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n° 19650Fiche technique31226 caractères31226
Temps de lecture estimé : 18 mn
07/06/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Suite de la soirée avec Patou. Le lendemain de la soirée mouvementée, Gerry se retrouve seul avec elle.
Critères:  f fh hplusag fsoumise voir exhib fmast fellation cunnilingu jeu fouetfesse -occasion
Auteur : Lexdepenny      Envoi mini-message

Série : Un pas vers la débauche pour Patou... puis un deuxième

Chapitre 02 / 02
Le lendemain - Gerry raconte

Le lendemain. Gerry raconte…


Il est courant que je me réveille avec de la musique dans la tête. Un air, un morceau, une chanson. Pendant que je me prépare à me lever, j’ai l’habitude de réfléchir, d’essayer de trouver quelle sensation, quelles émotions ou quelles paroles ont provoqué ce phénomène. Le lendemain de l’expérience avec Patou et Vincent, c’est Brassens et « Le Gorille » qui me servent de réveil. Je dois me rappeler presque toutes les paroles avant de trouver la raison.


… qu’on put encore me désirer, ce serait extraordinaire, et pour tout dire, inespéré. Je me souris. C’est bien le cas pour moi. Le spectacle que nous a offert Patou a été superbe, et le fait d’y avoir pu participer physiquement m’a fait un plaisir aussi délicieux qu’inattendu. Je crois aussi avoir aidé Vincent à gérer la situation future. Je reconnais très bien l’envie d’en parler à la femme, de finir par trop insister et de perdre ainsi, et le moment vécu et la possibilité que le moment se reproduise. Je regarde ma montre. Il est huit heures et j’entends une voiture qui part. Vincent ? ou Patou ?


Je passe un coup de fil à l’hôpital. Micky, mon coureur, s’est fait opérer hier et je pourrai le chercher cet après-midi. Le docteur avec qui je parle a un anglais tout à fait suffisant pour communiquer avec mon blessé. J’ai ma matinée pour moi.


Je me lève, je me rase et je prends une douche. Ma tête de vieux dans le miroir ne me plaît pas. Pour un homme de soixante-douze ans, mon corps n’est pas trop mal, je suppose, mais c’est peu dire, faut admettre. Tant pis. À quoi bon se plaindre. J’ai l’âge que j’ai. Je m’habille, je plie mes bagages, je mets mes sandales et je descends, en essayant de ne pas faire trop de bruit.


Je suis sur le point d’entrer dans la cuisine quand je me sens obligé d’arrêter pour contempler la vue. Patou est devant la fenêtre. Elle porte un peignoir bleu clair. Le soleil matinal passe à travers le tissu fin et me donne une vue imprenable sur ses contours de femme mûre. C’est comme si elle était aussi nue qu’hier soir. Je me félicite à nouveau d’avoir pu participer à ce moment si fort.


Elle doit se rendre compte qu’elle n’est pas seule, parce qu’elle se retourne subitement.



Elle rougit.



Elle me verse un café et me le donne.



On sort de la cuisine et elle me précède jusqu’à la terrasse au bord de la piscine. On s’installe sur des transats et il y a un moment de silence pendant qu’on déguste le café matinal. On dirait qu’elle a quelque chose en tête qui la démange. Puis :



Patou ne me regarde pas, mais elle fait oui de la tête. Le souvenir de la veille la trouble un peu, on dirait. Se retrouver avec les doigts d’un inconnu dans son cul, pendant que son mari la baisait ne devait pas lui arriver tous les jours.



Même des décennies plus tard, ça me fait une grosse boule dans la gorge et je m’arrête de parler. J’avale et je continue.



Patou rit.



Elle se lève et fait tomber son peignoir. Elle est très jolie de tête et son corps de femme mature a tout ce qu’il faut de courbes. Je ne fais pas de commentaires sur le fait que la veille j’avais remarqué sa toison soigneusement taillée, alors que ce matin il n’en reste plus rien.



Elle plonge dans la piscine et j’ai le grand plaisir de contempler son corps nu dans l’eau. Une véritable naïade. Que voudra-t-elle de moi ?


Quinze minutes plus tard, Patou s’assoit sur le rebord de la piscine, toujours toute nue et les pieds dans l’eau. J’enlève mes sandales et je la rejoins.



Il n’est que huit heures et demie. J’ai tout mon temps. Par où commencer ? J’y suis encore en train de réfléchir quand Patou se met debout. Sa vulve est à des centimètres de ma figure. Une décision tellement simple… je lui dépose un baiser en plein dessus. Elle frissonne, et s’allonge par terre sur son drap de bain, les cuisses largement écartées. Je me mets à genoux entre elles et je la lèche. Elle est mouillée, et d’après le goût ce n’est pas l’eau de la piscine que je remarque. Elle a un clitoris plutôt discret, mais qui répond bien aux caresses de mon bout de langue. Je mordille les petites lèvres de son sexe. Elle a l’air d’aimer, donc je continue. Je fais pénétrer ma langue dans son vagin et elle se tortille de plaisir. Je me félicite de m’être très bien rasé ce matin, je ne voudrais pas égratigner cette peau si douce de l’intérieur de ses cuisses. Je fais durer le plaisir autant que je peux, jusqu’au moment où tout son corps se crispe. Je me retire, pour lui laisser le temps de profiter pleinement de son orgasme, et pour m’offrir le plaisir de la regarder jouir.


Patou souffle et se met assise.



Je prends un air autoritaire, emprunté de vidéos que j’ai visionnées. Je suis vraiment néophyte en matière de domination. Autant rentrer tout de suite et à fond dans le jeu…



Ses yeux s’ouvrent en grand au changement de ton, mais elle obéit.



Je lui donne une claque sur la fesse, pas fort, mais cela la fait sursauter.



Sa voix annonce qu’elle a non seulement compris, mais que cela lui plaît de jouer à la soumise.



Décidément elle joue le rôle sérieusement.



Cette fois j’appuie un peu plus, assez pour que la peau rosisse.



Je m’installe sur une chaise.



Patou vient et se plie sur mes genoux.



Cette fois ce sont deux bonnes claques bien fortes que je lâche, une sur chaque fesse.



Là, on entre dans une nouvelle phase du jeu, où elle va devoir expliquer à voix haute ses envies et le raisonnement derrière elles. Elle réfléchit.



Sa voix se fait toute petite.



Elle change de position, et ouvre les cuisses pour me donner accès à sa vulve qui se fait un peu baveuse. Je vise bien et je frappe.



Je m’exécute. Ma main est bientôt aussi ruisselante que le sexe de Patou. Au fur et à mesure le bruit change. Au lieu de clac, maintenant ça fait « fleutche ». Elle jouit de nouveau et j’arrête. Sa vulve est rouge et chaude. Elle doit avoir mal.



Elle part à la cuisine avec nos tasses à café et les lave, puis se met à faire le ménage. C’est beau, une femme désirable qui fait des choses quotidiennes, mais nue. Je la regarde faire avec plaisir. Je profite de cette pause pour me demander ce que je peux bien demander d’elle. Je ne suis pas dominateur de nature, et même si elle joue la soumise, je sais que ce n’est que ça, le jeu d’un moment. Pourtant, depuis les quelques années de mes trois grands amours, j’ai tout de même eu des amies qui avaient des goûts érotiques très variés. Des idées me viennent en tête…



Il est évident que, même si c’est un jeu, elle va respecter les règles. Je fais ce que j’ai à faire, puis je monte à la chambre que partage le couple. Je fouille un peu avant de prendre une écharpe dans ce qui doit être le placard de Patou et je redescends. Je l’appelle et quand elle entre dans le salon, je lui bande les yeux avec l’écharpe. Je la guide vers la chaise devant l’ordinateur.



Elle commence à se lever. Je pose mes mains sur ses épaules.



Elle tremble de la tête aux pieds, mais ne bouge pas pendant que je fais le nécessaire pour la révéler à son premier client, à qui j’ai dit de ne pas parler avant d’appeler Patou. Ce sera moi qui lui donnerai les ordres.



Pendant quelques minutes, elle se pelote les seins et tire sur ses mamelons, qui ressortent de plus en plus. Je lui fais jouer avec son minou, et se caresser avec le gode que j’ai trouvé dans sa table de nuit. Ça prend du temps, mais elle jouit à nouveau, très joliment. Le client disparaît. Je la laisse se remettre avant de contacter le client suivant. Celui-ci aura droit à des choses plus osées. Patou commence comme avant, se triture les seins et joue avec son minou. Puis…



Debout, elle se retourne pour montrer son joli popotin.



Là, elle hésite, mais finalement elle prend la pose et écarte un tout petit peu ses fesses.



Elle ne bouge pas, ne dit rien. Elle tient ses fesses ouvertes au maximum. Son œillet se contracte involontairement. Elle est très belle comme ça.



Elle avale, puis « Oui, maître ». Sa voix est rauque, elle a du mal à sortir le mot.



Elle a du mal à se forcer à le dire, mais…



Elle tend son bassin vers l’écran et écarte les lèvres de son sexe. Je la laisse faire. Ensuite, je dis au client de patienter un moment. Je prends Patou par le bras et la conduis dans le couloir. Je ferme la porte et j’enlève l’écharpe.



Sans un mot elle se dirige vers l’étage. Je l’observe qui monte l’escalier. Décidément c’est une très belle femme mûre. Elle doit avoir dans les quarante ans, et pour moi, ça c’est la fleur de l’âge. Elle redescend. À la main elle porte le gode noir, que j’ai repéré tout à l’heure. Il fait trente centimètres de long pour un diamètre de trois ou quatre. Je lui remets l’écharpe.



C’est à peine si j’entends dire « oui, maître ».

Cette fois je la place à genoux et les fesses vers l’écran. Je lui écarte les fesses et je commence à faire glisser le gode pour qu’il lui chatouille tout, du clitoris à l’anus. Elle se cambre pour m’offrir un meilleur accès. J’en profite pour lui mettre le gel que j’ai trouvé dans sa table de nuit. J’arrête le va-et-vient et la laisse attendre quelques instants, incertaine de ce qui va suivre. Quand je touche son anus avec le bout du gode, elle sursaute.



Elle doit s’y prendre à plusieurs reprises. À chaque fois qu’elle balbutie, je l’arrête et lui dis de recommencer. Finalement…



Cette fois la réponse ne se fait pas attendre,



Je mets le gode en position d’attaque et je commence à pousser. La respiration de Patou accélère. Je continue à pousser et le muscle cède. Le gode fraie son chemin inexorablement dans les tripes de Patou, qui se frotte le clitoris d’une main. Elle couine, elle halète, elle grogne et finalement elle crie. Elle a du mal à accepter le gros machin, mais elle ne rechigne pas. Quand il ne reste que quelques centimètres qui dépassent de son cul, sans crier gare, je mets la vibration en marche.



Elle joint l’acte à la parole. Elle n’arrive plus à contrôler les spasmes qui la secouent. Elle crie, elle rit, elle hurle. Elle donne un spectacle des plus érotiques pendant des minutes entières. Puis elle arrache le gode de son cul. Je vois l’œillet qui clignote comme il avait fait la veille. Elle cale ses mains entre les fesses pendant que sa rondelle retourne à son diamètre normal. Elle fuit vers la salle de bains et s’enferme. J’entends la chasse d’eau, puis la douche. Finalement elle ressort. Elle va directement rechercher le peignoir qu’elle avait abandonné au bord de la piscine, le met et revient vers moi. Je sens qu’elle ne joue plus.



Elle se met à genoux et commence à me faire une fellation sublime. Maintenant, c’est moi qui suis soumis aux caprices de Patou et elle s’y met de bon cœur. Je me retiens aussi longtemps que je peux, mais j’ai les jambes qui fléchissent et je dois m’asseoir. Finalement elle me permet de finir dans sa bouche. Moi, je reste affalé dans le fauteuil, complètement vidé, la tête autant que les couilles. Je me sens comme un torchon qu’on a essoré. Patou se lève et retourne à la salle de bain. Je viens tout juste de reprendre haleine quand elle revient. Elle est toujours nue, et je la dévore des yeux. Qui sait quand j’aurai une telle occasion dans l’avenir, d’avoir devant moi une belle femme qui ne cache rien de la splendeur de son corps ? Je garderai soigneusement le souvenir des événements d’hier soir et de ce matin dans ma mémoire.

Patou a l’air d’avoir quelque chose sur le cœur. Elle se mord les lèvres et évite mon regard. Puis…



Le bruit d’une voiture l’interrompt. C’est Vincent qui arrive, accompagné de leur amie Stéphanie et son mari. Ils sont en train de rigoler ensemble en sortant de la voiture. Patou se calme, ferme bien son peignoir et va à leur rencontre. Elle fait la bise aux deux hommes. Quand elle s’approche de Stéphanie, cependant, celle-ci s’empare de la corde du peignoir. Elle tire dessus et expose le corps nu de son amie.



Patou se retourne et me regarde, les yeux grands ouverts et la mâchoire qui pend.



J’embrasse Patou, qui me rend le baiser avec fougue. Une bise pour Stéphanie et une poignée de main pour Vincent, et je pars. À la place du grand Georges, c’est du Beatles que je fredonne. « All you need is love, love. Love is all you need. »