa maîtresse très reconnaissante. Elle me ravage le gland, me ventouse le frein, je l’accompagne en rythme, de légers coups de bassin, je veux qu’elle sente que moi aussi je pars.



Rarement une fellation, je devrais dire une pipe, n’aura tant duré, ma maîtresse est en manque de queue, elle me le montre, ouvertement, là, dans sa voiture familiale, à peine isolés, sur ce vague parking.



Elle se redresse, je l’embrasse, je lui mordille les lèvres. Elle a le goût de mon liquide séminal.



Elle s’exécute, son dessous odorant est maintenant au sol, je m’approche de son pubis. Sa chatte est luisante, gonflée, le clito est dressé. Je tire avec mon pouce un peu sur le bas de son pubis pour libérer encore mieux son appendice secret, j’ouvre sa fleur de mes deux autres doigts. Enfin, le plaisir de goûter sa mouille, de sentir le lissé de l’entrée de son vagin, de graisser son clito avec ma salive. Je la bois encore un peu, puis me concentre du bout de ma langue sur son clito, de nouveau réceptif, apaisé du précédent orgasme.


Elle râle, gémit, me dit que c’est bon, de continuer, qu’elle est folle de mes caresses, de ma bouche.

Malheureusement une voiture m’oblige à me redresser, j’en profite pour l’embrasser, mes lèvres luisantes de salive et de mouille.



On est dans une bulle de sexe, l’odeur de la mouille, de nos transpirations, est notre univers. Je salive mes doigts, et je reprends possession de son coquillage, mais cette fois-ci mon majeur l’investit. Elle se cambre, pour le recevoir pleinement, je glisse alors un second doigt en elle, tout en massant son anus, mais en me retenant de le forcer :



Mes doigts joints la prennent, doucement, mais inexorablement, loin, comme elle aime, au rythme de son bassin. Son vagin m’aspire, s’ouvre, et mes doigts vont toujours plus loin. Elle se salive les doigts et mimant vicieusement un orifice, avec sa main, elle la fait coulisser le long de mon gland et me branle avec assurance.



Je lui demande :



Elle serre alors plus mon gland de ses doigts lubrifiés et je sens simultanément le palpitement de ses muscles intimes pulser puis serrer au passage de mes doigts.



On s’embrasse, sans relâcher nos caresses mutuelles, la masturbation de l’intimité de son partenaire. Un doigt rejoint nos langues, je le salive alors abondamment, elle aussi, et tout en continuant à s’embrasser, je badigeonne ses doigts, avec ce majeur gras de salive pour que sa masturbation puisse se prolonger encore et encore sur mon sexe.


L’odeur du cul est maintenant tenace, on est ailleurs, sa chatte engloutit de plus en plus vite mes doigts, sa main, elle, me travaille toute la longueur de la queue qui est brillante de nos salives.



Ce besoin, répété, clairement exprimé agit comme un puissant stimulant, tant sur ma virilité que sur la libido de ma maîtresse qui est maintenant dans un état second, on a régressé vers un stade primaire, bestial.


Son bassin est maintenant animé d’une vie propre, il force mes doigts à un coït sauvage.



Je pose alors un de mes doigts sur son anus, poisseux de mouille, le glisse de quelques millimètres dans cet antre chaud.



Pour toute réponse, elle me malaxe avec force la queue et d’un mouvement conquérant, son bassin gagne les quelques centimètres que son cul réclame.



Je l’embrasse goulûment, avalant au passage ses derniers mots. Que c’est bon d’être un mâle pour sa femelle et quelle déclaration de ma maîtresse qui se soumet à ses désirs de salope.


Pendant les quelques minutes où le désir a atteint son paroxysme, les gémissements et mots échangés relèvent de la plus dégradante pornographie pour notre plus grand bonheur.


Une ultime voiture coupe court à nos ébats, et peu à peu il faut se résigner à retrouver nos petites vies. J’ai une réunion dans une heure, mes doigts sentent la chatte, mon sexe est sensibilisé comme j’aime… je ne vais penser qu’à elle.


On se quitte, en se félicitant de se flirt particulièrement osé.