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Temps de lecture estimé : 25 mn
21/06/20
Résumé:  Charlotte profite bien de ses vacances en bord de mer... moi aussi !
Critères:  fh ff vacances plage caférestau voir exhib noculotte -exhib
Auteur : Lexdepenny      Envoi mini-message
En vacances avec Charlotte




Après un délai de quinze jours, la dernière semaine du mois d’août arrive et Charlotte et moi pouvons finalement partir en vacances en bord de mer. Le premier jour quand nous arrivons à la plage, il est évident que si les seins nus ne sont pas universels, le bronzage en topless a quand même ses adeptes. Charlotte ne sera pas donc pas seule si elle se dévoile, possibilité dont on a discuté auparavant. Son nouveau maillot deux-pièces est en tissu rouge fin et très élastique. Le haut est style bandeau, le bas est échancré et moule bien ses fesses.


Elle l’a acheté sur un coup de tête, sans l’essayer. Même dans un supermarché, une femme peut avoir un coup de foudre, paraît-il. Il n’a pas coûté cher et quand elle le met pour la première fois chez nous, il est évident que la doublure du bas est mal faite. On voit du tissu blanc qui dépasse entre ses cuisses. On dirait qu’elle a un Kleenex dans son slip. Ça fait disgracieux, il faut dire. Elle refuse pourtant de renoncer à ce bikini qu’elle aime. Elle prend ses ciseaux et excise carrément cette doublure qui l’offense. Le résultat est adorable. Si la fente du sexe de ma femme n’est pas franchement visible, un œil futé verrait au moins une allusion à ses contours.


Pendant trois jours, dès notre arrivée à la plage, elle range tranquillement ses affaires dans son sac de plage, étale sa serviette, s’assoit dessus, enlève sa robe de plage et se couche à plat ventre, avant de défaire le haut de son bikini. Cela se fait très discrètement. La séance de dorage du dos terminée, elle se retourne, mais pas très longtemps. Elle veut bien avoir les seins un peu bronzés, mais pas brûlés, dit-elle. Ma femme est plutôt plate, et seul un voyeur très flagrant verrait qu’elle a les seins nus. Il lui arrive de se mettre assise, mais rarement.


Le quatrième jour, il y a du nouveau. Jusque-là, elle a choisi un emplacement un peu à l’écart des autres estivants, qui d’ailleurs se font moins nombreux avec la rentrée qui approche. Ce matin-là, elle s’arrête à quelques mètres de là où deux jeunes filles sont assises à papoter. Ce sont obligatoirement des jumelles, tellement elles se ressemblent. Mêmes cheveux très noirs, mêmes yeux très bleus, même silhouette fine. Elles sont très mignonnes et montrent de jolies poitrines nues. Elles sont à l’âge où la peau semble avoir du mal à contenir les seins qui se développent, ce qui les rend super-fermes. Je remarque cela au passage, mais Charlotte les regarde avec plus d’intensité. Depuis qu’elle a changé de sujet quand j’ai commencé à parler des charmes de son amie Laure, il me semble avoir aperçu un intérêt caché pour les jolies filles, chez mon épouse.


Je suis agréablement surpris quand Charlotte n’attend pas de s’asseoir avant de se défaire de sa robe. La robe pliée et posée sur la serviette en guise d’oreiller, elle marque une pause. Elle s’étire. Elle est très belle comme ça, le corps bien tendu. Elle semble indécise, mais à quel sujet ? J’ai des soupçons, des espoirs même, mais il est fort possible que je me trompe. Je fais bien attention de ne pas trop la regarder… mais de ne pas trop tourner les yeux vers les deux filles non plus. Du coin de l’œil, j’espionne mon épouse qui a l’air de tourner un peu en rond.


Elle prend son sac de plage, cherche quelque chose dedans et le pose à nouveau sur le sable. Elle replie sa robe et la met dans le sac. Puis, hop ! Charlotte, toujours debout, dégrafe le haut de son bikini, l’enlève sans la moindre discrétion et le laisse tomber dans son sac. Ses jolis petits seins sont plus blancs que le reste de son torse. Si ses tétons sont en érection, c’est sans doute l’effet de la petite brise marine, n’est-ce pas ? Je ne fais évidemment pas de commentaire.


Elle se met à genoux, avant de se coucher sur le ventre et de me demander que je lui mette de la crème solaire. Je ne me fais pas prier et j’en profite pour lui caresser les épaules et le dos avant d’arriver à la limite supérieure de son slip. Je survole la zone sans y toucher et je recommence avec la crème sur ses mollets, pour remonter lentement et enduire au-delà des genoux. Nouvelle petite surprise : elle écarte un peu ses cuisses, ce qui m’encourage à passer la crème entre elles. Je m’approche de nouveau de la zone rouge (dans tous les sens…) et je continue, en suivant la ligne de l’échancrure sur ses fesses. Elle ne réagit pas.


J’expose un peu plus ses fesses et je mets de la crème sur la peau pâle ainsi révélée. Toujours pas de réaction. Je remonte les deux côtés du slip. Maintenant il est accroché aux os de ses hanches, et le tissu élastique montre une tendance à glisser dans le fossé. En étalant la crème solaire sur les deux fesses en même temps, mes paumes les écartent suffisamment pour qu’elle se retrouve avec son popotin tout mignon et tout blanc exposé au soleil, et à moi, bien sûr. Je fais une petite pause pour admirer. Jusqu’où dois-je de tenter ma chance ? Il faut que je sache, alors je me remets à passer la crème sur les fesses, avant de revenir sur ses cuisses.


Elle ne rouspète pas quand je les écarte un peu plus, et mes doigts suivent le bord du slip, là où il passe entre ses jambes. Pour qu’elle n’ait pas de doute qu’elle frôle la nudité, je trace tout le périmètre de ce string improvisé avec un doigt, en remontant encore plus les côtés sur ses hanches, ce qui doit avoir comme effet de le serrer encore plus contre son sexe. J’écarte encore ses cuisses, et elle a maintenant les jambes à un angle qui expose son entrejambe à n’importe quel passant. J’insinue ma main sous son ventre. Elle ne résiste pas. Je pince le devant du slip pour en faire une bande aussi étroite que celle qui sépare ses fesses. Elle me laisse faire. Je tire un peu vers le haut, et le tissu fin glisse tout naturellement dans la fente de son sexe. Le résultat est superbe.


Quelle surprise, alors, et quel délice, quand je vois sa main s’insérer sous son ventre et ses doigts apparaître entre ses cuisses. Du bout des doigts, elle vérifie à quel point elle est exhibée. La bande rouge doit maintenant être en contact direct avec ses lèvres intérieures et, bien sûr, avec son clitoris. Sa main disparaît sous son ventre et j’ai une forte impression qu’elle tire sur le tissu pour augmenter la pression sur son sexe. Elle commence à serrer et relâcher ses fesses de façon rythmique. La fente du sexe de Charlotte est toujours bien visible de devant, et son clitoris fait coucou quand elle est très excitée. Autant dire, alors, que ce mouvement des fesses doit faire frotter son clitoris, déjà comprimé par le maillot, contre la serviette un peu rugueuse. Son orgasme ne se fait pas attendre. Tout son corps tressaille et elle se fige, avant qu’elle ne s’écroule avec un grognement.


Elle ne bouge pas pendant une minute. Puis, elle se reprend. Elle souffle, remet son slip en place, se retourne, se lève et, pour la première fois, je la vois descendre, les seins nus, jusqu’à la mer. Elle fait quelques brasses, puis elle ressort et revient vers moi, en passant de très près devant les deux qui, je pense, ont provoqué ce scénario. Cette nuit-là, j’en ai la preuve. Elle me demande de lui raconter un fantasme dans lequel les deux filles qui, j’en suis presque certain, ne se sont aperçues de rien, s’approchent d’elle pour la regarder jouir avant de se caresser elles-mêmes.


Je me réveille tôt le lendemain et je laisse Charlotte continuer à dormir. Devant mon café matinal, j’ai le temps de réfléchir sur les événements de la veille. J’en conclus que, si ma femme est d’humeur à tenter de nouvelles expériences sexy, et en public qui plus est, il y a dans son sac de voyage quelque chose qui s’y prête à merveille. Un peu d’arrière-plan…


Cela remonte à la saison des braderies de l’année dernière. Charlotte y fait un tour, histoire de soulager un mécontentement passager et alléger notre portif. Elle en revient avec une robe. Ça me surprend. D’abord parce qu’elle n’est pas amatrice des fringues soldées, ensuite parce que la robe est plus féminine que la majeure partie de sa garde-robe, qui penche vers les jeans, les pulls et ses tenues de gymnase ou jogging, plus quelques jupes très correctes pour le boulot. Quand je rentre le soir, je la découvre qui vient de mettre cet achat pour me la montrer. La robe est rouge vif, écarlate même, avec une doublure mauve. Mi-mollet en longueur, et le coton crocheté qui la compose est suffisamment lourd pour que la robe ondule très agréablement, en harmonie avec la démarche de ma femme.


Le haut de la robe fait un peu gitan, genre Carmen. Il y un élastique autour du col bateau, ce qui lui permet de porter la robe avec ses épaules exposées. L’effet lui va bien. Avec ses cheveux bouclés blonds qui tombent sur lesdites épaules nues, moi j’aime. Elle est en train de regarder la robe de plus près quand elle s’arrête net. Elle remarque que la doublure est fanée d’un côté, peut-être le soleil, car la robe était en vitrine quand elle l’a vue, me dit-elle. Ça la dérange outre mesure, et elle part chercher sa boîte à couture.


Je la laisse en paix. Une heure plus tard, quand elle m’appelle pour voir, la robe n’a plus de doublure. Son armoire ne contient pas de fond de robe et, faute de mieux, elle est en train d’essayer la robe avec un jupon. Elle n’en a que deux, tous les deux clairs. À travers les mailles larges de la robe, ça se voit beaucoup trop, à mon avis, au sien aussi. De là où je suis assis, ma chérie est entre la fenêtre et mon fauteuil. Quand elle enlève le jupon, du coup, le soleil brille à travers la robe. Ma femme pourrait être nue, son corps encadré par un simple nuage écarlate. Je regarde sa silhouette avec un grand plaisir. Je ne dis rien, en espérant qu’elle n’aura pas remarqué, du moins pas trop.


Une idée me vient en tête. Pour étrenner la robe, pourquoi n’irions-nous pas essayer ce restaurant à la campagne à une trentaine de kilomètres de chez nous ? On en parle depuis un moment, c’est un vendredi soir, et ça fait un moment qu’on n’a pas fait de sortie. Je ne lui dis pas qu’à cette distance, on risque bien moins de rencontrer des connaissances. Je ne lui laisse pas le temps d’obtempérer et je fais la réservation. Elle me demande si je suis sûr que la robe ne la révèle pas trop. Comme à mon goût, il serait impossible que les charmes de ma femme soient trop exposés, je peux en toute honnêteté dire oui.


Elle enlève la robe et va se doucher. Depuis quelque temps, je soupçonne, et j’espère que sous la douche elle aura l’inspiration de se raser le sexe. Déjà avec la robe et un slip comme seuls vêtements, elle frôlera la nudité publique, savoir qu’elle est sans poils ajoutera à mon plaisir et mon excitation, aux siens, aussi, peut-être. Elle ressort de la salle de bain nue…et fraîchement rasée…et va fouiller dans son tiroir à dessous. Le mini-slip en dentelle écarlate qu’elle enfile sous la robe est plus ou moins invisible.


Deux heures plus tard, on arrive au restaurant. Le soleil s’est couché et il commence à faire nuit. Les emplacements du parking sont plutôt étroits et elle sort de la voiture avant que je ne me gare. Elle m’attend pendant que je fais ma marche arrière, ce qui me permet d’apprécier la vue de tout à l’heure, avec mes phares qui l’éclairent comme des feux de scène.


On entre dans le restaurant, une longue salle relativement basse aux poutres apparentes. Quand ma femme passe devant le bar, qui est plus éclairé que le reste de la salle, d’après les regards que j’intercepte, la robe, et son corps à travers la robe sont en train d’être appréciés.


Notre table est au fond de la salle. On s’installe et un serveur apparaît instantanément. Il fait de son mieux et ne bigle pas trop ouvertement, mais ce n’est que maintenant que je me rends compte que, distrait par le spectacle des belles jambes de mon épouse, je ne me suis pas aperçu qu’on n’a pas besoin de la regarder de trop près pour voir qu’elle est, comme d’habitude, sans soutien-gorge et que les tétons de ses jolis petits seins sont plutôt évidents. Elle me demande pourquoi je souris comme un idiot, mais ne me laisse pas le temps de répondre. Elle dit qu’elle suppose qu’elle doit être plus exposée qu’elle ne croyait. Je confirme. Elle rosit un peu, et je profite du moment pour enlever mon mocassin et lui caresser les mollets. Elle regarde ailleurs, mais rapproche sa chaise de la table, ce qui m’invite à poursuivre mes caresses un peu plus haut. Bientôt, mes orteils, aux ongles soigneusement taillés, je précise, sont enfouis entre ses cuisses, et je ressens que son sexe est moite.


Nos plats arrivent et j’arrête mon jeu. La réputation de ce restaurant n’a pas été volée. On y mange très bien et les vins, quoique chers, méritent leur prix. Madame m’annonce pipi-time. Elle se lève et je suis loin d’être le seul à avoir le grand plaisir de suivre son passage des yeux, car les toilettes sont derrière le bar. Il est difficile de distinguer son mini-slip et certains des autres clients doivent se demander si, en fait, elle en porte. Elle revient, et la vue est tout aussi excitante. On a du mal à voir le triangle de son slip et on voit ses seins encore mieux que je ne m’en étais rendu compte. La vue est rehaussée par ses tétons durs qui, on dirait, tentent de percer à travers les mailles.


Elle s’assoit de nouveau. Elle me souffle que je suis fou de l’avoir laissée sortir en public comme ça, et méchant de ne pas l’avoir prévenue de combien elle est exposée. Une dame dans les toilettes lui a fait comprendre qu’elle est quasiment nue. Je fais celui qui est étonné, mais elle n’est pas dupe. Pas fâchée non plus, heureusement. Elle me dit que j’aurais sans doute voulu qu’elle ait, comme elle dit, tout le reste à l’air aussi. Je lui réponds que si elle a envie d’enlever son slip, je n’y vois pas d’inconvénient, et qu’elle ne doit pas se priver de cette sensation, si l’idée l’attire. Ça me vaut l’observation que je suis impossible et jamais satisfait. Difficile de la contredire, alors je souris et lui dis qu’elle est magnifiquement sexy ce soir et que je suis fier d’être avec elle, parce que tout le monde la regarde et m’envie ma femme. Ça lui fait plaisir, et quand on part, elle fait le long de la salle avec une démarche légèrement chaloupée que j’observe de derrière. Il est vrai que la robe ne cache rien de ses formes.


Plusieurs fois dans notre vie ensemble, j’ai vu ma femme seins nus dans des situations où, en principe, cela ne se fait pas. Ce soir-là, pourtant, est un des moments les plus érotiques. Elle est à la fois totalement habillée, mais aussi presque totalement nue. Illogique, mais vrai.


De retour chez nous et au lit, elle prend un ton sérieux. Aurais-je vraiment accepté qu’elle enlève son slip au restaurant ? Je répète que cela aurait certainement créé un spectacle au-delà des paroles pour moi, et sans doute pour d’autres, aussi. Donc accepté n’est pas le mot, j’aurais plutôt adoré ! Et pour elle ? Pas de réponse. Je pousse. Y a-t-elle pensé ? C’est là qu’elle me dit que la femme qui avait signalé sa nudité dans les toilettes, lui avait dit, d’un ton blagueur, que les clients l’apprécieraient encore plus si elle se mettait complètement nue sous cette robe qui ne cachait déjà rien, son mari en premier.


Charlotte se couche sur le ventre. Elle dort nue la plupart du temps, et ce soir n’est pas une exception. Quand elle glisse la main sous son ventre, je comprends et je commence :



Elle réfléchit pendant quelques secondes.



Elle hésite.



Encore une hésitation, puis :



Elle fait non de la tête.



Elle soupire.



Elle jouit, très fort, se retourne, me saisit et m’enfonce dans son vagin. Je ne tiens pas longtemps. Elle se lève, va à la salle de bains, revient, me fait un gentil bisou, me tourne le dos et s’endort.


Le ronflement doux de ma belle m’empêche de trouver le sommeil. S’il est vrai que j’adore raconter à Charlotte des scénarios où elle s’exhibe et où on la caresse, je ne suis pas du tout sûr de comment cela se passerait dans la vie réelle, ni pour elle, ni pour moi. Je finis par me faire jouir en me jurant que, si une occasion pareille se présentait, je m’engagerais à laisser les choses se dérouler comme elles peuvent.


Sachant qu’avec cette robe elle est presque nue, Charlotte ne la met pas à la légère. Plusieurs fois je la sens tentée, avant qu’elle ne change d’avis. Trop de monde, des personnes que nous connaissons, elle ne se sent pas belle, il fait trop froid. Je la comprends. Il va falloir attendre le moment où toutes les étoiles seront bien alignées pour qu’elle ose. Pourtant elle l’aime, cette robe, et elle la met à plusieurs reprises pour des soirées chez nous. Ces occasions-là mènent directement à des moments délicieux à deux et elle est très contente que ce ne soit pas une robe qui se froisse facilement. Un peu plus tard, elle trouve un fond de robe bleu pétrole qu’elle peut mettre pour rendre la robe plus pratique. Pas d’épaules nues, mais un joli effet quand même. C’est ainsi qu’elle s’habille pour le réveillon, et les commentaires positifs lui plaisent. De retour chez nous, le fond de robe s’envole, à notre plaisir mutuel.


La veille de notre départ, donc, je regarde la mini-montagne de fringues que Charlotte a l’intention de ramener en vacances, sachant qu’elle en mettra peut-être le quart.



Charlotte ajoute la robe au tas.

Maintenant, je tente ma chance et je lui propose un dîner dans un restaurant réputé de la ville la plus proche, ce qui lui permettra de la porter.



J’arrive à finir ma phrase tout juste avant d’éclater de rire, tout comme elle, d’ailleurs.

Je me fais la beauté que je peux, et je sors faire une petite promenade pour la laisser se préparer en paix.

Elle me fait autant d’effet que la première fois quand elle sort du chalet pour monter dans la voiture. Seul changement, cette fois-ci son mini-slip est en dentelle noire. On le remarque davantage que le slip rouge. Moi, j’aime les deux. Entre l’incertitude – porte-t-elle oui ou non un slip – et le mignon petit slip noir très visible, j’ai du mal à choisir.


Je me gare dans le centre de la petite ville. Nous avons cinq ou six minutes à faire à pied pour arriver jusqu’au restaurant. Le trajet me permet de confirmer que la robe de Charlotte plaît aux passants. C’est une ville où on doit avoir l’habitude des vacancières légèrement vêtues, mais ma belle ne manque pas de regards d’appréciation sur notre chemin.


Au restaurant, si je ne me trompe pas, c’est ma femme, plutôt que moi, qui nous assure les attentions assidues du serveur. Les mets sont à la hauteur du cadre aussi. La salle n’est pas bondée, mais il y a du monde, et les hommes (au moins) de la clientèle ne ratent pas Charlotte. On finit de manger et s’attarde devant un café cognac.



Elle rougit.



Elle se lève et elle a raison. Les yeux d’une majorité des clients la suivent.

Les minutes passent, et elle n’est pas de retour. D’autres femmes entrent et sortent, mais pas de Charlotte. La porte des w.c. s’ouvre à nouveau et une femme sort. Celle-ci vaut le coup d’œil et je ne me prive pas. Elle est plus âgée que nous, une petite quarantaine, plus peut-être. Elle doit faire un mètre soixante-quinze, comme Charlotte, mais côté poitrine, elle en affiche bien plus. C’est un des regrets de ma femme – pas des miens, je précise – qu’elle n’ait pas gagné à la loterie mammaire. Cette femme a de vraiment beaux seins, et pour les cacher, elle n’a qu’une simple écharpe croisée devant et nouée dans le dos, ce qui me permet d’admirer aussi ses abdominaux de rêve. Elle a beaucoup de classe, les cheveux noirs, coupés courts, des boucles d’oreilles étincelantes et une très courte jupe jaune qui met en valeur des jambes de danseuse.


Encore une minute et toujours pas de Charlotte. Puis la porte s’ouvre lentement et elle sort. Elle fait un pas vers l’avant et s’arrête. Sa figure est toute rouge et elle a l’air gênée. En la regardant, je comprends pourquoi. Elle n’a plus de slip ! Ma femme n’est vêtue que d’une robe qui ne cache rien de ses formes, et ça en grand public ! Elle se dirige vers notre table. Ses seins, qui étaient déjà visibles avant, le sont davantage parce que ses tétons ont cherché des trous dans le tissu crocheté de la robe, et le très peu qui reste de sa toison pubienne ne cache rien des contours de sa vulve non plus. Elle est magnifiquement exhibée et j’en suis dur comme du fer.

Elle s’assoit en face de moi et souffle.



Charlotte me regarde dans les yeux.



Elle me dit :



Je n’ai pas bougé. J’ai toujours la robe relevée. Elle tend la main et me caresse le sexe tout doucement. J’ai failli jouir sur-le-champ. Elle porte ses doigts aux lèvres et… elle goûte à ma mouille, comme dans mon fantasme ! Elle fait un pas en arrière et me regarde de la tête aux pieds. Elle dit :



Elle sort et je me laisse seule. J’ai la trouille, mais je ne supporte pas qu’elle me prenne pour une lâche… d’autant plus qu’elle est partie avec mon slip ! Je n’ai plus le choix et je sors comme tu me vois. Me voici donc plus nue que je ne l’ai jamais été, en public, au moins. Il faut qu’on rentre parce que je vais te sauter dessus !


J’appelle le serveur, je paie et on sort. On est en train de passer devant la table de cette dame et de son mari quand elle s’empare de l’avant-bras de Charlotte au vol.



Elle dépose dans la main de ma femme une petite boule de tissu jaune canari, de la même couleur que sa jupe.



Comme promis, Charlotte m’a sauté dessus et on a fait l’amour d’abord nus et ensuite avec elle qui portait le string de l’inconnue. Chose rare, elle a insisté que je lui fasse un cunni avec le string en place, et son orgasme en a été redoublé. Finalement, crevés, on s’est endormis.



Le lendemain, un peu plus tard que d’habitude, suite à nos ébats, on s’installe au même endroit. Je note que Charlotte scrute la plage. Cherche-t-elle les deux filles ? Possible, mais si c’est le cas, elle doit être déçue, la plage autour de nous reste vide. Sans chichis, Charlotte enlève le haut de son bikini et me prend par la main.



C’est seulement la deuxième fois qu’elle se balade seins nus et je sens que cela l’excite, même si ce n’est qu’avec moi comme témoin. On passe dix minutes dans l’eau et quand elle ressort, ses tétons sont durs. On remonte en se tenant par la main et je note dûment une petite pression supplémentaire quand elle remarque que les jumelles sont arrivées et ont déplié leurs serviettes pas très loin du tout de nos affaires.

Impensable de ne pas répondre au bonjour des deux jolies filles aux seins nus, surtout quand la salutation vient accompagnée de de grands sourires. Il est évident qu’elles ont envie de faire connaissance, au moins un peu, parce qu’elles se présentent.



On papote pendant quelques minutes. Elles habitent Strasbourg et sont en vacances avec leurs parents, Maya et Éric.



Je sens que Charlotte est curieuse d’en savoir plus sur ces parents amoureux. Elle ouvre la bouche juste au moment où Jasmin dit :



Un couple est en train de se diriger vers nous. La dame ne porte qu’un bas de bikini noir. Si Charlotte, avec ses 80A, est même plus plate que Jasmin et Sophie, leur mère doit faire du 90, une belle poitrine de femme mature, mise en valeur par une carrure de sportive. Au téton du sein gauche, elle porte un piercing, un anneau de cinq centimètres de diamètre. Elle a les cheveux noirs coupés court et de grands yeux bleus. Son mari est un peu plus grand qu’elle et passerait facilement pour un marathonien de haut niveau. Je reconnais chez lui le sourire dont les jumelles ont hérité, mais tout le reste, c’est du maman. Elles feront des ravages, si elles n’en font pas déjà.



On se présente.



Maya et Éric étalent un drap de bain immense et s’installent dessus.



Maya se lève et défait les nœuds de son monokini. Je ne peux pas m’empêcher d’apprécier la ligne fine de poils noirs qui est tout ce qui reste de sa toison et qui s’arrête juste au-dessus de la fente d’un sexe glabre. Ma femme manque tout juste de siffler. Devant cette femme nue, superbe, elle ne perd pas plus une miette du tableau que moi.



Jasmin est déjà debout et s’apprête à partir. Elle se penche pour ramasser son sac. Je dois me rappeler qu’elle est jeune et que mon admiration pour le joli fessier à deux mètres de mes yeux est mal placée.



Jasmin ne se démonte pas. Elle se donne une claque sur les fesses, tire sa langue à sa mère et s’en va, suivie de Sophie.



Maya se couche sur le ventre et Éric entreprend de lui passer de la crème solaire. Charlotte l’observe attentivement… moi aussi. Quand les doigts de son mari glissent entre ses fesses, Maya soupire et écarte ses cuisses. Je regarde Charlotte. Sa bouche est ouverte et je sais qu’elle est ébahie par le spectacle de Maya, qui se laisse carrément masturber par son mari. Elle tourne sa figure vers nous.



Il y a un hiatus de quelques secondes, puis Charlotte, toujours assise, fait glisser le petit slip de son bikini. Elle ne bouge pas. Peut-être ne sait-elle pas pourquoi elle a obéi. Moi, je suis fasciné par ce scénario qui se déroule à côté de moi. Une inconnue dont le mari fouille entre ses fesses et la fait glousser, et mon épouse, nue à la plage pour la première fois et qui s’en inquiète au moins un peu.


Maya se retourne et se met assise. Elle masse ses seins avec de la crème solaire et ses tétons se mettent en érection. Elle jette un coup d’œil vers Charlotte.



Sans attendre la réponse de ma femme, Maya se lève et vient s’accroupir devant Charlotte. La fente de son sexe est ouverte et je peux voir l’intérieur rose. J’en arrache mes yeux, parce que Maya a commencé à enduire mon épouse de crème. Regarder une belle femme caresser les mignons petits seins de Charlotte a été longtemps un fantasme pour moi, mais la réalité dépasse de loin mon imagination. Elle se laisse faire. Ses tétons se resserrent et durcissent et sa respiration accélère.


J’ai une trique qui fait une bosse dans mon short. Un coup d’œil furtif m’apprend qu’Éric en a une aussi. Maya appuie sur les épaules de Charlotte, et la renverse en arrière. Celle-ci a sa toison réduite à un minimum et on voit une goutte de mouille entre les lèvres de son sexe. Maya se remet au travail. Ses mains descendent sur le ventre de Charlotte, mais s’arrêtent à quelques centimètres de son sexe. C’est au tour des cuisses de ma femme d’être caressées. Maya les écarte un peu et ses doigts remontent. À une distance minime du sexe de Charlotte, Maya fait la pause. Ma femme gémit. Elle a une envie très forte que cela continue, je sais. Maya la regarde dans les yeux. Personne ne bouge. Maya lève un sourcil interrogatoire. Charlotte fait oui de la tête. Maya ne bouge toujours pas et paraît s’attendre à ce que ma femme lui dise ce dont elle a envie. C’est Charlotte qui craque.



Satisfaite, Maya y va de bon cœur. Elle joue avec le sexe de ma chérie comme d’une guitare, des frottements rapides et plus lents. Elle pince les lèvres extérieures. Les petits cris de Charlotte prouvent le plaisir que cela lui donne. Puis ce sont les lèvres intérieures qui ont droit à la même chose. Quand l’ongle de l’index de Maya griffe le clitoris de Charlotte, celle-ci ne résiste plus et son orgasme se déclenche.

Elle a besoin d’au moins une minute pour s’en remettre, recroquevillée en position fœtale.



Elle se penche sur Charlotte et l’embrasse. Ce n’est pas un bisou social, loin de là, et je suis surpris quand ma femme accepte et rend ce baiser passionné.



De retour dans notre chalet, j’essaie d’entamer la discussion qu’Éric a suggérée, mais rien à faire. Madame refuse d’en parler et ne veut pas que j’en parle non plus. Pendant qu’elle est sous la douche, je m’allonge sur le lit et je réfléchis. Je suis conscient que je mettrai du temps à assimiler ce que je viens de vivre. Charlotte a grimpé les marches de son expérience sexuelle à une vitesse époustouflante. Même 24 heures auparavant, ses envies théoriques de contact sexuel avec une autre femme n’avaient jamais dépassé les fantasmes que je lui racontais. Maintenant une porte est ouverte, mais qui donne sur quoi ?


Les images de la matinée surgissent dans ma tête et je revois les cuisses largement écartées de mon épouse, qui est nue, et qu’une belle femme qu’on ne connaît presque pas du tout fait royalement jouir. Les images se succèdent, y compris, j’ai honte d’admettre, la vision des fesses de Jasmin. L’attitude détendue de sa mère à la sexualité provocante de sa fille m’a surpris. Mes pensées reviennent à la piste d’atterrissage de Maya, qui fait comme un point d’exclamation à son sexe. L’idée de regarder ma Charlotte croquer dans cette vulve juteuse ou de le faire moi-même me fait jouir au premier toucher de ma bite dure. Décidément ces vacances m’en auront appris des choses ! Une toute petite chose me chatouille. Cela vient de la conversation avec les jumelles.



Je me suis mordu la langue pour ne pas lui donner ma réponse automatique.