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n° 19631Fiche technique18629 caractères18629
Temps de lecture estimé : 12 mn
29/05/20
Résumé:  Première soirée après le déconfinement de deux amants, sous le regard du mari, heureux d'être là.
Critères:  fh fhh extracon cocus hsoumis fmast hmast fellation cunnilingu pénétratio sm -candaul
Auteur : Clancy63      Envoi mini-message
Michel et le plaisir d'être cocu




Voilà l’histoire de Michel. Cet homme d’une cinquantaine d’années est marié avec la belle Isa.


Commençons par les décrire et en gentlemen que nous sommes, c’est bien sûr Isa, qui aura la chance d’être présentée en première. C’est une belle femme d’environ 1,70 m, un corps tonique, un ventre plat, des seins encore hauts, agrémentés de tétons très érectiles et d’une folle sensibilité. Dès qu’une main les frôle ou dès qu’une langue les lèches, elle se sent toute chose, et toute moite. Bien que plus âgée que Michel, elle ne fait absolument pas son âge. Côté signe distinctif, un superbe tatouage au-dessus du pubis montre son appartenance à son homme et deux petites boucles décorent ses lèvres intimes. Le tout bien évidemment sans coquin… euh, qu’aucun poil ne vienne troubler la vision du spectateur. Enfin, de longues jambes sveltes finissent de la décrire.


Maintenant au tour de Michel. Pour lui le format est différent, il est plus massif que ça chère et tendre, lui aussi tatoué, mais pas de marque prouvant son appartenance à sa femme, et pourtant… mais on y viendra plus tard. Lui non plus, pas de poil sur le corps, nulle part, sauf sur son menton parfois en un bouc façon biker. Dernier point qui va avoir son importance pour notre histoire. À la différence de sa belle Isa, Michel est bi. Oui, oui, il ne dédaigne pas de temps en temps de faire jouir avec sa bouche un sexe d’homme.


Voilà les protagonistes de notre histoire, avec, bien évidemment, votre serviteur.


Cette histoire commence il y a quelques années maintenant, alors que je n’étais qu’un pauvre conseiller bancaire et ce beau couple, mes clients. Tout se passait bien. Nos contacts étaient amicaux. Mais il m’arrivait parfois, lorsqu’ils quittaient mon bureau, d’admirer la chute de rein d’Isa et de m’imaginer téter cette splendide poitrine que je devinais parfois par l’échancrure de son chemisier. Mais bon, étant un employé modèle (sic), cela ne restait que des idées qui égayaient mes froides soirées d’hiver, ou mes pauses de midi lorsque je m’ennuyais seul à l’agence. Combien de fois je me suis fait plaisir dans mon bureau, en imaginant la belle Isa couchée dessus, les jambes largement écartées et ma langue fouillant son intimité jusqu’à la faire hurler de plaisir…


Et puis un beau jour, ils ont quitté la banque pour des concurrents. Pas d’amertume entre nous, juste un choix appuyé par des considérations financières bien compréhensibles. Adieu images de ce corps merveilleux…


Jusqu’au jour où, aux détours d’une page internet d’un site libertin, que vois je… Mais oui, c’est bien elle. Non ! Ce n’est pas possible… Si, si, c’est bien une photo d’Isa au bord d’une piscine avec un homme entre ses jambes en train de lui faire ce je j’avais rêvé de lui faire sur mon bureau…


Quelle explosion dans mon boxer ! Mon sexe qui, jusque-là, était un peu mollasson à la vue des photos des autres fiches, mon sexe, disais-je, se dressa droit comme un I et dur comme du bois. Je clique alors sur la fiche pour m’assurer que c’est bien elle. Et à la lecture de l’annonce, et surtout à la vision d’autres images, j’ai bien la confirmation que ce sont Isa et Michel.


Mais là, que faire ? Il est vrai que nous nous étions bien entendus dans nos relations professionnelles. Mais cela fait maintenant quelques années que je n’ai pas eu de contact avec eux. Et les aborder sur ce genre de site, comment allaient-ils réagir ?


Voilà comment j’ai renoué avec ce couple il y a quelques années. Je vous raconterai peut-être comment s’est passé notre premier échange, mais ce n’est pas le but de cette histoire. Cependant, il me semblait nécessaire de vous présenter un petit bout de nos débuts dans le libertinage.


Maintenant, je vais vous raconter, ce qui s’est passé ce fameux 11 mai, date du déconfinement tant attendu. Cela faisait donc deux mois que j’échangeais avec Isa par SMS interposés, du fait de notre éloignement obligatoire. Je ne pouvais pas profiter de son corps, moi, son amant attitré. Elle devait se contenter du sexe de son mari qui lui procurait toujours du plaisir, mais ne pouvait pas profiter aussi du mien. Nos échanges étaient donc très hards, et elle ne pouvait que les faire lire à Michel alors qu’avant, il avait le droit aussi aux images de nos ébats. Car, oui, Michel était cocu, mais un cocu volontaire. En tant qu’adepte du roi Candaule, il jouit du plaisir que prend sa femme dans d’autres bras que les siens.


Donc dès que notre cher Manu nous a dit que le 11/05 la prison ouvrait ses portes, nous sommes convenus de nous revoir. Mais cette fois-ci, Michel ne sera pas juste présent par photo ou visio interposée. Il sera là avec nous. Nous sommes impatients tous de nous retrouver et je prépare donc mon logis pour cette belle soirée. Champagne au frais, amuse-bouche au four, préservatif et lubrifiant à porter de main.


On sonne à ma porte et j’accours pour ouvrir. Dès que je croise son regard et aperçois sa sublime robe courte et décolletée, je sais qu’on va passer une soirée torride (attention, les voisins !) Je m’approche alors d’elle et lui roule une pelle prouvant mon manque des deux mois. Mes mains en profitent pour se poser sur ses fesses, pour les sentir vibrer. Mais une surprise m’attend : sous mes doigts je ne sens pas la présence de sous-vêtements ce qui est assez rare chez elle, car elle adore la lingerie et ses strings sont des appels à la luxure. Après avoir bien profité de sa langue et de sa bouche, je la fais entrer et me permets enfin de saluer Michel par une bise plus amicale. Cependant, je le sens un peu bizarre. Que se passe-t-il ? Ce confinement l’aurait-il changé ? Et il ne voudrait plus « prêter » son âme sœur ?


Je lui pose donc la question, mais c’est Isa qui me répond :



Ouf, pensais-je. Me voilà rassuré. Car, même si j’aurais accepté la fin de notre liaison particulière, elle m’aurait affreusement manquée.


Je les convie donc à entrer dans mon salon. Isa s’assoit bien évidemment à mes côtés sur mon canapé, alors que Michel se place sur le fauteuil en face de nous. La soirée commence avec des échanges sur notre vie durant ces deux mois et ma main glisse tranquillement sur les jambes gainées de soie d’Isa. Plus la discussion avance, plus elle monte en haut de ses cuisses. Après quelques minutes, je peux vous confirmer qu’à part ses bas, elle n’a pas de culotte. Et je peux alors tranquillement jouer avec ses pendentifs de lèvres.


Quelle moiteur ! Je sens au bout de mes doigts la chaleur et l’humidité de son sexe. Mes doigts coulissent doucement sur ses grandes lèvres, effleurant, à chaque passage, son petit bourgeon. Elle écarte alors un peu plus les jambes pour me faciliter le passage. Je recueille alors sur mes doigts ses sécrétions intimes, que je m’empresse de porter à ma bouche tout en regardant Michel dans les yeux. Ce dernier en face de nous ne dit rien, mais n’en perd pas une miette. Qu’il est agréable de retrouver ce goût très particulier à la fois salé, mais aussi suave !


C’est alors qu’Isa tout en regardant intensément son homme dit :



Vous comprenez bien que je n’hésite pas une minute, et pendant que Michel se met nu, je me rue vers ce sexe tant attendu. Je le lèche de haut en bas, mordillant son clito, enfonçant ma langue le plus loin possible en elle. Je la sens se contracter de plaisir, des gémissements sortent du plus profond de sa gorge. De temps en temps, je jette un coup d’œil à Michel que je vois à genoux, le sexe de plus en plus érigé, son regard perdu dans celui de sa femme qui gémit de plaisir. Alors je retourne à ma tâche en m’appliquant de tout mon cœur pour la faire jouir et pour cela je rajoute mes doigts à ma langue.


Imaginez la scène : Isa, la robe relevée, les jambes sur mes épaules, ses mains dans mes cheveux. Moi, la tête sur son sexe, ma bouche en train de téter son bourgeon et à côté, Michel, nu, à genoux, le sexe au garde-à-vous… Heureusement que la porte est fermée à clé, il ne faudrait pas qu’un voisin se trompe d’appartement.


Enfin, après un moment de ce traitement appliqué avec passion par votre serviteur, Isa explose de bonheur sous ma langue. Quel plaisir pour moi, aussi fort je pense que le sien ! N’y tenant plus, je veux la prendre maintenant. Je me lève, me mets à poil, moi aussi, la déshabille, ne lui laissant que ses bas et ses chaussures, je la porte dans ma chambre. Je la couche sur mon lit et Michel a le droit de venir jusqu’au bord du lit.


Cependant, je ne sais pas si c’est le fait d’avoir trop d’excitation, ou le fait d’avoir une splendide femme dans mon lit, mais ma bandaison qui était si forte lorsque je la léchais a disparu. C’est alors que me vient une idée.



Je lui mets alors mon sexe entre les lèvres et je lui dis :



Isa me regarde stupéfiée. Mais je vois aussi dans son regard un éclat d’excitation. Et sa main glisse sur ses seins avant d’aller s’ébattre sur son clito.


Michel alors me suce avec application et cela fait son effet.



Eh ben, croyez-le ou non, mais à ce moment-là, le sexe de Michel est encore plus dur que tout à l’heure…


Elle s’approche alors de nous. Mais au lieu de rester couchée sur le lit pour que je puisse m’introduire dans son sexe luisant de mouille, elle se met elle aussi à genoux et commence à jouer avec mes testicules, pendant que son mari me lèche.

Je me retrouve donc debout, avec à mes genoux Michel et Isa complètement nus, mon sexe passant alternativement de la bouche de l’un pour aller dans celle de l’autre… Quel plaisir !


Ne voulant pas me laisser aller dans l’un ou l’autre de ces antres buccaux (et surtout pas dans celui de Michel que je veux frustrer au maximum), je prends Isa par le visage pour la relever et la mettre sur mon lit à quatre pattes. J’ordonne à Michel de rester à genoux à côté du lit, et positionne Isa pour que son visage soit face à celui de son mari. Je veux la prendre en levrette pour, qu’à chaque coup de boutoir, son visage frôle celui de Michel. Ce dernier ne doit pas bouger, mais peut voir, au plus près, le plaisir de sa femme, quand mon sexe cogne au fond d’elle.


Je me positionne donc derrière elle, et je m’enfonce d’un coup au plus profond d’elle. Cela si facilement, tellement elle est mouillée après avoir joui sous ma langue. C’est tellement bon de sentir cette chaleur humide et de l’entendre feuler de plaisir. Je la prends par les hanches afin de pouvoir aller au plus profond d’elle. J’aperçois ses seins sublimes, ballottés au rythme de mes coups de reins. Je veux qu’elle jouisse tout son saoul avant de me laisser aller. Il me vient alors une idée que je n’ai encore jamais expérimentée avec elle, mais ce soir tout est permis.


Tout en-là besognant, je lui assène quelques petites fessées.



Mais voulant la frustrer, elle aussi, je m’arrête brusquement, et me retire d’elle aussi vite que j’étais rentré



Mais rien n’y fait, je la retourne sur le dos, et présente au pauvre mari cocu le sexe de sa femme couvert de mouille.



Je me positionne donc, les fesses sur la bouche d’Isa, pendant que Michel se jette comme un mort de faim sur le sexe de sa femme pour s’abreuver de son nectar. Quel plaisir de sentir cette langue parcourant mon périnée, s’immisçant parfois sur ma rondelle ! Tout en l’entendant gémir sous les coups de langue de son mari… Cependant, je ne veux pas que son mari la fasse jouir ce soir. Cette nuit, il n’y a que moi qui ai le droit de la faire jouir. Lui n’est là que pour la regarder prendre du plaisir dans les bras d’un autre.



Je me retire à regret de la langue d’Isa, mais je veux maintenant la prendre et la voir jouir sous mes assauts.


J’ordonne donc à Michel d’aller dans la pièce à côté. Lui interdisant de regarder ce qui allait se passer, mais en laissant la porte ouverte pour qu’il puisse entendre hurler de plaisir sa femme sous les coups de bite d’un autre. Il a en revanche interdiction totale de se branler. Il ne jouira pas ce soir.


Voulant voir le plaisir dans les yeux d’Isa et aussi pouvoir profiter de sa belle poitrine, je la couche sur le dos et la prends en missionnaire. Avant de m’enfoncer en elle, je ne peux m’empêcher de la lécher tellement j’aime son nectar. La portant au bord de la jouissance avec ma langue avant de m’arrêter net pour m’enfoncer en elle et la faire jouir simplement avec mon intrusion en elle. Je veux qu’elle jouisse plusieurs fois lors de cette étreinte.


Je m’enfonce alors en elle, doucement, mais fermement, mes doigts pinçant ses tétons érigés de plaisir. Elle hurle tellement de plaisir que j’ai peur de lui avoir fait mal. Mais non, elle veut que je continue. Mes coups de reins profonds et puissants semblent lui plaire.


Après un moment de ce traitement n’en pouvant plus, j’accélère la cadence pour enfin me libérer et décharger en elle. Nous jouissons ensemble. Nos corps couverts de sueur. Je ne veux pas sortir de ce corps qui m’a tant manqué durant ces deux mois. Mais une idée saugrenue frappe encore à la porte de mon cerveau.



Il arrive le sexe au garde-à-vous.



Je me lève, et m’approche de lui.



Eh bien, je vous assure qu’il s’est jeté sur mon sexe avec une avidité féroce…


Après un nettoyage en règle de mon sexe, il se jette avec autant d’avidité sur le sexe de sa femme qui dégouline de mon sperme et de ses sécrétions intimes. Il la lèche tellement bien qu’après son passage jamais on n’aurait pu imaginer qu’elle venait de se faire remplir de foutre.



Nous passons donc un moment tous les deux. À discuter, à nous retrouver, tendrement blottis dans les bras l’un de l’autre. Au bout d’un moment, nous sommes allés nous rafraîchir après ces heures de plaisir et nous prenons une douche tous les deux.


En passant dans le salon, nous retrouvons Michel sagement assis, toujours nu avec son rosebud bien enfoncé.



Et je retrouve donc Isa sous la douche. Nous nous savonnons langoureusement, je m’amuse à lui téter les seins pour qu’ils restent bien durs, et pour la laisser dans un état d’excitation constant.


Après ces ablutions, nous retrouvons Michel, docilement assis, et prenons ensemble ce repas bien mérité après ce torride début de soirée. Nous discutons tous les trois de choses et d’autres. De comment nous avions vécu ce confinement, comment on voyait l’avenir, etc.



À suivre, si mon histoire vous a plu.