n° 19646 | Fiche technique | 26944 caractères | 26944Temps de lecture estimé : 16 mn | 05/06/20 |
Résumé: Un couple décide d'inviter et de piéger leur ami... | ||||
Critères: fh fhh hbi couple couplus fdomine exhib fellation cunnilingu anulingus fgode pénétratio hdanus hsodo jouet -couplea3 | ||||
Auteur : Astringent |
Éva et moi sommes en couple depuis près de trois mois, nous nous sommes rencontrés à l’aube de notre deuxième vie après que nous avons tous deux, mais chacun de son côté, mis fin à de trop nombreuses années de mariage… Éva a trente-neuf ans, brune, de taille moyenne, une silhouette élancée qui ne doit rien au hasard, mais à une pratique sportive régulière, et une attention suffisante à son régime alimentaire. Ses mensurations, sa poitrine généreuse, ses fesses galbées et son joli visage en font une femme qui attise régulièrement le regard des hommes, comme j’ai dû prendre l’habitude de le constater lors de nos sorties. Je ne peux blâmer tous ces hommes de regarder avec autant d’appétit que moi ce corps si bien entretenu…
C’est encore la réflexion que je me fais lorsque, sortant de la douche, je la vois me rejoindre dans le lit. Rapidement, nos corps se retrouvent, nos mains entament avec un plaisir attendu une danse encore incertaine. Je caresse sa peau délicate, souligne d’un doigt le contour d’une épaule musclée, d’un sein ferme et généreux. Un frisson m’encourage à poursuivre et à m’enhardir. Mon autre main se joint donc à la danse, et caresse, elle aussi, ce corps délicieux. Les caresses se précisent, son corps commence à onduler, ma bouche vient remplacer ma main et dépose un premier baiser à la périphérie d’un sein. Un deuxième, suivi de quelques autres, et ma langue se joint à la manœuvre pour venir lécher ce sein si accueillant, caresser l’aréole, puis titiller ce téton qui commence à montrer des signes d’impatience.
Les doux gémissements d’Éva m’incitent à continuer, ma bouche descend désormais avec prudence vers son nombril puis poursuit plus bas. Son sexe épilé est déjà humide, et je déguste avec un plaisir indicible ses premiers émois. J’adore son sexe, j’adore le goût de son sexe, et je prends un plaisir infini à m’en délecter. Ma langue a désormais bien appris sa leçon, elle commence à connaître ce territoire et se régale à le parcourir au son des gémissements de moins en moins contenus de ma dulcinée. Son clitoris ne laisse planer aucun doute sur le plaisir croissant qu’elle prend à ce petit jeu, et ma langue se régale de sentir celui-ci. Je déguste les sécrétions de ma douce, j’ai presque le sentiment d’en devenir accro, tellement j’en apprécie le goût et m’en régale… Parfois, comme ce soir, Éva me fait sentir qu’elle a envie que je continue jusqu’à ce que son plaisir soit total, d’autres fois, nos corps entament d’autres ébats, mais toujours avec le même plaisir.
J’apprécie tellement son goût que souvent, lorsqu’elle a joui, je redescends pour déguster son sexe. Sans être une femme-fontaine, ses jouissances sont malgré tout généreuses, et je me fais un plaisir de la lécher tant et plus.
Ce soir, ainsi repu, la tête posée sur son ventre, je respire les effluves de son sexe, et goûte à la joie simple du bonheur partagé.
C’est à ce moment que d’un ton un peu moqueur, elle me lance :
Je ris doucement :
Je prends ce compliment pour ce qu’il est, un encouragement à recommencer très rapidement ! Ce soir-là, dans son appartement, la tête posée sur son épaule, nous évoquons la longue période qui a suivi sa séparation. D’un ton badin, mais avec une idée derrière la tête, je l’amène à m’avouer qu’elle a, bien entendu, su profiter, sur la recommandation d’une de ses amies, de la présence d’un gode pour l’aider à passer cette période. Je lui avoue que je serai très curieux de la voir l’utiliser, et très excité également, comme le laisse deviner le développement immédiat de ma queue qu’elle peut sentir contre sa cuisse.
Encouragée par une telle ferveur, bien qu’un peu intimidée, sa main gauche va chercher dans le tiroir de son lit, son compagnon solitaire et le glisse discrètement sous le drap. Je reste sagement la tête contre son épaule, le moment est particulier, car, si elle a longuement pratiqué ainsi, elle ne l’a jamais fait en présence de quelqu’un. Je sens peu à peu son corps se réchauffer, les mouvements se faire moins timides, et ses yeux viennent se fixer dans les miens. J’y lis la montée de son plaisir, mon excitation grandit au même rythme, j’étais à mille lieues d’imaginer que cela m’exciterait à ce point.
Ses yeux commencent à se perdre comme un signal m’invitant à participer et je commence doucement à l’embrasser alors que ma bouche descend peu à peu vers le centre de son plaisir. Je regarde avec un vif intérêt la manière dont elle opère, son gode, d’une taille tout à fait légitime, vient sur son clitoris, puis fait le tour de ses lèvres avant de la pénétrer et d’y effectuer de nombreux allers-retours avant de ressortir puis de reprendre inlassablement ce circuit. Je me rapproche doucement de son clitoris, je ne veux pas la déranger, mais je suis irrésistiblement attiré par ce sexe déjà pantelant, et ruisselant. Délicatement, ma langue vient caresser son clitoris et se l’accapare. Un gémissement sourd me fait comprendre qu’elle était attendue, et c’est avec soulagement et bonheur que je me joins donc à la partie.
Ma langue connaît sa partition, mais n’est pas habituée à ce corps étranger. D’un autre côté, celui-ci se fait plutôt discret, et a choisi de ne pas empiéter sur le territoire que ma langue revendique.
Son sexe suinte de plus en plus, sa respiration s’accélère à mesure que les mouvements de son gode se font plus rapides, et ma langue devient, elle aussi, plus frénétique. Son plaisir croît, je l’entends respirer avec difficulté, ses gémissements prennent une ampleur nouvelle, je sens ses muscles se tendre comme jamais dans un cri qu’elle ne peut retenir. J’ai l’impression que ce moment dure une éternité… La tension de son corps se relâche enfin, mais il lui faut encore plusieurs minutes avant d’esquisser un mouvement. Je reviens vers elle, en respectant ce moment si particulier. Nos regards se croisent, je lis le plaisir incroyable qu’elle vient de prendre, et ne peux m’empêcher d’esquisser un léger sourire. Je suis tellement ravi d’avoir pu participer à celui-là. Le cunnilingus est un exercice délicat, chaque femme réagit différemment, chaque sexe est différent, et je suis juste bien content de constater qu’elle semble réellement apprécier mon « travail ». J’en suis chanceux, et doublement heureux, car moi aussi, avec elle, j’adore !
Quelques mois ont passé depuis cet épisode, et nous avons, depuis, fréquemment renouvelé l’expérience. J’ai encore en mémoire, la fois où, approchant son gode de ma bouche, elle m’a provoqué :
Surpris, mais pas bégueule, j’ai timidement léché celui-ci. Le goût m’était en effet parfaitement connu et aussi bon qu’à l’accoutumée. Elle vint ensuite le replacer dans son sexe en me disant en riant :
Et c’est ainsi que peu à peu, j’ai appris à apprécier de lécher son gode. La timidité n’est aujourd’hui plus de mise, son gode est devenu un véritable compagnon de jeu, et s’il n’a pour l’instant jamais été question de sodomie, il n’est pas rare que je l’utilise pour la pénétrer tandis qu’elle me procure une fellation toujours appréciée ! Elle excelle en la matière et ne se prive jamais de me faire profiter de son talent !
Quelques années ont passé, et Éva et moi sommes ravis de la bonne santé de notre couple et de voir qu’il se renforce toujours un peu plus. Nos plaisirs frivoles y ont toujours une bonne place, et nous avons petit à petit diversifié nos pratiques. Si elle n’est pas une inconditionnelle de la sodomie, elle ne la boude pas pour autant et apprécie toujours que ma langue s’aventure entre ses fesses. En fait, ma langue est la bienvenue en tous lieux et en toutes heures. C’est aussi vrai de la sienne, et j’ai découvert avec surprise puis avec plaisir que je pouvais apprécier autant qu’elle ce genre de caresses. S’enhardissant, il est déjà arrivé qu’elle vienne me glisser un doigt dans mon anus pendant qu’elle me suce et j’ai su apprécier. Mais je reste toujours méfiant lorsque le gode est à portée de main, et jusqu’à maintenant, il s’est toujours tenu à distance respectable !
Nous avons également plusieurs fois abordé le sujet du triolisme, c’est elle d’ailleurs qui avait ouvert le sujet, non pour me demander si je serais d’accord, mais juste pour savoir si j’avais déjà tenté. Mais ni elle ni moi n’avions pratiqué. Le sujet réapparut quelques fois, et je compris alors qu’il me fallait y réfléchir plus sérieusement. J’en avais parfois fantasmé, aussi bien avec deux femmes qu’avec deux hommes, l’idée de deux sexes masculins pour donner du plaisir à une femme me paraissait tout à fait évidente.
Mais maintenant que j’étais régulièrement sondé sur le sujet, il n’était plus question de fantasmes, il était question de savoir si oui ou non j’étais prêt à passer à l’acte… Cela nous prit un temps certain pour convenir que, sans le chercher expressément, nous n’étions ni l’un ni l’autre opposé à l’idée. De là à voir arriver une opportunité, je me disais qu’il y avait quand même une sacrée marge…
Et puis voilà qu’un jour, Éva m’interroge sur Ludo. Ludo est un jeune ami d’amis, que nous avons rencontré lors d’une fête et qui, électricien de métier, s’était gentiment proposé de nous rendre service : la maison que nous venons d’acquérir nécessite de nombreux travaux parmi lesquels l’électricité n’est pas le moindre et c’est vraiment un domaine dans lequel je suis d’une nullité affligeante. J’ai eu beau insister, toutes ces histoires de courant, d’impédance, d’électrons me sont totalement étrangères. Ludo vient donc depuis plusieurs jours les après-midis, Éva étant présente, puisqu’elle travaille en indépendante en tant que traductrice.
Elle m’apprend donc ce soir-là que ce fameux Ludo semble particulièrement apprécié sa plastique généreuse et qu’il ne se prive pas de la reluquer éhontément. Il faut dire qu’Éva profite de notre piscine en cette chaude période, et que je comprends assez que le jeune Ludo soit un peu captivé par le spectacle « topless » de ma belle. Je ne sais quoi en penser, Ludo m’est sympathique, mais est-ce une qualité nécessaire et suffisante pour l’inviter à une partie de jambes en l’air ? La question me turlupine plusieurs jours et c’est Éva qui finit par me décider quand elle me glisse insidieusement :
Pourquoi une telle idée me séduit ? Je ne saurais le dire, sans doute mon goût du défi, et l’idée amusante de piéger notre jeune ami !
L’affaire est donc entendue, nous le piégerons donc lorsqu’il aura fini les travaux de rénovation, à l’occasion du dîner auquel nous l’inviterons pour le remercier. Les quelques semaines qu’il reste se passent dans une certaine nervosité, je dois l’admettre, mêlée d’un brin d’excitation, mais aussi d’appréhension.
Le soir venu, nous avons convenu de la marche à suivre et de la manière dont nous souhaitons que cela se déroule. Il y a évidemment une grande part d’inconnu, mais ni Éva ni moi ne faisons mine de reculer. Cependant, nous avons convenu d’un signe si, à un moment ou à un autre de la soirée, l’un des deux dit changer d’avis.
Nous accueillons donc Ludo le soir venu, Éva est dans une robe que beaucoup pourraient qualifier d’indécente tant elle met son corps en valeur. Une robe blanche légère, très ouverte sur les côtés, qui permet d’apprécier sans la moindre ambiguïté la fermeté et la générosité de sa poitrine qu’aucun soutien-gorge ne vient déranger, le galbe assuré de ses cuisses, la finesse de mollets joliment sculptés. Notre ami va avoir du mal à garder ses yeux dans sa poche…
L’apéro est vite servi, j’ai préparé plusieurs petites choses pour l’accompagner, et je constate qu’en effet, Ludo a bien du mal à garder sa concentration. Dès lors qu’Éva se lève pour aller à la cuisine, c’est tout juste s’il n’en bafouille pas ! D’ailleurs, après nous être généreusement resservis, je ne me prive pas pour lui faire la remarque, alors qu’Éva s’est de nouveau éclipsée (nous avons décidé que ce serait elle, derrière les fourneaux ce soir).
Ludo manque de s’étouffer avec sa tartine et le rouge lui monte aux joues immédiatement.
Je le coupe aussitôt :
Le message est passé, j’ai rapidement enchaîné pour lui laisser le temps de digérer l’information sans s’embrouiller dans de vaines excuses, je suis volontairement resté suffisamment vague pour ne pas l’effrayer ni trop l’encourager.
Éva revient peu après, elle n’a rien perdu de cet échange, et sait donc que le plan se déroule comme prévu. Elle se rassoit en face de lui, et à son regard, je constate qu’il a immédiatement remarqué la disparition de son string… Nous continuons à deviser agréablement, cette chaude soirée de juin et son soleil qui n’en finit pas, nous encouragent à poursuivre le dîner sur la terrasse.
Alors que je m’absente pour dresser la table, Éva aiguillonne notre invité :
Je reviens sur ces entrefaites, Ludo est un peu rouge, et je me doute qu’Éva ne l’a pas ménagé. Le repas se déroule agréablement, Ludo se révèle d’une compagnie tout à fait charmante, et même s’il semble régulièrement troublé par les charmes d’Éva, sa conversation est tout à fait intéressante.
Lorsque le dîner touche à sa fin, je propose de m’occuper de servir un digestif pendant qu’ils débarrassent de concert. On approche l’étape ultime de notre piège et le regard que nous échangeons avec Éva me confirme que nous sommes toujours sur la même longueur d’onde. D’ailleurs, je suis de plus en plus excité, l’appréhension a laissé place à une certaine impatience, l’alcool et les charmes de ma compagne ont produit leurs effets et j’attends désormais le moment où je pourrais lui faire l’amour. Avec ou sans Ludo, j’ai très envie d’elle !
Dans la cuisine, Éva a prévu de le pousser dans ses retranchements et de le mettre au pied du mur. S’il se laisse aller à tenter quoi que ce soit, elle le préviendra alors de nos règles et de la manière dont nous voyons la suite… Je tente de suivre ce qu’il se passe, mais je n’entends rien, le salon est trop loin. J’attends avec une fébrilité certaine.
Ludo revient, s’assied dans le canapé, il ose à peine me regarder et saisit rapidement son digeo qu’il vide d’un trait. Le message est limpide, le piège vient de se refermer sur une victime toute consentante.
Éva me regarde intensément, puis sans un mot se lève, et vient se positionner à califourchon sur Ludo. On le sent très gêné, heureusement il ne peut me voir, Éva lui bouche la vue et lui en offre une bien moins anxiogène. Elle lui saisit les mains et les pose sur ses seins. Une sorte d’électrochoc bienvenu qui rend sa raison à notre ami ou tout au moins ses réflexes ! Ses mains commencent instantanément à parcourir le corps de ma compagne. Un peu fébrilement au départ, puis peu à peu, les gestes se font plus sûrs et plus hardis. Après avoir caressé ses fesses, une de ses mains vient ouvrir le décolleté de sa robe, libérant un sein qui n’attendait que ça. Sa bouche fond dessus et commence à l’embrasser alors que son autre main vient désormais entre ses fesses poursuivre la découverte de ce corps si souvent admiré.
De ma place, le spectacle est plaisant et les déhanchements d’Éva me font savoir que le plaisir s’invite, ce qui a tendance à m’exciter également. Après de longues minutes de ce manège, Éva se lève, me regarde une dernière fois pour s’assurer de mon assentiment, puis, lui prenant la main, l’invite à monter dans la chambre d’amis dont le lit se prêtera mieux à la suite attendue.
Je les laisse monter, je reprends ma respiration, je suis terriblement excité, et l’idée de faire l’amour à Éva avec Ludo me paraît désormais la meilleure chose à faire ce soir !
Je laisse passer quelques longues minutes et enfin, me décide à les rejoindre.
Lorsque j’arrive, je constate qu’Éva a mené la danse exactement comme elle le souhaitait. Ludo est nu, allongé sur le dos, les pieds sur les oreillers, la tête vers la porte et déguste le sexe de ma chérie qui est à quatre pattes au-dessus de lui. De cette manière, il ne me voit pas arriver, même s’il sait que je vais les rejoindre et sera donc moins perturbé. Le regard d’Éva me laisse penser qu’il ne se débrouille pas trop mal, car elle esquisse une moue de satisfaction évidente lorsqu’elle me voit passer l’encadrement de la porte.
Je laisse rapidement mes vêtements et viens lui proposer mon sexe hyper tendu par l’excitation, dont elle s’empare sans hésiter. Le plaisir est déjà là, je peux voir parfois Éva s’arrêter, encaissant une vague de plaisir que Ludo parvient à lui procurer. Pour autant, elle ne m’oublie pas, et j’apprécie intensément ses caresses buccales.
Elle s’arrête, et descend désormais vers le sexe de notre ami. Je la vois reculer puis venir s’empaler dessus. Son regard passe de Ludo à moi, puis de nouveau à Ludo qu’elle encourage ainsi. Je le vois commencer à s’activer, ses mains emprisonnent les seins plantureux pendant que sa queue semble travailler ardemment. Éva ne boude pas son plaisir, je la vois, je l’entends respirer fortement. C’est bon. Je me rends compte que j’ai pris mon sexe en main et que je me caresse en la regardant prendre son plaisir ainsi. Pour moi, c’est tout comme si elle le prenait avec son gode, c’est tout ce qu’est Ludo, un gode, juste un peu plus vivant en fait ! Éva me fait signe de m’approcher, je m’exécute, lui permettant de reprendre sa fellation là où elle l’avait interrompue.
Finalement, Éva a bien réussi à piéger notre ami, mais je doute qu’il s’en plaigne ! Ses mains fermement agrippées aux fesses d’Éva, il la pilonne désormais fougueusement, sans la moindre retenue et Éva a bien du mal à continuer à jouer sa partition.
Lorsqu’il s’arrête enfin, elle le fait basculer sur le côté et se glisse dos à lui pour qu’il la prenne ainsi, en cuillère. Je sais qu’elle aime cette position, et le spectacle qu’elle m’offre renforce mon excitation. Ludo reprend un rythme soutenu alors que je viens caresser puis lécher la poitrine de ma compagne. Allongé face à elle, j’ai tout loisir de la regarder, de la caresser pendant que Ludo s’active. Éva me regarde et semble attendre quelque chose de moi. Sa main vient sur ma tête et je comprends enfin. Doucement ma bouche parcourt son corps et descend vers son sexe alors qu’elle a levé sa cuisse afin de me permettre d’y accéder. Je vois ainsi la queue de notre ami aller et venir dans son sexe ruisselant. Le spectacle n’est pas sans me rappeler celui plus habituel de nos jeux libertins avec son gode. Je m’approche doucement et ma langue commence sa danse frénétique. Immédiatement, je sens les gémissements d’Éva bondir d’une octave. C’était ce qu’il manquait pour que son plaisir soit total.
Alors je redouble d’efforts, un peu gêné par cette queue plus imposante et surtout plus vivante que notre partenaire habituel, pendant que Ludo, qui a bien saisi le message également, redouble lui aussi ses efforts. La course est désormais lancée, il n’y aura pas de retour en arrière, Éva est partie et ne s’arrêtera plus si ses partenaires d’un soir veulent bien, eux aussi, poursuivre leurs actions communes. Ma langue frétille à un rythme soutenu, tout comme le sexe de Ludo dont la cadence me paraît infernale. Éva est en train de rendre les armes, je sais son orgasme proche, et il ne tarde pas à arriver avec une incroyable puissance ! Son sexe dégouline de partout et je ne me fais pas prier pour le lécher tant et plus. Je m’en repais avec délectation pendant qu’Éva reprend ses esprits.
Mais Éva ne reste pas immobile comme elle en a pourtant l’habitude : alors que je suis toujours le nez sur son sexe, sa main s’approche, sort le sexe de Ludo et l’approche péremptoirement de ma bouche. Outch ! La surprise est totale, et plus par réflexe que mû par une réelle envie, je lèche bien timidement cette queue qu’elle me tend. C’est déroutant, le goût m’est parfaitement connu, mais que dire du contact ! C’est chaud, c’est vivant, c’est… différent ! Un deuxième coup de langue tout aussi timide, puis un troisième. C’est vraiment déroutant, surprenant. Sa main va remettre sa queue dans son sexe (elle recharge !) et me retend celui-ci. Je m’enhardis un peu, et commence à goûter un peu plus son sexe. Après quelques nouveaux coups de langue, je décide enfin de le prendre en bouche. Ça n’a absolument rien à voir avec un gode ! Ça vit, c’est chaud, je le sens gonfler parfois. Tout à mes pensées, je n’ai absolument pas remarqué qu’Éva s’est dégagée complètement et me regarde administrer ma première fellation ! Elle s’empare de mon sexe terriblement gonflé, je suis bien obligé de constater à quel point cette situation m’excite !
Je continue cette pipe inattendue, c’est vraiment terriblement bon, et la caresse appuyée qu’Éva me distille participe grandement à mon plaisir.
La main que vient poser Éva sur ma hanche m’encourage à me mettre à quatre pattes, je trouve ça d’ailleurs bien plus pratique pour moi. Elle vient se caler sous moi pour me sucer pendant que je remarque que Ludo lui a glissé deux doigts dans sa chatte. Le spectacle, les caresses que je reçois et cette pipe me procurent une excitation terrible. Je tente de me concentrer à nouveau sur la queue de mon ami et la déguste avec plaisir. Éva abandonne son poste, et je la retrouve derrière moi, en train de me lécher l’anus… Hmmm c’est délicieux et tellement excitant. Elle fait ensuite le tour du lit, s’approche de mon oreille, alors qu’elle a glissé un doigt dans mon cul et me murmure :
Je relève légèrement la tête, et acquiesce d’un signe de tête. Elle vient ajouter un deuxième doigt au premier, et me susurre :
Je la regarde, et ne peux que lui donner raison une fois de plus :
Alors, sans un mot de plus, elle prend la main de Ludo, l’aide à se relever, lui fait faire à son tour le tour du lit et se positionner derrière moi. C’est elle qui prend sa queue, lui enfile un préservatif et vient la positionner devant mon petit trou. Je sens les deux mains de Ludo qui viennent s’emparer fermement de mes hanches, et peu à peu, je sens ce sexe que je trouve tout d’un coup énorme, s’introduire en moi. Il fait tout doucement, mais la brûlure est présente au début, c’est Éva qui le retient et le guide, puis l’encourage à reprendre son avancée. Une fois la surprise et la douleur passées, la sensation est tout de suite très agréable. Je le sens reculer puis revenir doucement, puis en cadence, toujours sous les encouragements d’Éva qui le guide de la voix et lui enjoint de ne pas trop accélérer.
Je suis terriblement bandé, j’ai l’impression que je vais exploser à tout moment, alors que Ludo accélère peu à peu. Éva est venue s’allonger sur le dos à côté de moi, et me regarde supporter cette première sodomie. Les yeux rivés dans les miens, sa main agrippée sur mon sexe, elle sent et mesure tout le plaisir que je suis en train de prendre grâce à elle. Ma jouissance arrive comme une vague immense, je la sens déferler et tout emporter, je jouis comme j’ai l’impression de n’avoir jamais joui… Je m’affale à ses côtés, les yeux toujours dans les siens. J’y discerne comme une pointe d’amusement. Et tout d’un coup me traverse cette pensée soudaine : « et le piège se referma ! »