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n° 19653Fiche technique86247 caractères86247
Temps de lecture estimé : 47 mn
09/06/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Je suis en train de chevaucher à côté de mon père dans nos domaines. Notre duché n'est pas bien grand, mais c'est le nôtre, même si nos terres n'ont pas une grande valeur, ce qui nous sauve des appétits voraces de nos divers voisins italiens.
Critères:  fh fhh fhhh jeunes voir fellation pénétratio sandwich fsodo historique -historiqu
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Mariage ducal


Je ne déteste pas certains thèmes et aussi les siècles passés.

Ce présent texte, situé au Quattrocento, possède un air de ressemblance avec d’autres récits que j’ai écrit,

mais je n’ai rien contre les variations.

Bonne lecture :)





Réunion de familles



Je suis en train de chevaucher à côté de mon père dans nos domaines. Notre duché n’est pas bien grand, mais c’est le nôtre, même si nos terres n’ont pas une grande valeur, ce qui nous sauve des appétits voraces de nos divers voisins italiens, proches ou lointains, surtout du Royaume de Naples qui étend lentement mais sûrement vers le nord.


En parlant du nord, ou plutôt du nord-nord-est, les Français s’agitent de plus en plus, cherchant visiblement l’aventure en contrée italienne. De plus, avoir deux papes conjointement ne facilite pas les choses militaires et spirituelles. Mais durant ce temps, les yeux se détournent de nos terres, ce qui n’est pas un mal.


Étant le second fils, le cadet, ce n’est pas à moi que reviendront ces terres, mais entre-temps, j’aide à les administrer, mon aîné étant plus doué pour les joies de l’épée que celles des comptes. C’est à ce propos que mon père m’apostrophe :



Mon père part dans un grand éclat de rire. Puis il se reprend, plus sérieux :



Puis il change instantanément de ton et de sujet :



Mon père se remet à rire :



Mon père ignore délibérément ma réponse, et poursuit :



C’est alors qu’un mauvais pressentiment s’empare de moi :



Mon père se racle un peu la gorge avant de dire :



Je n’en crois pas mes oreilles, j’élève la voix :



Maigre consolation, je ricane :



Vexé, dépité, je talonne mon cheval afin de m’éloigner un peu, afin de retrouver mon calme. La colère est mauvaise conseillère, alors je tourne et retourne le problème dans tous les sens, il doit bien y avoir un moyen d’échapper à ce genre de chaîne ! Me marier, pourquoi pas, mais pas avec n’importe qui ! Surtout avec cette Donatella !


Sans oublier tous ceux qui soupirent devant elle, on se demande bien pourquoi ! Il est vrai que la donzelle est belle, mais est-ce que ça compense le reste ? Non, il faut que je trouve une échappatoire à cette situation digne de l’enfer !


Peu après, je décide de revenir vers mon père. Je l’apostrophe aussitôt :



Mon père sourit grivoisement :



Mon père prend un visage beaucoup plus sérieux :



Je contre-argumente :



Puis je m’éloigne, laissant derrière moi mon père qui est assez perplexe.




Présentation



Donatella est indubitablement belle, mais il est de notoriété publique qu’elle a un caractère de cochon, et je dirais même que c’est une injure pour ces pauvres bêtes ! Depuis tout à l’heure, je fais bonne figure auprès de ma fiancée, je suis aimable, galant, voire flagorneur, ce qui inquiète un peu mon père de me voir jouer ainsi le jeu, alors qu’il connaît mes réels sentiments.


Je profite que ma fiancée et moi soyons momentanément seuls, pour semer ma petite graine de discorde, en mettant carrément les pieds dans le plat :



Elle me répond d’un air pincé et hautain :



Faisant comme si je n’avais pas entendu sa réponse, je réponds, faussement guilleret :



Je sens que cette dernière phrase l’a mise dans un beau courroux intérieur. Rageuse, elle tape du pied sur le parquet, tout en me toisant d’en haut :



À cette réponse sans doute diplomate, je prends un air catastrophé. Je sens que le fruit est mûr, il suffit de taper un peu le tronc pour qu’il tombe.



Je prends un air contrit :



Un peu voûté, je propose :



Puis sans attendre une réponse de ma part, elle s’éloigne à grands pas. Tant pis si je passe pour un simplet à ses yeux, du moment que je n’épouse pas cette harpie de Donatella. Si j’étais resté moi-même, je ne crois pas que j’aurais su la dégoûter de moi.


Bon, il ne me reste plus qu’à attendre que l’orage éclate, puis de revenir dans la danse à pas feutrés.


Il faudrait être sourd pour ne pas entendre les éclats de voix qui résonnent entre la fille et le père. Et je ne suis pas certain que le père gagne, car Donatella est déchaînée. Je crois comprendre au passage qu’elle n’a pas une haute opinion de ma personne. Mais c’est un faible prix à payer.


Autour de moi, tout le monde s’agite, telles des fourmis dont on a éventré le logis. Gardant un visage flegmatique, je me réjouis intérieurement de la situation. Après avoir attendu que le cyclone soit passé, je sens qu’il est temps d’aller faire causette avec mon éventuel beau-père. Je le trouve facilement, alors je lance d’un air faussement navré :



Son père me regarde, l’air navré :



Nous y voilà, il ne me reste plus qu’à bien mener ma barque :



La réponse fuse, sèche :



Je fais un petit geste désinvolte :



Mon interlocuteur plisse des yeux :



Je me lance :



Me regardant fixement, il se caresse la barbe :



Me regardant toujours fixement, il continue de se caresser la barbe :



Il cogite longuement à la chose, pesant visiblement le pour et le contre. Puis au bout d’un certain temps, il ajoute en catimini :



Il me regarde d’un air étrange :



Mon interlocuteur garde le silence quelques instants, puis il ajoute :



Salvestro sourit puis pose sa large paume sur mon épaule :



Pour toute réponse, il rit franchement. Mon père et mon futur beau-père partagent bien des points communs. Alea jacta est…




Délicieuse découverte au couvent



Muni d’un billet écrit par Messer Salvestro, je chevauche vers le couvent en compagnie de trois compagnons. Assez surprise, la Mère Supérieur est obligée de me laisser rencontrer Mirabella en tête à tête, sans surveillance. J’ai bien insisté sur ce point auprès de mon futur beau-père quand il a rédigé le billet à ordre. Comme il y avait une histoire de rétribution, j’ai aussi fait préciser que si la jeune nonne devait sortir du couvent, ça ne modifierait en rien la transaction pécuniaire. L’argent arrange bien des choses dans la plupart des cas.


On me dirige vers une cellule à part, mes compagnons restant à l’entrée du long couloir. Une fois entré, je pose ma besace à côté de la porte restée ouverte. Puis quelques instants plus tard, je vois arriver mon éventuelle future épouse qui affiche un air assez inquiet en me voyant.


Même si son habit fruste de nonne ne me donne aucun renseignement sur ses courbes, son visage justifie bien la partie « bella » de son prénom. Et encore, sa coiffe ne me permet pas de contempler ses cheveux. Oui, cette donzelle est bien devenue femme, elle que j’ai connue fillette.


Je m’incline galamment :



Assez incrédule, ses beaux yeux sombres grands ouverts, elle me regarde fixement :



De la main, je désigne les murs sobres et nus qui nous entourent :



Elle cligne des yeux, ne comprenant pas où je veux en venir. Elle me dévisage, toujours intriguée par ma venue. Méfiante, elle demande :



J’essaye de me montrer rassurant :



Elle respire un grand coup puis lâche, mi-rageuse, mi-arrogante :



À la suite de ma phrase, elle me regarde avec une certaine impatience, sentant confusément qu’elle s’apprête à vivre un grand virage dans son existence devenue bien terne. Galamment, je lui désigne un siège :



Fébrile, elle s’exécute. Je fais de même, puis je m’explique :



Elle semble figée, la bouche ouverte. Puis soudain, elle s’anime, répondant spontanément :



Je suis agréablement surpris de sa réaction :



Elle a un sourire pincé :



Je me penche vers elle :



Elle me regarde droit dans les yeux :



Je ris franchement :



Elle se lève, puis elle ôte sa coiffe. Ses longs cheveux noirs ruissellent sur ses épaules. Oui, elle est très mignonne, c’est incontestable. Et d’après ce que je retire de notre conversation, son caractère me semble plus facile à vivre que celui de sa sœur, même si toutes les deux, elles partagent un même ton direct. Je me rappelle qu’étant fillette, Mirabella était assez spontanée et franche, elle l’est toujours.


Sous mon regard admiratif, elle sourit :



Son sourire devient plus mutin et coquin :



Amusé, je souris encore plus, tout en me saisissant de mon sac posé près de la porte :



Bien que, visiblement très excitée, elle est quand même presque bouche bée :



Elle me prend de court, mais j’apprécie la proposition. Je sens que ma future femme ne sera pas de tout repos, mais dans le bon sens ! Je regrette de moins en moins d’avoir fait tout ce chemin.



Puis avant que je ne puisse dire quoique ce fût, elle laisse choir sa tenue de nonne pour se présenter nue devant moi. Je ne peux qu’admirer les courbes charnelles de ma future femme, ainsi que son corps sensuel et très appétissant. Des mignons seins accrochés haut, un ventre délicatement rond, et des jambes fort avenantes !


Je suis étonné de découvrir un petit buisson, les femmes italiennes ayant pour habitude d’être glabres à cet endroit. Mais il est vrai que dans un couvent, il ne doit pas être aisé de s’épiler. Cela dit, cette touffe est assez… comment dire… sensuelle, voire un tantinet bestiale, elle ressemble à une flamme noire très attirante.


J’en ai des suées fort chaudes, ce qui ne m’empêche pas d’avouer :



Toujours nue, elle vient se plaquer contre moi. J’ai déjà eu du désir pour une femme, mais aujourd’hui, je réalise qu’on peut aller plus loin que le simple désir. Posant mes mains dans son dos puis sur ses fesses, je l’embrasse. Écrasant ses seins contre ma poitrine, elle répond à mon baiser.


Est-elle sincère ? Est-ce sa façon de me remercier ? Peu importe…




Avant-goût



Une heure plus tard, nous chevauchions vers notre future étape. Plus tard encore, alors que nous sommes à mi-chemin, et que nous avons un peu ralenti l’allure, un de mes compagnons s’approche de moi pour me dire :



Un autre compagnon s’approche alors de moi :



Je propose une autre solution :



Un peu plus tard, nous arrivons dans le petit castel d’un ami qui nous héberge pour la nuit. Je devise avec lui une bonne heure avant d’aller rejoindre ma chambre en compagnie de ma future épouse. À peine la porte refermée derrière moi, j’enlace prestement ma nouvelle fiancée.


Mutine, Mirabella me demande :



Mes mains autour de sa taille, je la presse contre moi :



Provocante, elle me répond :



Puis je l’embrasse et je m’embrase. Elle répond sans hésitation à mes baisers. Il est vrai que la donzelle a été privée lors de sa captivité au couvent. Et peut-être est-ce sa façon de me remercier. Peut-être aussi que je lui plais. Moi, j’ai franchement envie d’elle et je ne suis pas en état de jouer les philosophes !


Très vite, nous sommes nus, entremêlés dans le lit. La demoiselle est très réceptive à mon désir, ne cherchant nullement à cacher le sien, ayant sans aucun doute des mois d’abstinence à rattraper. J’espère me montrer à la hauteur de sa fringale. Une femme qui en veut est toujours nettement plus excitante qu’une dame qui se laisse faire, fût-elle plus belle que Vénus.


Très vite, je me retrouve entre ses jambes, j’ai trop envie de goûter aux charmes de ma future femme. Celle-ci ne s’y oppose absolument pas, je dirais même qu’elle réclame son dû ! Je m’en voudrais de ne pas exaucer le souhait d’une Dame, et je compte bien m’y reprendre à plusieurs fois !


Assez fébrile, je pointe mon dard sous son petit bosquet. Vicieusement, je titille de mon gland le haut de ses lèvres déjà bien humides. Elle soupire d’aise. Alors je décide de frotter la courbe de ma tige dans la fente offerte, astiquant ainsi délibérément un clitoris en feu !



Je continue mes agaceries quelques instants, puis n’en pouvant plus, je décide d’aller m’enfouir plus bas, plongeant mon pieu de chair dans sa moiteur ! Tandis que je m’introduis en elle, Mirabelle s’exclame :



Quel délice d’être entre ses jambes à nicher ma verge bien raide dans une grotte si accueillante ! Je passerai mon temps à venir arroser un si beau jardin ! De plus, Mirabella semble visiblement apprécier d’être investie de la sorte, ce qui ne m’étonne guère. Les yeux fermés, elle se laisse aller, elle n’est pas du genre silencieux, ce qui m’arrange, j’aime avoir la preuve évidente que la femme, que j’entreprends, jouit réellement :



Et entendre pareils gémissements décuple ma propre envie !


À peine calé en elle, je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps, mais il faut que je fasse preuve de retenue ! Je ne suis pas un lapin de garenne, à ce que je sache ! Alors je coulisse, je perfore, je rabote, serrant les dents, profitant ignoblement de cette grotte trop suave ! Les petits cris de ma compagne m’indiquent clairement qu’elle apprécie mon investiture en elle. Je m’active plus encore, toujours plus, encore plus !


Puis je cède dans un grand râle, sans toutefois cesser de pistonner sa fente humide. Un premier jet explose en elle, un autre, puis encore d’autres, tandis qu’à son tour, Mirabella jouit. Les yeux mi-clos, je regarde le beau spectacle qu’elle m’offre : celui d’une Dame qui s’encanaille sans complexe et sans remord, profitant elle aussi des joies du sexe. Avant de lâcher totalement prise, je me dis ce mélange, ribaude et noble, va épicer ma vie prochainement !


Un peu plus tard, je recommence une fois, deux fois, trois fois. Tant pis si les draps sont souillés, j’aime trop jouir en elle, j’aime trop l’entendre et la voir jouir elle aussi. À un moment, en sueur, elle me demande :



Et je continue, même si je joue peut-être avec ma santé. De plus, demain, nous avons de la route à faire, mais qu’importe ! Là, maintenant, toute de suite, c’est elle que je veux posséder. Ce n’est pas la première fois que je fais l’amour à une femme, mais c’est bien la première fois que j’ai une telle soif et une telle faim !


Un peu plus tard, vidés, rompus, nous prenons un peu de repos, elle comme moi en avons besoin, même si l’envie est toujours bien présente. Nos corps alanguis sont allongés l’un à côté de l’autre, repus, comblés. Puis soudain, Mirabella prend la parole :



La proposition est amusante, surtout venant d’une donzelle. En souriant, je réponds :



Je suis un peu étonné par cette question à laquelle je ne m’attendais guère. Il est vrai que les femmes du haut monde ont l’habitude de s’épiler, contrairement à celles du bas-monde, bien que parfois même des gueuses soient glabres. Sans chercher à spéculer sur une réponse circonstanciée, je réplique franchement :



Mirabella s’étonne de mon aveu :



Je me jette sur elle pour lui démontrer la notion de femme trop tentante. Elle rit et se laisse faire. Tandis que je la caresse de mes mains voraces et de mes lèvres enflammées, elle me demande :



J’abandonne la saveur de sa peau pour quelques instants :



Caressant mes cheveux, elle me sourit perversement :



Je crois que je me suis déniché une compagne fort intéressante. Je m’en pars tester à nouveau ses bonnes dispositions en la matière, et surtout de ses monts arrières que je n’ai pas encore explorés comme il se doit. Je les caresse, je les baise, les titille, les mordille. Puis je m’enhardis à venir taquiner son petit trou ourlé du bout de la langue. Contrairement à certaines femmes, ma compagne de lit ne s’offusque pas, elle se laisse faire sans encombre.


Après quelques agaceries, Mirabella me demande sans fard :



Je dépose un gros baiser mouillé sur sa fesse dodue :



Elle s’exécute avec bonne grâce. Mirabella possède un splendide popotin, c’est indéniable et sa porte d’entrée ne me semble pas trop difficile d’accès. Par acquit de conscience, je badigeonne sa cuvette ourlée de suif. J’en ai toujours un peu sur moi, on ne sait jamais ce que la Bonne Fortune peut vous réserver. J’ai la confirmation de sa facilité peu après, quand la moitié de ma tige s’engouffre sans trop d’effort dans son sombre puits.


Indubitablement, je suis fort bien, là où je suis plongé :



Je trouve que le passage est aisé, mais je sais que les paysannes préfèrent que leurs galants passent par-là, même si elles doivent ensuite aller à confesse. Et pas que les paysannes, si j’en crois ma propre expérience et certaines surprises au détour de divers couloirs.


Croissez et multipliez, dit la Bible. Encore faut-il savoir nourrir toutes ces bouches, et tout le monde ne le peut. Mon père pourrait avoir trente-six enfants, ça n’entraverait pas beaucoup ses finances, j’en sais quelque chose pour tenir ses comptes. Les moines et les nonnes forniquent, l’adultère est fort répandu, certains louchent sur les enfançons, à tel point que les Français parlent de « vice italien », mais de façade, il faut faire bonne figure, c’est le jeu.


Ah, enfin, je sens que j’arrive au bout de mon parcours. Je suis très bien en cet endroit, trop bien, comme dans sa grotte ou dans sa bouche. Cette donzelle est infernale ! Si je croyais à certaines calembredaines, je pourrais penser que Mirabelle est un succube ! Il existe bien différentes façons de mourir, mais passer de vie à trépas dans pareil cul, ça mérite réflexion !



Je commence à la pistonner pour bien sentir sa verge dans son étroit tunnel. À ses doigts qui frôlent parfois mes testicules, je devine aisément qu’elle s’offre un petit plaisir pour compenser mon envahissement.



Mes mains sur ses amples hanches blanches, je persifle gentiment :



Puis je continue mon joyeux va-et-vient dans ce somptueux popotin. Mon ventre claquant ses fesses dodues, ma colonne coulissant à merveille, malgré ma retenue, un premier jet s’en va se perdre dans des profondeurs obscures, puis d’autres, encore d’autres, toujours d’autres, comme si j’éjaculais jusqu’à mon propre sang !


Après, honnêtement, trop fatigué de cette étrange journée, je n’ai plus beaucoup de souvenirs, sauf celui d’un immense plaisir accompagné de petits cris féminins fort sensuels !




Dès potron-jacquet



Le petit matin arrive, je sens les rayons du soleil sur mon corps. Je suis plongé dans une délicieuse béatitude. Celle-ci me paraît un peu trop réelle, alors j’ouvre les yeux. Je découvre avec surprise que Mirabella est en train de me faire une gâterie ! Bonne initiative, très bonne initiative !


Arrêtant sa suave caresse, elle s’adresse à moi avec naturel et simplicité :



Elle donne lascivement quelques coups de langue sur mon gland puis reprend :



Avec un large sourire, je lui réponds :



Elle dépose un furtif baiser sur le sommet de mon gland, la donzelle est une petite vicieuse, elle semble s’y connaître dans le plaisir qu’on donne aux hommes, et je ne suis absolument rien contre le fait qu’elle sache s’y employer de la sorte. Les vierges sont attendrissantes, mais les amorales sont nettement plus jouissives.


Ma verge entre ses doigts mutins, Mirabella explique :



Sans cesser de me branler délicatement, elle hésite un peu avant de dire :



Elle me fait un large sourire :



Puis elle enfourne sans complexe mon vît afin de me procurer à nouveau une délicieuse fellation. Je dois reconnaître que la donzelle est très douée, je m’en étais rendu compte hier soir, et j’en ai la confirmation ce matin.


Tandis que sa bouche experte s’active voluptueusement autour de ma hampe, je me dis que notre couple commence très bien. Mirabella a beau me devoir le fait de l’avoir sortie de son couvent, elle n’était pas obligée de me réveiller de la sorte. Je crois qu’elle a compris qu’elle pouvait se lâcher avec moi, et que je serais sans doute un compagnon à la hauteur de ses attentes coupées en plein vol par son père.


Mais foin de ces considérations, je préfère profiter de la gâterie qu’elle me fait. Je caresse délicatement sa tête, je laisse aller mes doigts dans sa longue chevelure sombre, tandis qu’elle masse mes testicules avec délicatesse et application, tout en allant et venant sur ma tige frémissante. Je sens que je ne vais pas résister longtemps à cette experte ! Où diable a-t-elle appris toutes ces techniques ? Est-ce inné ? A-t-elle eu un bon pédagogue ? Ou une bonne instructrice ?


Je serre les dents, la tension devient de plus en plus forte, trop forte !


Quand on bande un arc, il faut bien que la flèche s’envole à un moment donné. N’en pouvant plus, je lâche une première salve entre les lèvres de ma future femme. Puis une autre, et encore une autre. Durant un long moment, nos regards se croisent. Jamais une femme ne m’a regardé de cette façon.


C’est alors que j’ai eu la certitude d’avoir fait le bon choix.




Petits aspects de la vie de couple



Ce fut un joyeux mariage, sans ostentation. Il faut dire que, ni elle, ni moi, n’étions des aînés, et encore moins des héritiers. Néanmoins, nos deux familles resserraient un peu plus leurs liens. Ce jour-là, Mirabella fut indubitablement magnifique dans sa belle robe rouge ! À ce sujet, il faudra que je convoque un peintre pour immortaliser ce moment. Notre nuit de noces fut torride, même si nous avions déjà consommé avant. Disons que j’ai eu confirmation des très bonnes dispositions de ma nouvelle femme.


Les jours et les nuits qui suivirent furent très agréables, j’avais bien fait de chevaucher jusqu’à un certain couvent…


Je suis justement en train de parler avec ma jeune épouse d’un point qui me turlupine :



Je m’esclaffe :



Je la capture dans mes bras, elle ne résiste pas. Front contre front, je lui demande :



J’adore son petit sourire pervers. Féline, elle susurre :



Je la repousse gentiment. Puis en un rien de temps, je révèle mon vit bien raide, que je branle aussitôt :



Ce qui ne l’empêche pas de s’exécuter et de me révéler ses jambes, ses cuisses, ainsi que son pubis touffu. Concernant ce dernier, nous avons décidé d’alterner : un mois glabre, un mois de repousse, puis un mois velu, et ainsi de suite.


Très vite, je macule sa petite forêt de ma semence bien chaude et gluante. Il y a un grand plaisir étrange que de voir ces poils sombres englués ainsi de blanc collant… Et de savoir que Mirabella restera ainsi jusqu’au coucher du soleil…



Ses jupons toujours relevés, intriguée, elle me dévisage :



Puis spontanément, elle s’agenouille devant moi :



Sans répulsion, elle enfourne mon sexe flasque et poisseux, tandis que ses doigts fourragent déjà dans sa petite chatte, bien décidés à offrir une jouissance à leur propriétaire. Jouissance qui arrive assez vide !


La vie est très belle quand on est marié à pareille femme, n’est-ce pas ?


Les jours, les semaines, les mois défilent, aucun nuage par-dessus nos têtes ! Tant mieux ! Une fois de plus ce matin, je me suis occupé de ma chère femme, puis après avoir rompu le jeûne, je décide d’aller consulter un manuscrit situé dans la bibliothèque, lieu que je délaisse beaucoup ces derniers temps. Mais entre une enluminure et Mirabella, mon choix est vite fait.


En parlant de choix, environ trois mois après mon mariage, alors que je me rendais justement à la bibliothèque pour y consulter un manuscrit, j’ai croisé ma belle-sœur Donatella dont j’ignorais la venue. Faisant bonne figure, j’ai salué mon ex-fiancée comme il se doit, elle m’a répondu de même, puis elle m’a regardé d’un air pincé, tout en me lançant :



Semblant se souvenir de cet épisode, Donatella hoche un peu la tête :



D’un air pincé, elle laisse tomber :



Puis nous nous sommes séparés. Après avoir chassé ce souvenir, je continue mon chemin. Manque de chance, au détour d’un couloir, je tombe nez à nez avec mon père et mon beau-père qui cheminent tout en devisant. Ce dernier vient souvent chez nous sans toujours prévenir, et ce depuis mon mariage avec sa benjamine. Je n’ai pas d’autre choix que de me joindre à eux, et de m’attendre à quelques questions sur ma descendance.


Mon père, fidèle à lui-même, ne prend pas de gant de velours :



J’ai bien insisté sur le dernier mot, à dessein. Les deux hommes ont un léger sourire crispé. J’en profite pour continuer :



Puis sans attendre une quelconque réponse des deux hommes, je me sauve. J’adore la façon de faire les enfants, mais je suis nettement plus dubitatif en ce qui concerne avoir des enfants. J’ai un peu peur que Mirabella me délaisse, une fois qu’elle sera mère. À ce sujet, il faudra que nous rediscutions de cet aspect des choses, même s’il a déjà été évoqué auparavant.




Six mois



Tandis que nous nous baladons main dans la main sur les cursives, je profite que nous soyons seuls pour signaler à Mirabella :



Elle réfléchit un court instant puis ajoute :



La prenant par la main, je l’entraîne avec moi vers notre antichambre. Sur place, elle découvre cinq hommes entièrement vêtus d’un suaire, raides comme des statues, sauf leurs verges bien mises en évidence, toutes aussi raides, hors tissu. À leurs pieds, devant chacune des fausses statues, un coussin rouge est disposé.


En voyant cet étrange spectacle, Mirabella ouvre de grands yeux :



Elle me sourit de façon fort coquine :



Elle s’approche des cinq cadeaux drapés :



Elle se penche pour mieux contempler les bâtons de chair dressés sous ses yeux :



Elle dépose un petit baiser sur mes lèvres, puis me confie :



Mirabella se poste au centre du cercle, tourne sur elle-même deux fois, afin de mieux évaluer mes cinq cadeaux particuliers. Puis elle se décide :



Elle s’agenouille sans complexe devant un quidam, puis posément se saisit de sa verge sur laquelle elle commence à exercer sa science que je sais fort efficace. Moi, je contemple la scène, avide de voir comment ma dévergondée de femme jouera la ribaude. J’ai envie de mieux voir comment elle s’emploie à lécher, à sucer et à boire des hommes. C’est une idée que je n’aurais jamais eue auparavant, mais voilà, entre-temps je me suis marié à une coquine de premier choix.



Ah, je constate que le premier homme n’a pas résisté bien longtemps. Tout tremblotant, il est en train de se vider dans la bouche de ma femme qui n’en perd pas une goutte ! Mirabella est une vorace, elle adore boire le jus des hommes, peu importe le goût et la consistance. C’est elle-même qui me l’a avoué. C’est l’un de ses petits plaisirs qu’elle a souvent pratiqué avant de se retrouver enfermée dans ce sinistre couvent.



Le suivant sera expédié à la même vitesse que le premier. Je constate avec un plaisir dissimulé que je suis nettement plus résistant. C’est alors que Mirabella se plante devant la verge d’une autre couleur. La taquinant du bout des doigts, ma femme s’adresse à l’homme planté devant elle :



Et sans complexe, elle commence à goûter à ce nouveau braquemart, qu’elle semble apprécier si j’en crois l’ardeur qu’elle déploie. Visiblement, un cadeau qu’elle apprécie. Elle lèche, elle pourlèche, elle suce, elle taquine, elle aspire tant et si bien que sa récompense vient à nouveau jaillir une fois de plus dans sa bouche. Sans cesser de masturber de ses lèvres ce vit qui se vide en elle, Mirabelle ne laisse échapper aucune goutte !


Quand tout est fini, quand la verge est asséchée, bien droite, ma femme me regarde :



Puis elle s’attaque aux deux verges suivantes, une assez grosse, mais courte, et l’autre plutôt longue, mais fine. Une fois de plus, ma petite débauchée déguste son cadeau sans aucune hésitation. J’en viens à me demander si elle n’a pas participé à des concours d’un genre un peu singulier… J’ai plusieurs ouïr dire que certaines dames de qualité s’employaient à aller de page en page, mais sans qu’il s’agisse de livres ! C’est une bonne façon de faire passer le temps sans risquer un fâcheux événement quelques mois plus tard…


Son dernier homme vidé, ma gourmande de femme s’adresse à moi :



Je révèle au grand jour mon artillerie. D’entrée de jeu, elle gobe un testicule qu’elle maintient au chaud dans sa bouche. La sensation est forte ! Ce n’est pas la première fois que j’ai le plaisir d’avoir une boule en elle, voire même parfois les deux, mais décidément la sensation est très puissante, presque à en éjaculer tout de suite !


C’est sans doute sa façon à elle de me remercier.


Heureusement pour moi, elle décide de ne pas trop persévérer dans cette perversion. C’est avec soulagement et aussi un peu de regret qu’une petite boule courte de salive réémerge à l’air libre. Alors, prenant l’initiative, ayant capturé ma tige à pleine main, je pointe mon gland à l’orée de sa bouche ouverte, puis je décrète avec une mâle assurance :



Mirabella entre aussitôt dans le jeu :



Je commence à me branler activement. Déjà trop excité par ce qu’elle vient d’accomplir sous mes yeux, en un rien de temps, les premières gouttes de sperme jaillissent et viennent tapisser sa langue. Tandis que je me soulage, je vois distinctement l’intérieur de sa bouche ouverte devenir de plus en plus blanche et visqueuse. À la lueur de ses yeux, je constate que cette étrange situation un peu avilissante l’amuse beaucoup. J’accentue ma masturbation afin d’expulser les derniers jets qui viennent s’écraser sur sa langue bien couverte de foutre. Puis dans un ultime sursaut, je frotte lentement mon gland poisseux sur ses lèvres délicatement roses.



Sans me quitter des yeux, Mirabella s’exécute. Aux fins mouvements de sa gorge, je peux presque voir mon foutre qui descend en elle. Admirable et sensuel spectacle ! Puis des étoiles dansent devant mes yeux. Tandis que mon esprit est en train de planer par-dessus les nuages, je me dis que ma ribaude de femme vaut bien toutes les vierges du Paradis !




Un petit cadeau très particulier



Ça fait maintenant un an que nous sommes mariés, et je pense avoir trouvé un cadeau original pour mon épouse bien aimée. On ne peut pas toujours imaginer six, sept, huit, jusqu’à onze verges comme présents. Dans dix ans, il me faudrait offrir cent vingt verges, ce qui commencerait à poser de sérieux problèmes d’intendance !


Alors, j’ai décidé de changer un peu la donne, d’autant que je suis légèrement souffrant ces derniers temps et que je ne suis plus au summum de ma forme physique. Il y a deux semaines de ça, j’ai fait la grosse bêtise de vouloir consulter un nouveau manuscrit reçu par un de mes amis situé à deux journées de chez nous, et la pluie, qui m’a surpris avant mi-chemin le second matin, m’a poursuivi des heures durant, sans abri possible, sauf une auberge assez décrépite. À ce propos, il est notable que ce coin de nos contrées n’est pas du tout valorisé, il faudra que je me penche un jour sur la question.


Une fois de plus, j’amène ma femme dans notre antichambre :



J’ouvre la porte, elle entre, je la referme derrière moi. Au centre de la pièce, un homme nu se tient debout, il possède quelques traits en commun avec moi, il est un peu plus âgé, aussi un peu plus grand. Quand il découvre Mirabella, sa verge se redresse, ce qui amuse beaucoup mon épouse. Je lui explique :



À ces mots, elle s’exclame :



Elle me regarde, les yeux grands ouverts, dans l’attente de ma réponse :



Excitée, Mirabella tourne autour de son cadeau :



Un sourire assez vicieux aux lèvres, ma femme s’approche de moi :



Étonnée, Mirabella tourne à nouveau autour de son nouveau jouet :



Coquine, mon épouse questionne faussement :



Puis je m’adresse à Orlando :



Toujours raide de la verge, Orlando se rengorge :



Assez admiratif, Orlando scrute ma femme de la tête aux pieds :



Je souris, mon épouse aussi. Je lui désigne Orlando :



D’un pas décidé, Mirabella se dirige vers son jouet de chair, lui saisissant sans complexe la verge et l’attire dans un coin de la pièce, près d’une couche. Là, elle lui dit :



Pour prouver, Orlando le fait sans aucun souci, à la grande joie de mon épouse qui se laisse aller aux joies des cavalcades avec son nouveau jouet et étalon. Ça fait bien la sixième fois que le gaillard la fait jouir tout en alternant diverses positions. Peut-être que l’absence de sperme à éjaculer explique une raideur qui dure si longtemps ?


Actuellement, Mirabella est offerte à quatre pattes à son jouet qui est en train de la limer par-derrière comme il se doit, ses mains fermement arrimées à ses hanches blanches. Il est étrange de voir une autre verge occuper un endroit qui vous est dévolu, mais c’est très jouissif, d’autant qu’Orlando me ressemble et que je crois me voir moi-même en action. Mais il est encore plus étrange de voir une verge nue, sans testicule attaché à sa base, ce qui permet de mieux voir encore les détails de l’action.



Une fois de plus, ma femme jouit. Je constate qu’elle aime la variété. Je sais pertinemment qu’un seul homme ne peut contenter Mirabella durant toute sa vie, elle est trop débauchée pour cela. Je l’avais compris dès le début, mais du moment qu’aucun scandale n’éclate au grand jour, c’est le principal. D’ailleurs, d’un autre côté, il n’y a pas beaucoup de coqs qui se contentent d’une seule poule dans leur poulailler…


De voir ma femme se faire prendre devant mon nez ravive ma virilité. Une fois que ma femme a fini de jouir, je décide de prendre les choses en main :



Elle ne répond rien, mais son regard luit, je dirais même qu’il chatoie, tandis que nous nous relevons. Sur mes indications, fébrile, Orlando s’allonge à moitié sur le lit, son sexe fermement dressé vers le plafond.



Curieusement, Mirabella hésite un peu, puis elle se décide, offrant sa croupe à ce pal de chair. En dessous, son nouveau jouet capture une fesse pour la soutenir et mieux diriger la cible vers le bon endroit. De son autre main, il maintient sa verge bien droite.


Peu après, le gland luisant épouse l’arrondi de la petite cuvette de ma femme qui apprécie ce nouvel hommage. Orlando relâche un peu la pression sur la fesse. Un bref instant suspendu, puis le haut de la verge disparaît sans trop d’effort dans le sombre conduit. Mirabella ferme les yeux pour mieux apprécier l’intrus qui la farfouille. Elle ondule, elle se cale, elle frissonne de plaisir !


Je sens qu’elle a envie de dire quelque chose, mais qu’elle se retient. Alors je lui demande :



Elle me sourit étrangement :



Assez agité, je me positionne entre ses belles jambes, pour venir combler son entrée principale. Toujours empalée, elle écarte largement les cuisses pour me faciliter la tâche. Peu après, j’ai l’immense plaisir d’être complètement en elle, mon visage à deux doigts du sien. J’adore être dans sa grotte humide et chaude. Il est curieux de sentir en même temps une autre verge contre la sienne, séparée par une mince cloison. Je lui demande :



Orlando et moi commençons à la pistonner lentement, doucement. Elle gémit délicatement. Nous accélérons un peu plus, nos pieux coulissant en elle, de façon alternée, parfaitement concordants. Nous augmentons progressivement dans la cadence. Mirabella tressaille sous notre ardeur conjuguée. Soudain, elle soupire :



Sans s’arrêter d’aller et de venir dans le sombre tunnel dans lequel il est planté, basculant dans le tutoiement, je lui demande :



Elle se laisse aller à ce double-plaisir, ses petits cris résonnent dans la pièce, tandis que nous la pistonnons comme des fous, trop heureux d’être ainsi en elle. Mirabella glapit :



Doublement enfichée sur nos deux braquemarts qui la fourragent en beauté et en profondeur, Mirabella explose, son corps assailli de forts tremblements, la bouche largement ouverte, yeux fermés, tendue en arc vers le plafond. Pour ma part, j’essaye de résister, ce qui n’est pas le cas d’Orlando, il éjacule déjà dans son petit trou, dans un grand râle.



J’imagine fugacement son sperme en train d’envahir le petit tunnel de ma femme. Lui aussi, s’oubliant, il se lâche :



Sous cet envahissement, ma femme gémit longuement, tandis que son nouveau jouet pousse des tas de petits cris rauques, tout en évacuant son trop-plein. Je décide de me joindre à leurs concerts de râles. À mon tour, j’expulse mon foutre dans les profondeurs de cette belle gourgandine qui jouit sous moi. Je me vide, je m’assèche, tandis que je décolle, que je plane par-dessus les nuages.


Il nous faut un certain temps pour reposer pied sur cette terre, épuisés, mais heureux.



Je l’embrasse, elle répond à mon baiser, nos langues se cherchent, nos salives s’échangent. Mirabella s’abandonne à cette torpeur faite de douceur, de sexe et de turpitudes. Je sais qu’elle et moi, nous avons devant nous un horizon bien dégagé et que nous irons sans complexe explorer bien des contrées que l’Église interdit. Tant pis si nous allons en enfer, nous nous serons fait notre petit paradis sur terre…




Les mots de la fin



Après le repas du midi, nous sommes allongés tous les deux dans notre lit, où nous nous reposons pour la sieste. Bien sûr, je lutine un peu mon épouse, et bien sûr, elle se laisse faire, quand ce n’est pas elle qui prend l’initiative.


Ça va faire maintenant presque dix mois qu’Orlando s’occupe en doublon de Mirabella, et parfois en double, puisque, très vite, je me suis invité de temps à autre dans leurs jeux. Et même avec deux mâles en même temps, Mirabella en redemandait encore et toujours. Je me demande ce qui peut la ralentir ou la modérer ?


Au détour d’un mâchicoulis, Orlando m’a confié dernièrement que ma femme était à la fois très appétissante et très dangereuse :



Il a même ajouté :



Il s’était gratté la tête puis avait répondu :



Me souvenant de cette réponse diplomatique, je suis songeur, ce qui n’échappe pas à Mirabella :



Elle rougit un peu, ce qui est étonnant de sa part :



Elle rougit encore plus :



Elle sourit largement :



Elle caresse ma joue :



J’ai peut-être toute une vie pour les lui expliquer une à une, mais il ne faut jamais remettre à demain ce qu’on peut faire tout de suite ! C’est ce que je me dis en allant directement fourrager son magnifique popotin, en m’enfonçant sans vergogne dans ses profondeurs interdites, tandis qu’elle gémit déjà, ses doigts agiles farfouillant son con détrempé de belle ribaude insatiable !


Par là où je suis en train de passer avec ardeur, sauf miracle divin, ce n’est pas encore pour cette fois que Mirabella sera mère…