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n° 19671Fiche technique23031 caractères23031
Temps de lecture estimé : 13 mn
18/06/20
Résumé:  Un colis, une belle-mère et son gendre.
Critères:  fh fplusag alliance lingerie fellation cunnilingu pénétratio -enfamille
Auteur : Duby      Envoi mini-message
Le colis

Ce matin-là, je reçus un colis. C’était assez rare, j’avais toujours l’habitude d’acheter dans les magasins, de faire les boutiques. La révolution numérique m’avait effleurée, pas transformée. Les colis, très souvent, ils arrivaient chez ma fille qui me les transmettait ensuite.


Je fus donc surprise d’en trouver un dans ma boîte aux lettres en rentrant – justement – de faire quelques courses, comme tous les lundis. Je rangeai mes quelques achats (des tomates, quelques fruits et un peu de viande) puis j’amenai le colis sur le canapé pour le déballer. Il n’était pas gros, très léger et on pouvait deviner un vêtement fin ou quelque chose de ce style. Le sac-enveloppe ouvert, j’en sortis un emballage papier surmonté d’une petite carte sur laquelle se trouvaient ces quelques mots :


« J’espère qu’il te plaira. »


J’ouvris l’emballage et découvris un ensemble de lingerie noir. Je le touchai avec attention, le dépliai… il s’agissait d’une culotte échancrée, un tanga si j’en crois l’étiquette, noir, tout en transparence. Le soutien-gorge qui l’accompagnait était un triangle, là aussi très transparent. L’accord me plaisait, je trouvais ça joli et, dans un premier temps, je ne réfléchis même pas à savoir d’où cela sortait.


Ce ne fut qu’après quelques minutes que je revins à la raison. La carte, le « J’espère qu’il te plaira », tout ça était étrange, énigmatique. Aucune signature. Je n’avais jusque-là aucun admirateur déclaré, je n’avais aucune relation ou flirt en cours. J’étais intriguée, mais presque apeurée de savoir que quelqu’un m’envoyait ça. Sans doute avec des intentions.

Je ne savais pas si je devais l’essayer, le porter, si j’avais envie de ça. Je ne savais pas si je devais en parler…À qui ? En disant quoi ?


Cela faisait quatre années maintenant que j’étais veuve. J’avais quelques amies à qui j’aurais pu en parler, mais j’hésitais. Ma fille aurait sans doute été affolée par cette histoire et ça n’était sans doute pas une bonne idée de lui en parler pour le moment.


Après réflexion, quitte à l’avoir, autant le porter. Je me déshabillai, me mis nue puis, après avoir enlevé les quelques étiquettes, je testai ce bel ensemble noir. J’ajustai le soutien-gorge pour y faire entrer ma poitrine qui, si elle n’était pas bien volumineuse, restait ferme pour une femme ayant passé la cinquantaine.

Après tout, pourquoi ne pas le garder ? Je le retirai puis le mis dans ma bannette de linge sale. Rhabillée, je me concentrais sur la paperasse que j’avais à faire ce matin-là puis oubliais un peu toute cette histoire.




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C’était un vendredi matin. Ça ne m’arrangeait pas forcément, mais je m’étais engagé à passer chez elle récupérer une grande cocotte que nous avions oubliée la semaine passée et dont nous avions besoin le samedi midi. J’avais déposé mon fils à l’école et je filai dans la foulée chez ma belle-mère avec l’idée de rentrer rapidement. Je sonnai aux deux interphones et à chaque fois fus invité à avancer dans la suite du parcours au sein de cette résidence cossue où elle habitait depuis deux années maintenant.


C’était une femme relativement seule, mais que nous avions l’occasion de voir très souvent. Elle avait quelques amies, mais depuis le décès de son mari, elle n’avait pas véritablement retrouvé de vie sociale. Elle était souvent inquiète, menait une vie assez terne, je crois. Malgré tout, elle prenait soin d’elle, car je crois que c’est comme ça qu’elle avait appris à être femme. C’est une des règles qui émanait de son mariage : être une femme d’intérieur (elle n’avait jamais réellement travaillé), s’occuper de son mari, s’habiller correctement.

Elle avait ouvert la porte de l’appartement et je n’avais qu’à y pénétrer. Elle vint à ma rencontre, sortant de la cuisine.



Nous discutâmes de banalités pendant qu’elle préparait les cafés (elle m’accompagnait). Son petit-fils, sa fille, le temps, mon travail…

Puis elle m’invita à m’asseoir dans le salon, dans son grand canapé noir où elle vint me rejoindre avec le plateau et les deux cafés. Je détestais le café trop chaud et devais donc attendre quelques minutes avant de tenter de le boire. Par ailleurs je trouvais son café – fait dans ces machines à expressos dégueulasses – toujours trop fort.

Après quelques courtes minutes de discussion sans but, elle pouffa et me dit :



J’acquiesçai.



Elle se leva et partit vers un meuble situé à l’opposé dans le salon où elle se saisit d’une petite carte blanche qu’on trouve chez les fleuristes. Elle portait une robe-chemise qui finissait légèrement au-dessus des genoux et qui tenait à l’aide d’une ceinture.



La seule chose qui figurait sur la carte était cette formule laconique « J’espère que ça te plaira ».





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Il me demandait ce qui se trouvait dans le colis. Je fus un peu surprise par la question qui, même si elle était logique, m’amenait soit à lui montrer de la lingerie, soit à évacuer une discussion que j’avais entamée moi-même.



Un blanc accompagna sa surprise et j’avais l’impression qu’il hésitait à dire autre chose. Il but un peu de café.



J’éclatai de rire puis je bus ce qui me restait de café.



Un nouveau blanc passa. Il semblait réfléchir. Soit il cherchait une porte de sortie à cette discussion, soit il attendait que je relance. Finalement, il me relança lui-même :





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Elle revint de sa chambre avec un ensemble de lingerie noir dans les mains.



J’eus sans doute un mouvement de surprise envers moi-même, car elle bloqua quelques secondes. Comment m’étais-je retrouvé à parler des mensurations de ma belle-mère ?



J’étais un peu confus. Je ne voulais pas qu’elle se mette à penser que j’avais quelque chose à voir dans cette histoire.



Je ne savais pas trop quoi dire alors j’ajoutai :



Je la vis hésiter. Probablement que ma question était mal posée. De quoi parlais-je ? D’une relation ? De l’amour ? Du sexe ?



Je la sentais sombrer petit à petit et je me sentais un peu responsable.



Le silence reprit ses droits.





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Il m’invitait à mettre mon nouvel ensemble mystère. Pourquoi ? Dans quel but ? Je le regardais avec étonnement.



Je cherchais à évacuer la tension naissante et l’étrange ambiance de ces dernières minutes.



Dans ma chambre, je me déshabillai, comme la première fois que j’avais testé cet ensemble. Il m’allait toujours bien. La grande différence, c’est que là, j’allais me présenter dans un tanga et un soutien-gorge quasiment transparents devant mon gendre.


Une fois que tout fut parfaitement ajusté, je sortis de la chambre et retournai dans le salon. Je ne savais pas comment me tenir. Il était assis dans le canapé, désormais mieux installé, le dos contre le dossier et les jambes croisées. Il en avait profité pour finir son café.



Je n’avais pas grand-chose à ajouter.



Il donnait l’impression de me scruter de haut en bas puis de bas en haut. Je ne savais pas ce qu’il pensait ni quel était le but de ce cirque. J’étais de plus en plus mal à l’aise, ne pensant à rien d’autre.




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Elle était superbe. Sexy. Cet ensemble lui allait parfaitement. La transparence dévoilait tout. J’avais devant moi ce que j’avais parfois imaginé. Une belle-mère bien faite, cela tient pour certains du fantasme ; c’était mon cas, par période. Je m’étais parfois demandé comment elle s’épilait, comment étaient ses seins. Tout cela, je l’apercevais par moment. Il m’arrivait de distinguer des bouts de lingerie, une partie de la poitrine, lorsqu’elle se penchait, lorsque nous passions du temps en famille… mais tout était furtif. Là, l’expression « se rincer l’œil » trouvait son sens.


En ce vendredi matin, et de manière inattendue, je me retrouvais à visualiser une scène auquel jamais je n’aurais imaginé avoir accès.

La transparence de sa culotte me permettait de voir une épilation qui laissait vivant un triangle de poils parfaitement ajusté. Ses seins étaient fiers, dressés, et ses tétons durcis en étaient les porte-drapeaux.



Elle me tournait désormais le dos.



Ses fesses n’étaient pas magnifiques. Elles manquaient de relief, n’étaient pas très bombées. Mais elle n’avait pas beaucoup de cellulite et la transparence était un effet très excitant. Qui plus est, j’étais désormais dans un tel état que ma totale lucidité avait disparu.



Nous étions silencieux, je continuais à la regarder.





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Sa réponse était sèche. Je ne m’y attendais pas.



J’approchai, sans trop savoir pourquoi. Il fit un mouvement pour s’éloigner du dossier et au moment où je me trouvai face à lui, il me saisit par les hanches et se mit à embrasser mon nombril.



Je ne savais pas trop quoi dire ni quoi faire. Je n’avais jamais vraiment pensé me retrouver dans cette situation. Ce n’est pas qu’il ne m’attirait pas, mais ma sexualité était tellement passée au second plan… J’étais sans doute un peu tétanisée par l’inédit de la situation. Les grandes baies vitrées de mon salon faisaient entrer des éclats de soleil qui réchauffaient la pièce. Je n’avais pas froid.

Mes hanches étaient dans ses mains, je sentais ses cheveux qui caressaient mon ventre, ses lèvres qui passaient autour de mon nombril. Il soupirait, inspirait…



Il recula, se mit contre le dossier.



Je l’enjambai et me trouvai désormais à califourchon sur lui, le regardant sans trop savoir comment me comporter. Car oui, maintenant, la situation m’excitait, mais je savais que je ne devais pas trop y penser. Ne pas voir les faits.


Il saisit ma nuque et m’approcha de son visage. Nous nous embrassâmes. À pleines bouches. Son excitation se ressentait dans la tension qui se dégageait de son corps, dans ses gestes saccadés. Un homme de trente ans, mais encore un jeune homme. J’aurais aimé m’engager pour maîtriser la bête, comme j’avais su le faire par le passé avec d’autres hommes. Ses mains me malaxaient déjà la poitrine, pressaient mes fesses, mes hanches. Tout mon corps était pétri. Cela faisait des années que je n’avais pas autant eu envie de lâcher prise et de me laisser prendre. Juste prendre.


En quelques courtes minutes, nous étions torses nus, la transpiration commençant à se faire sentir, au sens propre et figuré. Son jean était encore fermé. Son sexe à l’étroit se débattait déjà pour trouver une porte de sortie, comme une mauvaise herbe cherchant la lumière sous une bâche. Quant au mien, j’en ressentais déjà l’humidité profonde…




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Ils étaient sur ce canapé, livrés aux envies animales de leurs corps. Elle continuait de chercher sa bouche et sa langue. Il roulait ses tétons entre ses doigts puis s’échappait de cette bouche pour aller gober ses seins l’un après l’autre. Il mangeait son corps, en aspirait le parfum.


Sa main droite passa finalement sous sa culotte et il put ressentir la moiteur des lieux, l’humidité des poils pubiens fraîchement épilés. Elle lâcha prise et alors qu’il la maintenait avec son bras gauche, elle pencha sa tête en arrière afin de s’offrir complètement tout en s’appuyant sur ses genoux. Ses doigts dans la culotte, il tournait, il frottait, il doigtait. Elle, complètement envahie, retrouvait les sensations oubliées.



Ça, il en était certain. Il n’était pas un grand amant au sens classique du terme, mais il savait exploiter 100 % du potentiel qu’offrent les mains.

Elle sentit qu’elle ne résisterait pas longtemps et une déflagration finit par se produire sur l’ensemble de son corps. Un corps bousculé, déchiré, mais enfin réveillé.



Il la fit glisser sur le canapé. Elle était désormais allongée. Il se releva et se mit enfin nu. Elle put voir ce sexe dur, dressé après avoir été contraint d’attendre son heure ; ce gland totalement sorti. Il profita de sa position pour faire dérouler le tanga de sa belle-mère jusqu’aux chevilles puis l’enleva.


Les cuisses écartées, sa chatte était là, ouverte. Il se rassit face à elle et se saisit de ses pieds, les embrassa, suça chaque doigt de pied… puis il embrassa ses jambes en faisant passer délicatement ses ongles sur l’intérieur des jambes. Pas remise du premier round, elle était désormais complètement dans les cordes et n’avait d’autre choix que d’accueillir chacune de ses décisions.


Sa bouche vint se poser autour de son sexe, l’embrassa goulûment, sans faire de détails, sans chercher à atteindre une zone en particulier, un point cardinal quelconque. Il voulait simplement embrasser son sexe. L’embrasser de longues secondes. Sa chatte était trempée, elle sentait une lèvre, un bout de langue, parfois des poils de barbe, parfois deux dents qui mordillaient…

Elle ressentait.



Sa langue entreprit de longs va-et-vient, débordant parfois rive gauche, parfois rive droite. Le fleuve débordait et elle comprenait que son corps se laisserait de nouveau submerger par ces sensations de plénitude auxquelles elle avait refusé de laisser une porte ouverte depuis de trop longues années.


Elle hurla, elle jouit, se corps se cambra complètement puis se bloqua. Le canapé était trempé, sa mouille se mélangeait à la salive de son amant… Elle qui prenait tellement soin de son intérieur s’en foutait. Elle avait eu deux orgasmes en dix petites minutes.

Elle cherchait sa respiration, sentant le poids de ce corps masculin contre elle, sentant ce sexe contre le sien.



Il recula son bassin, se saisit de sa queue durcie et après avoir fait glisser son gland pendant plusieurs secondes sur les rives de cette chatte inondée, il la pénétra. Elle coupa sa respiration, se tendit. La pénétration, c’est une habitude qu’on perd. Elle le sentit entrer centimètre par centimètre. Elle était prise, habitée, occupée ; et qu’est-ce que c’était bon !


Il lima cette chatte pendant plusieurs minutes, embrassant son cou, ses seins, son visage, sa bouche se trouvant parfois sur la route. Elle prit ses fesses et les griffa, le fessa, l’encourageant à taper plus fort, à accélérer. Il était contraint par les limites de l’excitation et savait que sa langue était plus endurante que sa bite. C’était un peu chaotique, pour l’un comme pour l’autre, mais c’était délicieux, car les corps n’étaient plus que des corps, non maîtrisés.



Cette queue, ce sentiment de se faire dominer, elle adorait tout ça. Elle en avait vu défiler, dans sa jeunesse, elle en avait eu entre les mains, dans la bouche, mais ce qu’elle préférait, c’était cette sensation d’avoir les cuisses ouvertes et de sentir que quelqu’un entrait en vous et en sortait.


Le sperme se répandit vivement, tout au long d’une dizaine de spasmes qui lui donnait l’impression d’un tremblement de terre intérieur. Elle n’avait pas totalement joui comme cela arrivait parfois ou comme cela était arrivé dans les minutes qui précédaient, mais qu’est-ce que c’était bon d’être là, vivante, réveillée, sans se poser de questions.


Il s’écroula contre elle, laissant le sperme et la cyprine se mélanger.

Deux corps transpirants sur un canapé et des vêtements sur le sol.


« J’espère que ça t’a plu », entendit-on.