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n° 19644Fiche technique25101 caractères25101
Temps de lecture estimé : 14 mn
04/06/20
Résumé:  Complètement par hasard, un jeune couple découvre une particularité qui va changer une partie de leur vie intime.
Critères:  fh jardin voiture fsoumise hdomine fellation pénétratio -dominatio
Auteur : BVT      Envoi mini-message
S'il te plait



Anne se fige, elle n’a pas l’habitude qu’on lui parle comme ça et encore moins Pierre, son homme qui est toujours très tendre et délicat avec elle. D’accord, elle est petite, mais elle est chef de service dans le supermarché local et elle a l’habitude de diriger et rarement contredite du fait de son grand professionnalisme. Bien qu’elle n’ait pas encore trente ans, ses supérieurs lui font une confiance presque aveugle. C’est d’ailleurs comme cela qu’elle a rencontré Pierre.


Il y avait des travaux d’agrandissement dans une réserve du magasin qui n’avançaient pas correctement. Son directeur lui a demandé de prendre en charge ce dossier pour garantir le niveau de qualité. Lors d’une réunion de chantier, elle s’est retrouvée face à un homme de son âge, mais bien plus grand. Cet homme, elle l’a tout de suite reconnu, ils se connaissaient depuis très longtemps. Ils étaient allés en classe ensemble au collège, ensuite, lui avait suivi une voie professionnelle jusqu’au bac plus deux, pendant qu’elle, avait fait de belles études jusqu’en école d’ingénieurs. Mais avec les réseaux sociaux, ils s’étaient suivis quelques années, avant de se perdre de vue.


En urgence, il avait été nommé responsable de la charpenterie en bois de la nouvelle structure pour sauver l’affaire. Tous deux avaient été très efficaces, trouvant rapidement des solutions qui semblaient impossibles pour les anciens responsables, il y a quelques jours.


Ils avaient bien rigolé de se retrouver. Pour éviter tous risques de médisance, ils sont restés professionnels, au moins jusqu’à la fin du chantier. Mais après, ils se sont vite rapprochés et de plus en plus près, au point de se marier.


Depuis, ils vivent en totale harmonie malgré ou grâce à toutes leurs différences. Ils ont acheté une maison isolée au bord des bois que Pierre rénove avec enthousiasme et professionnalisme. De son côté, Anne travaille beaucoup en dehors de la maison, mais elle a pris à sa charge, avec l’aide de son homme, une petite basse-cour et un beau potager. Cela fait trois ans que leur bonheur dure.


Elle a donc été choquée quand son homme a prononcé ces trois mots pourtant si courant, « s’il te plaît », car il l’a fait en utilisant un ton totalement nouveau. Le « s’il » a été dit sur un ton très ferme, presque un cri. Pour le « te », la voix était déjà revenue presque normale. Quant au « plaît », il a été presque murmuré. Et ces mots raisonnent encore et encore dans sa tête.



Après qu’elle est restée complètement figée un très long moment, Anne baisse la tête et répond à Pierre très doucement.



Pierre est bien en peine de voir son amour ainsi, mais il faut bien finir de la monter cette foutue armoire qu’il a voulu récupérer. Il décide donc de couper court et de diriger l’opération, il sera temps d’aborder le problème après. Durant toute l’intervention, elle fera exactement ce que lui demande le chef de chantier, sans ne jamais montrer aucun signe d’agacement. Rapidement, le meuble trouve sa place et il s’autorise une petite moquerie :



Et elle vient lui faire un joli baiser le félicitant pour son travail. Le matériel est rangé et ils se retrouvent dans leur salle de bain pour un bon décrassage. Pendant qu’elle se lave les mains, il décide de revenir sur l’incident.



Machinalement, elle continue de se laver longuement les mains pourtant bien propres maintenant. La tête baissée, elle hésite beaucoup avant de répondre, mais elle se lance enfin.



À nouveau le temps se fige, puis elle reprend très doucement.



Mais elle ne répond plus, alors au bout d’un très long moment, il décide de tenter…



Voilà, il venait cette fois-ci en toute connaissance de cause, de prononcer ces fameux mots. Elle baisse une nouvelle fois la tête tout en continuant de se laver les mains pour la trentième fois.


Pierre coupe l’eau et répète :



Encore une fois, il faut attendre un long moment avant qu’elle se décide.



Il veut répondre, mais sans savoir pourquoi, il décide d’encore une fois de laisser le silence s’installer. Et il a bien raison, car elle cède.



Pierre se colle dans le dos de sa belle, l’enlace tendrement. Elle agrippe une de ses grandes mains, qu’elle plonge directement dans son pantalon heureusement élastique et sous la dentelle de sa culotte. Il ne peut que se rendre compte que le lieu est inondé. Le contact des fluides féminin est un déclencheur dans la tête de l’homme. Il ose :



Comme elle ne réagit pas, il se permet :



Et comme par magie, après juste cinq secondes d’hésitation, elle s’exécute. Prise comme elle est, dans ses grands bras, elle ne peut pas aller bien bas, alors, il la lâche et se recule.



Elle s’exécute lentement, la tête toujours dirigée vers le sol. Une fois nue, elle repose ses mains sur le lavabo et attend. De son côté, Pierre a tellement mal dans son shorty qu’il décide de se mettre nu, lui aussi, et il vient se recoller dans son dos. La différence de taille entre eux, fait que son membre se trouve contre les reins de la jeune femme, il lui empoigne les seins en posant le menton sur sa tête délicatement. Il l’admire grâce au miroir face à eux et finit par lui ordonner :



Cette fois-ci, elle va s’exécuter rapidement.



Elle relève enfin les yeux et le fixe à travers le miroir. Elle redescend une des mains de l’homme sur son sexe en laissant l’autre main sur ses seins, puis continue son explication.



Plusieurs minutes de réflexion s’imposent à Pierre avant qu’il arrive tout analyser. À sa grande surprise, il se rend compte que son érection n’a pas diminué et le jus féminin qui coule sur une de ses mains n’arrange rien. Il met en mouvement ses dix doigts et tente d’apporter à sa femme le maximum de plaisir. Les tétons se durcissent comme jamais. Le spectacle dans le miroir l’excite fortement, plus bas, ses deux doigts les plus grands rentrent très facilement dans une caverne visqueuse et brûlante. Il frotte son sexe sur l’arrière du corps qu’il cajole. Il ne faudra pas plus de cinq minutes pour qu’un orgasme les emporte, la tension était devenue trop forte. Elle crie violemment son plaisir ce qui déclenche une immense giclée de sperme sur son dos. Pierre se frotte de haut en bas pour que son orgasme soit complet.


Ils finissent sous la douche, plus amoureux que jamais, et reprennent une vie « comme avant », de bons moments sexuels, des moments de plaisirs, des moments de fatigues, mais rien d’exceptionnel. Il faudra plusieurs semaines pour que, finalement, un jour de fin de printemps magnifique, alors qu’ils sont prêts à partir aux courses, qu’il décide de faire une nouvelle tentative. À plusieurs reprises, il a eu envie de jouer, mais à chaque fois il s’est retenu, un blocage impossible à franchir, mais pas aujourd’hui.


Elle s’est habillée une fois de plus d’un de ses vieux jeans avec ses baskets fatiguées et un vieux sweat. Sa tenue favorite hors boulot !



Froidement, il la fixe. Elle baisse la tête.



Et elle file rapidement dans la chambre.

Pierre a tout d’un coup un énorme doute. Il se rend compte qu’il vient de mettre à jour une nouvelle face à leur couple. Il est surpris de l’attitude de sa femme, mais en même temps, il a envie de tenter certaines choses qui occupent ses rêves et pourquoi pas ses fantasmes.


Quand elle revient assez rapidement, elle est splendide. On dirait que la robe est faite pour elle et encore plus pour attirer les regards de beaucoup d’hommes et même de certaines femmes. Pierre aimerait la prendre dans ses bras et l’embrasser amoureusement pour la remercier des efforts qu’elle fait, mais un « déclic » l’en empêche.



Le ton est sec et froid, alors elle s’exécute. La face arrière est tout aussi magnifique. Les épaules sont à l’air, le dos a aussi le droit à un décolleté. Pierre en veut plus.



Le cul qui apparaît est très légèrement recouvert d’un très joli voilage marquant le haut des hanches.



Elle ne bouge pas, mais lui répond très doucement tout en gardant la tête baissée :



Il lui arrive régulièrement de se retrouver sans culotte à la maison ou au jardin, au maximum dans le bois attenant lors de leurs balades quand il décide de lui enlever, mais jamais elle est sortie en public sans culotte et alors ,sur son lieu de travail, c’est inenvisageable. Pierre ne l’entend pas comme ça, il décide de s’imposer et de voir jusqu’où elle est prête à aller !



Et elle s’exécute ! Les gestes sont lents, gracieux pour ne pas dire sensuels. C’est beau, il bande, mais ne veut surtout pas lui montrer.



Et une fois de plus, elle fait ce que son homme lui demande sans rechigner en évitant de le regarder dans les yeux. Il met le voilage dans sa poche et ils rejoignent sa voiture. À cause de sa taille, Pierre n’aime pas les berlines, il serait bien dans un gros 4x4, mais ce n’est pas son truc puis, surtout avec les travaux de la maison, un utilitaire est bien plus pratique. Un véhicule de taille moyenne aussi confortable et équipé que beaucoup de voitures, boîte auto, régulateur, limiteur, GPS, sans fil et tout et tout. Le sien à tous ces équipements et une banquette trois places.


Une fois dans la voiture, Pierre veut pousser un peu le jeu. Au premier feu, il lui demande de venir sur la place à côté de lui. Elle n’a pas hésité une seconde, il la force même à poser une cuisse sur la sienne pour laisser pendre sa jambe entre les siennes. La voiture redémarre et il pose sa main sur la belle cuisse qui s’ouvre encore plus immédiatement. Bien entendu, il remonte délicatement et tendrement jusqu’à ce que ses doigts entrent en contact avec des muqueuses trempées.



Jamais il ne lui avait parlé comme ça, il commence à douter. Mais, non seulement, il n’y a aucune réaction négative de la part de la jeune femme, au contraire, elle s’exécute rapidement. En soulevant le bassin pour obéir, elle projette son pubis vers la main qui la caresse et un doigt entre en elle très facilement. Pierre devra redoubler de prudence pour garantir sa conduite et en même temps tenter de faire jouir sa femme. Heureusement, il va arriver à combiner les deux avant d’arriver sur le parking, merci la boîte automatique. Le gros problème maintenant, c’est qu’il a mal dans son pantalon.


Il se gare un peu à l’écart des autres voitures avec une idée bien en tête. Il monte à l’arrière par une porte latérale pour s’assoit sur une caisse à outils puis au sol une grosse couverture de déménagement qui traîne là.



Une fois sa femme installée à genoux entre ses cuisses, il verrouille les portes, ouvre son pantalon et sort son sexe dur comme du bois.



Elle empoigne la belle queue de son homme et la branle tendrement.



Anne ne rechigne pas à recevoir du sperme dans la bouche, elle adore même cette sensation, mais elle n’arrive pas à avaler. Parfois juste les restes, après avoir recraché la plus grosse partie. Elle se penche et prend le gland en pleine bouche puis sa main va-et-vient de plus en plus vite. Pierre s’est légèrement allongé contre la cloison pour bien profiter du moment. Les sensations sont si intenses que Pierre ne cherche pas à faire durer le plaisir et il se déverse à grands jets entre les lèves qui l’enveloppent.


Une fois la dernière goutte récupérée, elle se redresse et regarde son homme droit dans les yeux, fière d’elle. Elle avale une première petite gorgée, mais n’arrive pas à tout ingurgiter, au risque de vomir. Pour autant, il est hors de question qu’elle ne fasse pas ce que son homme lui a ordonné. Elle veut l’épater, il veut jouer, elle veut lui faire ce plaisir.


Une fois rajustés, ils sortent du véhicule, traversent le parking et entrent dans la galerie pour se rendre aux toilettes. Avant d’entrer, elle lui fait un baiser sur les lèvres laissant passer un peu du liquide crémeux qu’elle a encore dans la bouche. Il n’a pas le temps de réagir qu’elle se sauve. Par réflexe, il passe la langue pour récupérer les traces sur ses lèvres avant que quelqu’un le remarque.


Ils se retrouvent tous les deux comme si de rien n’était et ils suivent leur programme comme convenu. Le jeu est terminé pour l’instant, seuls les courants d’air réguliers sur ses lèvres sexuelles rappellent à Anne que, pour la première fois, elle ne porte pas de culotte sur son lieu de travail, même si elle est là pour des raisons privées. Régulièrement Pierre la prend par les hanches et lui caresse les fesses pour en profiter au maximum. Elle accentue son déhanchement quand il est dans son dos, elle se baisse pour lui exposer ses cuisses minant de regarder les articles les plus bas. Elle fait tout pour l’aguicher. Connaissant le magasin et la galerie comme sa poche, elle sait où sont les angles morts des caméras de surveillance, elle ne prend donc aucun risque vis-à-vis de ses collègues.


Une fois revenue dans la voiture, elle se réinstalle d’office à côté de lui et repose sa cuisse comme avant lui exposant ses charmes les plus privés en se lovant contre lui elle demande :



Autant, elle n’avait jamais osé sortir sans culotte, autant elle aime durant ses temps libres ne pas mettre de « barbelés » comme elle dit. Avec des gestes que seules les femmes savent faire, en quelques secondes le sous-vêtement arrive sur les genoux du demandeur sans qu’elle se dévoile.



Alors que Pierre sort de la voiture passer un coup de fils derrière la portière, elle se déplace sur le siège contre la portière, mais laisse sa cuisse grande ouverte sur la banquette lui exposant son intimité luisante. Elle s’amuse même à enlever quelques boutons de son décolleté pour lui offrir le galbe d’un sein puis tirer sur le tissu pour lui exposer un téton fortement tendu, qu’elle titille du bout d’un doit. Elle est heureuse de s’amuser de son homme qui a bien du mal à se concentrer.

Il grimpe dans la voiture, elle se rajuste rapidement.



Moins d’une demi-heure après, ils se retrouvent devant une petite auberge en campagne. Durant la route, Pierre lui a expliqué qu’il a fait des travaux de rénovation et que le patron lui a promis une bonne table pour le remercier du professionnalisme. Ils passent un très agréable moment en amoureux. Le lieu est très convivial et ils ont droit à une table dans une petite alcôve discrète. Anne en profitera pour continuer à exciter son homme à distance en lui dévoilant ses trésors discrètement et même en lui massant l’entrecuisse avec son pied.


Au dessert, elle profite de vouloir goûter le sien pour venir s’asseoir à côté de lui sur une banquette. Ils sont tous les deux excités comme rarement. Comme ils sont cachés par la nappe, elle ouvre son pantalon et décide de le branler tendrement. De son côté, il n’est pas en reste et s’attarde sur son clitoris ardemment. Ils jouiront tous les deux avant que leurs cafés soient froids. Heureusement qu’il y avait des serviettes en papier en plus de celle en tissu sur la table pour faire disparaître les traces du délit.


En quittant l’établissement, ils savent qu’ils reviendront, le moment était tellement agréable. Le retour se fait en silence, il règne dans l’habitacle une douce ambiance de sexe, mais surtout si un appareil pouvait mesurer les sentiments, il serait hors calibre. C’est deux-là, sont amoureux plus que jamais.

Arrivés chez eux, il reprend la main.



Il s’approche d’elle et lui enlève sa robe le plus délicatement possible. Bien que la nuit soit tombée, la température est encore très agréable. Il l’entraîne sur leur terrasse et l’allonge sur un transat. Elle est très gênée, mal à l’aise pas habituée à s’exposer ainsi, mais elle se laisse faire. Nue sur sa terrasse offerte aux regards de son homme, c’est bien encore une première, mais son cerveau n’est plus rationnel. Elle veut qu’il s’occupe d’elle et demain on verra bien.


À son tour, il se déshabille entièrement. Il se positionne entre ses cuisses et entame un cunnilingus très efficace. Elle ne cherche pas à se retenir, elle décroche et jouit dans un râle très profond. Ravi de la voir ainsi, il vient sur elle en gardant appui sur ses bras et l’embroche dans le même mouvement. Immédiatement, elle crochète ses jambes dans le dos de Pierre.


À tour de rôle, ils vont prendre des initiatives, variant les positions et les plaisirs. Plus d’une heure après, ils sont tous les deux totalement épuisés. Elle a tellement joui qu’elle est incapable de faire les comptes, aussi bien en nombre qu’en qualité. Il a pris un plaisir jamais atteint à la faire et la voir jouir avant de l’inonder dans un violent orgasme.


Cette journée a été pour eux une découverte. Depuis, régulièrement ils reprennent leurs jeux. Ils ont amélioré leur communication en mettant en place un code de fin quand Anne a atteint ses limites par exemple. Mais avec le temps, ils ont trouvé un équilibre. Seul petit bémol, Pierre aurait apprécié parfois inverser les rôles, mais pour Anne, c’est hors de question, elle s’y refuse.



FIN