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n° 19656Fiche technique23123 caractères23123
Temps de lecture estimé : 13 mn
11/06/20
corrigé 05/06/21
Résumé:  Je ne sais pas comment nous en sommes arrivées là, mais Géraldine et moi sommes en train de faire du shopping. Pourquoi pas, ça me vide un peu l'esprit, mais c'est étrange de se balader avec la maîtresse plus ou moins attitrée de son mari.
Critères:  fh voisins fellation pénétratio confession -libercoup
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Collection : Blitz Stories
Un si mignon cadeau d'anniversaire

Cette petite série propose des récits courts et indépendants les uns des autres, avec le même couple comme point commun.

Ces histoires relatent des événements libertins plutôt rapides, éclairs (d’où le titre).


Bonne lecture :)




Préambule



En temps normal, bien que libertine depuis quelques années, je suis en général une personne assez prude dans mes élans affectivo-sexuels, je ne m’offre pas comme ça à n’importe qui, mais parfois j’ai mes coups de cœur, ou plutôt de queue.


Les enfants étant partis du nid, mon mari et moi, nous nous offrons des extras ci et là. Depuis bientôt trente ans, je vis avec Gilles, mon mari. Je suis une Italo-Allemande, ce qui explique mon physique très méditerranéen et aussi ma grande taille. Mon germanique de père m’a prénommé Sandra et j’aime mon prénom, à prononcer à l’allemande, c’est-à-dire « sann-dra », avec la première syllabe qui rime avec Anne.


Ces derniers temps, mon mari m’inquiète, je le trouve de plus en plus proche de ma copine, un peu trop proche, même si c’est moi qui ai facilité leurs contacts. On dirait que Géraldine veut vraiment lui mettre le grappin dessus, me laissant jouer avec son mari Bernard.


Installez-vous une fois de plus confortablement que je vous raconte rapidement tout ça.




Shopping



Je ne sais pas comment nous en sommes arrivées là, mais Géraldine et moi sommes en train de faire du shopping. Pourquoi pas, ça me vide un peu l’esprit, mais c’est étrange de se balader avec la maîtresse plus ou moins attitrée de son mari. Mais pourquoi diable ai-je fait une soirée coquine pour les rapprocher ? La plupart du temps, Gilles n’a d’yeux que pour moi, mais cette fois-ci, il semble vouloir se préoccuper de ma copine.


Ma copine… ma petite copine, plutôt, puisque j’ai folâtré plusieurs fois avec elle et, comme elle est très docile et avide d’apprendre, c’est un plaisir d’être sa maîtresse dans le double sens du terme. C’est vrai qu’elle est de bonne composition, c’est sans doute cet aspect qui intéresse Gillou.



Et puis, vu le nombre d’amants que j’ai pu avoir et que j’ai encore dans ma vie, je suis mal placée pour faire la morale à mon mari au sujet de sa seule maîtresse régulière qui, de surcroît, est plutôt gentille et adorable. Ç’aurait été une pimbêche, je lui aurais mis ma main dans la figure et mon pied au derrière. Mais là, avec Géraldine, c’est nettement plus difficile !



Oui, je pense que mon mari expérimente avec elle des choses qu’il ne peut pas vraiment faire avec moi. J’ai remarqué qu’il développait de plus en plus son côté dominateur, chose quasiment impossible avec moi. En revanche, Géraldine est toute disposée à se laisser faire.


Nous sortons du magasin, Géraldine a finalement acheté la robe blanche.



Je souris. Je ne vais pas lui expliquer que, sur une image subitement venue en tête, j’ai proposé cette robe blanche parce qu’avec sa chevelure rousse, Géraldine ressemblait un peu à une chandelle, une jolie bougie, il est vrai.


Nous déambulons dans la rue piétonne. Ma voisine me relance :



C’est étrange d’entendre ça dans la bouche de la femme qui s’envoie en l’air avec son mari. Je m’apprête à répondre vertement, avant de réaliser que Géraldine a répondu ça spontanément, sans penser à mal, ce qui est bien son genre. Je me radoucis :



Elle soupire abondamment, puis ajoute :



Décidément, c’est étrange d’être remerciée par la maîtresse de son époux !



C’est alors que je me suis souvenu de cet épisode de ma vie…




Un anniversaire



Je décide de raconter ce petit épisode sexy de ma vie :



Donc, ce jour-là, Alain organisait une petite réception chez lui pour son anniversaire. En plus de ses amis, il avait aussi invité diverses personnes de l’immeuble, dont moi. Mon mari ayant une réunion très importante à son boulot, je décide de m’y rendre seule.



J’entretiens de bons rapports avec Alain, celui-ci étant de bonne compagnie, même s’il ne se gêne pas de zieuter allègrement dans mon décolleté ou de me faire des sous-entendus salaces. Mon voisin n’étant pas moche, il est rarement seul chez lui, et il y a un certain turn-over. Certains jours, par amusement, mon mari et moi parions sur la couleur de cheveux de sa nouvelle dulcinée !



Comme il faisait beau, ce jour-là, je suis habillée de ma petite robe noire assez courte, avec un mignon décolleté par-devant et un grand par derrière, typiquement une robe de plage. Décolleté arrière chutant à mes reins, ce qui m’oblige en quelque sorte à ne pas mettre de soutien-gorge, car j’aime jouer le jeu. Ah oui, cette robe possède un caractère chinois doré, brodé sur le côté, dont j’ignore royalement la signification. À mes pieds, des chaussures aérées d’été à légers talons.


Sur place, je rencontre d’autres personnes de l’immeuble, je serai moins seule dans mon coin, car Alain risque d’être fort occupé. Maintenant que je maîtrise assez bien le français, je suis à l’aise aussi bien dans les soirées mondaines que dans les soirées privées. De plus, je possède l’exotisme d’être une Allemande italienne. Voyant que je suis assez « ouverte », les hommes m’abordent facilement et m’offrent régulièrement un verre et des petits fours afin de discuter avec moi et aussi se rincer l’œil. Je reconnais que j’aime exciter mon monde et que mes tenues sont faites pour attirer les regards.


Celle d’aujourd’hui ne déroge pas à la tradition. Mon décolleté de devant est fort agréable, celui de derrière est encore plus profond. Sans oublier le fait que je ne porte pas de soutien-gorge et que le tissu est assez fin. Pas besoin de faire un dessin pour comprendre l’intérêt de la chose. Je sais que j’attire l’attention et aussi les commentaires. Ceux des hommes sont plutôt élogieux, ceux des femmes le sont moins.


Je suis en train de passer une bonne soirée. Plusieurs hommes ont voulu absolument obtenir mon numéro de téléphone. Je sens que je vais augmenter mon petit carnet d’adresses.


Géraldine interrompt mon récit :



Je souris, puis je continue mon récit.


J’ai un certain succès auprès de la gent masculine, il faut avouer que la concurrence est faible et que ma robe est légère. Je discute d’un peu de tout et de rien, de la météo au boulot. Parfois, je parle de mon pays natal. Souvent, on me demande si je ne suis pas mannequin, sans doute à cause de ma grande taille. J’avoue que je m’amuse, et je n’hésite pas à jouer de mes charmes afin allumer ces hommes qui sont toujours en chasse, même s’ils sont en couple.


Je sens que certains retours au bercail se feront dans les disputes. Mettez un beau décolleté sous le nez d’un homme, et il en oublie femme et enfants !


L’heure tourne, et déjà certaines personnes sont parties. Alain s’occupe enfin un peu plus de moi, bien qu’il soit souvent accaparé par ses invités. Un moment donné, je le vois en train de ramasser quelques verres et bols, puis il se diriger vers la cuisine. À mon tour, je m’empare de quelques plateaux vides pour aller le rejoindre dans la pièce voisine.


Quand je rentre, il se retourne, un peu surpris de me voir là :



Il s’accroupit devant son lave-vaisselle afin de le remplir. Je m’assieds sur le plan de travail, situé sur sa gauche. À l’image d’un film célèbre qui parle de pic à glace, j’en profite pour croiser et décroiser les jambes, avec suffisamment d’ampleur pour qu’il s’aperçoive vite que je ne porte rien sous ma robe plutôt courte. Un bol en main, Alain fixe mon entrejambe, assez surpris, mais aussi ravi de ce qu’il découvre. Comme il n’a pas sa langue dans sa poche ni ses yeux, il me confirme :



À ces mots, j’arrête de croiser et de décroiser mes gambettes, laissant mes cuisses largement écartées :



Je constate avec plaisir qu’il bande fermement. J’adore quand un homme manifeste son désir de la sorte, ça me donne un sentiment diffus de puissance. Il se relève, la bosse de son pantalon est de plus en plus évidente. Du doigt, je désigne son entrejambe :



Après avoir marqué un petit temps d’arrêt dû à la surprise, Alain dégrafe sans complexe sa ceinture, puis sort son sexe. Après être descendue du plan de travail, je m’accroupis afin de glisser cette belle tige de chair entre mes lèvres. Avec application, je suce, je lèche ce beau vit, peu importe si quelqu’un entre dans la cuisine. Alain se laisse faire, un large sourire aux lèvres.


Dans certains de mes rêves mouillés, j’ai plusieurs fois fantasmé sur Alain. Ce soir, je concrétise, et c’est une bonne surprise, car cet homme a une belle queue, ni trop, ni trop peu, légèrement arquée comme j’aime, avec de fines nervures veinées. Oui, j’aime beaucoup !


Après quelques instants, délaissant cette bonne queue, je me relève, puis je m’assieds à moitié sur le plan de travail, jambes largement écartées :



Avec célérité, il se place entre mes cuisses, sa tige bien pointée vers moi :



Avec une joie non dissimulée, j’admire la belle pine pénétrer dans ma fente accueillante, accueillie par ma chatte déjà bien humide. J’apprécie chaque centimètre qui entre en moi. Quand il est arrivé au bout du chemin, Alain commence alors un lent mouvement de va-et-vient. C’est impressionnant comme ça me fait un bien fou ! Pourtant, des queues, j’en ai connu et pas qu’une seule ! Je commence à mieux comprendre le défilé de jeunes femmes dans son appartement, ce gros cochon sait y faire !


Les dents serrées, Alain est en train de me limer lentement, puissamment et poussivement. J’aimerais bien gémir de plaisir, mais avec les invités dans la pièce voisine, ce n’est pas recommandé. Quoique… se faire surprendre de la sorte pourrait carrément me faire jouir sans retenue ! Je sais, je suis un peu salope et perverse à mes heures.


D’une voix feutrée, je félicite mon nouvel amant :



Se mordant les lèvres, Alain accélère ses mouvements en moi. Tout en me fixant dans les yeux, il me pistonne allègrement, me procurant un plaisir de plus en plus puissant. Je lis son désir dans son regard, il doit sûrement lire le mien dans mes yeux. La jouissance monte doucement, irrésistiblement. Lui comme moi, nous nous acheminons bientôt vers une explosion de plaisir.


Soudain, Alain se retire, de puissants jets chauds et gluants viennent s’écraser sur mon pubis puis sur une cuisse. Amusée, je regarde ce spectacle. Un dernier jet s’aplatit sur ma fente. Je regarde Alain dans les yeux, me masturbant avec son sperme. Celui-ci me regarde faire, à la fois étonné et ravi. J’étale son foutre visqueux sur mes lèvres, dans ma fente, autour de mon clitoris. Il ne me faut pas longtemps pour jouir à mon tour, de façon silencieuse.


Hésitant un peu, Alain dépose un premier baiser sur le bout de mon nez, puis il s’enhardit en capturant mes lèvres. Quand nos bouches se séparent, il me confie :



Passant devant lui, je lui souris, puis je fais couler l’eau afin de faire une rapide toilette. Ce sagouin m’en a mis partout et moi-même, j’en ai bien étalé. Mon hôte en profite pour me caresser éhontément les fesses, il aurait tort de se priver ! Ceci fait, je repasse devant Alain, déposant un furtif baiser sur ses lèvres, tout en lui disant :



Nous rejoignons les autres invités. À prime vue, on dirait que notre absence n’a pas été remarquée. Pas même la moindre allusion durant le reste de la soirée. Je continue mon petit jeu de séduction avec les hommes restants. Certains ne marchent pas : ils courent, ils galopent carrément. Du coin de l’œil, je constate qu’Alain me dévore très souvent des yeux. Mission réussie, si je puis le dire ainsi. Ces hommes sont si prévisibles…


Finalement, il n’y a que mon mari qui en vaille vraiment la peine. Avec lui, je peux jouer, je peux aussi me laisser aller, je sais qu’il veille toujours sur moi, et qu’il m’accepte telle que je suis.


Un peu avant minuit, un peu lasse, je décide de rentrer. Sur le pas de la porte, Alain me vole un baiser.



Et sans attendre sa répondre, en riant, je grimpe l’escalier pour aller retrouver mon partageur de mari. M’attendant, Gilles est au lit en train de lire. Passant devant la porte ouverte de notre chambre, je lui adresse rapidement un :



Je m’enfonce dans l’ombre du couloir :



Je vais dans la salle de bain pour me changer, me laver puis, restant nue, je vais dans notre chambre dire bonsoir à mon mari. Celui-ci me zieute sans complexe, avec un intérêt non dissimulé :



Gilles semble vouloir se souvenir :



Comme à notre habitude dans pareil cas, nous faisons l’amour avec passion, puis repue et heureuse, je me suis endormie dans les bras de mon mari.




Un anniversaire



Une fois que j’ai fini d’évoquer ce souvenir assez lointain, Géraldine s’exclame :



Amusée par cet aveu, je la regarde :



Rougissante (ce qui se voit beaucoup sur une rousse comme elle), elle murmure :



Spontanément, Géraldine s’exclame :



À ces mots, j’hausse un sourcil :



Ma rousse copine se jette sur cette perche :



Compatissante, je tapote son épaule :



Je ne pense pas que ce soit aujourd’hui qu’elle me racontera son « petit bisou », mais comme Géraldine et moi allons être souvent ensemble prochainement, elle finira bien pour avouer sa mini-micro-trahison. Je ne sais pas comment expliquer ce que je viens de ressentir après avoir entendu tout ça, mais Géraldine n’est finalement pas dangereuse, du moins, je le pense fortement. Je parie que mon mari ne fait que s’amuser avec elle. En revanche, ma copine de jeu risque de s’attacher un peu plus que prévu. D’ici là qu’on finisse en ménage à trois, voire à quatre !


Je me monte sans doute tout un film… L’avenir me dira quoi.